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Showing content with the highest reputation on 02/18/21 in all areas

  1. Ma Sterling de backup vient d'arriver Direction l'atelier de Laurent Durocher pour setup complet. EBMM String Desert Gold. La Sterling 5 devrait quant à elle, arriver à la maison d'ici mars.
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  2. J'ai craqué pour une RW 60th anniversary Suis pas déçu, beau finish, ça sonne rien à dire, ça reste dans la lignée des autres, du tout bon. Et en vintage white c'est juste le top plus le matching headstock
    8 points
  3. Ah ben un truc venu de nulle part, qui ne ressemble à rien, qui vaut 2200€ et vendu d’occasion 1800€, c’est sur que c’est une belle affaire. Les quelques Noguera Jazz Bass en vente pour 500€ de moins ne font pas le poids face à cette merveille. Foncez !!!
    5 points
  4. Elle fait super mal....tout comme le prix. Mais mazette qu'elle est belle! https://www.talkbass.com/threads/f-bass-vf-p5-spectacular-cocobolo-top.1503111/#post-24981069
    4 points
  5. Facile à réaliser : quand tu es sur la page, tu cliques sur le bouton en haut à droite "Ajouter au panier". Puis tu suis les instructions.
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  6. Une petite répète, tranquille...
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  7. Salut, je connais peu Chick Corea (en dehors de son travail avec Miles Davis) mais mes parents ont longtemps eu une cassette audio d’un concert de cette tournée enregistré sur France Musique. Sur cette enregistrement radio, il y avait une charmante dame qui désannonçait chaque morceau en présentant le groupe, Chick Corea au piano, John Pattituci à la basse, Dave Weckl à la batterie ... et John McLaughlin à la guitare, qui visiblement n’était pas là vu qu’on ne l’entendait pas ! Je ne connaissais pas grand chose à la musique à l’époque mais je me doutais bien que cet instrument qui faisait des solos et qui n’était la batterie ni le piano était une contrebasse et non une guitare ! Pour la bonne bouche, voici la fameuse de Miles Davis au festival de l’île de Wight en 1970 avec un Chick Corea jeune qui a visiblement branché une pédale fuzz sur son piano électrique :
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  8. C'est un peu hors sujet d'avec l'article en lien du premier post mais je trouve que les intermittents et leur(s) organisation(s) font une erreur de communication depuis un moment à propos de leur situation liée au covid. Je suis peut-être mal tombé mais tous les articles ou témoignage que j'ai pu lire ou entendre dans les médias sont sur le thème "ah, c'est dur de pas jouer, et la culture c'est important". Certes, c'est évidemment tout à fait vrai et ça ne fait pas oublier les difficultés réelles et concrètes qui se posent aux gens concernés, mais pour le citoyen (et électeur) lambda, c'est tout à fait abstrait. Celui qui n'est pas concerné autrement que parce qu'il va de temps en temps voir un film ou un concert, ne mesure pas tout ce que ça implique. Et je ne parle pas de situations personnelles mais de toute l'économie qui va avec et que les gens ne soupçonnent pas. Je sais bien que je n'apprends rien à ceux ici qui sont concernés mais le spectacle vivant ça pèse lourd économiquement, et le "grand public" ne le sait pas. Pour beaucoup, les musiciens, comédiens, techniciens et compagnie, c'est la cigale de la fable comme dit plus haut, ils sont jolis dans le décor mais finalement pas si importants. Vous le savez, un concert ce sont les gens sur scène mais aussi les techniciens, le personnel de la salle, la micro-brasserie du coin qui a un partenariat avec la salle (ou plus communément France Boissons, là aussi ce sont des emplois), le restau d'à coté qui va remplir quelques tables ce soir là grâce au concert, le loueur de matos, peut-être un taxi, des billets de train, etc... vous le savez mais le français lambda ne le sait pas. Quand je dis à des gens pas concernés que le spectacle vivant ça pèse plus lourd économiquement que l'automobile, il ne me croient pas, et ça pèse pourtant bien plus lourd (grosso modo trois fois plus). Idem avec les indemnités pour les intermittents, pour beaucoup c'est un luxe que le pays s'offre... souvenons nous de la grêve des intermittents de 2003, qui gueulait le plus fort ? les commerçants et restaurateurs d'Avignon qui déploraient une saison foutue et intimaient l'ordre aux grèvistes de retourner au boulot... faudrait savoir, ça coûte de l'argent à la collectivité ou ça en rapporte ? Quand l’État renfloue Peugeot ou Air France, tout le monde trouve ça normal et on parle des emplois qui vont avec, quand on parle des intermittents, on ne parle que de leurs "grasses" indemnités. Encore une fois, je sais que vous êtes nombreux ici au fait de tout ça mais alors pourquoi la communication dans les grands médias se fait uniquement sur le mode "sentimental" ? Occultant l'aspect économique global, et pas uniquement individuel.
