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Showing content with the highest reputation on 11/09/23 in all areas

  1. Ca s'appelle un orchestre du carnaval de Dunkerque ça non ?
    6 points
  2. 2 Tonalité (ou tonalité stéréo), 2 Volumes dépendants Nous arrivons au câblage qui a ma préférence, car le plus stable. Chaque micro possède sa tonalité. Les volumes sont dépendants, pour un meilleur contrôle du volume. On a donc aussi un sélecteur de micro. Personnellement, je n’aime pas avoir deux contrôles de tonalité séparés. Il y a des interactions peu souhaitables lorsque l’un est haut et l’autre bas et que le sélecteur de micros est en position centrale. Je trouve plus intuitif d’avoir un potentiomètre de tonalité stéréo. En gros, c’est deux potentiomètres empilés qui ont un axe commun, si bien qu’ils ont toujours la même valeur. Je ne montrerai donc que le cas où les deux tonalités ont la même valeur. Comme c’est beau. Comme c’est stable. Les volumes réduisent le volume. La tonalité réduit les aiguës. Quelle que soit la position des uns et des autres. Reste le problème de la perte d’aiguës quand un volume est haut et l’autre bas, mais le switch est là pour ça. Conclusion générale Si vous m’avez lu jusqu’au bout, bravo. Je sais manquer parfois de clarté dans mes explications. Ce qu’il faut retenir en gros c’est : Le câblage 50s de la tonalité modifie profondément son comportement. Certains peuvent aimer. Je trouve personnellement cela peu exploitable et n’apportant pas grand-chose comparé aux contraintes qu’il implique. Des volumes indépendants peuvent avoir leurs avantages. Pas besoin de switch. Néanmoins, il est quasiment impensable de se passer d’un master volume dans cette configuration. Quitte à utiliser celui de l’ampli. Les volumes dépendants sont à ce titre bien plus souples s’il est possible d’y adjoindre un switch. Un potentiomètre stéréo pour la tonalité est une astuce qui mérite d’être envisagée. Cela permet un fonctionnement stable de la tonalité. Il vaut mieux le transformer en no-load cependant, ou alors mettre des condensateurs de 22nF au lieu de 47nF. Car deux tones en parallèle se retrouvent dans le circuit quand les deux micros sont ensemble. Pour terminer, un mot sur la balance. Je n’ai pas voulu aborder ce point, car le post est déjà bien lourd. Peut-être que j’en parlerai une autre fois, avec d’autres graphiques illisibles. Pour faire court, il faut savoir qu’il est difficile de mélanger deux micros sur un circuit passif quand l’un des deux est à fond. Le volume du micro qui n’est pas à fond agit alors un peu comme un interrupteur on/off. Mélanger efficacement les micros ne peut se faire que lorsque aucun des deux n’est à fond. Vous voyez venir le problème ? Les câblages 2 volumes 1 master tone nécessitent d’avoir un volume à fond pour que le tone agisse normalement. Donc soit vous pouvez mélanger, soit vous avez une tonalité qui se comporte bien, mais pas les deux. Pareil pour le câblage balance, tonalité, volume dans lequel on a toujours un micro à fond. Encore une fois, le dernier câblage (tone stereo, 2 volumes) résout le problème, car on n'est pas obligé d'avoir le volume à fond sur un micro pour que la tonalité garde le même comportement. Voilà, fin du supplice. J'espère que ce post pourra être utile à certains s'interrogeant sur leur choix de câblage.
