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  1. Bonjour, Un petit retour positif concernant ce vendeur, car, quand un professionnel assure, il faut également en parler. Voilà, j'ai commandé le 20 février un jeu de cordes Savarez ainsi que quelques outils chez Emma Music comme ça m'arrive régulièrement ; Le 24 février, le service de suivi Colissimo m'indique "Votre colis est dans le site de livraison qui dessert votre adresse. Nous le préparons pour le mettre en livraison." Je précise que j'ai choisi une livraison en relais "pickup" avec ouverture des casiers de retrait par code envoyé par sms. vendredi j'envoi une première réclamation au service Colissimo et une réponse automatique m'informe que mon colis est disponible au point de retrait... J'envoie un second mail indiquant que le message de suivi sur le site n'avait pas changé et que de toute façon je n'avais aucun code afin d'ouvrir le casier "pickup". Ce matin, je reçois un coup de fil du service client de Colissimo, et cette personne m'indique que le colis est bien disponible au point relais... Je lui rétorque que le casier ne s'ouvrirait pas par enchantement sans les codes... "Ah monsieur, c'est la filiale Chronopost qui gère les bornes pickup, mais je vais leur demander de vous fournir les dits codes"... Et plus rien ! Je téléphone à monsieur "Emma Music", lui explique le chmiliblic postal, et là, "pas de soucis, je vous réexpédie immédiatement la commande à l'identique, le colis perdu finira par nous être retourné un jour... ou pas." Je tenais à exposer la qualité du service de Emma Music, pour un problème dont ils ne sont pas responsable. Bravo !
  2. Et c'est parti pour les articles mis en ligne en Février 2021 ! Groupe du mois Notre groupe du mois de Février 2021 était : Horskh Originaire de Besançon, Horskh débarque, après une campagne de financement réussie, avec un Wire qui frappe vite et fort, comme un uppercut dans la mâchoire. Il ne reste plus qu'à l'auditeur surpris par cet enchaînement de torgnoles [...] (Lire la suite) Les articles/dossiers (2) Un Nouveau Titre De Baume En Exclu COREandCO Radio S08E06 - Avec Interview Fall For Rising Les chroniques (45) ANOTHER FIVE MINUTES - Fil Rouge BIRTH OF THE MONOLITH - Cult BLACK PESTILENCE - Hail THe Flesh CULT OF LUNA - THE RAGING RIVER DSM - Elévations ECHOPLAIN - Polaroïd Malibu EWIGKEIT - Depopulate EP EXIMPERITUS - Šahrartu EXODUS TO INFINITY - Archetype Asylum FHAIL - Engraved Misery FONTAINES D.C. - A Hero's Death FREAKY FUKIN WEIRDOZ - Culture Shock FREEHOWLING - Journey of a Dead Man (EP) FUKPIG - Spewings From A Selfish Nation GARMARNA - Förbundet GRIMA - Rotten Garden GRIME + -(16)- - Doom Sessions Vol.3 GRORR - Ddulden’s Last Flight HELAK - Heritor HIGH ON FIRE - Death Is The Communion HORSKH - WIRE HUMANITY'S LAST BREATH - Välde IRON FLESH - SUMMONING THE PUTRID KOMATSU - Rose Of Jericho LOS MALES DEL MUNDO - Descent Towards Death MANSFELD - Max und Moritz MORS PRINCIPIUM EST - Seven NOYADE - Into Dust NUDIST - INCOMPLETE ORCRYPT - Balrog & Roll PANOPTICON - Live Migration PSYKUP - Hello Karma! PUTAN CLUB - Filles De Mai SCARRED - Scarred SKULLSTORM - Skullstorm TENDINITE - Neither/Nor THAT HANDSOME DEVIL - Your Parents Are Sellouts THE CHORIZO VIBES - Flying HDD THE CHORIZO VIBES - Jigoku No Heisei Rhapsody THE COSMIC TRIP ADVISORS - Wrong again, Albert... VEGAN PIRANHA - Kill All The Surfers VERMILIA - Kätkyt VIDEO NASTIES - Dominion VOMITORY - Terrorize Brutalize Sodomize WARSIDE - The Enemy Within Les interviews (1) MELTED BODIES
