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Showing content with the highest reputation on 11/22/20 in all areas

  1. Et comme je suis gourmand une de plus.... Un second morceau de mon album préféré : Cantabile de Michel Petrucciani. Je n'ai pas pu enlevé tout ce que fait Anthony Jackson (le zing zing très aiguë) mais ca me donne tellement la banane ce morceau. Il manque franchement Petrucciani sur la scène jazz. C'est une libre interprétation mais pas une retranscription de ce que joue A Jackson.
    9 points
  2. découvert ce morceau et l'artiste aujourd'hui Design, Cory Wong https://www.casimages.com/m/bZ9GKb-cory.mp3.html PB69-comp EBS- sansamp-focusrite
    7 points
  3. 5 points
  4. C'est le sol qui tire le plus dans un jeu de cordes... Je l'ai déjà fait y'a 10 ans et j'avais fait un sillet. Le manche acceptera sans broncher. C'est plutôt finalement la partie micro qui peux pêcher niveau son.
    5 points
  5. Une nouvelle cover de cover pour moi mais je le niveau n'est pas trop le même que les dernières vidéos qui place la barre franchement haut. @AraZel je suis toujours fan. T'es juste top. Quant à Armando Rumba j'ai commencé à le travaillé mais disons que @bigyouth m'a juste médusé de facilité et de groove. Bref, une petite douceur que voilà... (et pour ceux qui ne connaisse pas, Shungha Jung vaut le coup d'être découvert).
    5 points
  6. donnes-moi ton adresse , demain je t'envoi un CD d'Uzeb
    4 points
  7. Il dit avoir collaboré à la conception de la 3000 (très différente des autres BB), pas que la série BB lui est dédié au niveau initiales. Il y avait des BB bien avant cette collaboration, et certaines avaient en logo BroadBass en toutes lettres. C'est un peu une légende urbaine que j'entends depuis des années yam BB => Bunny Brunel
    4 points
  8. Hello ! Ayant presque achevé ma course à l'armement pour obtenir le son que je désire tant (je dis "presque" parce qu'on sait bien que ça n'a jamais de fin), je me suis dit que ce serait pas mal de faire un sujet sur mon pedalboard, pour expliquer mes choix mais aussi pour obtenir vos avis et suggestions. Je vous présente donc le Grindboard, totalement "overkill" et bêtement nommé ainsi car dédié à faire un unique son distordu (en gros ça fait "kkkrrrkkrrrgggrraaoouuuwwwom"), adapté à la musique de mon groupe de brutes Benighted. Il est bien entendu capable de beaucoup plus, et le démontrera peut-être dans d'autres projets, d'où le terme "overkill" car j'ai bien conscience du ridicule d'accumuler toutes ces pédales juste pour faire du bruit, mais les amoureux de "graou" comprendront... Ah oui, il ne faut pas que j'oublie de préciser que je n'utilise plus d'ampli. Ce pedalboard, c'est direct dans la sono ! Pour mieux comprendre comment tout cela est câblé, j'ai fait une petite infographie impressionnante de maitrise... Je vais essayer de vous détailler tout ça, mais il faut d'abord comprendre où j'ai voulu en venir. L'idée était de me rapprocher du son que j'obtiens en studio. Pour vous faire une idée de ce dont il s'agit, vous pouvez regarder cette excellente vidéo du producteur de Benighted, Kristian Kohlmannslehner aka Kohle, c'est très riche en enseignements : Pour résumer, je souhaitais obtenir un low-end clean, bien articulé + un son "dängle dängle" (cf vidéo juste au-dessus) + une disto présente mais qui reste relativement précise. Jusque là, j'ai toujours eu deux de ces éléments (low-end + disto en parallèle) mais il m'a toujours manqué le fameux "dängle dängle". Comment obtenir ces trois sons et les mixer en un seul avec un pedalboard ? 