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Je vous partage la petite dernière, une inspiration Joe dart avec quelques adaptations. Corps frêne ondé, manche et touche érable flammé. Micro custom qui va bien (un musicman bobiné un peu différemment et avec des aimants samarium cobalt...) un volume et une tonalité concentriques et surtout des filets plat. Sur le papier j'étais moyennement convaincu du concept de la 'stingray passive', mais ça colle parfaitement à l'esprit JD! Gros growl dans le bas medium...6 points
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Topic super intéressant et déjà très complet donc je ne vais répéter les choses constatées déjà par plusieurs sauf un point : Les Tribute band. J'habite à Pau, petite agglomération d'environ 100000 Habitants. Il n'y a plus que des Tribute Band qui jouent dans les bar/café concerts officiels. Et encore, il y en a un qui vient juste de fermer (La Scène). J'imagine que ça sert à (très) court terme les intérêts de tout le monde : ceux des intermitents qui trouvent là le moyen de faire des dates et donc de boucler leur intermitence et ceux des tenanciers des établissements qui ne prennent aucun risque à faire jouer un tribute band. Le rôle d'un établissements privés n'est pas de promouvoir la culture mais de prospérer en gagnant de l'argent donc on ne peut pas les blâmer non plus. Cela étant, c'est en train de tuer à plus ou moins petit feu la musique et les scènes locales puisqu'on ne peut plus jouer nul part ! Je ne suis qu'un amateur et n'ai jamais eu l'intention de vivre de la musique mais je pense que pour ceux qui veulent développer leur groupe professionnellement, c'est vraiment une galère sans nom (ça l'est déjà pour les groupes amateurs). Je pense naïvement qu'on peut faire un peu de tout dans un établissement privé tout en étant rentable mais je me trompe peut-être. Il serait intéressant d'avoir l'avis d'un gérant d'établissement sur ce point ... Une chose à ne pas oublier : pour avoir des tribute Band, il a fallu avoir de la création à moment donné ... Je me permet de donner mon avis sur un sujet que je connais bien : le démarchage commercial. C'est plus ou moins mon métier (pas dans le domaine de la musique mais c'est exactement la même chose). Je dis "commercial" parce que c'est réellement ce que c'est, même si ça peut paraître un peu "vulgaire" pour certains quand on parle de leur création. Je comprends tout à fait les retours sur la déception de ne pas recevoir beaucoup de retours, positifs ou négatifs suite à vos sollicitations. Mais dites-vous bien une chose, c'est valable quelque soit le domaine d'activité ! Et plus votre démarchage sera global et peu ciblé (envoi du même email à plusieurs personnes, envoi à un email type "contact", promo sur les forums et ou groupe Facebook, promotion "passive" sur votre propre page ... etc ...), moins vous aurez de retour. Je comprends que vous puissiez être décus mais si vous n'ête pas prêts à accepter un faible nombre de retours, vous allez très rapidement vous essoufler, voir vous agacer. Je vous conseille de passer plus de temps à cibler le bon contact dans la bonne organisation plutôt que d'envoyer 18 relances à l'email [email protected]. De même, le temps passé à récupérer le bon numéro de téléphone de la bonne personne est 1000 fois plus précieux que les 10 relances par email. Tout le monde n'est pas à l'aise pour téléphoner directement à quelqu'un voir aller au contact physique dans un concert mais c'est pourtant bien ce qui donne le plus de résultats, qu'on le veuille ou non. Il est aussi important, quand c'est possible, de se faire recommander par quelqu'un : "Salut, je t'appelle de la part de @Sven qui joue dans The Answer is Obvious". Evidemment, si celui que vous appelez ne connait pas la personne en question, ça va poser problème ! Bref, le contact commercial, c'est un vrai métier. Soyez aussi conscient de votre valeur (je parle pour les groupes de compo) : vous existez depuis 10 ans, vous répétez 2 fois par