    3 points
  9. oh putain si j'avais 300 boules j'irai chercher cette Tune direct !!! : https://www.zikinf.com/annonces/annonce-1914298
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  10. Bon, presque 3 ans plus tard, je me suis enfin attelé à dépanner et terminer le format boiboite!! Très content du résultat j'avoue (elle sonne même mieux que l'autre au format pédale, enfin surtout plus fort, I don(t know why), une petite boite qui déboite en somme... J'ai intégré l'alim' pour lester un peu parceque le plastique ça a beau être fantastique, c'est aussi très léger. Celle ci n'est pas pour moi mais pour un pote qu'on surnomme Goosh (d'où le nom), DU COUPj'ai bien envie de m'en monter en format rack 2U, avec compresseur intégré dans la boucle (à y être)...
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  11. Tu remplaces Apple par Windows, c'est mon expérience. C'est souvent l'argument qu'on entend mais c'est des gens qui n'ont plus touché de Windows depuis des lustres ou pire, ont un Windows complètement obsolète au boulot avec McAfee et IE 10 (ah les ingés systèmes ). Pour moi, c'est l'offre logicielle et matérielle qui décide, et comme tout ne marche pas forcément partout, il faut vérifier avant. A mon avis, c'est l'argument le plus important, surtout si c'est ton boulot. Après il faut voir comment Apple va gérer le passage Intel - ARM et combien de temps ils supporteront Intel. Pour les versions de Windows, ayant mis à jour tous mes vieux ordis avec c'est pas du tout ce que j'ai constaté. Le passage à W8 puis W10 a amélioré le comportement de mes vieilles machines. Les vieux Windows les faisaient beaucoup plus ramer.
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  12. Autant je suis pas vraiment apple, autant pour la musique après avoir utilisé des PC pendant longtemps, je suis passé à un macbook pro par la force des choses car la licence protools que j'avais avec mon eleven rack ne fonctionnait pas sous PC. Même le pro toulousain de protools n'a jamais réussi à le faire tourner sur PC (c'était en 2012). Du coup je regrette pas car en 9 ans, nada, pas de problèmes, je l'ai juste dopé un peu avec un disque interne ssd et un peu de ram et c'est reparti. Toutes les instals de soft musicaux se font impec. J'ai envisagé de repasser sous PC, de changer de soft, de changer de mac mais la M1 pour l'instant n'est pas compatible avec la plupart des softs et du hardware. C'est au petit bonheur la chance, il faudra du temps. Et vu comment pédale encore mon mac.... Le bon plan est peut être d'acheter actuellement les derniers macs sous intel, ils ont sacrément baissés et ça reste de super machines. Pour le soft je voulais passer sous Luna comme j'ai du UA mais au final plus simple de rester sur protools. La migration hard et soft ça fait toujours chier..... que de perte de temps.
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  13. Mon mac étant sur sa fin de vie je me suis posé la même question. Et finalement je suis resté sur mac. En effet, j'utilise toujours mon mac pro de 2010 spécialement dédié à ça que j'ai réussi à upgrader pour quelques 100 d'euros. C'est toujours une bête de course qui cartonne et ça roule tout seul. Ce qui me fait peur c'est surtout la simplicité des différentes interfaces. Pour moi logic = simplicité, et surtout c'est visuel. J'ai essayé Ableton Live et non je n'y arrive pas. Dès que je le lance. je suis perdu... Et puis j'ai les automatismes sur Logic, tout est configuré comme j'aime (c'est à dire pas trop), je sais où retrouver mes instrus virtuels et les Logic me conviennent. Enfin, et c'est la grosse différence pour moi, c'est la batterie. Les drummers Logic c'est juste ce qu'il me faut.
