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Showing content with the highest reputation on 04/23/23 in all areas

  1. Salut à tous, Aujourd'hui, pour ne pas trop changer, on va parler d'une Warwick Thumb. Comme d'hab, si on en parle, c'est qu'on en a pas encore parlé, ou pas de façon dédiée, et que ce n'est pas n'importe quelle Thumb. En effet, nous avons affaire à une Thumb Bolt-On de première génération. La première, la vraie, celle par laquelle le modèle apparaît. C'est un morceau d'histoire, rien de moins. C'est aussi une absolue perle, et j'en suis le premier surpris. Aucune Thumb à manche vissé ne m'a jamais fait cet effet. C'est un monstre, qui détruit littéralement de nombreuses idées reçues. Il suffit que je donne trois qualificatifs : légère, résonnante et avec un manche fin. Tout de suite, ça intrigue. C'est bien une Thumb BO ? Et bien oui. C'est même LA Thumb BO. Toutes les suivantes cherchent encore en vain à la ressusciter. Petit historique des Thumb BO, c'est nécessaire car il y en a eu au moins 8 générations.Les caractéristiques clés qui ont changé sont les bois, la construction du manche et la forme. D'autres détails annexes sont variables (type de sillet et couleur de l'accastillage notamment). On a donc, dans l'histoire des Thumb BO : 1 - de 1993 à 1995 : manche wengé en C, frettes basses, trussrod simple action extractible, corps noyer français, forme de corps vintage, accastillage chrome, sillet JAN1 2 - de 1995 a 96 : manche wengé en C, frettes basses, truss simple action extractible, corps bubinga, forme vintage, accastillage chrome, JAN1 3 - 1996-1997 : manche wengé en C, frettes basses, truss double action, corps bubinga (ovangkol pour les dernières de 1997), forme vintage, accastillage noir, JAN1 4 - de 1997 à 1999 : manche wengé en C, frettes basses, truss double-action fixe, corps ovangkol, forme moderne, accastillage noir, JAN2 5 - de 2000 à 2009 : manche ovangkol en U, frettes géantes, truss double, corps ovangkol, forme moderne, accastillage noir, JAN2 puis 3 6 - de 2009 à 2010 : ovangkol/ovangkol, identique à la précédent sauf manche en C fin, JAN3. 7 - de 2011 à 2013 : manche ovangkol, corps bubinga, manche en C fin, JAN3. 8 - depuis 2013 (version Masterbuilt) : retour du manche wengé, corps bubinga, accastillage luxe laiton et finition bois (clé, cache truss, plaque électro), JAN3 laiton Le reste des caractéristiques importantes est commun (écartement des cordes, type et position des micros, préampli). Je ne parle volontairement pas des ersatz chinoises ou coréennes (Rockbass et Pro Series) ni des GPS. Elles n'appartiennent pas à la lignées des Thumb construites chez Warwick. Le type 5 est le plus répandu dans les annonces, il a du s'en vendre un bon paquet avant que les tarifs Warwick n'explosent (moins de 1000 euros neuves en 2008...). Le type 4 est est similaire à part le manche wengé, mais c'est déjà un modèle plus rare. Les types 1 et 2, les originelles, sont rarissimes. Elles combinent de nombreuses caractéristiques qui ont disparu de la production Warwick et ce sont les seules qui ont été assemblées dans l'ancienne usine Warwick en RDA. Celle que je vous expose aujourd'hui, c'est la première, la type 1, celle qui est sensée être le plus proche possible de la Thumb à manche conducteur, notamment au niveau du son. C'était son cahier des charges en 1993. Son histoire en fait donc un objet exceptionnel, et ses caractéristiques, directement liées à son époque de fabrication, en font une Thumb de qualité exceptionnelle. Warwick ne les a plus jamais fabriquées avec autant d'efforts et d'aussi bons ingrédients. C'est évident quand on a celle-ci dans les mains et qu'on constate son incroyable tenue dans le temps. Je remercie au passage les anciens propriétaires de cette pépite (merci Jony !), pour ne pas l'avoir cassée durant ses trente premières années de vie ! 0 - Photos Avec une vraie Thumb à manche conducteur : Similitudes des courbes avec la NT4 : Avec un accastillage noir, plus habituel pour une Thumb, mais pas period-correct : les Thumb Bolt-On initiales avaient bien un accastillage chrome de 93 à 95, pas noir. 1 - Caractéristiques Année de production : 1995 Construction : manche vissé 4 vis, talon très peu profond mais très serré Bois du corps : noyer français, plutôt pas très beau par rapport au bubinga ou même à l'ovangkol des version ultérieures, mais il a tellement de qualités sonores, qu’on lui pardonne ! Bois du manche : full wengé, trois pièces, 100 % quartersawn, putain, c'est bon ça ! Profil : vrai C Diapason : 34" Bois de la touche : wengé, sur quartier également Radius : 25,5" Sillet : Just A Nut 1 laiton Largeur au sillet : 37mm, minuscule Espacement des cordes au chevalet : 19mm (réglable) Frettes : 24 frettes jumbo en bronze Finition : naturelle cirée Accastillage : tout