semaine, vous avez fait 2 concerts dont un à l'anniversaire de votre cousin, vous être ultra carré avec un bon niveau musical ?? La vérité est que commercialement parlant, vous ne valez rien et un gérant d'un lieu privé n'a absolument aucune raison de rémunérer le fait que vous avez beacoup travaillé, il n'est pas là pour ça (ça c'est le rôle des lieux d'acceuils publiques de la culture). La question est : combien tu vas lui faire vendre de bières ou combien tu vas lui faire d'entrées payantes ? C'est en ces termes là qu'il faut réfléchir et c'est plus ou moins la même chose pour un petit festival plus ou moins amateur. Ne vous offusquez pas si on ne veut pas vous donner 300 Euros pour un concert de 1h dans un troquet, c'est peut-être ce que vous estimez valoir mais ce n'est pas ce que vous valez réellement. C'est au groupe de prouver qu'il est bon sur scène, pour pouvoir revenir. Ce n'est pas au proprio du lieu de payer pour voir, on ne joue pas au poker là . Par contre, si le mec sait qu'il va remplir son rade avec vous, il sera même partant pour vous en donner plus (et sur le long terme, vous gagnerez plus). Mais vous devrez systématiquement passer par la case, je joue pour pas grand chose, je joue dans un tremplin, je joue pour une partie des entrées payantes ... etc ... Honnêtement, à l'échelle locale (disons 100 Km autour de vous), pour un groupe de compo, ça prend entre 3 et 10 ans pour que vous ayez une réputation établie qui vous permet de jouer une quinzaine de dates par an (pour un groupe amateur, c'est bien). Je parle bien évidemment dans le cas d'un groupe qui se sort les doigts du ionf' pour proposer de la musique de qualité ou du moins bien exécutée.6 points
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Alors puisque tu compares avec le monde "classique" du commerce, et si je suis d'accord avec une partie de tes propos (en effet il faut savoir se vendre, et c'est un métier à part entière or en général un artiste ce n'est pas sur cet aspect qu'il est formé), je me permettrai également une comparaison, car sur ce point je ne suis à ce moment là pas d'accord : Quand je vais boire une bière dans un rade, que je teste le menu machin dans un resto, que je fais changer les cardans de ma bagnole ou refaire la plomberie de mes chiottes, c'est pas moi qui fixe le tarif. Et je ne dis pas : attends, je veux goûter ta bière avant de voir si c'est bien justifié la pinte à 12 balles, je joue pas au poker là. Donc si, le proprio il prend parfois un pari, ou alors eh bien il se renseigne sur le groupe (comme je me renseigne sur un troquet ou un artisan avant de faire appel à lui), il va le voir sur d'autres concerts, etc.... Ben ouais, programmateur aussi c'est un métier ! 😉4 points
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Voilà j'ai pris un peu de temps pour comparer le Mid Boost du B3K avec une Harmonic Booster placée dans la boucle d'effet du e500. J'y ai pensé qu'après avoir enregistré mais j'ai pas changé de place l'entrée de la boucle, j'ai essayé après la B3K à l'instant et ça sonne moins bien finalement. Voilà je vous laisse juger.3 points
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La question de "payer les artistes" est une partie du problème - mais seulement une partie. On est en effet dans une situation où dans l'absolu, toute prestation mérite rémunération, et il y a des dispositifs légaux pour ça, pour payer des gens qu'ils soient amateurs (= c'est pas leur métier principal) ou professionnels (= c'est leur métier). Je n’ouvre pas la boite de pandore de l’intermittence car ce n'est pas un métier, c'est un statut au regard de la sécu / pole emploi etc., destiné aux professionnels, mais ce n'est pas la question puisqu’ici on parle des concerts (= les moments où on joue, pas ceux où on joue pas). La difficulté c'est que certains amateurs considèrent que jouer est avant tout leur passion, et que toute opportunité de jouer est la bienvenue, donc soient acceptent de jouer pour rien du tout, soit acceptent tous