  3. TFPK

    Zikmaniaques

    +1 avec @fbassman, et à mon avis trois phénomènes se conjuguent : - l'augmentation des tarifs neufs qui rend l'achat d'une Special pas forcément dans le budget de quelqu'un qui veut se payer une Musicman et donc se rabat sur les occas', il y a du coup plus de demande d'occas' qu'avant... - les Stingrays normales sorties du catalogue, ce qui rend l'achat d'une """vraie""" (=version historique) SR possible uniquement en occas', ce qui augmente encore la demande sur le marché de l'occasion car "La SpéCiaLe c'Est pas uNe vRaie stinGRay !" - la gamme Sterling by Musicman qui s'est énormément étoffée au fil des ans et rentre en neuf en concurrence avec l'occasion Musicman made in USA : qualité des matériaux, choix de coloris, etc... certains vendeurs gonflent leurs prix en estimant que leur basse Made in USA vaut quand même mieux qu'une SbyMM. Les trois effets cumulés et l'effet d'aubaine de certains vendeurs qui pensent du coup avoir de l'or entre les mains donne l'augmentation. A vrai dire je vois aussi beaucoup de MM trainer en vente car 200 euros trop chères. Celles au juste prix disparaissent vite, c'est bien que les acheteurs savent qu'il est encore possible d'en trouver à prix raisonnable.
  4. yaip

    Mudbucker ?????

    Le niveau de sortie d'un micro ne dépend pas de sa résistance. Il y a l'aimant qui joue, selon ses propriétés magnétiques. Le nombre d'enroulement, la surface des boucles doivent jouer aussi. La position du micro joue également. Plus il est proche du manche, plus le mouvement des cordes est important. 1,2 kohm pourquoi pas. Il faut comparer entre des types de micros équivalent. Edit : j'ai lu ça quelque part : "Le Mudbucker: est un pick-up humbucker Sidewinder, appelé ainsi parce que les bobines sont latérales au lieu de verticales et que, dans ce cas, les barres magnétiques sont situées à l'extérieur des bobines. La partie "mud" est ce que certains définissent en terme affectueux pour le son du micro. C'est boueux. Il a un son énorme et une énorme quantité de basses, mais presque pas de médiums, ni d’aigus, à cause de sa position près du manche, et à cause des deux bobines surchargées. Le champ magnétique est transmis à travers une plaque d'acier. Donc, parce que le champ magnétique est faible, les bobines doivent être longues. Les vintage ont environ 25 Kohm de 42 awg (0,063 mm de diamètre et section 0,0032 mm²) de fil de cuivre et deux aimants Alnico 5. Dans les années 70, les basses EB ont un mudbucker avec différentes spécifications, avec environ 1,5 Kohm, dû à l'utilisation d'un fil de cuivre plus épais 40 awg (0,079 mm de diamètre et section 0,0049 mm²), probablement pour réduire les coûts (40 awg nécessitent moins de tours pour compléter la bobine). Le son de cette version tardive n’est pas très bon, et n’a pas le caractère «subsonique» des premiers mudbuckers. "
  5. Salut les amoureux du carbone ! Je sais qu'on a déjà parlé d'elle dans ce fil, mais pourquoi la Funk Unlimited verte qui est sur Bass chat est toujours dispo ? À vrai dire elle m'intéresse pas mal et je trouve le prix pas déconnant par rapport aux 4 cordes. Je me doute qu'il y a une histoire d'offre et de demande, mais quand même, sur le papier elle a pas l'air dégueulasse, au contraire.