Warwick chromé, chevalet 3D, très bon état de conservation pour ses presque 30 ans, mais remplacé par le chevalet de luxe en laiton et des mécas Schaller pour upgrader et rééquilibrer cette Thumb Micros : 2 J MEC actifs, emplacement proche du chevalet, micro chevalet angulé pour donner un peu de corps aux Ré et Sol Balance micros : potard de balance Électronique : préampli MEC 2 bandes boost&cut, 9V, mode bypass de l'eq par push/pull, pas de mode passif 2 - Confort de jeu Poids : à peine 3.6kg avec son accastillage d'origine, une plume ! Elle monte à 3.8 kg avec le chevalet laiton, toujours pas bien lourde. Équilibre : piquage de nez bien entendu, du à l'architecture, aggravé par le corps léger. Avec le nouvel accastillage, c'est mieux et le poids est si light que finalement, ça le fait. Accès aux aigus : très bon Accès aux contrôles : un potard par fonction, sauf graves et aigus qui sont empilés, plutôt simple et efficace Comme sur toutes les Thumbs, et un peu les Streamer aussi, l'ergonomie est spéciale. Il faut changer ses habitudes et ses repères, trouver la sangle qui va bien et la bonne position de la basse quand on est debout. Si vous êtes sensible à ça, passez votre chemin, vous souffririez trop. Si vous acceptez le challenge et l'idée d'avoir une dégaine bizarre sur scène, vous pouvez y aller ! Ah oui, j'oubliais : les Thumb sont des basses minuscules et cette version est... la plus petite ! A coté d'une basse aux proportions classiques, c'est ridicule/mignon/comique : 3 - Qualité de la lutherie Stabilité du manche : wengé farci avec un peu de wengé, tartiné de wengé, sauce wengé, avec touche wengé.... stabilité exceptionnelle, y a pas d'autre mot. On règle la courbure une fois et seulement une fois. Rien à foutre de la saison. Trussrod : il est simple action, mais reversible donc on peut tout faire. Sur cet exemplaire, un poil de tension en arrière suffit pour jouer ultra bas. Qualité du frettage : remarquable. Une constante sur ces générations. Aucun signe de planif récente, c'est stock de trente ans et c'est toujours propre. Action globale : excellente, ultra bas comme j'aime et surtout, une fois bien réglée, on n'y revient pratiquement jamais. Finition du corps : noyer naturel ciré, c'est bien les bois sombres pour ce genre de finition, pas trop de risque de salir. Celle-ci a quand même une petite marque qui reste au niveau du point d'appui du pouce des anciens propriétaires. J'aime pas qu'elle ne soit pas parfaite... mais je me soigne. Finition du manche : wengé nu = zéro entretien mais lisse et dur comme si c'était verni Comme la BO5 1995 que j'avais eue Cette basse donne vraiment l'impression d'avoir été faite à la main. Tous les angles sont arrondis, comme par exemple les bords de la tête et le corps n'est pas très régulier et arrondi autour des défonces. Du taf manuel, c'est visible, et c'est la dernière année pour une WW. Autre point, le manche sans volute a un angle de tête très prononcé, donc fragile si choc mais pas de vibration des cordes à vide à redouter, malgré le sillet aux gorges très ouvertes. Il est ouf ce manche épais mais très étroit. Petite buchette bien droite même après 30 ans : Upgrade de l'accastillage, mécas Schaller : Chevalet/cordier Warwick en laiton massif (pas loin de 600 grammes !) : Au démontage pour lui donner une nouvelle jeunesse. Deux bouts de bois bien particuliers : Elle avait juste besoin d'une petite réparation : le rebouchage d'un trou supplémentaire pour fixer une attache courroie non-Dunlop : 4 - Son Je ne vais rien dire à ce chapitre. Juste vous offrir des soundclips. C'est la MEILLEURE Thumb bolt-on que j'ai jamais entendue, sans aucune hésitation. La résonance acoustique de ce corps en vieux noyer léger change tout. Exploration des différentes combinaisons de micros et d'eq : Le burp typique d'une Thumb : Eq désactivé, son brut des micros : Don't start now : Avec des flats, parce que même ça, ça lui va ! En enregistrement alterné avec sa soeur fretless : Le punch d'une Thumb, c'est ça :
    4 points
  2. Une petite nouvelle, une très belle Arpège I Delta Fretless, numéro de série 005. Excellent état, avec facture d’origine (1981) et sans aucun modification. Le son est superbe, et le confort vraiment bon pour une basse de plus de 40 ans. Quelques photos :
    2 points
  3. On s'éloigne un peu les amis
    2 points
  4. Punaise, tu postes ton tout premier commentaire en déterrant un sujet qui a plus de dix ans ? Excellent
    2 points
  5. Bien que les anglicismes soient en voie de normalisation, aplatissant la dynamique de notre langue tel un compressEUR à la SENSIBILITÉ trop élevée, l’utilisation ludique, tel un code presque , de la langue de Shakespeare , a ceci d’aisé qu’elle permet en deux lettres signifiant « haut » de faire remonter un sujet si tel en est l’objectif.