les modes de rémunération "alternatifs" qui vont du chapeau, au billet au black, en passant par la facture d’association. Je jette pas la pierre puisque comme dis plus haut, j'en suis et pas mal d'entre nous ici aussi. Mais pour reprendre la comparaison du garagiste plus haut, c'est comme si des garagistes non professionnels aimaient tellement faire des vidanges qu'ils proposaient de te le faire pour rien du tout, ou un ptit billet au black, ou sur une facture de son asso de garagistes amateurs. La situation serait alors que les possesseurs de voitures n’accepteraient plus que difficilement de payer des garagistes au plein tarif puisque des amateurs font ça aussi bien pour moins cher. Idem pour les plombiers et tout autre forme d'artisanat ou service. Demandez à un plombier chef de PME ce qu'il pense du travail au black. Néanmoins, la rémunération est une partie du problème mais une partie seulement. L'autre face de la question, c'est le dialogue public / musicien. C'est là où on ouvre la question groupe de compos / groupe de covers, qui est indépendant de la question pro / amateurs. Un groupe de covers peut être pro (ex: un groupe de bal) ou complètement amateurs, et idem pour un groupe de compos. La différence réside dans la capacité à attirer le public, faire rester le public, et faire acheter des bières au tenancier du rade ou à l'organisateur du festival. Ici force est de constater que le Public (vu comme une masse indistincte de gens équipés d’oreilles) préfère systématiquement - ce qu'il connait déjà (une reprise d'un truc connu, un artiste déjà établi) plutôt que de la nouveauté qu'il doit découvrir en direct et sans garantie d'apprécier - un truc facile à écouter (pop, chanson, folk, "musiques du monde mais en 4/4 plutôt qu'en 13/8") plutôt qu'un style agressif sur la forme (metal, opera, musique concrète et dodécaphonique, hard Tek) ou sur le fond (musique de chambre, jazz abstrait, musiques traditionnelles de loin de chez moi avec mesures impaires partout) Les dirigeants de lieu d'accueil du public savent cela de manière très instinctive, et adaptent leur acceptation des sollicitations musicales en fonction du goût moyen standardisé. Les lieux / programmateurs qui s'affranchissent volontairement de la contrainte le font en connaissance de cause et déploient des stratégies pour attirer / fidéliser le public susceptible d'adhérer à des propositions musicales nouvelles (non connues à l'avance), demandant une connaissance du style musical pratiqué pour passer outre l'étrangeté de prime abord, ou demandant une écoute active pour adhérer au propos. En gros, les trucs où faut avoir les codes pour comprendre ce qu'il se passe. Sans parler de contraintes physiques de base telles que: ensemble de nombreux musiciens (qui programme des Big Band de jazz ? des orchestres symphoniques ?), la barrière physique du volume sonore inhérent à certains styles (batucada en café-concert ? groupe de Drone metal ?). Ou, de manière plus subtile, l'image sociale associée à certains styles musicaux et le "style" de public qu'il est susceptible de ramener (rap énervé et sa guirlande de "racailles", tekno pour teufeur drogué, punk (et leurs chiens), les stigmats sociaux associés à certaines musiques sont sans fin. Points bonus pour les styles musicaux qui cumulent les "handicaps". Pour les musiciens dans les ensemble en question, bah oui c'est dur de jouer. Ca semble évident mais ça ne rends pas la chose plus facile à accepter. Même à l’intérieur d'un marché de "niche", par exemple le metal (j'en prends un que je connais bien), un programmateur de festival fait son affiche sur les "gros noms" et sur les "vieilles gloires" (= du connu sans risque) pour attirer le metalleux moyen standardisé, que par ailleurs il n'a pas besoin de pousser fort pour la bière mais c'est un autre problème. Et l'amateur de black metal atmosphérique vaudou aura sa petite scène dans le coin pour la crédibilité Trve Evil, mais c'est pas lui qui fait tourner les caisses (surtout qu'il est vegan et boit uniquement de l'aquavit). Répliquez le phénomène à toutes les échelles, du petit bar de quartier au gros festival, vous saurez pourquoi si vous êtes un duo de reprise de pop-folk vous jouez 20 fois plus qu'un groupe de brutal death, aussi talentueux soyez vous.3 points