    2 points
  14. Le bon plan c’est si on les laisse. Il y en a pour plus cher d’autocollants.
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  15. 2 points
  16. https://www.leboncoin.fr/instruments_de_musique/1930375234.htm?ac=4000094330 si on enlève les autocollants bon plan
    2 points
  17. Probablement. Mais aussi au Zénith, au Bataclan, à Bercy même peut-être...
    2 points
  18. Changer de DAW va nécessiter de passer un peu de temps pour l'apprentissage, et donc de faire un peu d'informatique. Ca va dépendre également du budget pour l'achat du soft. Que tu choisisses un MAC ou un Windows, je te conseilles Reaper. Ca demande d'y consacrer du temps mais il y a plusieurs avantages: c'est configurable en fonction de son utilisation, il est pratique pour bosser l'instrument, et la licence n'est vraiment pas chère! Pour Reaper, il y a de nombreux tutorials vidéos fait par Kenny Gioia (anglais) et Reno Mellow (français) qui est très pédagogue et a une grande connaissance du sujet.
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  19. En basse, j’en ai 4: une fender jazz bass japan une musicman sterling bass une grosse basse acoustique Eko fretless une BA4, je crois. une Fretless fabiqué par un pote qui fais des petites merveilles inspiré des Rob allen MB2. mais j’ai aussi une contrebasse hongroise. Et ce que j’utilise aussi pas mal, un petit synthé bass analo Novation Bass station 2. je recherche encore, par pure gourmandise, un bonne précision mais avec un manche en 38mm. je m’estimais parée pour toutes les situations, mais depuis que j’ai vu Delgres en concert, j’avoue qu’un soubassophone, ça me ferai bien kiffer aussi.
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  20. Dire qu'à la base elle ressemblait à ça : Avec un traitement hard roast comme ça le manche devrait plus bouger! https://tonylevin.com/road-diaries/peter-gabriel-sting-2016-tour/us-rehearsals-begin Le pourquoi du comment est expliqué dans cet article
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  21. Je pose un lien vers des vidéos sympas et facile d'approche. Certains concepts sont pertinents aussi à la basse. Faites je suppose par Maryse d'ONF https://www.youtube.com/playlist?list=PLD_x-KFycVv8pEcfwPQGyiMLB5VS6rSqn
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  22. Fifi Chayeb est un super musicien. Le talent qu'il faut pour jouer à ce niveau (regardez son CV!) Pas seulement technique, mais comme musicalité, adaptabilité, fiabilité, souplesse, et en plus c'est un lecteur incroyable, capable de jouer sans presque répéter avec un big band, ou même du Zappa avec un orchestre classique. Alors bien sûr il n'a pas eu les qualités de prudence et de prévoyance de beaucoup de fonctionnaires et de cadres moyens. Mais je trouve ça dur ce qui lui arrive. Est-ce que ceux qui disent en gros ici "bien fait pour lui" auraient dit pareil pour Jaco à la fin de sa vie ?
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  24. Non,pour la custom de Zikinf,il a préféré faire un deal avec un JCR au lieu de ma Monarch. Il m’a planté et heureusement j’ai eu une proposition (avec de l’argent) pour ma Monarch contre une BN5. Et j’attend aussi une autre Fodera (Emperor V double coil)
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  25. Merci. Pour savoir si les micros sont placés comme sur une JB dans l'éventualité d'un nouveau projet lutherie
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  26. comme je le disais, ce n'est vraiment pas le moment pour moi, mais je la trouve magnifique et j'imagine qu'elle doit bien sonner cette petite, si le manche est bien ça me parait une bonne affaire. sympa de ta part Ygbass
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  27. Je viens de suivre ça avec mon ptit gars de 12 ans, on avait des étoiles dans les yeux ! Ou un peu de poussière martienne, quand on a découvert le premier cliché...