    2 points
  6. Salut salut, Après avoir mis l'annonce un peu de partout, je me décide enfin à la poster ici. Donc, à vendre une topissime Keith Roscoe LG3000, d'entre 2002-2003, d'après le numéro de série (4693). Je n'en suis pas le premier propriétaire et je n'ai pas le certificat d'authenticité. Un tout petit poc à signaler sur la table, des traces d'usure sur le plastique du micro manche, au niveau des feuillures de la plaque électro et de la plaque des piles. Pour le reste, tout est clean. Pour les specs : - Corps en frêne et table en loupe d’érable - Manche 3 plis érable / amarante (purpleheart) - Touche amarante (spalted purpleheart) - Sillet en bois (diamondwood) - Diapason 34’’ - Poids : 3,6 kgs - Mécaniques Gotoh, dont un D-Tuner - Chevalet Hipshot A Style - Attaches sangle Schaller (compatibles Strap Locks) - Pré-ampli Bartolini 3 bandes 18V (push/pull pour réglage des fréquences des médiums) - Micros quad coils Bartolini - Réglage du gain par un potentiomètre (trimmer) accessible au travers de la plaque électro Le prix : 1700€ 1600€ Des photos :
    1 point
  7. Je vends cette fameuse tête EBS. Du super matos à la conception solide. Elle fonctionne parfaitement. Le son est droit et profond. Les réglages possibles sont nombreux, pour tous les types de son. Prix fdpout: 550 euros Envoi possible. Hardcase inclus Échange possible contre basse fretless ou autre.
    1 point
  8. Ca fait plaisir à voir quand même :
    1 point
  9. C’est vraiment un très bel engin. Le manche est complètement sain malgré son âge ? Je me suis toujours demandé comment vieillissait cette lutherie Vigier pré-carbone.
    1 point
  10. Salut Quelques compos Plus de groupe pour le moment mais je compose toujours et le confinement m a permis de me m initier au piano la bise
    1 point
  11. Super revue de mon ex, Content de savoir qu'elle est entre les mains d'un passionné.
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  12. Le 1.8 HSD? Le 2.0 et le 2.5 HSD? Enfin, tout les HSD Toyota sont les rois de l'hybride, et de très loin! Fiabilité, transmission CVT et consommation au top. J'ai conduit d'autres hybrides chez Mercedes, Kia, Honda, et Audi et je les trouvais tous ridicules.
    1 point
  13. Le dos du manche est juste magnifique (et le reste n'est pas mal non plus!) Par contre tes gamins n'ont pas rangé leur chambre Merci pour cette revue !
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  14. Bon. Après la répète, j'ai viré le SPb-3 (je me suis souvenu pourquoi il trainait au fond de mon tiroir)... Trop moderne, médium en retrait.. J'ai installé le Micro de ma vielle Tokai HardPuncher !! Bien mieux ! Beaucoup mieux.. :-)
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  15. Ben ça dépend. J’ai été dans des salles de cinéma en Dolby avec un son dégueulasse parce que les enceintes étaient bien fatiguées ou pas adaptées … et aussi des salles avec un son super. Pour les AirPods ça dépend aussi et je ne peux parler que de ceux que je connais à savoir les AirPods 2 et les AirPods Pro 2. Dans les deux cas le Dolby est traité de manière numérique mais la palme revient aux AirPods Pro car ils ont une isolation passive efficace, une réduction active du bruit très bonne et des HP largement au dessus des AirPods 2. Tous ces atouts combinés font que tu ressent la spacialisation du son de manière parfois spectaculaire. La première fois que je les ai utilisé avec mon Apple TV j’ai vraiment cru que le son sortait de la tv au lieu de venir du casque ! Fin du HS pour moi ;-)
    1 point
  16. Très bonne came le Mag300, j'ai ça avec un stack 4*10 + 15 et c'est largement suffisant pour n'importe quelle occasion ! Super plan que tu as trouvé les ibanez SR c'est des bonnes basses aussi!
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  17. des insectes, il n'y en a plus beaucoup... Jamais joué de Dingwall chinoise ! Jamais tombé dessus. Mes canadiennes sont top et largement suffisantes, avec en plus ma nouvelle Huort qui vient d'arriver je suis plutôt CONTENT !