    6 points
  3. Et la cerise sur le McDo, c'est de répondre à une annonce sur Zikinf (j'avais encore la flamme...) pour un groupe de "Prog Symphonique", me faire ajouter à un groupe de discussion Messenger et me rendre compte que je discute avec des gens qui sont tout juste sorti du lycée et que le son de la démo ressemble surtout à du Cannibal Corpse mixé avec du Anal Cunt, le tout en très mal joué. "Mais si c'est du prog, y'a un arpège en clean avec du delay à la fin", ah. J'ai rien contre eux ou leur musique mais je me suis dit "p*****, ça va repartir en plan très galère ça". Ca m'a achevé je pense 😶
    5 points
  4. Pour moi la Sterling pour l'instant c'est dans mes rêves ! (quoi comment ça ça fait pas de son ? Pourtant je l'entends vachement bien moi... )
    5 points
  5. Je ne dis rien sur le prix, mais si vous avez une maison à démolir voire un immeuble, c'est pas si cher... https://www.leboncoin.fr/instruments_de_musique/1898688717.htm
    4 points
  6. Ah moi j'ai une solution sans application spécifique. Comme navigateur internet, sur téléphone ou pc, j'utilise Brave depuis un bon moment, qui est basé sur Chrome, mais développé pour protéger la vie privée (blocage sélectif de tous les trucs du style pisteurs, pubs et cookies non essentiels) Et j'ai remarqué que si je vais sur youtube (le site) avec ce navigateur, je n'ai jamais de publicités :-) Sur le téléphone, pour empêcher l'application youtube d'intercepter les liens youtube, il suffit de désinstaller l'appli ou si ce n'est pas possible, de la désactiver dans les paramètres des applications (ce que j'ai fait) Et comme la version mobile de youtube sur navigateur est aussi parfaite que l'application, je n'ai jamais ressenti le besoin de réactiver l'application. Et évidemment, sur le site youtube (comme sur le pc), je suis identifié avec mon compte, donc j'ai accès à tout mon historique, mes favoris, mes playlists, etc. Et cerise sur le gâteau, la lecture continue quand l'écran est éteint ou quand le navigateur passe en arrière plan. Que du bonheur :-)
    4 points
  7. Un groupe de punks, mais en big band pour pas non plus trop tout chambouler les habitudes d'un coup.
    4 points
  8. 4 points
  9. Pour avoir remplacé comme un grand le sillet de ma Warwick Proline 6 qui était cassé depuis des années (la vieille version avec les petits ergots qui cassent sur les cotés). Même pas 10 minutes de boulot... j'aurai pu le faire plus tôt. 😅
    4 points
  10. à tel point que dès que j'ai fini de payer la fretless (eh oui, payée en 4 X, chui grave à la rue en ce moment !!) je m'en commande une OW en 12 X !!
    3 points
  11. Salut à tous, ayant passé beaucoup (trop) de temps à m’interroger sur les différents types de câblage possible de mes basses passives, en analysant tout ça sous l’angle du comportement électronique du circuit, il me semblait intéressant de partager tout ça avec vous. Le but principal de ce post est de regarder en détail le comportement du bouton de tonalité suivant différents types de câblage. Le problème, c’est que dans un circuit passif, tout interagit avec tout, du coup… finalement, il sera aussi question de volume (aïe aïe aïe, ça va faire des gros graphiques). Différents câblages de la tonalité On peut lire pas mal de choses sur les différentes manières de câbler une tonalité. Vous avez certainement déjà entendu parler de câblage années 50 s, type Les Paul, mais que l’on retrouve aussi sur les fender jazz bass modernes. En gros, dès qu’il y a plus d’un volume et une seule tonalité (un master tone), c’est ce qu’on trouvera généralement. Pour faire simple, la tonalité est branchée en parallèle avec la sortie (avec le jack ou la sortie du volume). On dit ce câblage plus doux, « typé », le son magique vintage ! Nous verrons pourquoi il faudrait plutôt lire : in-intuitif et quasi inexploitable, mais je m’avance :). On parle aussi de câblage