2020 étant une année particulière, j'ai eu pas mal de temps pour réfléchir à tout ça, et essayer différentes solutions. Après plusieurs mois d'expérimentations, d'achats et de reventes de matériel, je pense être arrivé à un résultat plus que satisfaisant pour une application live... Le fossé entre le son que j'avais avant et maintenant est énorme. Je pensais avoir un son correct avant, mais aujourd'hui il est à la fois plus gros, plus précis, et plus agressif. Voici un aperçu, enregistré à l'arrache (pedalboard direct dans la carte son, aucun post-processing) : Maintenant, je vais détailler un peu plus : - 1er élément du signal : mon récepteur HF Shure GLXD 16. Le meilleur système wireless format pédale que j'ai pu essayer. Super fiable, plutôt transparent, solide comme un tank. Et pour ne rien gâcher, l'accordeur est excellent, précis et rapide (presque aussi bon que mon ex Sonic Research Turbo Tuner, c'est dire !), bien meilleur que les DT-10, Pitchblack et autre Polytune... Mais ça coûte un bras. Franchement, ça vaut son prix. Evidemment, je ne l'ai pas utilisé pour enregistrer l'exemple sonore ci-dessus, live only. - 2ème élément : un noise gate, l'excellent Klirrton Schnauze. Pour faire du metal avec ce type de son très compressé et chargé en gain, un noise gate est INDISPENSABLE. Dans la musique que je joue, il y a beaucoup de passages saccadés, d'arrêt/départ. C'est très simple, si je désactive mon noise gate, ça souffle très fort et ça larsen dans tout les sens. Une fois activé, plus un larsen, quasiment plus de souffle, c'est propre. Le Schnauze est très transparent, il n'altère pas le son ni la dynamique. En comparaison, il est aussi bon que le Fortin Zuul pour ceux qui connaissent, sauf que le splitter est intégré dans le Schnauze, pas besoin de séparer le son en amont comme avec le Zuul. Vous pourriez me demander pourquoi je n'utilise pas un noise gate du HX Stomp ? Car vu le chemin de mon signal, cela n'affecterait que la partie "dängle dängle + disto", or je veux que l'ensemble de mon signal soit "gaté". Pour cela, j'utilise la méthode "quatre câbles" : la basse dans le "in" du Schnauze (via le HF, ou non), le "send" du noise gate va au "in" du Sidekick (la pédale grise), le "out" du Sidekick va dans le "return" de Schnauze, puis le "out" de ce dernier va dans le Torpedo Cab M. Les plus observateurs auront remarqué qu'il y a un boost sur le Schnauze, ainsi je peux booster l'ensemble de mon signal sur un passage en particulier, super pratique. - 3ème élément : celui-ci regroupe plusieurs pédales dont la pièce centrale est le Sidekick, by Cylens (le boitier brut gris). A quoi ça sert ? C'est un splitter/mixer qui me sert à diviser le signal en deux, grâce à deux boucles (Loop A et Loop B), avec pour la 1ère un filtre passe-bas, et pour la seconde un filtre passe-haut, tout deux débrayables. Le potard Crossover permet de choisir la fréquence de coupure des deux filtres (ou d'un seul des deux si l'autre boucle est réglée sur "full"). Ensuite, on peut mixer les deux signaux grâce aux volumes indépendants de chaque boucle. Pour mieux comprendre, rien de tel qu'une vidéo (faite par notre bon vieux Cylens) : Mon usage est le suivant : Tout d'abord, un compresseur dans la boucle A, LPF enclenché et réglé quelque part entre 140 et 180 Hz. Donc pas de disto dans cette partie du signal. Juste une comp' et un filtre LP, pour ne garder que le low-end, bien clean. D'ailleurs, la photo de mon pedalboard n'est plus vraiment d'actualité car j'ai vendu l'Hyper Luminal depuis et je l'ai remplacé par une Spectracomp de TC Electronic. Pourquoi ? Car cette dernière est multibande, et me permet de travailler chaque plage de fréquences comme je le souhaite. J'ai donc viré tout les mids et highs que je ne veux surtout pas ici, et ça marche très bien. Avec la Darkglass, j'avais une attaque beaucoup trop présente dans le bas médium et cela aurait été un enfer à gérer pour notre soundguy. Pourquoi je dégage tout au-dessus de 180 Hz ? Parce qu'une fois mixé avec la boucle B, je ne veux pas que cela sonne comme la juxtaposition de deux sources sonores différentes. Si vous mixez deux sons "full range", vous entendrez distinctement les deux sons différents (c'est un peu le principe des potards de "blend"), personnellement je trouve que ça ne fonctionne pas bien. En revanche, si vous filtrez une partie du signal clair (ou des deux signaux avec une fréquence dite de "crossover"), le résultat sera bien plus naturel et convaincant. C'est