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  28. je pense aussi que @camspréfère son 810 à son ancien 212 ampeg avec sa V4b, il doit pas y avoir photo. Quand je tournais en guitare avec mon 412 marshall et sa vieille tête lampe, c'est sur que c'était bien plus jouissif que mes 112 et 212 boogie avec la petite rectifier, mais mon dos lui il a pas d'oreille, il préférait le 112 ;)
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  30. Ça y’ est,je reviens dans le club!!
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  31. Super ça, c'est LE modèle de chez Fender que je n'ai jamais eu et que j'adore !!
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  32. Il lui manque aussi cette électronique fabuleuse, dommage car le mode passif est un vrai mode passif ! Puis en 18mm en plus, la loose... Finalement je ne la prends pas !
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  33. (Opens in new window) «Ceci n’est pas un complot» : que sait-on du documentaire belge sur le traitement médiatique du Covid ? Vu plus d’un million de fois en ligne depuis sa sortie début février, le film s’attache à critiquer la couverture médiatique de la crise sanitaire. Mais tombe dans les travers qu’il entend dénoncer. par Vincent Coquaz publié le 17 février 2021 à 8h05 Raconter «comment les médias nous racontent le Covid». Et plus précisément, les médias belges, même si la France est parfois évoquée. Telle est l’ambition du documentaire Ceci n’est pas un complot, diffusé gratuitement en ligne depuis le 6 février, et qui connaît un véritable «succès d’audience», selon la presse belge. Rien que sur Vimeo, le film compte plus de 600 000 vues, auxquelles il faut ajouter des dizaines de milliers de connexions sur d’autres plateformes comme YouTube ou Odysee, pour un total de plus d’un million de visionnages. En France, il a notamment été relayé par le «média citoyen» Vécu, né pendant le mouvement des gilets jaunes, par le blogueur Etienne Chouard mais aussi par la députée européenne écologiste Michèle Rivasi. Derrière ce film, Bernard Crutzen, réalisateur de nombreux documentaires, aussi bien sur la ville du Bruxelles que sur le scandale de la chlordécone en Martinique ou sur l’Artemisia, une tisane censée prévenir et soigner le paludisme. La plupart ont été financés et diffusés par des chaînes de télévision, comme France 24 par exemple. Pour financer son nouveau projet sur le traitement médiatique du Covid, le Belge a cette fois préféré faire appel au financement participatif, et obtenu plus de 84 000 euros alors qu’il n’en demandait que 30 000. «Instrumentaliser les médias» Le thème du film, son titre mais aussi son succès et son mode de financement ont pu conduire certains internautes à rapprocher le documentaire belge du film conspirationniste français Hold-Up. Le réalisateur belge s’en est défendu plusieurs mois avant la sortie de son film, dans un post Facebook qui prenait directement ses distances avec le docu français. Tout en se disant «surpris par le lynchage médiatique et la censure que subit Hold-Up», Bernard Crutzen écrivait, à propos de Ceci n’est pas un complot : «Ceci n’est pas un Hold-up. Nous donnons la parole à des personnalités qui n’ont rien de “complotistes”. […] Nous n’élaborons pas de théories conspirationnistes sur la base d’informations contestables.» De fait, contrairement à Hold-Up, le documentaire belge ne s’attache pas à démontrer que la pandémie serait un «plan global [pour] soumettre l’humanité». Il s’attache plutôt à faire une lecture critique du traitement médiatique de la crise sanitaire, en s’attachant à démontrer que les médias, notamment la télévision, auraient voulu à tout prix créer un «climat anxiogène». Il revient également sur certains débats déjà ouverts dans d’autres médias, comme sur la fiabilité des chiffres donnés par les gouvernements (belge en l’occurrence) ou sur la participation de cabinets de conseil privés, comme McKinsey, aux politiques de santé publique (avec le risque de conflits d’intérêts que cela comporte). Contrairement à Hold-Up, le film donne parfois (même très succinctement) des contrepoints, en interrogeant par exemple le directeur de l’information de la RTBF. Et le réalisateur a reconnu et corrigé au moins une erreur repérée dans le film. Le film donne également à voir certaines stratégies médiatiques du gouvernement belge. Le documentaire montre ainsi des extraits d’une