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  18. Nous on joue au ear depuis bientôt 1 an. On a tous des KZ ZS10, une trentaine d'euros. On a soit les bouchons silicone d'origine, soit des mousses. On est tous relativement satisfait. Tous les instruments sont repiqué, et chacun fait sa balance perso dans les oreilles. L'equalisation et le traitement dynamique de chaque tranches est celle qui est diffusée en façade. (Ce serai un merdier sans nom si chacun devait gérer les equalisation de chaque tranche dans les ears ) Dans les contextes duo acoustique , je joue parfois au ear, parfois avec un retour standard. Les ears ont tendance à quand meme pas mal isoler du public et dans certain contexte c'est plus confortable d'être 'avec le public'. Certains se pleignent de ne pas assez ressentir les vibrations. Généralement les vibration du Sub de la sono me suffisent. Le son est par contre moins 'rond et enveloppant' qu'avec un ampli, mais le gain en confort, en definition, en fatigue auditive mais fait pencher pour l'utilisation de ear dans 90 pourcent des cas
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  19. Salut, j’ai aussi écouté l’album en entier. Pour décrire mon impression, je vais reprendre une expression d‘un critique cinéma du Masque et la Plume sur Inter (oui, parce je suis un bobo/écolo/woko/islamo/extremo/gauchiste qui écoute France Inter), bref cet album est « sympatoche ». Il n’y a pas de prise de risque artistique, tout a déjà été plus ou moins entendu dans la discographie de Metallica ou ailleurs, le groupe semble prendre du plaisir à la faire, l’ensemble reste sympa et dans la veine de ce qu’ils font depuis 3 albums. Comme le disait Hetfield dans un documentaire sur l’enregistrement de Death Magnetic : « this is a Metallica’s classic album ». Il faudra aller voire ailleurs pour trouver un metal plus aventureux et moderne. Ceci étant dit, j’ai encore deux remarques. Tout d’abord, la promo est wide band. Le groupe a eu droit a plusieurs émissions et chroniques sur France Inter où une journaliste s’extasie sur le morceau le plus long de la disco du groupe (où il ne se passe pas grand chose sur 11 minutes). Et même Télérama a sorti une critique de l’album. Cela me rappelle la sortie du Black Album où il était de bon ton d’apprécier cette album. Ensuite, je vais encore râlé sur le mix et le mastering. L’album est disponible en Dolby Atmos sur Apple Music. Je l’ai écouté avec mes AirPods Pro (ça c’est mon côté gauche caviar) et franchement c’est dispensable. Si je compare le récent remaster de Dark Side of the moon aussi en Dolby Atmos (oh putain On the run avec le sample qui tourne autour de soi) ou même avec le travail fait sur le dernier album de Gojira, chez Metallica ce n’est pas probant. Bref, album sympatoche et sans surprise.
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  20. Pareil je prenais les cordes MTD chez bassdirect avant le Brexit.
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  21. Merci pour vos réponses, j'ai finalement trouvé en achetant toutes les micro clés que je pouvais trouver...
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  22. Quand on voit des fender mex a 1000 boules vaut mieux ce genre de basses qui est sûrement aussi bien finie
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  23. Idem avec des KZ ZAS ( après avoir joué sur les as10) , super content du rendu complété pour l’air et les sensations d’un barefaced one10 . Je ne pourrais plus revenir en arrière et jouer en wedge plus les deux sl112 . le ear bien réglé ça reste à mon sens le summum
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  24. Petite MAJ, après plusieurs essais j'ai finis je crois par faire une super affaire. Je m'explique je suis tombé sur une annonce le bon coin d'un mec qui vendait une Ibanez SR300 avec en cadeaux un ampli défectueux sans trop d'infos sur ce dernier. Sur la seule photo du combo, on voyait que c'était manifestement gros, genre un 4x10. Je vais voir me disant que ça valait le coup d'œil et la en effet c'est gros: un Ashdown MAG 300 4*10 et une Ibanez en parfait état, pas le moindre pok, le tout pour 200€. Je part avec et une fois rentrée, je démonte l'ampli le nettoie et passe le tout au contacteur. Résultats juste 2 potards qui crachent un peu. J'explique mon cas a Ashdown qui après une petite semaine m'en envoie deux sans rien me demander. Reçu, je les changes et là j'ai un Ashdown MAG300 qui fonctionne parfaitement. Je suis plus que content de mon achat. Seul petit problème, volume et poids (44kg) d'après internet. Mais quel son!!! Punchy, détaillé, sans le moindre souffle et avec une puissance a exploser les fenêtres. En prime j'ai une Ibanez SR300 que je vais peut-être revendre, ducoup ça me fera un super ampli a zéro euros ou presque.
