Il y a aussi un effet mathématique. Je prends mon exemple, je me suis intéressé à la musique dès l'enfance, enfant et ado j'avais des décennies de production à découvrir (bon, des siècles bien sûr mais restons-en aux musiques du XXeme). Ça m'a pris des années pour rattraper le "retard", et ce faisant c'était une découverte majeure par mois, et uniquement en me cantonnant à mes goûts. Maintenant, le "retard" est moins grand, moins de découvertes sur ce qui s'est fait par le passé.
Et ensuite, ça fait entre 45 et 50 ans que j'écoute de la musique et entre autre de la musique du moment. Forcément dans ce que j'aime il y a plus de vieilleries de ces 50 dernières années que de nouveautés de 2024, c'est mathématique. Ce qui donne cette impression qu'il y a moins de trucs chouettes qui sortent, c'est surtout qu'il ne peut pas en sortir autant en un an qu'en cinquante.
Bien entendu il y a eu des années particulièrement fertiles. Je pense en particulier aux années 60, mais il y en a eu des pauvres aussi (on en parle du milieu des années 80 ? )
Et +1 pour FIP. Quand je veux écouter de la musique que je connais déjà je vais sur Spotify, quand je veux découvrir des trucs (récents ou pas), je vais sur FIP.
PS : Tiens, une nouveauté qu'on m'a fait découvrir pas plus tard qu'hier et que j'aime bien, sans être particulièrement amateur du genre :