  6. Bienvenue @colebri. Ta remarque est judicieuse, en particulier pour ton application. Pour un switch de basse, puisque le micro ne fournit qu'un fil (et non un rail comme pour un panneau électrique) on préfèrera connecter le 6 au 3 (ou au 2 comme finalement tu le proposes). Merci pour ta contribution, et pense à faire connaissance >ici<
  7. bonjour c'est ma 1er intervention sur ce forum. merci pour ces infos intéressantes qui m'ont bien servi; si je peux me permettre, votre schéma diffère légèrement de celui proposé en début de page issu du site de Seymour; en effet sur ce dernier, un des contacts d'un des 2 va & vient est en l'air alors que sur votre schéma, tous les contacts sont raccordés; j'ai repris le schéma Seymour à partir du votre (la liaison 6 - 3 est inutile) pour visualiser cette différence: vous allez me dire que cela ne change rien dans votre cas, dans la mesure où le commutateur que vous utilisez dispose de 2 inverseurs, et je suis d'accord avec cela. mais pour mon utilisation, la différence est de taille, car je souhaite employer ce montage dans un cadre différent de l'audio, en l'occurrence sur un tableau électrique, et l'économie de ce contact me permet de passer de cela: à cela: l'encombrement n'est pas le même donc l'économie de ce contact est profitable! PS: désolé si cela a déjà été mentionné dans ce fil de discussion, je ne l'ai pas lu en entier
  8. Dans un des fil de présentation j'exprimait mon intention d'achat d'une P-Bass mais ni Fender, ni Squier car pas le budget pour le premier et persuadé qu'en rapport qualité prix il y a mieux sur le marché que le second. J'ai essayé il y a quelques mois cette basse en Allemage et elle sonne plus Precision qu'une Precision avec une finition très correcte : http://ariaguitarsglobal.com/product/stb-pbb/ Quand j'ai voulu l'acheter à mon retour en France : Pas importée J'ai continué ma quête et je pense que j'ai trouvé une PBClone du même calibre : https://www.washburn.com/product/sb1p-2/ Certains d'entre vous ont ils déjà joué dessus? Mon dealer me dit que Washburn sont des gens sérieux même si cette dernière est assemblée en Chine.
  9. (Opens in new window) «Ceci n’est pas un complot» : que sait-on du documentaire belge sur le traitement médiatique du Covid ? Vu plus d’un million de fois en ligne depuis sa sortie début février, le film s’attache à critiquer la couverture médiatique de la crise sanitaire. Mais tombe dans les travers qu’il entend dénoncer. par Vincent Coquaz publié le 17 février 2021 à 8h05 Raconter «comment les médias nous racontent le Covid». Et plus précisément, les médias belges, même si la France est parfois évoquée. Telle est l’ambition du documentaire Ceci n’est pas un complot, diffusé gratuitement en ligne depuis le 6 février, et qui connaît un véritable «succès d’audience», selon la presse belge. Rien que sur Vimeo, le film compte plus de 600 000 vues, auxquelles il faut ajouter des dizaines de milliers de connexions sur d’autres plateformes comme YouTube ou Odysee, pour un total de plus d’un million de visionnages. En France, il a notamment été relayé par le «média citoyen» Vécu, né pendant le mouvement des gilets jaunes, par le blogueur Etienne Chouard mais aussi par la députée européenne écologiste Michèle Rivasi. Derrière ce film, Bernard Crutzen, réalisateur de nombreux documentaires, aussi bien sur la ville du Bruxelles que sur le scandale de la chlordécone en Martinique ou sur l’Artemisia, une tisane censée prévenir et soigner le paludisme. La plupart ont été financés et diffusés par des chaînes de télévision, comme France 24 par exemple. Pour financer son nouveau projet sur le traitement médiatique du Covid, le Belge a cette fois préféré faire appel au financement participatif, et obtenu plus de 84 000 euros alors qu’il n’en demandait que 30 000. «Instrumentaliser les médias» Le thème du film, son titre mais aussi son succès et son mode de financement ont pu conduire certains internautes à