conférence du virologue belge Marc Van Rast, en l’accusant d’avoir «instrumentalisé les médias» lors de la pandémie de grippe H1N1 de 2009, pendant laquelle il a été nommé commissaire interministériel pour la gestion de crise en Belgique. Dans la vidéo en question, on le voit faire une présentation, en 2019, devant le Groupe de travail scientifique européen sur la grippe (l’ESWI, qui assume un rôle de lobbying en faveur de la vaccination contre la grippe, selon le Sénat français). Il évoque le travail de communication qu’il a mené lors de la pandémie de 2009, avec un «budget média de zéro euro». Selon lui, sa stratégie a consisté à «tout dire» et à être joignable en permanence par les journalistes pour faire passer son message et afin que ces derniers ne cherchent pas «des voix alternatives». Il assume également, souvent en utilisant humour et second degré, d’avoir évoqué très tôt des décès probables, quitte à faire peur, pour «préparer» la population avant les premières victimes. A noter qu’il n’y a rien de secret ici : depuis deux ans, sa conférence est librement accessible sur Vimeo. «Ceci n’est pas un complot, mais…» Le documentaire avance toutefois (sans être en mesure de le prouver) que «les mesures liberticides» prises par les gouvernements pour lutter contre la pandémie de Covid-19 ne seraient «pas sanitaires mais sécuritaires» : «Ceci n’est pas un complot, mais peut-être bien l’utilisation d’une crise sanitaire pour imposer un monde virtuel et technologique, hygiéniste, dénonce le documentaire en conclusion. Une formidable opportunité pour ceux qui rêvent de pouvoir fort et de peuples sages. Mais qui partage ce rêve ?» Il s’attaque ainsi aux cibles «habituelles» des thèses complotistes sur le Covid-19, Bill Gates en tête, coupable selon le documentaire de pousser, à grand renfort de dons, pour la «vaccination de masse». Là encore, le film se défend de tout complotisme : «Ceci n’est pas un complot parce que Bill Gates ne fait rien secrètement : la fondation Gates a le mérite d’être transparente. Sur son site, on trouve tous les bénéficiaires de ses largesses.» Comme le résume Jean-François Raskin, professeur de sociologie des médias et administrateur général de l’IHECS, dans une tribune publiée par le journal la Libre Belgique : «Même si on ne peut pas le comparer à Hold-Up, et que son travail ne tente pas de démontrer qu’il y a un complot, [ce documentaire] distille ici et là la possibilité de mains invisibles qui influeraient sur les processus de décisions, sans dire lesquels et dans quelles conditions. Cette carence d’explications crée un “biais de confirmation” dans lequel viennent se loger toutes les théories sur l’instrumentalisation des journalistes par des forces obscures supposées être à la manœuvre.» Signe que le documentaire a suscité un débat en Belgique, le même professeur utilise toutefois sa tribune pour appeler les médias belges à saisir l’occasion de faire «un exercice d’autocritique» : «Il ne serait pas utile et sain qu’un documentaire, même avec ses défauts, soit entièrement mis au rebus et dédouane la profession d’un examen du travail réalisé depuis un an maintenant. […] Le Parlement a créé une commission d’enquête sur la manière dont les autorités ont géré l’épidémie. Il serait intéressant que les journalistes puissent examiner sereinement la manière dont ils ont travaillé et rendu compte à la population.» «Gratin de la science mondiale» Le film reproche par ailleurs aux médias de faire des simplifications douteuses, toujours pour entretenir la peur quant à la pandémie. Mais Ceci n’est pas un complot tombe également dans des raccourcis, laissant entendre que les tests PCR ne seraient pas fiables en raison d’un nombre de cycles d’amplification trop important, sans jamais expliquer la différence entre des notions cruciales comme le nombre total de cycles effectués et la valeur Ct (qui est le nombre de cycles à partir duquel les fragments viraux sont suffisamment nombreux pour être détectés). Ainsi, comme l’expliquait CheckNews, les tests RT-PCR pour lesquels le Ct est trop élevé sont considérés comme négatifs par les biologistes médicaux. De la même façon, le documentaire estime que les médias ne présentent pas toujours correctement les experts qui interviennent sur leurs antennes. Mais le documentaire fait souvent une présentation partielle, et partiale, de ses intervenants. C’est le cas par exemple de