    1 point
  25. Donc un peu chère pour une Tribute alors, je viens de voir la tête effectivement. C'est agaçant ces descriptions foireuses qui portent (intentionnellement?) confusion
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  26. Il manquait quand même le petit détail qui tue pour ressembler au plus près à une vraie 52 : le thumbrest bois une seule vis, noir bien passé. C'est chose faite ! Une passion, ça peut pousser parfois presque au ridicule, mais tant pis, je suis content et je m'amuse.
    1 point
  27. Franchement change de video, ca fait pas vraiment envie... Dommage car la basse est tres tentante
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  28. Oui, le passage sur les intermittents (je suis musicien indemnisé au régime de l'intermittence) mais aussi de manière générale sur le sujet du bénévolat. Dans le monde de la culture, tout comme dans le monde du social (j'étais éduc spé avant) . Je ne sais pas s'il en faut (du bénévolat), par contre clairement je suis d'accord ces deux mondes tiennent grâce à ça. Et c'est bien, perso, ce qui me dérange. Je suis pour le DIY, la participation citoyenne et toutes ces belles valeurs, mais au bout d'un moment il faut aussi rémunérer les compétences à mon sens. Ca arrange bien les gouvernements de se reposer sur le bénévolat, ainsi que sur tous les résidus de notre culture judéo-chrétienne (l'aumône notamment avec par exemple ce bon vieux téléthon que j'exècre). Mais au bon, à un moment faudrait aussi qu'ils mettent du pognon sur la table (enfin, sur les bonnes tables, car du pognon il y en a). Mais globalement je suis assez d'accord avec ta vision
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  29. Salut la compagnie, Les review se suivent et parfois... se ressemblent ! Trouver une Thumb fretless était un vieux rêve, il est réalisé depuis bientôt deux ans avec ma NT6 de 91. C'est un instrument fabuleux que j’adore. Pas simple au niveau de son ergonomie, mais le son est objectivement démentiel. Qu'est-ce qu'on peut espérer de plus après ça dans cette catégorie ? C'est pas évident mais j’ai de la ressource et l’Internet est infini. J’ai trouvé et j'ai choisi de lui offrir une petite sœur moins effrayante : une autre Thumb fretless ancienne, mais avec 4 cordes seulement. C’est presque une basse normale :-) Voici donc une review qui ressemble à la précédente, mais qui reste utile à plus d'un titre, au moins pour les amateurs de la marque ou du modèle : LA Warwick Thumb NT4. Vous verrez qu’en effet, il a matière à discuter. Cet exemplaire est assez improbable : cette basse qui a 25 ans est dans un état quasi neuf. Une sorte de NOS qui a traversé les décennies sans prendre un gnon. Une Thumb NT de 1997, c’est interessant parceque c’est la troisième version de la Thumb Bass, fabriquée dans la nouvelle usine d’ex RDA. Pour ceux qui ne savent pas, c’est la voie de dégringolade vers la fabrication de masse et d’extension de gamme vers le bas qu’a choisi de suivre Warwick de ses origines à 2013. On a quelque chose d’hybride qui a commence à abandonner certaines caractéristiques et avec elles, la nature purement artisanale des instruments du début. Au chapitre des différences, qui pour un puriste sont autant de deuils, cette Thumb NT de 97 a abandonné : le corps fait à la main, et sa forme d’origine. On a un corps taillé à la CNC, que toutes les Thumb NT4 de la même génération ont à l’identique. Les BO de l’époque partagent d’ailleurs les mêmes courbes le chevallet en laiton massif fabriqué chez Schaller. Warwick s’est faché avec le fournisseur historique et a internalisé la fabrication de cette pièce… en baissant la qualité puisque c’est un aliage d’alu léger qui arrive en 1992. les mécaniques japonaises Gotoh, remplacées par des clones made chez WW… de piètre qualité. J’ai remis des Gotoh d’ailleurs. MAIS il reste l’essentiel à cette époque : les essences de bois et leur assemblage. Important pour le sound of bois. On a toujours droit sur cette génération à des pièces remarquables de bubinga (miam), de wenge (ultra-miam) et surtout d’ébène d’afrique pour la touche des fretless (aaaarghhh !). La construction est toujours identique à celle des premières Wick, jusqu’au trussrod extractibe. L’honneur est encore sauf à cette époque. A noter aussi qu’il y a une amélioration notable avec le passage de l’électronique MEC de deux à trois bandes, et de 9 à 18 volts. Les micros sont des MEC actifs ce qui n’est pas nouveau sur les 4 cordes, mais reste récent. Voila pour la page culturelle/diner du mercredi soir. 0 - Photos On va pas passer par quatre chemins. Elle est belle à crever et puis c'est tout. C’est fou comme l’écart de largeur du manche modifie les