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Salut, Je vous livre le contenu d’un article paru dans le dernier numéro de la lettre du musicien à ce sujet (n° 577, page 58) : « L’ERREUR, C’EST D’ATTRIBUER UNE SONORITÉ À UNE ESSENCE DE BOIS » propos recueillis par Éloïse Duval Romain Viala, chercheur en mécanique à l’Institut technologique européen des métiers de la musique, tente de déconstruire les préjugés qui consistent à réduire la sonorité d’un instrument au bois dans lequel il est taillé. Pernambouc, ébène, grenadille ou palissandre : ces arbres qui poussent au cœur des forêts tropicales du Brésil et des savanes boisées de l’Afrique australe font, depuis quelques années, couler beaucoup d’encre. En cause : dans un contexte de raréfaction des ressources et de pression sur les écosystèmes, ces essences dans lesquelles sont taillés tout ou partie de nos instruments de musique sont de plus en plus rares, et leur commerce de plus en plus restreint par la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction (Cites). Et si une partie du monde de la lutherie a déjà commencé à s’emparer de ces questions, en préférant aux essences tropicales traditionnellement employées dans la facture instrumentale des alternatives plus locales ou en se tournant vers des matériaux composites, les préjugés sur le rôle du bois dans la sonorité finale de l’instrument ont la peau dure. Ainsi, à l’ombre de son laboratoire, Romain Viala, chercheur en mécanique à l’Institut technologique européen des métiers de la musique (ITEMM), s’emploie à déconstruire ces a priori en se concentrant sur les caractéristiques mécaniques de la matière. La nature du bois joue-t-elle vraiment un rôle de premier plan dans la qualité sonore de l’instrument ? Romain Viala : L’erreur fondamentale est d’attribuer une sonorité à une essence de bois. Pour renverser ce préjugé-là, encore bien ancré dans l’esprit des musiciens et des luthiers, ma façon de procéder est celle de la recherche, en particulier en mécanique. Car si l’on veut vraiment comprendre la sonorité des instruments de musique, il faut s’attacher aux éléments qui agissent sur le son de l’instrument. Par exemple, sur les instruments à cordes, ce qui agit en tout premier lieu sur le son, ce sont les cordes. Comment et par quoi elles sont pincées, frottées ou frappées, ce sur quoi elles sont appuyées – à ce titre, la caisse de résonance, la table d’harmonie, l’assemblage vont jouer un rôle important. Viennent ensuite les caractéristiques des constituants, la forme de la table, son épaisseur, avec le cas des barrages pour la guitare, ou la voûte pour le violon qui ont une grande influence. Et seulement à la toute fin de cette chaîne, viennent les caractéristiques du bois dans lequel est taillé l’instrument. Le bois a donc une influence assez faible sur les mécanismes de production du son, et pourtant, dans l’imaginaire collectif, beaucoup sont encore persuadés que le bois arrive en premier. La nature du bois n’est pas non plus sans influence sur le son ? Bien sûr ! Même si le bois arrive tout au bout de la chaîne de production du son, il a quand même un rôle. Je questionne les préjugés qui consistent à faire dire à un luthier ou à un musicien, par exemple, qu’il préfère le palissandre car c’est le bois qui donne le bon son. Le tout sans preuve à l’appui – j’entends par preuve une expérience qui montrerait cela de façon significative, suivant les critères actuels de scientificité. Or, pour déconstruire ce préjugé-là, je prends le chemin à rebours depuis l’anatomie du bois, en m’attachant à ses propriétés mécaniques : sa densité, sa rigidité suivant sa direction, sa dureté et son amortissement. Ceci sur un grand nombre d’échantillons de bois. Et les résultats vont vous étonner : là j’ai sous mes yeux deux morceaux de même taille, issus d’un même frêne qui ne sonnent pas du tout à la même hauteur, ou encore un morceau d’érable attaqué par les champignons et un morceau de chêne qu’on ne saurait différencier à l’oreille. En revanche, je peux comprendre qu’un luthier préfère travailler un bois plutôt qu’un autre pour des raisons de stabilité par exemple, comme la grenadille pour les hautbois et les clarinettes, ou parce qu’un bois est plus droit, plus régulier et sans nœud, et ne menace pas de se briser à tout instant en le travaillant sous la tension des cordes. Il y a de nombreuses raisons de choisir des bois plutôt que d’autres, mais souvent, elles ne sont pas aussi « sonores » que l’on voudrait le croire. Pourquoi est-il important de changer de regard sur le rôle du bois dans l’acoustique ? Nous avons été habitués à avoir de la matière sur mesure, or maintenant qu’elle se raréfie, il faut changer de paradigme. À l’ITEMM, on tente de proposer des matières ayant des propriétés similaires à certains bois pour pouvoir s’en passer. On commence par proposer des alternatives locales, puis des matériaux composites, et enfin des bois stabilisés par injections si on doit atteindre des.propriétés vraiment uniques. Mais surtout, doit-on continuer, pour des raisons acoustiques peu voire pas prouvées, à exploiter coûte que coûte des espèces en danger ?