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Bah, il y en a 2 et ils sont collés bien comme il faut. Ca vaut bien les 800€ de plus que le prix de la HB3 points
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Juste en passant : L'intermittence n'est pas un statut mais un régime spécifique d'indemnisation chômage, comme l'ont a juste titre fait remarquer certains. Le statut des musiciens (car là on parle de musique mais c'est valable pour les comédiens, techniciens, etc...) c'est salarié. Et donc chômeur les jours non travaillés. La sémantique est importante dans la défense des acquis sociaux de ces métiers précaires (acquis en train de bien se faire démontés par le gouvernement actuel, comme bien d'autres choses). Légalement, le 2e statut possible du musicien en live, s'il n'est pas salarié, c'est bénévole. L'auto entreprise est illégale (sauf pour les DJs), même si beaucoup l'utilisent (même France Travail pousse dans cette voix les musiciens, alors que c'est illégal... l'uberisation de la culture). La facture d'asso est interdite également (même si bcp de groupes amateurs font ça). Il n'existe pas de "cachet d'amateur". Un cachet c'est le terme employé pour salarier un musicien (un musicien ne peut être payé qu'au cachet, cf les textes des conventions collectives régissant le métier). Même si tu considères être amateur, tu peux te faire payer au cachet (sinon tu joues bénévolement). Pas besoin d'être indemnisé au titre de l'intermittence pour ça. Les cachets sont également régis par des minimums salariaux, dépendant de différents facteurs, mais en gros le minimum c'est 120€ brut (soit grosso modo 180 balles coût employeur). Donc oui, un groupe de 4 musiciens payés légalement c'est près de 800€. Ou alors c'est gratuit (bénévolat). L'entre deux n'est pas légal. Et à noter en passant qu'un musicien intermittent n'a pas le droit de jouer bénévolement (risque de radiation de chez France Travail). Voilà, c'est histoire de mettre un peu au clair certains aspects du monde de la musique, car c'est complexe et on s'y perd. Je ne critique pas, car beaucoup de ces erreurs on les entend chez les "pros", alors pas étonnant que les personnes extérieurs au métier les répètent. Sinon, pour témoigner sur le sujet de base, c'est compliqué aussi chez les "pros" de trouver des concerts depuis la sortie du covid, cette année particulièrement. Perso je m'en sors avec mon groupe de jazz trad, mais mon groupe de compos c'est la misère totale (0 dates cette année, juste une option pour septembre...)3 points
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Je mets en vente cette superbe basse en finition "Dragon Eye Ball". Elle est en bon état général, malgré quelques traces d'usure qui témoignent de son utilisation. Malheureusement, elle ne joue plus suffisamment pour justifier de la garder, même si cette finition unique pourrait justifier de la conserver simplement pour sa valeur esthétique. Cependant, je préfère que les instruments de musique vivent pleinement leur vie et soient utilisés comme ils le méritent. L'instrument est remarquablement léger, avec un poids de seulement 3,6 kg, ce qui le rend très maniable et confortable à jouer. Les cordes sont neuves, de marque Sadowsky Black Label (45-105), et j'ai récemment effectué un réglage complet de l'action et de l'intonation. Cette basse est équipée de 24 frettes, d'une électronique active avec un égaliseur à 3 bandes, et dispose d'un sélecteur de micros offrant différentes configurations (single coil, parallel et series). Ces caractéristiques en font un instrument extrêmement polyvalent, capable de s'adapter à une grande variété de styles musicaux et de répondre aux exigences des bassistes les plus exigeants. Postée également sur https://www.zikinf.com/annonces/annonce-2299755 300€ pour les membre de OB. Comptez 30€ pour l'expédition via Chronopost.2 points