proportions de la Thumb. Il faut dire que le corps est si petit que quand on éloigne les ailes de deux centimètres, ça change tout. La 4 est plus effilée, moins trappue, et le corps est vraiment minuscule. Par contre, elle quand même un poil plus volumineuse que la minuscule BO4 noyer de 95 : 1 - Caractéristiques Année de production : 1997 Construction : manche conducteur caché sous la table (hidden neck) Bois du corps : bubinga figuré mais pas franchement pommelé Bois du manche : 7 pièces, wengé majoritaire avec laminations bubinga Profil : D léger (ou C avec un léger méplat), épaisseur moyenne Bois de la touche : ébène totalement noire, pas de fretlines, repère 3-5-7.. en bordure supérieure Diapason : 34" Radius : 20" Sillet : just-a-nut bronze (pas cassé...) Largeur au sillet : 38mm Écart au cordier : 19mm (réglable) Frettes : équivalent 26, un peu plus que deux octaves, ça semble infini Finition : bois naturel ciré Accastillage : chevalet/cordier Warwick lréglable tous azimuts. Mécaniques Warwick de base remplacées par des Gotoh GB7. Trussrod : simple action extractible. Micros : deux MEC actifs au format Jazz Bass (longueur chevalet pour les deux micros) Balance micros : potard de balance Électronique : MEC 18V avec équalo 3 bandes debrayable 2 - Confort de jeu Poids : 4,3kg, très classique pour une 4 cordes, pas mal pour une active 18V en bois ultra-denses Équilibre : pas terrible dans l'ensemble, on le sait, mais pas catastrophique. Tout est question de référentiel et j’ai une BO4 à corps léger dont le piquage de tête est trois fois pire. Clairement, le plus gênant est le décalage du manche vers l’extérieur qui donne l’impression de jouer une diapason de 36 pouces ! Sanglée assez haut, ça va et on apprécie le très faible encombrement du corps. Accès aux aigus : très bon, mais pas parfait comme les anciennes dont la touche était entièrement hors du corps. Ici, il faut aller chercher les deux/trois dernières frettes. Accès aux contrôles : pas terrible. Trois potard dont deux stacked. Je trouve très naze la balance micro sous forme de bague du potard de volume qui est push/pull en plus ! Pas moyen de changer de son rapidement. C’est une 4 cordes à manche fin, il faut le dire. Pas de bûche du tout sur cette génération. Il a une certaine épaisseur quand même (c’est pas une Ibanez SR), mais celui qui parle de batte pour une NT des 90s ne sait pas ce qu’il dit. C’est étroit et l’absence de frette et le radius très plat renforcent le côté « baguette ». Pour finir, la sensation de rigidité est reste très élevée, et inspire confiance. Et comme d’hab, que des bois nus et soyeux. Super manche. 3 - Qualité de la lutherie Stabilité du manche : super. Pour une fois, ma review est rédigée après trois bons mois et un changement de saison, donc je peux affirmer la stabilité énorme de cette bûchette en wenge, bubinga et ébène. Qualité du frettage : pas de frettes, pas de souci Courbure : presque parfaite, y compris au niveau de la jonction manche/corps, vive le wenge. Le truss fonctionne parfaitement, mais le bois fait la majeure partie du boulot. Action globale : raz des pâquerettes, évidemment. Les cordes effleurent la touche partout, comme j’aime. Peut-être la basse la moins fatigante à jouer que j’ai eue vues les dimensions, l’action très basse et les cordes TI. Trussrod : simple action extractible, il a pas beaucoup de boulot à faire vus les bois du manche ! Finition du corps : pas de finition, pas de souci. Le bubinga est dur et s’assombrit avec le temps, donc ça vieillit bien. Finition du manche : nu aussi, mais le wengé donne toujours l'impression d'être verni tellement il est dur. Électronique : tout est très bien fait et n’a pas bougé. Dans les cavités des micros on trouve les habituels inserts pour les vis et les gros ressorts. Globalement, la qualité de cette NT est très élevée. Cependant, il faut bien le dire, elle est est inférieure à celle de la génération précédente qui était encore faite à la main. On échange la régularité des formes, des courbes et des à-plats contre la finition et les détails. Les bords de touche moins arrondis, les défonces des micros moins impeccables, les raccords des pièces de bois moins doux, plein de petits détails qui donnent une sensation moins parfaite et moins unique que sa grande sœur de 91 que j’ai également. Comprenez moi bien, la 97 est superbe, mais la 91 est dans une autre catégorie. Et puis, bien sûr, il y a tout cet accastillage de merde. Désolé pour la vulgarité, mais ça ne mérite pas d’indulgence. J’ai remplacé illico les 4 mécaniques et le cordier/chevalet qui juraient : ils avaient l’air d’avoir plus que leur âge alors que la lutherie est comme neuve. Du jeu dans les mécaniques qui perdent de l’huile, quelques petites vis allen du chevalet foirées, et la couleur noire bien passée sur les pontets qui commencent a s’oxyder. Au moins, cet exemplaire n’a pas le jack qui merde. Vous allez me dire : « Ben oui Kasco, elle a 26 ans ! » mais je proteste : j’ai une Thumb de 1991 dont TOUT l’accastillage d’origine est fonctionnel et propre. Pas de débat. C’est nul. Pourquoi ils ont fait ce choix d’accastillage low-cost à partir de 96 ? Ça me dépasse. Et c’est toujours le cas aujourd’hui… sauf sur les Masterbuilt à 6000 boules. 