La méthode scientifique (pour utiliser un mot qui existe) ça consiste à tout mettre en doute, étudier sans idée préconçue en faisant son possible pour s'affranchir de tout biais, chercher par tous les moyens possibles à réfuter ses propres hypothèses, puis faire reproduire et confirmer les éventuels résultats par un maximum de pairs en l'absence de tout conflit d'intéret, et quand enfin la démonstration est telle qu'on ne peut plus raisonablement douter, alors on peut se permettre d'affirmer qu'on a probablement raison. Quand on voit ce que l'absence d'une telle rigueur a produit ses dernières années... il serait peut-être temps d'y revenir 😉

Pour clore définitivement le sujet : les essences de bois, dans les instruments à corps plein, a autant d'influence sur le son que le pied qui tient le micro de la chanteuse. Merci, au revoir.

Ce qui est sûr: La société Joyo appartient en fait a un gars dont la femme possède Mooer. Les 2 boites sont à Shenzen. Certains employés sont partis de chez Mooer pour aller s'installer à Hunan et lancer Hotone. D'autres ont lancé leurs boites de clones. Souvent c'est comme ça qu'on se lance, en faisant des clones, c'est vrai aussi pour d'autres à travers le monde, et puis on finit par se tourner vers des produits plus intéressants (ou pas d'ailleurs!). Le modèle Joyo: une boite pas en Chine (grossiste) achète directement chez Joyo (pas d'intermediaire) des milliers voir des dizaines de milliers d'unités (garde les coûts très bas) sur lesquelles des modifications cosmétiques sont appliquées (exemple: Thomann avec ses joyo maquillées en Harley Benton) Joyo vendent directement sur des plateformes e-commerces (exemple: amazon marketplace, eBay) à l'unité. Le coút est bas, ça passe sous le radar, etc. Le modèle Mooer: Mooer adopte un modèle différent et veut arriver en magasin, en passant par des distributeurs. Ils veulent commencer avec des clones mais passer à des choses plus uniques comme l'Ocean Machine, ou les multi-effets GE200. Toujours est-il que dans le modèle choisi, les palettes de pédales doivent être importées, les distributeurs en prennent des centaines max et pas des milliers (donc les coûts ne sont pas si bas que ça) et ils vont vouloir marger et vont aussi avoir des frais (marketing, logistique, stockage, etc.), et le magasin va aussi marger et il faut aussi prendre en compte la TVA, etc. Du coup, le prix ne peut pas être aussi bas que dans un modèle a la Joyo. Ce qui est moins sûr (parce qu'il y a beaucoup de flou): Certains pensent qu'un des mecs qui dessinaient les circuits chez Mooer est parti lancer Donner, mais je n'y crois pas, la réalité semble beaucoup plus simple. Mooer c'est un grossiste en matos de musique qui se lance en 2012 à Hong Kong. ils lancent d'abord des grattes. A Hong Kong, le but ultime n'est pas de sortir la prochaine innovation pedalesque, c'est de faire plein de tunes. On sait peu de chose de cette boite si ce n'est qu'elle a tout appris du modèle Joyo en n'utilisant qu'Amazon pendant des années et qu'elle semble utiliser les night shift de chez Mooer (c'est quand on utilise l'usine en dehors des heures normales pour fabriquer des produits analogues à ceux fait le jour mais pour un autre marché ou pour le même marché mais avec modifications minimales pour ne pas ralentir la production). Evidemment si on peut le faire pour un... On peut aussi le faire pour d'autres (Rowin, Ammon, Eno, Amuzik, etc.) du coup, c'est des Mooer avec un modèle Joyo donc moins cher que des Mooer oui. Même chose pour Amazon Basics qui se sert du night shift chez Nux (la série minicore) et qui vend(ait) sur Amazon bien sûr. La pratique est assez courante en fait, mais jusqu'en 2010-11 on ne la voyait pas beaucoup dans les pédales.