moderne, du type que l’on trouve sur la plupart des guitares fender avec un seul volume, mais également sur les basses câblées en Balance linéaire → Tonalité → Volume. En gros, c’est ce qu’on trouve dès qu’il y a un master volume, car il est alors possible de brancher la tonalité directement en parallèle avec le micro (dans le cas d’une balance, l’un des micros est toujours à fond, donc la tonalité est bel et bien directement en parallèle avec l’un des micros). Pour illustrer tout ça, nous allons voir la réponse en fréquence de trois types de câblage : Câblage 2 Volumes indépendants, 1 tonalité : c’est le câblage standard des fender jazz bass. La tonalité est branchée sur la sortie. Le câblage balence -> tone -> volume est un cas particulier de ce câblage. Câblage 2 Volumes dépendants, 1 tonalité : même chose que le premier câblage, mais les volumes sont dépendants (quand le volume de l’un est sur 0, on a plus de son). On a donc besoin d’un sélecteur de micro après les volumes. Câblage 2 tonalités (ou 1 tonalité stéréo), 2 volumes dépendants : Personnellement, mon câblage de prédilection. Les tonalités sont directement en parallèle de leur micro respectif. Comme les volumes sont dépendants, on ajoute un switch. Chaque câblage aura son post séparé, sinon ça fait beaucoup :). Valeurs des composants Je vous fais l’économie du schéma des circuits. Mais en gros, on aura à chaque fois les valeurs suivantes : Les micros sont modélisés comme des générateurs de tension qui génère un bruit blanc. Leurs caractéristiques sont celles de mes micros (des humbucker Crel) : impédance Rm = 13 k ohm Inductance L = 6,4 H Capacitance de fuite Cm = 120 pF Les potentiomètres de volume sont des B500K (donc des linéaires). Les potentiomètres de tonalité sont des A500K (donc des log), no-load ( quand ils sont à fond, c’est comme s’ils avaient une résistance infinie). Les condensateurs des tonalités sont des 47nF L’impédance d’entrée de l’ampli sur lequel le circuit est branché est de 4,7 M ohm Le câble jack fait 3m avec une capacitance de 88pF par mètre. Ouf, voilà, c'est parti. Je vous passe les calculs, mais répondrai à toutes questions.
    2 points
  12. Sauf qu'à moins de trouver un pigeon de compète, elle ne partira pas à ce prix.
    2 points
  13. Interview super lnstructive de Fabien Galthié dans l'Équipe de ce jour. Un modèle d'humilité et de clairvoyance.
    2 points
  14. C'est aussi ce que j'ai toujours lu sur le net d'après les interviews: le préamp dans la vraie basse Fender des 70s de Marcus MIller est un Bartolini (a l'époque y'avait pas foule de préamp after market) qui a été monté par Sadowsky ( qui était luthier) mais qui n'est pas le préamp conçu et réalisé par Roger Sadowsky (qui est sorti bien après, quand Sadowsky a commencé à sortir ses premiers modèles custom). On peut imaginer bien sur que le feedback de Macus Miller a ensuite nourri la réflexion de Sadowsky lui-même. Mais c'est intéressant de noter cette histoire de cut dans les mediums même à zéro sur le préamp Barto, pour le profil d'un super slappeur sur une JB 70s probablement gavé de hauts mediums dans sa version passive. Et d'autre part, Roger Sadowsky n'étant pas électronicien, le premier Préamp Sadowsky aurait été conçu en partenariat avec un électronicien du nom de Alex Aguilar, qui ensuite a fondé sa boite et sorti un certain nombre de bidules dont un préamp OBP-1 deux bandes en boost only, lui aussi sans tonalité, qui n'est pas sans rappeler le préamp Sadowsky. Et qui par contre si je me rappelle bien des specs, est censé être neutre quand les boost sont à zéro.
    2 points
  15. En Big Band, tout est écrit, pas trop possible de faire le con sans plomber une quinzaine de collègues
    2 points
  16. je suis la chaine PDBass en ce moment et je suis également ses conseils d'écoute. Donc "sugar" de stanley Turrentine. Nan mais cette pochette?! Un homme de goût