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Là je ne suis pas d'accord. Tu ne peux pas comparer au monde du travail uniquement quand ça t'arrange. Si tu mets le monde de la musique et donc les groupes dans le monde du travail (et ça existe, musicien c'est un métier), et bien il y a des lois qui s'appliquent. Le code du travail, des conventions collectives, etc... toutes ces choses qui protègent les salariés. Ton garagiste s'il décide d'adapter son tarif à son niveau de notoriété et son potentiel commercial, il va pas faire de la pub comme quoi il fait du black le temps de lancer son business. Soi tu ranges la musique dans la case amateur (ça existe aussi), auquel cas et bien tu joues gratos et tes frais, oui. Car t'as un autre métier (ou des rentes peu importe) qui te fais gagner ta vie. Pourquoi on devrait te défrayer pour tes heures de répètes, payer l'électricité de ton local ou ton investissement dans du matos ? C'est ton loisir, ça ne te sers pas à vivre, c'est juste ton choix. Le mec qui part tous les week end faire je ne sais quelle compétition sportive, c'est à ses frais (même souvent il paye pour ça). Après, je ne dis pas tout ça pour cliver amateurs/professionnels, je trouve ce débat stupide (même s'il est clairement prégnant dans le milieu et que ça ne date pas d'hier). Je mets juste au clair sur la législation, car j'en ai marre d'entendre toujours ces mêmes erreurs. Par exemple "un petit cachet d'amateur" dans le sens 300 balles sur facture d'asso pour le groupe, non, ce n'est pas un cachet. Un cachet c'est le nom donné au CDD d'un musicien pour sa presta. Là c'est une facture d'asso, pas un cachet. Après, sur quelle base facture l'asso et qu'est-ce qui se passe derrière c'est autre chose. Justement le black ne me gène pas spécialement. C'est pas légal, mais bon, qui est tout blanc dans son monde ? Donc le garagiste qui fait du black me dérange pas, le musicien qui joue au black non plus, et le bar qui paie au black le groupe pas de problème. Ce qui m'emmerde c'est le patron de bar qui ne veut pas payer au black car lui veut pouvoir justifier sa sortie d'argent et donc demande la fameuse "facture d'asso" : mec tu veux pas la jouer légal, ben tu me payes sous le manteau, tu me demandes pas à moi de prendre tout seul le risque pour te couvrir toi. C'est donnant-donnant. Mais faut reconnaitre que c'est malgré tout un beau bordel. Et je pense que ça aide pas à ce que les gens s'y retrouvent (tant les amateurs que les pros). Et pour te répondre sur ce que fait mon groupe, en fait j'en ai plusieurs donc je ne vais pas tout t'énumérer. Mais les deux "principaux" sont : - celui qui me fait le plus croûter : www.yellowbounce.fr ; j'y joue du banjo, on joue du vieux jazz et du swing et on s'inspire du répertoire de Bechet. Le tarif d'appel c'est 300 par tête, hors frais annexe. Et c'est le minimum légal (190€) dans certains cas précis et assez rare. Et même plein tarif, souvent on ne joue qu'1h30 (même si on a plus de 2h de répertoire). - mon groupe de compo c'est Monsieur Peg (y'a un sujet sur lui sur OB si tu veux). On joue pas beaucoup car on est sur une musique cataloguée comme de niche (jazz de niche nous a t on même dit), alors que pourtant c'est très pop dans l'esprit. Et ben le coût plateau (hors technique et frais donc), c'est plus ou moins 1500€. Alors certes, si on jouait pour 200 balles on jouerai surement plus. Mais légalement on ne peut pas (et plusieurs dans le groupe qui risqueraient une radiation de chez polo). 😉 Après je ne dis pas que tout ça me convient. J'essaie d'expliquer certaines choses2 points
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Est-ce que le volume mammaire influe sur le son? Nan parce que la vibration et la densité du matériau, tu vois, ça joue vachement sur ce que le micro capte des cordes...2 points