4 - Son Ah la Thumb NT fretless, qu’est-ce que c’est bon ! Maintenant que je connais assez bien la gamme, je peux dire que ce que je préfère, ce sont les frettées à manche vissé et les fretless à manche conducteur. Je trouve que c’est le meilleur de chaque monde. Aux Thumb frettées l’attaque supérieure, le mordant et la définition, aux fretless la profondeur, le grain et la chaleur. Bref, cette fretless est un plaisir. Elle est extrêmement bavarde. Je l’ai assez vite mariée avec des TI Jazz Flats , ce que je ne fais d’habitude jamais avec les fretless mais dans ce cas, c’est extra. J’ai tout ce que je veux de mwah et de précision, elle ne sonne pas du tout éteinte. Un mot sur les micros et le preamp : j’adore. A ce chapitre, elle n’est pas surclassée par son ancêtre. Les micros n’ont pas de personnalité particulière, mais l’equalo 3 bandes est très bien foutu. Il me semble très différent de celui que j’avais sur une NT5 moderne (9V) et nettement mieux. Le potard d’aigu a un fonctionnement assez particulier car il travaille aussi les hauts-médiums en parallèle. Par exemple, quand on coupe les aigus, les mids sont boostés et inversement. Ça donne un timbre très différent avec un seul potentiomètre. Une petite remarque : avec plus de deux octaves par cordes, une Thumb NT 4 cordes a une tessiture de 5 cordes à 21 frettes. Autant de notes que sur ma Fender Dimension V ! Un bassiste à petits bras peut la passer en BEAD et de jouer à partir de la cinquième position ! Allez, voila de la bafouille sonore. D'abord en round wound : Le potard d'aigus, en full boost, à plat et full cut. Interessant non ? Maintenant, en flatwound TI JF344 : Alternée avec la BO4 en round : En video avec prise de son devant l'ampli : Le potard d'aigu :
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  30. On ne peut pas complètement comparer le bénévole d'une asso et un youtubeur. Pour reprendre un de tes exemples, le type qui encadre un club de sport de son patelin, ça lui prend grosso modo une journée par semaine, sur son temps libre (ou son temps de retraité, les retraités étant le plus gros contingent de bénévoles). Faire une vidéo un peu qualitative avec du vrai contenu, ça demande plusieurs jours de travail. Si tu veux faire une parution régulière genre hebdomadaire (ce que te presse YT de faire, et si tu ne le fais pas, tu n'es pas mis en avant) ou bi-hebdomadaire, ça devient un boulot à temps plein ou presque. En attendant, faut payer les factures. Et ceux, il y en a, qui n'en n'ont rien à foutre de la rentabilité, qui font des vidéos qualitatives mais au rythme qui leur chante, ceux là ne sont pas du tout mis en avant par YT, le résultat c'est que très peu de gens les voit et bon, quand tu fais des vidéos c'est pour que ce soit vu, même si tu ne compte pas en tirer un bénéfice financier. Si malgré la qualité du contenu tu plafonnes à 200 vues par vidéo, tu gardes pas la foi bien longtemps.
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  31. Je verrais bien un système "Netflix", sur une nouvelle plateforme : - abonnement a 0,01 ct / mois direct pour chaque chaîne (1000 abonnés : 10€, 10 000 : 100€). Avec chaînes découvertes+ algo "recomm c'est 10 fois plus que YT actuellement (1€ les 1000 vus) - les créateurs paient un droit d'entrée, + loyer fixe pour la maintenance et location des serveurs...bail de 2 ou 3 ans. Le fait de - payer - pour eux, c'est très différent de - pouvoir gagner -, la sélection se fera naturellement. (Il est là le bug du tout gratuit) Il faudrait faire le business plan mais ça (re)fait un bouquet "satellite" : 100 chaines pour 1€. Pas besoin de pub. Suffisamment rentable. Je ne connais pas le coût d'entretien des serveurs et de l'équipe a mettre en place ... mais a vu de nez, le plan de financement est - largement - viable pour tout le monde : excellent pour les créateurs, très raisonnable pour les consommateurs, encore plus pour le prestataire de plateforme. Ah oui ... Ça tue la mode "du tout gratuit"... Mais rien n'est gratuit, a part rêver. Plus que certain qu'une plateforme Franco-Européenne éclate toute concurrence. Je crois que je vais sortir un tableur tiens...