en tout cas mon ressenti. Ensuite, le HX Stomp dans la boucle B, HPF bypassé (full range donc). Là encore, le signal est splitté. Une comp, filtres LPF et HPF, simulation de B7K (réglée assez soft) et simulation de Mesa/Boogie M9 Carbine pour la partie "dängle dängle"; EQ paramétrique avec LPF et HPF, Aguilar Agro et Damnation Audio MBD-2 dans la boucle, simulation du preamp SVT et IR Ownhammer pour le "grind". Le HX Stomp me sert donc de splitter, d'EQ, de compresseur, de simu d'ampli et de HP. En ce qui concerne les pédales de disto, elles ne sont pas indispensables dans la mesure où je pourrais obtenir un résultat très convaincant avec les simus du HX Stomp, mais je les avais déjà en ma possession et j'adore leur grain. Je me sert de l'Agro pour booster la MBD-2 et lui apporter un peu plus de "tranchant". Finalement, je mixe ces deux boucles pour obtenir l'équilibre désiré entre la partie clean et la partie dirt, et je renvoie le tout dans le noise gate, ainsi j'élimine tout les bruits indésirables qu'une telle usine à gaz génère. - Dernier élément : le Torpedo CAB M de Two Notes Audio Engineering. Une nouvelle fois, totalement "too much" pour mon usage mais je ne pourrais pas m'en passer. Je l'utilise comme une DI "deluxe". Les IRs, simu de preamp et poweramp sont bypassés, en revanche l'EQ semi-paramétrique et l'enhancer sont activés. L'EQ me permettra de m'adapter au lieu si besoin, puisqu'elle agit sur l'ensemble du signal, et le coupe-bas est toujours enclenché (50 Hz minimum). Pourquoi je n'utilise pas les IRs du CAB M, puisque c'est l'essence même de la gamme Torpedo ? Car je ne veux pas que mon low-end soit filtré de cette manière, tout simplement. Si je ne l'avais pas eu en ma possession lorsque j'ai commencé à réfléchir à ce pedalboard, j'aurais sans doute opté pour une bête DI, mais au final, même dans cet usage restreint, il est une pièce indispensable à mon son. L'avantage d'avoir tout ce bazar sur mon pedalboard, c'est que si un des éléments tombe en panne, je trouverai facilement une solution de secours avec ce qui fonctionne toujours. Mon système "spare" est donc déjà intégré à mon pédalier, et c'est bien pratique pour les longues tournées. Pour finir, un petit mot sur l'alimentation de tout ce beau monde... La Cioks DC7 est de loin la meilleur alim' que j'ai pu utiliser. Suffisamment mince pour se glisser sous un Pedaltrain, et très pratique à fixer à ce dernier avec l'accessoire Cioks Grip. Aucune ronflette, elle peut alimenter toute sorte de pédales, même les plus gourmandes. J'ai encore pas mal de réserve pour d'autres pédales si besoin. Et elle me permet aussi d'alimenter cette magnifique bande de LED grâce à son port USB... Voilà, j'en ai terminé avec ce long descriptif peut-être pas toujours très clair, mais si ça vous intéresse n'hésitez pas à poser des questions. Et vos avis/critiques/suggestions sont plus que bienvenus (mais bordel, ne me faites pas acheter encore plus de matos, hahaha) ! Quand je me serai équipé en matériel vidéo, j'essaierai de faire un "rig rundown" pour expliquer tout ça de manière plus visuelle, et sonore évidemment.
    3 points
  9. Une vidéo "souvenir de famille" de nos sessions d'enregistrements effectuées en janvier puis octobre (COVID19 oblige...). Je n'ajoute rien, tout est là:
    3 points
  10. Beau boulot les gars ! @Dalmanours Erik t'as toujours l'air très préoccupé dans cette vidéo !
    2 points
  11. Soit on a fait de la merde, soit personne n’a trouvé la fonction « contenu non lu »
    2 points
  12. J'essaie d'apporter quelque chose pour cette main gauche .... Et plutôt que de grandes explications difficiles à décrire avec un clavier d'ordi , j'ai fait une petite vidéo . Chacun en fera ce qu'il veut ! Biscuit ou poubelle , au choix . Travail des doigts - YouTube
    2 points
  13. Chacun est libre de se trouver ses propres excuses
    2 points
  14. Haha, je sais bien. Entre ça et le jazz fusion qui m'évoque fortement de la musique de film de boules des années 80, j'avoue que j'ai du mal.