Sophie Meulemans, présentée comme la fondatrice d’Initiative citoyenne, qui défend la «liberté vaccinale»… alors que cette association est en réalité la «figure de proue» du mouvement anti-vaccin en Belgique, selon le Soir. Et pas que : le site d’Initiative citoyenne relaye les vidéos de la militante américaine anti-masque et complotiste Judy Mikovits, ou du vidéaste belge Jean-Jacques Crèvecœur, qui estime (par exemple) que le Covid a pour but d’instaurer une dictature à l’aide de «gel nanotechnologique» pour nous identifier numériquement, et ce grâce à la 5G… Ceci n’est pas un complot évoque aussi ces scientifiques, «gratin de la science mondiale» issu des plus grandes écoles internationales, qui mèneraient la fronde contre les mesures prises par les gouvernements pour lutter contre la pandémie. Le documentaire prend comme exemple des médecins américains, qu’on voit expliquer en blouse blanche qu’il ne «faut pas céder à la panique». Le réalisateur oublie ici de préciser qu’il ne s’agit pas de n’importe quels médecins mais des America’s Frontline Doctors, composés de voix conservatrices et pro-Trump qui estiment (à rebours de la littérature scientifique) qu’il n’y «a pas besoin de masques» pour empêcher la propagation du Covid-19. A titre d’exemple, on retrouve dans ce collectif la docteure Stella Immanuel, véhémente défenseuse de l’hydroxychloroquine. Egalement pasteure, elle assure que de nombreuses maladies gynécologiques sont dues aux «esprits», qui auraient des rapports sexuels avec les malades, ou que de l’ADN d’extraterrestre est utilisé pour soigner les patients. Loin du gratin de la science mondiale, donc. Capture d'écran de «Ceci n'est pas un complot» montrant les America's Frontline Doctors. Concernant la France, le documentaire note qu’une certaine «opposition» a été médiatisée. Il cite ainsi plusieurs personnalités controversées, en les qualifiant simplement de «professionnels», comme les rassuristes Jean-François Toussaint et Laurent Toubiana. Sans préciser que ces scientifiques, qui niaient (à tort) l’arrivée d’une deuxième vague, ont disparu des grands médias, et refusent tout mea culpa. Mais aussi le réanimateur Louis Fouché et la généticienne Alexandra Henrion Caude, promoteurs d’un traitement précoce contre le Covid-19 reposant sur des bases scientifiques hasardeuses. Ou le médecin Christian Perronne, récemment démis de ses fonctions de chef de service à l’AP-HP pour ses propos jugés «indignes». «J’ai conscience d’avoir été injuste» Des choix que le réalisateur assume notamment en se disant plus «documentariste» que «journaliste», dans une interview accordée à l’Avenir (sollicité par CheckNews, Bernard Crutzen n’a pas donné suite) : «Mon métier, c’est documentariste. Je fais du cinéma du réel. Ça veut dire que, pour ce film comme pour les précédents, il y avait un scénario, plusieurs versions, donc un parti pris. Ce côté militant, je l’assume. Oui, je suis partisan, c’est le principe du docu : son réalisateur a un a priori et va chercher ce qui le conforte ou pas.» Il assume même une forme de mauvaise foi stratégique : «J’ai conscience d’avoir été injuste, et j’ai probablement été trop loin dans la dénonciation et la critique des médias. Mais je vois aussi mon film comme un contrepoids : la balance a beaucoup et longtemps penché du côté du gouvernement et de sa communication anxiogène, si bien que pour l’équilibrer et être entendu, il fallait peut-être que je tape un peu trop fort de l’autre côté.» Résultat : le caractère «orienté» du documentaire a poussé plusieurs intervenants importants du film à prendre leur distance avec le travail de Bernard Crutzen. C’est le cas par exemple de l’épidémiologiste Marius Gilbert, qui estime que «sous le couvert d’une légitimité incontestable à réaliser une critique des médias sur la couverture de la crise, cette vidéo divise au lieu de rassembler et ne propose rien d’autre qu’un alignement d’éléments de dénonciation traités de manière orientée et superficielle». L’anthropologue spécialiste du complotisme Jacinthe Mazzocchetti, que l’on voit à plusieurs reprises dans le documentaire, a dénoncé, de son côté, l’usage qui a été fait de ses interventions. Dans un long post Facebook, elle juge ainsi «que le film pose, non pas l’hypothèse (avec questions, arguments, contre-arguments), mais la thèse d’une propagande médiatique consciente, malveillante, unilatérale ; sujet traité de