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  32. Bon ça marche pas avec mon iPhone. allez je prends mon courage à demain, avec ma troisième main j’allume un cierge pour qu’un jour on puisse poster des images de façon un peu fluide et je vous met ça. en tout cas merci de votre aide !!
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  33. Youtube qui pousse du contenu de qualité, vous parlez bien du réseau dont la grande star d'il y a quelques années était PewDiePie et regardez le top d'aujourd'hui pour vous en convaincre. Le modèle de financement est le même qu'à la télé (pub, audimat) avec les mêmes travers : la majorité des gens salue Arte pour sa qualité mais tout le monde regarde Hanouna. Par rapport à ce qui a été dit, l'exemple de Scott Devine vs Darizcurien est marrant parce qu'au contraire je pense que Scott Devine a très vite compris que Youtube n'était pas une fin en soin et il a monté un vrai business avec son école et il utilise Youtube pour ce qui marche, le putaclic et la pub. Et surtout, il a monté une équipe qui gère ça. Pour l'exemple malheureux des Sondiers, il suffit de suivre régulièrement des Youtubeurs pour voir que ce problème existe depuis un moment et des bien plus gros galèrent alors ce n'est pas étonnant (et encore, on ne parle pas des problèmes de réclamation). Je pense (qu'en plus de ce qui a été dit) qu'il y a aussi un problème de génération, ça fait une dizaine d'année que la monétisation existe et les jeunes qui se sont usés à faire des vidéos ont pour certains une famille et c'est plus possible de garder ce rythme.
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  34. Petite cover vite fait pour montrer le son de la Moollon dans un contexte plus soul, montées avec des vieilles TI ça sonne comme je veux qu'une PB sonne
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  35. Et ouais, du coup quand je fais une vidéo d'une ldb des red hot j'ai presque 20K vues, alors qu'une ldb de Louis Cole c'était à peine une centaine (mais elle est passée à 2,5K depuis la mise en ligne de celle des red hot haha). Alors qu'objectivement la ldb jouée par Sam Wilkes défouraille bien plus que celle jouée par Flea. On refera pas le monde. Du coup je la remets, histoire de peut-être passer les 20K, merde quoi ps : j'ai pas écouté leur dernière sortie, je ne suis même pas sûr de le faire un jour (pourtant j'étais un fan des RHCP)
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  36. woh !! J'ai eu une SB 700 et 900 mais je la trouve encore plus belle comme ca
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  37. C’est vrai que les préamps spécifiques basse ont plus l’habitude d’émuler les lampes que de les embarquer. Etrange alors que pour les preamps studios génériques il y a foultitude de préamps a lampe qui sont parfois utilisés, avec plus ou moins de succès, avec une basse (des plus cheap berhinger ou Art tube MP au trés luxueux Manley, la recherche « pramp studio » + Lampe sur thotho renvoie...76 résultats !). Peut être que les lampes apportent pas plus que ça au son de basse. Aprés, je reste sceptique sur la capacité d’un préamp d’entrée /moyenne gamme (donc avec des composants standards), alimenté par un petit transfo 9-15v, a exploiter une lampe correctement. Pour moi on est plus proche de l’argument marketing qu’autre chose. Ahhh, la fameuse « chaleur », indescriptible petit plus que seul l’oreille avertie saura distinger, dont regorgent les avis positifs sur les forums... On oublie trop souvent que ce plus magique est apportée par une pauvre lampe chinoise anémique qui reçoit a peine assez de jus pour rougeoyer doucement au travers de la petite grille toute jolie pour montrer qu’il y a bien des vrais morceaux de lampes dans mon yogourth a la pédale ... Peut être que les bassistes sont plus exigeants sur le son et moins enclins que nos amis chanteurs/guitaristes a se laisser bercer par des illusions auditives sussurées par un marketing bien fait ?
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  38. c'est grace à la stingray que je me suis mis au slap, malheureusement mes petit knacki avaient du mal sur la belle, la bonne mais génereuse américaine, sa grande soeur la bongo, plus "svelte", me premettra peut etre de m'envoyer deux heures d'exercice slappé sans hurler toutes les dix minutes et de ne pas faire des pauses aussi longues que les exercices.
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  39. Mon objectif, c'est plutôt l'information Oliv, mais c'est assez gag à quel point entedre un instrument donne envie de l'acquérir, c'est vrai. Remarque, pour un machin qui sert à faire du son, c'est assez logique et c'est même rassurant que les bassistes ne se fient pas à 100% qu'au look (ça doit être à 95% mais c'est déjà bien...).
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  40. Je dirais que la Bongo est la version moderne de la Stingray, ou alors que la Stingray est la version roots de la Bongo... a toi de voir...
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