    2 points
  15. Je pense aussi que le coupe bas, c'est la solution, ça permet de nettoyer le baveux. Quand ça bave, c'est coupe-bas + boost des graves pour récupérer le corps du son. L'idéal c'est d'avoir un fréquence réglable pour ajuster, mais c'est pas toujours possible.
    2 points
  16. Un excellent souvenir de la mienne en tout cas, une basse que je pourrais reprendre un jour !
    2 points
  17. https://www.castorama.fr/essence-a-la-terebenthine-pure-gemme-onyx-1l/3183942732103_CAFR.prd https://www.castorama.fr/huile-de-lin-diall-1l/3454977339132_CAFR.prd Pourquoi aller s'emmerder à acheter hors de prix un produit marketing qui ne fera pas mieux le boulot, en quantité ridicule en plus ? Mélange 70% huile de lin / 30% essence de therebenthine. Avec ces deux litres tu en auras pour plus longtemps que la durée de vie de ta basse...
    2 points
  18. A mon avis, la seule chose liée au "c'est dans la tête", c'est d'apprendre la patience. Pour l'histoire des petites mains, c'est pas un problème, je peux te trouver plein de vidéos de gamins qui arrivent à jouer des basses standard avec des mains d'enfant. Regarde John Patitucci ou Steve Bailey, ils sont tous les 2 assez petits et jouent de la 6 et de la contre sans problème. Pour le reste, le souci, c'est plus qu'on veut travailler sur une basse comme sur une guitare sans penser au fait que la basse c'est trop grand . Il ne faut pas tout travailler en même temps. Si tu veux travailler tes déliés, comme dit au dessus, c'est mieux de commencer au milieu du manche, en commençant entre la 5ème et la 9ème (non pas de Beethov.. ), et si c'est compliqué au début que sur les cordes plus aiguës. Comme exercice, je préfère faire des gammes plutôt que des déliateurs chromatiques qui à mon avis n'apportent pas grand chose. L'autre exercice qui marche bien, c'est faire des liés (hammer-on et pull-offs), plutôt sur la corde aiguë au début. L'idée est de se concentrer sur la fluidité et la décontraction du geste. Si tu veux voir si ton geste est correct, tu peux bosser devant un miroir (à la Steve Vai ) Si tu veux travailler la gamme en première position, le boulot va consister à trouver la bonne position et à étirer gentiment les doigts pour avoir l'extension. C'est important de ne pas s'acharner sur ce type d'exercices, vu que le but est d'acquérir de la souplesse et de la fluidité. A mon avis, ça suffit de travailler ça 5-10 minutes maximum par jour quitte à fractionner l'exercice dès qu'on se crispe, et travailler très régulièrement en augmentant petit à petit la difficulté (remonter vers le haut du manche et vers les grosses cordes)
    2 points
  19. Voilà un souvenir de session de travail autour de ce magnifique morceau de Bill Evans : Time Remembered. J'ai adoré la version de Kurt Rosenwinkel sur son album Angels Around et ça m'a redonné envie de le bosser. Au delà d'être super beau, le morceau est un très bon exercice pour travailler les modes Dorien et Lydien dans tous les sens. J'ai mentionné le mode à utiliser pour chaque accord sur la partition. A télécharger ici pour ceux qui veulent essayer :).
    2 points
  20. arf...je suis pas sur qu'il faille se comparer à lui....à moins que tu sois un fan inconditionnel ! Tu fais tout ce qu'il faut pour progresser apparement, chacun son chemin. Bravo en tout cas...
    2 points
  21. Premier enregistrement dans mon nouvel espace de travail. Aujourd'hui, je tente une version de ce magnifique morceau de Bill Evans (Time Remembered) après avoir adoré la version de Kurt Rosenwinkel sur son nouvel album "Angels Around". J'avais enregistré l'accompagnement sur mon looper puis j'ai joué le reste par dessus :). Je bosse beaucoup comme ça.