rapprocher le documentaire belge du film conspirationniste français Hold-Up. Le réalisateur belge s’en est défendu plusieurs mois avant la sortie de son film, dans un post Facebook qui prenait directement ses distances avec le docu français. Tout en se disant «surpris par le lynchage médiatique et la censure que subit Hold-Up», Bernard Crutzen écrivait, à propos de Ceci n’est pas un complot : «Ceci n’est pas un Hold-up. Nous donnons la parole à des personnalités qui n’ont rien de “complotistes”. […] Nous n’élaborons pas de théories conspirationnistes sur la base d’informations contestables.» De fait, contrairement à Hold-Up, le documentaire belge ne s’attache pas à démontrer que la pandémie serait un «plan global [pour] soumettre l’humanité». Il s’attache plutôt à faire une lecture critique du traitement médiatique de la crise sanitaire, en s’attachant à démontrer que les médias, notamment la télévision, auraient voulu à tout prix créer un «climat anxiogène». Il revient également sur certains débats déjà ouverts dans d’autres médias, comme sur la fiabilité des chiffres donnés par les gouvernements (belge en l’occurrence) ou sur la participation de cabinets de conseil privés, comme McKinsey, aux politiques de santé publique (avec le risque de conflits d’intérêts que cela comporte). Contrairement à Hold-Up, le film donne parfois (même très succinctement) des contrepoints, en interrogeant par exemple le directeur de l’information de la RTBF. Et le réalisateur a reconnu et corrigé au moins une erreur repérée dans le film. Le film donne également à voir certaines stratégies médiatiques du gouvernement belge. Le documentaire montre ainsi des extraits d’une conférence du virologue belge Marc Van Rast, en l’accusant d’avoir «instrumentalisé les médias» lors de la pandémie de grippe H1N1 de 2009, pendant laquelle il a été nommé commissaire interministériel pour la gestion de crise en Belgique. Dans la vidéo en question, on le voit faire une présentation, en 2019, devant le Groupe de travail scientifique européen sur la grippe (l’ESWI, qui assume un rôle de lobbying en faveur de la vaccination contre la grippe, selon le Sénat français). Il évoque le travail de communication qu’il a mené lors de la pandémie de 2009, avec un «budget média de zéro euro». Selon lui, sa stratégie a consisté à «tout dire» et à être joignable en permanence par les journalistes pour faire passer son message et afin que ces derniers ne cherchent pas «des voix alternatives». Il assume également, souvent en utilisant humour et second degré, d’avoir évoqué très tôt des décès probables, quitte à faire peur, pour «préparer» la population avant les premières victimes. A noter qu’il n’y a rien de secret ici : depuis deux ans, sa conférence est librement accessible sur Vimeo. «Ceci n’est pas un complot, mais…» Le documentaire avance toutefois (sans être en mesure de le prouver) que «les mesures liberticides» prises par les gouvernements pour lutter contre la pandémie de Covid-19 ne seraient «pas sanitaires mais sécuritaires» : «Ceci n’est pas un complot, mais peut-être bien l’utilisation d’une crise sanitaire pour imposer un monde virtuel et technologique, hygiéniste, dénonce le documentaire en conclusion. Une formidable opportunité pour ceux qui rêvent de pouvoir fort et de peuples sages. Mais qui partage ce rêve ?» Il s’attaque ainsi aux cibles «habituelles» des thèses complotistes sur le Covid-19, Bill Gates en tête, coupable selon le documentaire de pousser, à grand renfort de dons, pour la «vaccination de masse». Là encore, le film se défend de tout complotisme : «Ceci n’est pas un complot parce que Bill Gates ne fait rien secrètement : la fondation Gates a le mérite d’être transparente. Sur son site, on trouve tous les bénéficiaires de ses largesses.» Comme le résume Jean-François Raskin, professeur de sociologie des médias et administrateur général de l’IHECS, dans une tribune publiée par le journal la Libre Belgique : «Même si on ne