façon manichéenne, d’une part, et, d’autre part, pour lequel je ne suis pas compétente. Il est à regretter par ailleurs qu’aucun académique spécialiste du langage médiatique, de la communication, des logiques de propagande n’apparaisse dans le film». Plus grave encore, selon elle, le film donne des billes aux complotistes : «La manière dont le film est conçu ne peut qu’alimenter les groupes complotistes, aider à basculer ceux et celles qui, sur le fil, se posent de bonnes questions, mais risquent de trouver réponse du côté de groupes complotistes et/ou extrémistes. Contrairement à la conclusion énoncée, je ne pense pas que ce film participe à ouvrir un débat démocratique nécessaire, mais au contraire qu’il participe à cliver davantage et à alimenter non pas le doute et une pensée critique salutaire, mais la défiance généralisée.» © Libé 2020
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  34. Super affaire cette Ibanez, et pas très courante. C'est une RB680, la page de catalogue de l'époque :
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  35. De toute beauté ce manche ébène de Macassar))) il manque quand même un micro
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  36. Ibanez Roadstar II à 220 euros vers St Etienne : https://www.leboncoin.fr/instruments_de_musique/1928104362.htm?ac=4000094330
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  37. pour le métal , la soudure avec des électrodes à vapeur , ça marche bien aussi ... pour les finitions , un petit coup de lime à épaissir , et hop là , c'est dans la fouille ...
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  38. Si c’est le même Poisson oui, c’est étrange. Mais il n’y a pas qu’un âne qui s’appelle poisson. La vache, je viens de regarder, et il y en a une tripotée de David Poisson sur Facebook.
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  39. J'aimai bien le gris mais je suis toujours un grand fan de la couleur d'origine :
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  40. Oui l'ancien propriétaire m'expliquait qu'il s'était pris une méthode de contrebasse, après je me disais que peut être prendre du temps avec un prof pour partir sur de bonnes bases ça peut éviter de partir dans le n'importe quoi, même si bon on est sur un instrument un peu hybride. Voila la bête ! (avec mon vrai faux B15, c'est super sympas le son, j'ai pas encore testé sur un ampli plus neutre)
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  41. Aaaah bah voilà. Ça manquait de Bob par ici!! Bien joué! Et ce soir, mon Bona préféré:
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  42. Le risque, c'est de se lasser de la qualité (ou de manque de qualité) sonore et de vouloir passer à mieux. Ma grand-mère (qui n'était pas bassiste ) disait : "je n'ai pas les moyens d'acheter du pas cher" (sous-entendu : et donc de faire 2x la dépense en finissant quand même par acheter un bon produit).
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  43. Je connais un peu le sujet. Pour en avoir réparé plusieurs, il est possible de localiser et de réparer la panne assez souvent, probablement 50-60% des cas sans changer de carte. Seulement la plupart des SAV préfèrent vendre une carte que la réparer, surtout en class D. En class AB, ça ne viendrait à l'idée de personne ou presque de remplacer une carte de puissance. L'autre souci, c'est que globalement les cartes sont de mauvaise qualité, les pastilles se décollent après 2 passages de fer, et certains composants au rabais. De loin c'est super propre, mais une fois qu'on commence à bosser dessus, au secours. En même temps, tout est fait pour swaper des cartes, sans se prendre le choux :-( Mais d'un point de vue technique, ça n'a rien de gratifiant, et personnellement je préfère trouver la source de la panne, et comprendre du coup, pourquoi elle s'est produite. Ce n'est pas propre à MK, je pense que certaines habitudes de consommation ont changés, et du coup, il faudra ( aussi ) accepter les mauvais côtés. On n'enlève pas 70% du poids d'un appareil, sans compromis. On ne parle pas d'un téléphone, plutôt d'amplis sensés fournir 500W de puissance en 4 Ohms par exemple. Certains font plus d'effort en class D. Je pense aussi que la majorité des class D sont utilisés loin d'un usage pro, du coup si la tête ne débite pas énormément de puissance, ça se passe mieux.
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