    2 points
  22. J'ai un peu les mêmes symptomes, je viens du metal et j'ai commencé à m'immerger dans des trucs plus jazz seulement depuis une dizaine d'années, principalement en découvrant des bassistes interessants via le forum ou ailleurs. Outre Medeski Martin and Woods déjà cité (un lien conceptuel assez fort avec le post rock à mon goût), E.S.T. a été ma premiere grosse claque en trio jazz de forme plus classique. Je suis aussi très très fan de Anthony Jackson et de ce qu'il fait avec Hiromi (pianiste, son trio porte le même nom). J'aime beaucoup aussi ce que fait Avishai Cohen (le contrebassiste), Brad Meldhau ... Je suis très très fan de Prog aussi, et du coup plus sensible aux jazz rock / experimental des 70s: gros fan de Magma, et puis Return to Forever, Mahavishnu Orchestra ... plein de trucs de fusion, Uzeb, Tribal Tech, Alan Holdsworth, Brecker Brothers ... les sons ont souvent mal vieillis mais les compos sont terribles et j'y retrouve les influences qui ressortent chez Dream Theater par exemple. Par contre, je reste assez allergique au jazz "classique", aux walking bass, au bebop / hardbop, je suis modérément sensible à la contrebasse en général (je préfère la basse électrique), je fonctionne beaucoup au coup de coeur finalement, mais j'ai tendance à préférer le moderne et le bizarre, plutot que le très classique et formel. Déformation liée au Prog probablement ;)
    2 points
  23. Super, comme d'hab ! beau boulot, et beaux accords ! Puis l'écriture de Bill .... ça reste le maître ! , ça fait toujours du bien d'en entendre Bravo Thomas ! Top !
    1 point
  24. DB plus chargé dans les bas médiums, un peu comme du hampe modernisé . SL descends plus bas et plus équilibré sur le spectre. Pour un utilisation optimale deus SL112 qui fonctionnent à merveille ensemble pour 2g KG le lot , soit la masse d'un seul DB112.
    1 point
  25. Très belle version , merci pour le partage .
    1 point
  26. J'ai mes 4 cordes montées en Drop C, BEAD ou Drop A depuis des années. Dans la plupart des jeux de cordes 5 cordes, en accordage normal la corde de Si tire pas plus voir moins que la corde de Sol qui va dégager du coup. Faut tordre le coup à cette idée que le manche va prendre cher. J'ai souvent du desserrer le truss en Drop C (CGCF) avec du 120 sur le C. Je confirme qu'il faut par contre idéalement une basse qui a de la définition de part sa conception et son électronique. Et la retaille du sillet mais ça se fait facilement avec une petite lime.
    1 point
  27. Hello, Je sorts de l'écoute du dernier live Night of the deads, legacy of the beats. Putain, ça fait du bien... nostalgie nostalgie. Des morceaux qu'on avait plus entendu depuis Live after death, un Dickinson qui chante mieux que jamais sur certains points, un Nikko complètement déchaîné... bref, j'ai fait un bon de 30 ans en arrière lorsque je prenais ma grosse claque avec le Live after death. Et en même temps, j'ai été pris d'un drôle de sentiment... l'idée qu'il fallait vraiment que je les revois en live... ils commencent quand même à vieillir les Maiden.
    1 point
  28. Salut! Bon je sais pas trop si ça se fait mais comme j'ai repris la basse dernièrement j'ai pas encore de projet à vous montrer là tout de suite mais je voulais partager un projet récent ou je compose et joue du cümbüş, instrument turque qui est en gros un oud-banjo. Le groupe est maintenant un trio mais était en quartet sur l'EP: saz/saxophone/synthés modulaires, cümbüş, batterie électronique, darbuka Vous pouvez écouter ça par là : https://labaz.bandcamp.com/releases et si l'envie vous dit de suivre : https://www.facebook.com/labazband https://www.instagram.com/labaz_band/ Merci et bonne écoute!