    2 points
  17. De mémoire non, c'est un preamp barto que Roger Sadowsky lui a installé. Mais je peux me tromper.
    2 points
  18. Bonjour, Après un long moment de réflexion, d'essais à m'y remettre, de prise de cours... Finalement je me décide à mettre cette magnifique Supra en vente. Description: Construction manche vissé Corps en acajou Reliure simple Wengé Table en buckeye burl Manche wengé + érable Touche en ébène ‘Clef de fa’ nacre 12ème case Repères en nacre sur tranche Sillet ébène Tête plaquée comme table Boutons acajou/ buckeye burl Micros: 2 Bassbars Luthman Custom, cache en ébène + "L" Luthman en nacre Préampli Noll 3 bandes (9V) Finition vernis mat/satiné sauf manche Accastillage noir Commandée en 2013 et livrée en 2014, prix neuf : 3200€ Encore dans le même état que sur les photos, elle est passée en révision fin décembre. vendue avec une housse MONO M80 et des petits accessoires qui ne me serviront plus (Cordes, câbles, adaptateurs sangles rapides...). Visible et essayable chez moi, a Juvisy-sur-Orge (91) sur un petit Roland Cube. Prix demandé : 2000 €
    1 point
  19. 1 drum, 2 guitares, 2 voix et 1 Stingray + SVT + 810. On aime ou pas, mais c est quand meme quelque chose...
    1 point
  20. Tu ne partages peut être pas mon avis , mais pourtant moi je partage le tiens ;) . C'est pour ça que j'ai aussi dit que l'impact est mineur. Ça vient s'ajouter au reste donc ça ne peut pas être considéré isolement. Mais je suis tout a fait d'accord faut pas se prendre la tête avec les câbles internes à la cavité . Je vais aussi répondre à tes autres remarques mais là je manque de temps
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  21. Le délire continue ... A moins que je n'aie raté une étape ? C'est fois 2 tous les ans ? https://www.zikinf.com/annonces/annonce-2223970
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  22. Il jouait une Precision sur une tête Bassman Silverface 100 en concert pour cet album, il me semble. Il y a sûrement une pédale entre les 2, car faire cruncher un Bassman ... Voilà ce que disait le producteur de l'époque : I've always been puzzled by the bass sound The Wombats have. It's a "gainy" sound but without any harshness and massive distortion. I've tried to get this sound myself but I've never been able to pull it off. Anything you can say about how that trebly sound was acquired? Tord definitely has a specific bass he likes to use. He has a spectacular sounding 70's Fender P-bass. It is a great instrument. The action is a bit low so their is a fair amount of fret buzz going on all the time. It adds to the metallic brightness of the sound. Whenever I do that type of gainy sound with out being distorted or fuzzy this is how I approach it. I have one amp set up as a solid more straight forward sound... usually an SVT. i have another amp set very bright that is distorted. In this case it was an oldfield combo amp feeding an SVT 8x10 cab. The bright amp makes it so the distortion is on the overtones of the bass instead of the fundamental note. thats how you can get that crunchy aggressive sound instead of a dull fuzzy distortion. You have the other amp that is not distorting to carry a solid low end when they are blended together. the other way to achieve this if you only have one amp is to set the amp really really bright so the brightness is driving the distortion and then add low end with EQ on the mic. As soon as the low end starts to really distort the bass can lose depth, punch and focus. Donc grosse intendance ... Et en effet, un SVT sur les 2 amplis utilisés.
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  23. Oui ça ressemble bien à une précision jouée au mediator bien attaquée. Après pour l'ampli, je dirais de la lampe crunchée genre Ampeg SVT.
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  24. La rickenbacker est une horreur. On a un switch, 2 volumes et deux tona. Avec un micro ou l'autre, c'est top. Mais des que l'on let le switch en position centrale, on perd des aigus et de la définition. Autant avoir les deux micros en parallèle est top sur une JB, autant c'est toupouri sur la Rick. Il faut dire que le micros de Rick ont un fort gain parce qu'ils ont beaucoup de tours avec un fil super fin. Ils ont donc une impedance super élevée. Je suspecte la motivation de la sortie Rickosound non pas de chercher à faire de la stéréo comme on lit parfois, mais de permettre à chaque micro d'attaquer un ampli différent, sans se payer l'impédance du micro d'à côté. Tu en penses quoi ? (ps : j'envisage de faire un petit circuit actif, avec 2 entrées haute impedance, juste pour sommer ou moyenner les signaux de chaque micro en une seule sortie)
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  25. Merci pour ce post intéressant. Je ne partage pas ton avis quand tu dis qu'utiliser un câble blindé c'est ajouter une capacité (ça je suis OK) et que donc ça retire des aigus. Si les "aigus" en question sont à 250kHz, ça ne changera rien au son audible. Du coup, puis que tu as aussi simulé le câble, la, on a plusieurs mètres, y a t il un effet mesurable dans la bande audio ?