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En tout cas un super bassiste, de surcroît dans des registres variés ! https://www.youtube.com/watch?v=pSHVqOYjaDI2 points
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Sinon se référer à la règle numéro une alinéa 3 du règlement précédent. - le domaine des dieux Et un débat sur l'Art en général... Mes premières dates (1991 ?) on jouait gratos, on débutait, nous on voulait juste jouer. Rien d'autre. Alors oui le patron du bar était content, on ramenait tous les potes du lycée, et nous on était des rock stars ... Et on pouvait boire nos premières bieres loin des parents en draguant des filles... Sur les 4 du groupe, on est 3 a avoir persévérer, et on a réussi à en vivre (et moi j'ai embrassé ma première gonzesse la semaine dernière, il était temps ! 😅) et ce avec plus ou moins de réussite (ce mot n'a aucun sens pour moi). J'y pense, un autre (très) bon plan pour jouer et voyager : ce sont les ambassades de France : plusieurs de mes collègues sont partis en Inde, Afrique du Sud, Pérou... Je pourrais pas vous dire comment, mais les connexions culturelles entre pays, ça fonctionne pas mal. Autre plan : les club Med. Pas payé, mais vacances aux frais de la princesse contre musique. P.S : peut être a relativiser depuis l'invasion de pangolins...1 point
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Selon moi, le matos acheté appartient à l'assoc'. Donc si l'un des membres quitte l'assoc', il ne peut rien récupérer.1 point
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Le preamp sire est à moitié génial : mediums paramétrables parfaits , les basses boomy à souhait , les aiguës un peu moches quand on pousse . Donc oui ça pourrait faire un bon match serré1 point
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Ca fait partie des problèmes. En soi ça appartient à l'asso, pas à ses membres. Donc ça reste sur l'asso, et si elle est dissoute ben faut voir la législation sur la dissolution d'asso.1 point
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Pas de problème Gaille, la discussion est très intéressante, c'est tellement rare de nos jours de discuter sur le web sans tomber sur troll qui part en sucette parce que tout le monde n'est pa d'accord avec lui ! 😉 je ne compare avec le monde du travail, mon propos de départ était uniquement lié à la démarche commerciale qui est la même quelque soit le domaine à partir du moment ou il y a un échange d'argent. Le débat a dérivé en fait 😉 ! Etre un groupe "amateur" et jouer réellement gratos dans un bar n'est pas juste dans la mesure ou le bar va en sortir de l'argent, c'est normal qu'il y en ait un peu qui soit redistribué, c'est bien là la différence avec la pratique sportive ton tu parles (si t'arrives à placer ton tarif bien entendu). Lorsque mon groupe "facturait" via notre asso, l'argent est utilisé pour payer nos enregistrements ou du matos pour le groupe. Ce n'est pas un moyen caché de rémunérer les musiciens. Tu as l'air de dire que ça existe et dans ce cas effectivement, je ne trouve pas ça normal. Dans mon cas, et je pense que je ne suis pas le seul, c'est uniquement pour faire tourner l'asso du groupe et nous permettre de nous faire plaisir avec la musique, je n'en tire aucune rémunération. Nous nous sommes payés tout notre matos de groupe de cette façon : Sono, pied de micro, micros, cablerie ... etc ... J'utilise le mot "cachet" par abus de langeage car justement, je ne suis pas un pro ! Je pense que la différence entre "pro" et "amateur" se fait par la qualité de la prestation donnée, que ce soir des covers ou des compos d'ailleurs. Dans 90% des cas, y'a pas photo ! Les gros groupes de balluche ou tribute Band qui tournent sur le Sud-Ouest, ça envoie vraiment du lourd et c'est 5 divisions au dessus du groupe de cover qui fait 3 dates dans l'année (dont une chez la cousine du batteur toujours).1 point