    1 point
  29. C'est sûr que ça commence à faire beaucoup d'indice Alors pour ceux qui pourraient éventuellement se trouver un jour dans ma situation voici ma réflexion finale : 1) Fender (déjà eu en version jazz american deluxe + essai divers dont une récente American Professional Precision PJ) c'est pas décevant mais pas ouf non plus, on sait qu'on ne sera pas trop déçu mais ce sont pas des basses que je vais garder très longtemps, pas d'extase quoi ! 2) Finalement quelles sont les basses que j'ai gardé le plus longtemps ? Des basses de luthier et plus précisément une Leduc Masterpiece (plus de 10ans en utilisation intensive pro et loisir) et une DNG Mingo (6/7 ans beaucoup de concerts aussi). Les basses de luthier ont (généralement) le truc en plus, en terme de lutherie, confort, finitions ou son ou tout à la fois que des instruments de série n'ont pas forcement et je sens qu'avec l'Alpine je vais retrouver ces sensations que la Fender ne me procurera sans doute pas. 3) Sans être pro français, pro luthier ou pro je ne sais pas quoi (d'ailleurs je ne suis pro rien) j'ai quand même cette satisfaction de prendre un instrument qui je pense, a été conçu avec passion par des passionnés. Je tiens à dire ici d'ailleurs, qu'à aucun moment, ni par le propriétaire ni par David de chez Alpine (qui est mais vraiment excellent) je n'ai eu le discours comme quoi leur instruments étaient supérieurs par rapport à Fender ou autre, beaucoup d'humilité et de conseils pour m'aider à prendre une décision avec des arguments dans les 2 sens en fonction de mon jeu et de mon répertoire du moment. 4) Un service après vente, la basse repart en atelier pour une révision complète, faite par les concepteurs et je vais donc la récupérer réglée pour mon jeu (le luxe quoi !) Voilà, ce sera donc l'Alpine bâton rouge ! J'avais déjà vu des Alpines circuler et je me rappelle avoir déjà eu des fourmillements dans les yeux. Maintenant je suis impatient de la recevoir pour en avoir aussi dans les oreilles et dans les mains. Ce choix est personnel, peut-être conjoncturel, je ne dénigre pas Fender (ce serait légèrement un peu présomptueux de ma part pour cette si grande entreprise à qui finalement l'on doit beaucoup). Je vous donnerai des nouvelles ici même et certainement aussi des vidéos quand elle sera dans mes mains ! Bon week end à tous et merci encore à tous les participants de ce topic !
    1 point
  30. essaye d'aligner plutôt les 3 autres doigts à ton auriculaire tendu (ou presque). Ca fait partie des exercices deliateurs. Tu peux poser les 4 doigts de la case 5 à 9 pour trouver la position de ta main poignet voire coude, et la distance par rapport au manche pour pouvoir plier les doigts, main alignée à peu près aux frettes. Après, tout est mobile donc rien n'empêche de faire balancer ton poignet en dhors des exercices.
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  31. 24,6kg sur ma balance, mais Gaille a tout dit, avec la poignée c’est vraiment pas compliqué.
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  32. Ma p'tite théorie, c'est que ces années là sont, pour moi, des années de découvertes, en gros j'ai vingt piges, j'achète ma première chaîne avec mes premières payes (une kenwood , 5000 francs à l’époque, avec des leds bleues partout, je la vois encore!) et qu'il y a un côté nostalgique aujourd'hui, on était jeunes on était beaux, on sentait bon le sable chaud, on découvre, on explore, on affine notre oreille, nos goûts, on chine, je passe du temps à la fnac sur les bornes d'écoute. Et puis les premières claques musicales, les trucs qu'on trouve excitant, après ça se calme, on se dit "tiens ça ressemble à ça", et trouver le frisson devient plus compliqué... alors régulièrement on revient en arrière, et on se dit "c'était quand même mieux avant!". Bref, tout doucement on devient des vieux cons
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  33. Aux alentours de 25kg de mémoire. Ca se lève assez facilement d'une main, comme une grosse valise, mais dès que t'as plus de 3m à faire tu déplie le trolley et youplaboum ça roule tout seul (comme une grosse valise... à roulettes )
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  34. Une petite devinette : Quelle est la différence entre une femme et une piscine ?
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  35. C'est parce que je relève un de ses solos en ce moment. Le tempo, le son, le sens du placement, les phrases... C'est génial ce qu'il fait ! Merci pour le bravo Yes je suis accordé E à C sur cette basse. Ca aide pour les accords mais je le fais aussi sur la 4 cordes sans trop de problème. L'attaque mains droite y est pour beaucoup. J'essaye d'avoir le moins de grave possible en crochetant les cordes. Surtout pas de jeux en butée mains droite dans ces cas là. Après le choix des voicings est important. Je joue des accords ouverts le plus souvent.
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  36. Et moi je regarde de loin le dessous de ses pieds !