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  26. Voilà, c'est ce que je n'avais pas compris dans l'interview où il parle de barto et sadowsky... 👍👍👍
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  27. Ce n'est pas bête du tout. Au contraire, car c'est des configs que j'aime aussi. La différence c'est au niveau du blend , que je n'ai pas abordé ici. Les deux configs que tu évoques donnent effectivement le même résultat niveau tonalité et contrôle du volume. En plus elles sont plus simple et ça c'est toujours un plus. Mais elles sont moins performantes pour le mélange des micros. Honnêtement ... Le blend des micro , j'ai toujours trouvé ça gadget. Mais je n'arrive pas a franchir le pas et à abandonner cette possibilité.
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  28. Le switch c'est un simple sélecteur de micro. L'intérêt est de sortir du circuit le micro non utilisé, son volume et, dans le cas de 2 tonalité , sa tonalité . En gros , tout ce qui n'est pas utilisé est retiré du circuit.
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  29. Hello, Concernant le pauwlonia, j'ai pu m'exprimé dessus en faisant des retours sur mes deux Sandberg super light utilisant ce bois pour le corps. En gros, d'après mon ressenti, un bois qui donne un son hyper dynamique, très claquant/percussif, un léger manque de grave très facilement compensable par l'équa. Très léger mais très fragile car très tendre. Le moindre petit choc donne un coup ou un trou carrément, y compris par exemple le straplock d'une sangle qui viendrait claquer sur le corps en plaçant juste sa sangle sur l'épaule. Par contre, ça donne des basses ultra légères. 😉
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  30. Globalement toutes les prods CTI de cette époque sont des perles comme ce Sugar de Stanley Turrentine, y a toujours des Ron Carter, Benson, Bob James et Freddy Hubbard qui traînent. Je trouve d'ailleurs que Hubbard y a ses meilleurs disques ( Red Clay par exemple) et les pochettes sont toujours exceptionnelles.
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  31. Boulot sur un track Big Band SANS CLIC (chaud sur le passage 3/4) Je l'ai exporté en wav et en 96khz (HD music ) Je suis assez fier de l'intégration de la drum dans le mix, on dirait presque que c'est fait le même jour (Je parle au niveau du Son hein ! pas du jeu , ya encore des sacrés sorties de route ) https://www.dropbox.com/s/vvzif1g1v2my71c/BigBand PA2 96.wav?dl=0
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  32. La classe Living Color ! ce morceau doit être tiré de leur tout dernier album "Stain" avec Doug Wimbish (je l'ai en K7 originale celui ci, ça va pas trop me rajeunir...)
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  33. Merci Ce sont effectivement des simulations. C'est la réponse à un bruit blanc du circuit. J'en avais assez de tâtonner avec les différents câblages alors j'avais fais un programme qui me trace la réponse selon tout un tas de facteurs pour faire les (mes) bons choix et arrêter de réouvrir ma basse toutes les 2 semaines . La longueur du câblage interne a effectivement un impact sur le son. Honnêtement, il est modéré , faut pas en faire un totem. Mais quand même. Des fils trop longs vont capter plus d'interférences , surtout s'ils sont enroulés . Mais ça reste quand même assez faible sauf si la longueur est importante. Il vaut de plus mieux ne pas les blinder. En tout cas s'ils ne sont pas trop long. Car un câble blindé , c'est deux conducteurs séparés par un isolant. Donc un condensateur, donc un filtre passe bas. Autrement dit , si c'est blindé , moins d'interférences mais moins d'aigus . Si c'est pas blindé , les aigus sont conservées mais on chope des interférence. Bref , l'important c'est que tous mes fils soient le plus courts possible. Les soudures , honnêtement , c'est pas le plus important. Tant qu'elles sont solides , tout va bien. Je suis aussi d'avis qu'il n'y a aucun problème a faire transiter toutes les masses par le blindage et s'économiser d'avoir des fils spécifique pour cela .