peut pas le comparer à Hold-Up, et que son travail ne tente pas de démontrer qu’il y a un complot, [ce documentaire] distille ici et là la possibilité de mains invisibles qui influeraient sur les processus de décisions, sans dire lesquels et dans quelles conditions. Cette carence d’explications crée un “biais de confirmation” dans lequel viennent se loger toutes les théories sur l’instrumentalisation des journalistes par des forces obscures supposées être à la manœuvre.» Signe que le documentaire a suscité un débat en Belgique, le même professeur utilise toutefois sa tribune pour appeler les médias belges à saisir l’occasion de faire «un exercice d’autocritique» : «Il ne serait pas utile et sain qu’un documentaire, même avec ses défauts, soit entièrement mis au rebus et dédouane la profession d’un examen du travail réalisé depuis un an maintenant. […] Le Parlement a créé une commission d’enquête sur la manière dont les autorités ont géré l’épidémie. Il serait intéressant que les journalistes puissent examiner sereinement la manière dont ils ont travaillé et rendu compte à la population.» «Gratin de la science mondiale» Le film reproche par ailleurs aux médias de faire des simplifications douteuses, toujours pour entretenir la peur quant à la pandémie. Mais Ceci n’est pas un complot tombe également dans des raccourcis, laissant entendre que les tests PCR ne seraient pas fiables en raison d’un nombre de cycles d’amplification trop important, sans jamais expliquer la différence entre des notions cruciales comme le nombre total de cycles effectués et la valeur Ct (qui est le nombre de cycles à partir duquel les fragments viraux sont suffisamment nombreux pour être détectés). Ainsi, comme l’expliquait CheckNews, les tests RT-PCR pour lesquels le Ct est trop élevé sont considérés comme négatifs par les biologistes médicaux. De la même façon, le documentaire estime que les médias ne présentent pas toujours correctement les experts qui interviennent sur leurs antennes. Mais le documentaire fait souvent une présentation partielle, et partiale, de ses intervenants. C’est le cas par exemple de Sophie Meulemans, présentée comme la fondatrice d’Initiative citoyenne, qui défend la «liberté vaccinale»… alors que cette association est en réalité la «figure de proue» du mouvement anti-vaccin en Belgique, selon le Soir. Et pas que : le site d’Initiative citoyenne relaye les vidéos de la militante américaine anti-masque et complotiste Judy Mikovits, ou du vidéaste belge Jean-Jacques Crèvecœur, qui estime (par exemple) que le Covid a pour but d’instaurer une dictature à l’aide de «gel nanotechnologique» pour nous identifier numériquement, et ce grâce à la 5G… Ceci n’est pas un complot évoque aussi ces scientifiques, «gratin de la science mondiale» issu des plus grandes écoles internationales, qui mèneraient la fronde contre les mesures prises par les gouvernements pour lutter contre la pandémie. Le documentaire prend comme exemple des médecins américains, qu’on voit expliquer en blouse blanche qu’il ne «faut pas céder à la panique». Le réalisateur oublie ici de préciser qu’il ne s’agit pas de n’importe quels médecins mais des America’s Frontline Doctors, composés de voix conservatrices et pro-Trump qui estiment (à rebours de la littérature scientifique) qu’il n’y «a pas besoin de masques» pour empêcher la propagation du Covid-19. A titre d’exemple, on retrouve dans ce collectif la docteure Stella Immanuel, véhémente défenseuse de l’hydroxychloroquine. Egalement pasteure, elle assure que de nombreuses maladies gynécologiques sont dues aux «esprits», qui auraient des rapports sexuels avec les malades, ou que de l’ADN d’extraterrestre est utilisé pour soigner les patients. Loin du gratin de la science mondiale, donc. Capture d'écran de «Ceci n'est pas un complot» montrant les America's Frontline Doctors. Concernant la France, le documentaire note qu’une certaine «opposition» a été médiatisée. Il cite ainsi plusieurs