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  37. Parles en à Hadrien Féraud . J'ai encore du boulot pour lui arriver à la cheville ^^
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  38. (Oubliez de pas mettre vos capuches avant de cliquer play, c’était un dimanche gangsta)
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  39. Et on n'évoque pas Deftones ? Toujours actifs avec un nouvel album sorti cette année. Pour un jeune de 14 ans je trouve que ça se tient bien.
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  40. Pour le commun des mortels le bassiste n'existe pas
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  41. La nouvelle vidéo est arrivée :). Ca démarre en douceur avec un travail sur les triades comme je le fais souvent. Ensuite, c'est construit sur du 5/4 avec quelques surprises et des solos assez énervés. Bref, c'est tout un programme !
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  42. Ce qui, en ce qui concerne les aigus, est moins flagrant sur les Modern 5/24 que sur les JB, à mon sens. Ma Sado est un peu spécial sur ce sujet, puisque je n'ai pas le préamp Sado classique. Je n'ai pas le VTC, ce qui est parfois chiant, mais je m'en accommode, j'ai un switch actif/passif au lieu d'un push pull et une action un peu différente sur les grave aigu. Ceci dit, C'est un préamp typé ( mais lequel ne l'est pas?), il faut le dompter. Sur le sujet des aigus, je trouve qu'il y a bien plus raide : Je pense au préamp 3 EQ de Musicman, ou à certains préamp utilisés par Spector, avec des aigus carrément ingérables. En ce qui concerne l'aspect compressé du son, c'est certain. C'est tout de même assez subtil comparé à pas mal d'autres basses (certaines Warwick, par exemple). @ L'oil : Ca fait de très longues années que je pense comme ça. Je n'aborde pas le sujet sur le forum et ne participe pas à ce genre de conversation en général, car je me dis qu'inévitablement, ça risque de finir en pugilat Gaseurs vs anti GAS. Or, ce n'est pas l'objet. Le sujet qui me concerne, et nous sommes totalement sur la même longueur d'onde toi, moi et certainement quelques autres, c'est la musique. Pour moi, afin de faire de la musique, il faut déjà commencer par arrêter de faire le focus sur l'objet. D'où la nécessité d'une construction de relation affective avec ton ou tes instrus, totalement détachée des détails de largeur de de sillet ou de manche en D ou en C. Je grossis le trait, mais le fait de se poser des tonnes de questions sur le matos en permanence, ça me fait penser aux audiophiles qui écoutent leur chaine hi-fi au lieu d'écouter de la musique.
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  43. Ca, je n'en sais rien. Ce que je sais, puisque tu as l'air versé dans la philosophie, c'est que c'est bien d'arrêter de chercher, l'absolu n'étant pas de ce monde. Je ne veux pas écrire un pamphlet anti-gas, mais je pense que lorsqu'on veux faire de la musique, il n'est jamais bon de focaliser sur l'instrument. Il faut savoir arrêter ses recherches, accepter qu'une basse (et le matos qui va avec, plus généralement) ne pourra pas tout faire. Je pense qu'il y a des basses qui ont la capacité de nous faire dire "stop" face à cette recherche incessante du matos parfait, pour peu qu'on se donne la peine de faire le focus sur la musique et non sur l'instrument. Pour le peu que j'en sache, la plupart du temps on justifie le Gas par la curiosité, la recherche,… Finalement, ce que j'en ai remarqué, c'est que beaucoup de de Gaseurs que je connais sont insatisfaits de leur créativité, de leur niveau de jeu, du fait qu'ils n'arrivent pas à mettre en musique ce qu'ils entendent en pensée. Pour ça, le GAS est un remède comme un autre. Par contre, dès lors qu'on souhaite stopper ses doutes et rassembler ces forces en un seul point, centré uniquement sur la musique, il est essentiel de se détacher de la dépendance au matos. Les basses de Roger Sadowsky, comme celle de beaucoup d'autres marques ou luthiers, sont un excellents moyen d'atteindre ce but. Parce qu'elles sont polyvalentes, légères,qu'elles sonnent et que, si on se donne un peu de peine, elles racontent à merveille toutes les histoires qu'on souhaite leur faire dire. Ca ne m'empêche pas d'avoir envie d'autres basses : La différence, c'est que, autre basse ou pas, qui sonnera différemment ou pas dans telle ou telle circonstance, je peux m'en passer aisément afin de me concentrer sur ce que je veux vraiment, c'est à dire faire de la musique. Merci qui? Merci Sadowsky!
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