Tu m'ont tué, stp. 😉

Oui un cadeau de ma sœur. c’est fou de ne pas connaître son petit frère à ce point là 😄😆 Non mais elle sonne super, la basse pas ma sœur 🙂

Il n’y a pas d’explication logique… La Stingray c’est un fantasme et quand ils l’ont sorti, j’ai réussi à en choper trois (sur 100) pour le magasin. Celle ci était la meilleure des trois, à mon goût. Une replica 76’ avec un feeling et un son d’enfer. Une bombe !! Je ne pourrais avoir que celle ci que je serais déjà aux anges. C’était le but de l’investissement. Et puis la Pino est tout récemment arrivée au magasin, après plus de 18 mois d’attente. Elle a un feeling à tomber à la renverse. Je la branche et je peux tout jouer. Légère, déjà déglingué, parfaite. Je n’ai pas pu résister. La Squier, c’est ma «basse de guerre», celle que je n’ai pas peur d’emmener partout, en vacances, aux anniv’, en répète. Elle sonne trop bien, donc aucun intérêt de la vendre pour en récupérer des clopinettes. Si j’étais rationnel, je ne garderais que cette basse, qui peut tout faire. Mais je ne le suis pas encore suffisamment. Du coup, comme je ne voulais pas tomber dans la «collectionnite», c’est la Nog et l’Alpine qui sont passés à la trappe. De super basses qui m’ont apporté beaucoup de plaisir. Je sais qu’elles sont et vont être entre de bonnes mains. L’idéal pour moi serait de n’avoir qu’une basse pour ne pas avoir à me demander laquelle prendre.

J'ai acheté d'occas un Flanger Donner "Jet Convolution". Je l'ai testé, beaucoup apprécié, puis grillé car j'utilisais une alim 18V et non 9V. Du coup, j'ai démonté, et le circuit imprimé indique "eleclady"... c'est a dire le même nom que le flanger de Mooer. A priori ce sont donc exactement les deux mêmes flanger, sauf que Donner est deux fois moins cher que Mooer. J'ai ensuite commandé un autre flanger similaire de marque Amuzik Et comme on pouvait s'y attendre c'est a nouveau exactement le même circuit imprimé, avec les mêmes composants et même sources de composants qui sont utilisés. Du coup, pour toutes les pédales de même fonction, de même format, avec les mêmes contrôles placés au même endroit, j'ai tendance a penser que seule la déco (et le prix) change...

Intéressant. J’ai lu quelque part que Léo Fender avait choisi l’aulne pour ses guitares non pas pour ses propriétés acoustiques mais parce que c’était un bois largement disponible, pas trop cher et qui correspondait à sa logique industrielle.

Je l ai vu à l'hexagone de Meylan, avec Bireli .... qui a oublié de venir, donc S.Luc avait improvisé le concert seul ...

"La forme c'est le fond qui remonte à la surface." Hugo. (Voilà, ça fait lettré, j'aime bien m'la raconter un peu)

Monstrueuse !! Avé le bout de mousse sous les cordes et roule !! Tu la caresses et elle t’explose à la figure. Tout comme la Stingray 76’, la Pino est un fantasme devenu réalité.

Hello la horde !! Certains d'entre vous, qui me suivent plus ou moins, se sont demandé pourquoi je me suis récemment séparé de ma Noguera Jazz Bass et de mon Alpine Precision qui m'accompagnent depuis plusieurs années, et surtout avec quoi je joue maintenant. Il se trouve que j'ai eu envie de changement et j'ai jeté mon dévolu sur trois basses. Pour ceux et celles que ça intéresse, j'ai réalisé trois vidéos de présentation. Toujours le même procédé: Vidéos réalisées à la maison, dans mon canapé. Les trois sont fraîches de ce matin. La basse est branchée en Wireless dans une enceinte active Bose S1 Pro + dans laquelle passe un Play-Back YouTube. L'enregistrement audio et vidéo est fait avec une caméra Zoom Q2n dont j'utilise le micro externe. Ensuite, il y a léger traitement sonore sur "Handy Share" (Mastering "Maximise" et Stéréo "Wide") puis un filtre d'image sur I-movie. Voilà, c'est tout. Spécial dédicace à @BASS13013 J'ai fais péter la chemise noire pour l'occasion. 😅 A écouter au casque ou sur une enceinte, ça ne rends vraiment pas terrible sur un téléphone. - On commence avec une Music Man BFR Nitro Stingray Retro 76' sur un Play-Back de Michel Berger. https://drive.google.com/file/d/1SckW86Xc7QDu_FaIhb6cwbJYR8LcJ4AC/view?usp=drive_link - On continue avec une Fender Pino Palladino Signature Precision Bass sur un Play-Back de Meshell Ndégéocello. https://drive.google.com/file/d/1bY4uu7VQ8ZpIyW2bp8pbmgHMHcxk0HDS/view?usp=drive_link - On termine avec une Squier Affinity Jazz Bass modifiée avec des micros EMG-X et un chevalet Fender Vintage sur un Play-Back de The Police. https://drive.google.com/file/d/1_Pn_rcDGRQ7ilyI966UPtXhHqXRCOu8N/view?usp=drive_link

En tout cas pour sceller l'amitié chez les Frémen, rien n'est mieux que de prendre un ver.