personnalités controversées, en les qualifiant simplement de «professionnels», comme les rassuristes Jean-François Toussaint et Laurent Toubiana. Sans préciser que ces scientifiques, qui niaient (à tort) l’arrivée d’une deuxième vague, ont disparu des grands médias, et refusent tout mea culpa. Mais aussi le réanimateur Louis Fouché et la généticienne Alexandra Henrion Caude, promoteurs d’un traitement précoce contre le Covid-19 reposant sur des bases scientifiques hasardeuses. Ou le médecin Christian Perronne, récemment démis de ses fonctions de chef de service à l’AP-HP pour ses propos jugés «indignes». «J’ai conscience d’avoir été injuste» Des choix que le réalisateur assume notamment en se disant plus «documentariste» que «journaliste», dans une interview accordée à l’Avenir (sollicité par CheckNews, Bernard Crutzen n’a pas donné suite) : «Mon métier, c’est documentariste. Je fais du cinéma du réel. Ça veut dire que, pour ce film comme pour les précédents, il y avait un scénario, plusieurs versions, donc un parti pris. Ce côté militant, je l’assume. Oui, je suis partisan, c’est le principe du docu : son réalisateur a un a priori et va chercher ce qui le conforte ou pas.» Il assume même une forme de mauvaise foi stratégique : «J’ai conscience d’avoir été injuste, et j’ai probablement été trop loin dans la dénonciation et la critique des médias. Mais je vois aussi mon film comme un contrepoids : la balance a beaucoup et longtemps penché du côté du gouvernement et de sa communication anxiogène, si bien que pour l’équilibrer et être entendu, il fallait peut-être que je tape un peu trop fort de l’autre côté.» Résultat : le caractère «orienté» du documentaire a poussé plusieurs intervenants importants du film à prendre leur distance avec le travail de Bernard Crutzen. C’est le cas par exemple de l’épidémiologiste Marius Gilbert, qui estime que «sous le couvert d’une légitimité incontestable à réaliser une critique des médias sur la couverture de la crise, cette vidéo divise au lieu de rassembler et ne propose rien d’autre qu’un alignement d’éléments de dénonciation traités de manière orientée et superficielle». L’anthropologue spécialiste du complotisme Jacinthe Mazzocchetti, que l’on voit à plusieurs reprises dans le documentaire, a dénoncé, de son côté, l’usage qui a été fait de ses interventions. Dans un long post Facebook, elle juge ainsi «que le film pose, non pas l’hypothèse (avec questions, arguments, contre-arguments), mais la thèse d’une propagande médiatique consciente, malveillante, unilatérale ; sujet traité de façon manichéenne, d’une part, et, d’autre part, pour lequel je ne suis pas compétente. Il est à regretter par ailleurs qu’aucun académique spécialiste du langage médiatique, de la communication, des logiques de propagande n’apparaisse dans le film». Plus grave encore, selon elle, le film donne des billes aux complotistes : «La manière dont le film est conçu ne peut qu’alimenter les groupes complotistes, aider à basculer ceux et celles qui, sur le fil, se posent de bonnes questions, mais risquent de trouver réponse du côté de groupes complotistes et/ou extrémistes. Contrairement à la conclusion énoncée, je ne pense pas que ce film participe à ouvrir un débat démocratique nécessaire, mais au contraire qu’il participe à cliver davantage et à alimenter non pas le doute et une pensée critique salutaire, mais la défiance généralisée.» © Libé 2020
  10. ► La largeur et l'épaisseur du manche ont-elles une influence perceptible sur le son d'une PB ? Peut-être devrais-je poser cette question sur le fil des questions à la c... qu'on n'ose pas poser En ce qui me concerne je me sens à l'aise sur ma Jazz Bass. Pour une Precision j'envisage la Player parce qu'elle a un manche fin sur lequel je ne serais pas dépaysé : largeur au sillet 41,3 mm (à peine plus que les 38 mm de la JB), mais surtout même profil "modern C" et même épaisseur que la JB Player, soit 21 mm à la 1ère frette et 23 mm à la 12e.