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  34. C'est carrément joli ça ! Un preamp avec les lampes apparentes et c'est top dans un salon.
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  35. 2 Volumes dépendants, 1 tonalité maître On passe maintenant au même câblage, mais avec des volumes dépendants. Les volumes On reste dans le classique. Contrairement au câblage avec volume indépendant, baisser un volume en gardant l’autre constant va vous bouffer des aiguës et un peu de volume. Aïe. Mais il suffit d’avoir un sélecteur de micro et plus de problème. En revanche, ce câblage se comporte bien mieux en termes de contrôle du volume général. Baisser ensemble les deux volumes permet une bonne réduction du volume général sans trop impacter les aiguës. La tonalité Pour la tonalité, c’est la même chose que pour le câblage précédent. Si l’un au moins des deux volumes n’est pas à fond, on passe en fonctionnement « high shelve ». Conclusion pour ce câblage Ce câblage est aussi versatile que le précédent. Il est cependant légèrement plus compliqué de mélanger les deux micros (mais c’est un autre sujet que je n’aborderai pas ici). Il est néanmoins absolument nécessaire de prévoir un switch micro, car les volumes sont dépendants. Concrètement, je préfère ce fonctionnement. Je le trouve plus stable et avec un meilleur contrôle du volume. Reste le problème de la tonalité qui change de comportement. Et ça, je n'aime pas. Mais patience !
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  36. 2 Volumes Indépendants, 1 tonalité maître Comme évoqué, c’est le câblage standard des fender jazz bass. La tonalité est branchée sur la sortie. Le graphique suivant se lit ainsi : C’est le gain de sortie des deux micros ensemble en fonction de la fréquence. On fait varier le volume du 1ᵉʳ micro (changement de ligne), le volume du 2ᵉ micro (changement de colonne), et la tonalité (lignes de couleurs sur chaque graphe). Les volumes et la tonalité varient de 1 (complètement ouvert) à 0 (fermé). 0.5 veut donc dire qu’on est à mi-course du potentiomètre. Pour les volumes, ça veut dire la moitié de la résistance ; pour les tonalités, ça veut dire qu’on a déjà retiré 90 % de la résistance, car ce sont des potentiomètres audio. Les volumes Nous retrouvons le défaut classique des volumes indépendants. Le contrôle du volume est limité. Même avec les deux volumes à 20 %, le signal n’est que très peu atténué. Il vaut mieux dans ce cas avoir des volumes logarithmiques. Mais même alors le contrôle reste limité et vous perdrez en finesse de mélange des micros. Autre élément bien connu de ce câblage, baisser un volume sans toucher à l’autre n’a pas d’impact sur les aiguës, et c’est cool. Mais si vous baissez les deux volumes, les aiguës commencent à être filtrés. C’est pour ça que les possesseurs de jazz bass slapent avec au moins un des deux micros à fond. La tonalité Tant que l’un des deux volumes est à fond, tout va bien. La tonalité se comporte comme elle le doit : c'est-à-dire comme un filtre passe bas. La régler revient à modifier la fréquence de coupure de ce filtre. Mais dès qu’aucun micro n’est à fond, aïe aïe aïe, rien ne va plus. On a alors le fonctionnement du câblage « année 50s ». La tonalité ne se comporte plus comme un filtre passe bas, mais comme un « high-shelve » centré très, TRES bas. Avant 50 Hz. Tourner la tonalité revient ainsi à booster les low et baisser le volume en même temps sur votre ampli. Bravo. Vous avez un low-boost qui réduit votre volume. Même si vous vouliez une tonalité. C’est ballot. Vous allez me dire que non, que c’est juste « différent ». Ok. Chacun ses goûts. Cependant, mon avis est que ce fonctionnement est critiquable pour plusieurs raisons. Il peut devenir difficile de maintenir un volume constant le long d’un set avec un fonctionnement pareil. Si vous voulez mettre l’accent sur les low, autant utiliser le réglage de l’ampli, qui n’altérera pas votre volume, lui. Une basse passive, comme tout instrument de ce type, a toujours