Spoiler alert : Oui le bois influence sur le son. Spoiler alter bis : c'est le bois de la basse, et ça peut être corrélé à son essence ou pas (ce qui a été dit plus haut) Spoiler alter ter : ça influence, mais quid de sa contribution au final? Rien? Beaucoup? Pas? Enormément de facteur y contribuent (passer de flat à round par exemple). Enfin tout ça pour dire que on peut généraliser en disant que le bois influence, mais c'est mieux de dire que c'est une contribution parmi tant d'autre : cordes, électronique, micro, hardware, type de jonction corps manche, corps creux ou pas etc etc etc. Parce que la propagation d'une vibration dans un milieu et TRES complexe. Par contre en combinant certains facteurs, on peut très bien avoir une "idée" de comment ça "pourrait" sonner. Avec toutes ces précautions d'usage.

Quand je pense à toutes les basses que j'ai chipoté à me payer parce que 2000 était une limite et qui valent le triple maintenant...

Tous les sujets peuvent être clivants quand tu as un avis suite à une trentaine d'années de pratique, à monter quelques basses, tester des trucs, etc., et que quelqu'un arrive en te disant juste "c'est moi qui ai raison: ta gueule". Après là où tu as raison c'est que c'est idiot de se crisper là-dessus, et qu'il vaudrait mieux ne pas relever.

J'ai lu une BD qui considérait le fait d'attaquer l'orthographe au lieu du fond comme étant une forme de domination sociale. Empêchant tout dialogue entre 'dominant et dominé', sur la base d'un orthographe non maîtrisé , alors que le fond est complètement compréhensible. Depuis la bave du crapo n'atteing plus la blenche colombe que je sui 😁

A 60 balais, il serait temps.😄 Petite parenthèse sur ton super topic . Cette précision est une Ibanez Roadster de 1982 . Ma sœur jouait à l’époque dans un groupe punk et du coup , elle s’était mise à la basse . Elle a joué deux ou trois ans pas plus mais elle l’a toujours gardé. Je la jouais à chaque fois que j’allais passer des vacances chez elle . Elle vient de déménager dans un endroit plus petit et donc elle m’a offert cette basse l’année dernière. C’est une grande valeur sentimentale pour moi et je suis super content de la sortir de temps en temps . Voilà , fin de parenthèse.

Entre autres, Beaucoup de jazz bass mais plus ou moins évident autour du C#/D sur la corde de sol, parfois le Bb corde de Mi et d’autres… Personnellement j’en ai croisé quelques unes et pas que des JB.

Pour moi, c’est la lutherie. En même temps, j’ai toujours entendu parler de ces dead notes mais je n’ai jamais eue d’instrument présentant ce défaut. C’est si répandu que ça?

Rien à voir, mais... Ça joue :

Le Meilleur a tout dit… ‘Biz JL

Ahh bahhh, on comprend mieux ! Je ne suis pas trop Précisioniste mais franchement 🤩 La Pino à l’air terrible ❤️.

"La position de la phase est tjs respectée, même sur ce genre de triplette." Faux Manu , les "cablages "(ce sont des barettes laiton) sont face à face ; la phase d'un coté du bloc est le neutre de l'autre coté, ça m'a joué bien des tours sur ma platine vinyle et sur mon ordi ; Tous à vos multimetres !

La Cort est largement détrônée dans le registre slap, je ne pensais pas à ce point vu la position de micros de la nouvelle GMR ( un peu plus de 0,5 cm plus prés du manche pour les deux) . Les Delano sonnent familiers, peut être à force de bouffer des vidéos de démo youtube ahah La finition est exemplaire, c'est le niveau au dessus de tout ce que j'ai eu , des autres GMR notamment par l'effet gloss qui sublime bien le tout tel un diamant, brillant et très solide , je préfère au touché les finitions huilées mais c'est trop fragile et pas top pour la poussière. La manche padouk est vraiment très agréable, tout doux comme j'aime, définitivement mon bois de manche préférée. Je lui avais demandé un frêne relativement lourd mais je crois qu'il a relativement compris le relativement c'est assez lourd mais rien de surprenant pour moi. Seul point négatif, l'absence de compartiment rapide pour la pile Le micro chevalet est carrément bien exploitable seul, il grogne bien sans être Jaco (aaaah mais il m'insupporte ce son de canard) par contre le micro manche en parallèle j'suis pas fan, c'était prévu , c'est PB ou rien pour moi le micro manche. Le pao fero donne ce "zing" irrésistible au slap et frises , renforcé par les aigues du branchement parallèle. Le A0 sonne très bien (tirant 125) Je mettrai des tofs