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Moi je parle uniquement de démarchage commercial de manière générale. Que tu sois rémunéré en Guso ou au black, la démarche est la même : il faut adapter son "tarif" à son niveau de notoriété et potentiel commercial. De manière générale, si tous les groupes amateurs débutants ou pas, devaient demander minimum 190 Euros déclaré/Guso ou alors "proposer" une prestation bénévole avec tous les justificatifs de dépalcement, de consommables , consommation d'électricité pour les répèts, frais d'essence et d'obsolécence du véhicule, frais de repas; il n'y aurait absolument aucun concert qui se ferait et aucun groupe qui pourrait ne serait-ce que commencer à faire un concert. Je ne sais pas ce que fait ton groupe mais entre 200 et 300 €/musicien, si c'est une presta groupe de bal/cover pendant 4 h, ça me semble effectivement tout à fait justifié. Mon groupe de 6 zicos qui jouent un set de 1h/1h30 de compo, ça ferait entre 1200 €uros et 1800 Euros. AUtant te dire tout de suite que personne ne nous fera jouer. Proposer une presta "bénévole" (je ne connais pas bine le principe je t'avoue) en justifiant de tous les coûts plus ou moins direct, on sait très bien que c'est impossible et que personne ne le fait. Du coup, je ne pense qu'il faille pour autant blâmer le groupe de compo "amateurs" de demander un petit cachet via une structure asso (quelqu'un a dit que c'était illégale apparemment, je le découvre même si ça n'a jamais poser le moindre problème avec toutes les structures d'état, associatives ou privées pour lesquelles j'ai jouées).1 point
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Ah oui effectivement c'était pas clair. j'étais persuadé que le préamp c'était pour aller avec le pf50.. Pour avoir les 2, le revolt et le Le bass, les canaux clairs n'ont rien à voir. Celui du revolt est bien gras, vintage et et plein ( ce sont les mots qui me viennent à l'esprit ) alors que Le bass est ouvert. Le revolt m'a un peu bluffé, c'est limite caricatural, ça me ferait penser à du aguilar th dans une certaine mesure. Je n'ai pas testé le canal clair du revolt sur ampli mais seulement au casque avec simu d'ampli activée/désactivée. J'utilise le canal dirt du revolt comme préamp dans un ampli de puissance en répète. Je pense effectivement comme bobmaerten que le canal dirt du revolt peut faire un 2ème son clean. Perso j'ai jamais trop aimé utiliser le canal clean du Le bass seul, mais il se complète bien avec l'autre canal je trouve. Tu trouves des Le bass à moins de 200 euros dont un sur le forum, pour moi ça reste une affaire à ce prix.1 point
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Ok ça paraît moins délirant que de mettre des lampes devant d’autres 😝 y’a un preamp Markbass à Lampe mais j’ai jamais essayé. Sinon tu peux essayer une pedale de simulation en amont ou dans la boucle d’effet de ton Markbass, genre un Behringer BDI21.1 point
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Le Revolt sonne très bien avec les produits Darkglass En fin de chaine, à plat, juste pour rajouter la couleur Lampes :) On ne vend pas le Revolt Basse1 point
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Là, tu me perds un peu. Le site Warwick confirme bien de l'Ovangkol sur ces modèles, et même ta revue : On en peut pas exclure toutefois que les tous premiers modèles sortis aient pu avoir un manche Wenge, mais ça ne matche pas avec les données.1 point
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Tu as complétement raison, normalement, c'est de l'Ovankgol. J'en ai eu une aussi et j'ai pas souvenir d'un manche Wenge... Mais là, y a une incohérence, ça ressemble quand même bien à du Wenge. Une rareté peut être.1 point
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Voila la chaine utilisé dans la boucle d'effet du E500. J'essaie de faire un enregistrement dans l'après-midi. J'aurais du dire "pas subtil" plutot que "aggressif" 😉1 point
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Pas mal celle-là, d'ailleurs c'est un manche en wenge non ? https://www.zikinf.com/annonces/annonce-22996761 point