une fréquence de résonance. Sur les graphes, il s’agit des pics vers 3, 4 khz. Parfois, c’est bien, parfois, on veut une réponse plus plate. Une tonalité fonctionnant comme un passe bas permet davantage de contrôler cette résonance, voire de couper bien plus de fréquences suivant son réglage. Conclusion pour ce câblage Ce câblage est loin d’être mauvais. Il est même très versatile. Si un de vos volumes est à fond, vous aurez une tonalité standard. Si vos volumes ne sont pas à fond, vous aurez un fonctionnement type câblage vintage. Le principal défaut est son manque de contrôle du volume. Votre volume change le comportement de la tonalité et a une amplitude limité. On a alors envie d’y ajouter un master volume après la tonalité, pour plus de contrôle. Et c’est justement tout le principe d’un câblage Balance → tone → volume. Une balance n’est rien d’autre que deux volumes indépendants dont l’un est toujours à fond. Mais comme précisément l’un est à fond, vous n’aurez que le fonctionnement standard de la tonalité, pas celui « vintage ». Pour moi, c'est un bien. Mais chacun ses gouts. Vous pouvez sinon très bien utiliser le volume de votre ampli comme master volume ou, si vous avez 4 trous, opter pour un câblage 2 volumes indépendant, 1 tone, 1 master volume (câblé normalement, lui).
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  38. C'est quoi cette histoire de pipe dans des vidéos monétisées... ? 🙃
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  39. Très probablement un sextoy. L'histoire n'a pas retenu s'il était plus pervers que la moyenne ou juste mauvais potier.
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  42. Hier ça faisait 8 jours que je jouais exclusivement ma jaguar(qu'en active) , et j'ai pris ma jazz bass ( qui est excellente) , ben sacrè différence de volume et de son ! Avant j'avais une sire v7 donc active , rien à voir avec la jaguar , les micros de la jag sont très marqués , beaucoup de grain et de puissance . Le micro pb 62 est vraiment bien et le jazz aussi , pas en retrait comme certaines pj .
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  43. On ne pouvait pas ne pas avoir de sujet ouvert à propos de Dominique Di Piazza. Voilà un bassiste qui a développé une technique incroyable de jeu à 4 doigts qui fait école aujourd'hui (écoutez Hadrien Ferraud qui fût son élève, Matthew Garrison, etc...). Il a accompagné John Mc Laughlin pendant des années, a enregistré un album (Que Alegria) en trio avec lui et Trilok Gurtu, il continue de participer à des projets en Inde. Il enregistre dans le monde entier. Écoutez le avec Front Page au début de années 2000 en compagnie de Bireli Lagrene et de Denis Chambers. Et puis Princess Sita avec Mahnu Roche et le guitariste Nelson Veras, de la dentelle ! Il joue aujourd'hui avec de nombreuses formations, en France et à l'étranger. Je l'ai vu avec Philippe Petrucciani, plusieurs fois avec des musiciens manouches avec qui il est très à l'aise en impro, et aussi avec le Blues & Beyond Quartet dont je viens d'acheter le dernier opus (Echec et Malt) dans lequel il nous fait une véritable démonstration de groove ! (contrairement à ce que le nom indique c'st plutôt du Jazz-Fusion que du Blues :-) ) Si vous avez des transcriptions, ou vidéos inédites de cet artiste n'hésitez pas à partager ! (avec John Mc Laughlin) www.youtube.com/watch?v=hfccRwp1aJw‎ (avec le Blues & Beyond Quartet) www.youtube.com/watch?v=L0Yy-sAcB-8‎ (avec Bireli Lagrene)
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  44. Masterclasse ça ne veut pas dire que le gars est à ta dispo pour tout et n'importe quoi. Je l'ai rencontré en 2008, son délire était de pondre des suites harmoniques et trouver comment accompagner. Une après-midi avec un extraterrestre adorable. À mon avis son intérêt pour la technique est faible autant celle des mains que celle de l'instrument lui même. C'est un musicien, il attendait peut être de faire et parler musique
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