La touche je suis sensible personnellement, très (trop) détaillé et froid , à part pour la fretless qui de part l'absence des bruits de frettes arrondi tout le timbre . Sinon c'est quand même de peu significatif à anecdotique, mais pour le corps j'aime bien y croire , je pense surtout qu'il renforce ou inhibe des caractéristiques de la touche , pour cette raison que les combos frêne érable et aulne palissandre soient si populaires . Mais bon, dans une sono avec des gros 21 pouces va entendre le grain de ton Azfélia ou Bubinga ahah , si on entend distinctement les notes c'est déjà énorme x)

Le son d'un instrument c'est une addition d'ingrédients (bois, micros, musicien, cordes, type de cordes, ampli, type d'ampli, réglage de l'ampli, hauteur des cordes, place de l'ampli dans la piece, humeur du musicien, âge et culture du musicien, type de jeu...) qui donneront à chaque fois un résultat différent meme si vous prenez les mêmes ingrédients. Comme on peut rien mesurer... faites comme moi : foutez vous en ! Ya les basses qui plaisent, et d'autre pas 😉 (je choisis mes bois parce qu'ils sont jolis)

Oui c'est pénible vraiment. Faut laisser les instruments aux musiciens. On a pas besoin de tous ces merdeux.

Putain suis vert. Tellement novateur ! Un grand vide...

Ouais bon, le truc c'est que j'attaque un propos totalement péremptoire (pas le tien, qui ne faisait que suivre l'autre, et que j'ai commenté dans la foulée) avec en plus une énorme faute d'orthographe dedans, donc en fait si tu me lis bien entre les lignes, l'orthographe, ce n'est pas ce qui m'importe réellement, ici comme ailleurs, je ne m'arrête pas à ça, mais le côté "j'ai parlé, ta gueule", oui. Là je dis ben "parle ta gueule" (à des gens qui ont quand même un peu d'expérience) au moins sans faute d'accord élémentaire.

ça arrive, et c'est lié aux propriétés physiques de l'instrument, lorsqu'une fréquence particulière ne ressort pas, bien sûr.

Bon, et si on rentrait dans le vif du sujet - vous ne trouvez pas que la différence entre PB et JB, c'est surfait?

Annonce supprimée

L'acoustique de la pièce ? Dans mon bureau c'est les la dièse, mais ca le fait pas en extérieur... Après c'est peut-être l'aulne qui s'exprime mieux au grand air 😜

Salut de retour à la vente cette stingray classic de 2011 Elle fait 4,3kg Très bon état à part le poc sur la tête Pour le prix 1900€ frais de port inclus Merci

J'ai toujours eu (et j'ai toujours) l'impression que le son d'une guitare basse électrique provient des cordes, des micros et de l'ampli, que c'est la combinaison de ces trois choses qui fait le son, mais surtout les cordes, les micros et l'ampli viennent en second.

Oui, l'effort est louable mais bien que ça semble se présenter comme un genre de synthèse, ça ne fait que reprendre des trucs à doite à gauche, sans aucun étayage. Qui plus est, il y a pas mal d'erreurs, d'approximations et même de contradictions d'un paragraphe à l'autre.

Pour le plaisir des yeux, mes ex Smith White Tiger & Black Tiger 🐯

J'en pense que les batteurs ont bon dos. C'est surtout les gratteux qu'il faut calmer et en plus ils se vexent quand on leur dit de se baisser.

Après avoir vu le film Blue Giant samedi (musique composée par Hiromi) j'ai commencé à écouter ce nouvel album. C'est frais, groovy, les compos sont classes. Je suis raccord avec ce qui a déjà été dit, on retrouve l'esprit de spiral que j'avais adoré. Feraud est très reconnaissable, le duo bass/batt est terrible.

Vous allez pas tous vous y mettre ??? 🥳

Non, moi je comprends qu'elle a été upgradée de 5 euros ?

Dans le titre y a écrit 5 Euro. C'est tentant à ce prix !!!🤪

Deux copines discutent. L'une a plusieurs dents cassées : " Qu'est-ce qu'il t'est arrivé ? Tu es tombée ? - Non, mais Jérôme est en déplacement cette semaine, alors j'ai pris mon vibromasseur et j'ai fait tout ce qu'on fait d'habitude ensemble."