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Ton dessin confirme ce que je dis 🤪 L’épaisseur de la base empêche de descendre aussi bas. EDIT : les rayures ne servent que de guide et il n’y en a qu’une par pontet. Ceci-dit, pas de souci à ma connaissance avec le hi-mass. Au pire, il faut corriger le renversement mais j’ai jamais eu besoin sur les US récentes.1 point
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donc pas de souci pour utiliser un cab 4 ohms seul pour bénéficier de la puissance de la tête sans risque d'abimer cette dernière. trop bien. c'est mon dos qui va être content. A vieillerie quand tu nous tient.1 point
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C'est qui le farfelu qui vend (ou vient de vendre) une MB upgradée? 😁C'est @guerba ! J'avoue m'être bien bidonné quand j'ai retrouvé cette belle tirade. Ceci dit au final je ne les trouve pas moches.1 point
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Le Genz-Benz n'est pas spécialement donné, mais c'est clairement une très bonne machine. J'ai le combo 8" de 7 kgs et c'est la meilleure acquisition que j'aie pu faire côté ampli, il me sert vraiment beaucoup (pour le peu que je joue) en tête ou combo. Les potards qui crachent sont le défaut, visiblement. Le son est neutre, facile à colorer avec des effets. Je pense qu'il faut le négocier vers les 330-350. Carvin, très bien mais pas aussi pratique.1 point
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Je crois que je t'avais acheté une ATK 305 il y a plusieurs années. Ultra lourde, mais aussi une action ultra basse, et surtout un son de malade. Je l'ai vendue, puis racheté, puis revendue, et si je n'avais pas trouvé une Sandberg TM5 je serai sûrement reparti à sa recherche. Elles sont attachantes ces basses.1 point
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Ouais, ça ressemble grave à une HB !! jusqu'à la forme de la tête, tout y est et les micros, on dirait qu'il y a un décal pareil..... j'ai bien envie de lui envoyer le lien de la HB en message1 point
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J'ai passé une de mes Stingray en flats TI JF 344, je suis plutôt content du résultat. Vous en pensez quoi ?1 point
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La pire expérience - et la meilleure - que j'ai pu vivre, la meilleure école de vie : Notre Triibute Led Zep (VonZepp) a tout de même fini au Zénith de Caen en 2009, plusieurs milliers de personnes - qui PAIENT - leurs places pour venir t'écouter. Dans la tête déjà, ça change tout. Vraiment tout. Ensuite la scène. Quand on habitué à manger le manche du gratteux dans les bars, ou bouger toutes les 20 sec pour libérer la porte de chiottes, et que tu vois maintenant ton pote tout petit a l'autre bout de la scène... Que ton seul son de batterie c'est dans un retour tout perave parce que le son de disperse dans la salle, et qu'en effleurant a peine tes cordes tu dégages un son tellement monstrueux que tu sais que ton attaque habituelle ne vas pas être possible, et que tu te retrouves avec un parterre de 1000 personnes uniquement pour toi qu'il faut apprendre à gérer (putain le stress...). Sûrement pas le meilleur concert de nos vies. Faut TOUT réapprendre. Ca c'était le vendredi soir. Le mardi soir, retour au Col des Saisies dans un petit bar, a jouer dans un couloir avec 3 bûcherons qui te tournent le dos, et se retournent de temps à autre en soupirant pour nous faire comprendre que les saoule notre bruit... Ça c'est la réalité. Dans ta gueule. Bim ! Ben ce que j'en ai retenu... C'est que le talent n'a rien à voir avec la musique. Et la musique rien a voir avec le talent. Que dalle. Ce qu'il faut trouver son public pour son style de musique. Facile à dire, horriblement compliqué à faire. (Et maintenant je vous fous la paix. A vous les studio)1 point
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Avant la ernie ball? Sinon on est d'accord, 4,5 c'est standard. Mais 4,3 c'est cool, 4,7 ça commence à être lourd, et tu ne peux pas trop savoir au pifomètre.1 point