  11. je retiens 2 phrases : Fifi : "depuis le début de la pandémie , je n'ai même pas reçu un coup de fil de certains amis" Clotilde : " je pense que le covid remet tout à plat"
  12. hello , hier je suis donc allé au shop où j'ai acheté la sire v5 et qui dispose d'ailleurs d'un luthier Clairement , ma tête d'ampli n'est pas incriminée Le luthier à repris le cablage fait par celui qui devait me résoudre le problème Apparemment c'était pas très orthodoxe , il m'a tout repris nickel et a fait un peu plus sortir le fil de masse sous le chevalet pour une meilleure connexion Chez moi , nickel ( juste le petit bruit de fond des simples ) A voir maintenant au local de répétition , mais c'est de bonne augure . J'aimerais ,maintenant parti sur de bonnes bases , upgrader les micros pour un son dynamique précis et chaud ( je joue funk , soul ) Je pensais aux HEPCAT 72..... Le shop me propose à un meilleur prix des BARE KNUKLES J BASS - '60 HF , en me disant que ce sont de tueries .... Je ne sais quoi penser du coup... Qu'en pensez vous ? Merci d'avance de vos retours Thierry
  13. En cas de mauvaise connexion entre le fil de masse et le chevalet il y aurait eu aussi un buzz quand je l ai ramenée au shop pour leur montrer le souci ( qui ne s est pas fait entendre ) ??
  14. Vérifie la bonne connexion entre le fil de masse et le chevalet (il te faut démonter le chevalet).
  15. J'ai essayé des LaBella 760 FS (45-105) sur ma Jazz Bass. Je joue habituellement avec des 45-105 roundwound et je ne me suis pas senti dépaysé avec les 760 FS. Elles donnent une certaine sensation de raideur, mais ça n'a rien de désagréable et on s'y habitue très vite (enfin, je parle pour moi). Je n'ai même pas eu besoin de retoucher le manche ; il est un peu plus creusé mais je m'y suis fait en moins de temps qu'il ne m'en aurait fallu pour retoucher le truss rod. Elles sonnent très bien, comme je l'attends de flatwounds. Je ne sais pas décrire ce son avec des mots, mais je dirais une attaque forte et riche suivie d'un decay rapide et d'un sustain mat, un peu comme une contrebasse. Et puis je me suis rendu compte que cette sensation de raideur influe aussi sur la manière de jouer, ça m'oblige à attaquer les cordes plus proprement en étant plus attentif à l'articulation, ce qui contribue certainement à renforcer encore le caractère "contrebassistique" du son. Bref, une expérience tout à fait positive en ce qui me concerne. ___ J'ai aussi essayé des d'Addario ECB80 (40-95). Je n'ai pas aimé. Elles n'ont pas de son (en tout cas pas celui que j'ai décrit ci-dessus) et je trouve leur toucher désagréable (une espèce de sensation de fil de fer mou).
  16. En fait, contrairement à ce qu'on peut penser, c'est le contraire. Le corps humain est neutre électriquement (puisque relié à rien) alors que l'ampli est référencé au réseau de masse qui est pollué par des courants de fuite et comme il y a des mètres de fil avant de rejoindre la terre (neutre électriquement aussi), il y a une différence de potentielle sur la référence de l'ampli et donc par rapport au doigt.
  17. D'un coté j'ai ma Sadowsky 5 qui fait 3,7kg donc légère. J'ai une sangle Sadowsky en Néoprène mais malgré cela elle à tendance à piquer très légèrement du nez. Vraiment rien de grave mais c'est une JB... A l'opposé j'ai ma Fodera 5 qui pèse 4,9kg et elle atteint les 5kg avec la grosse sangle Gruvgear en Néoprene. Par contre elle ne pique pas du tout du nez et l'ergonomie est parfaite. Je la trouve plus facile ajouter que ma Sadowsky 5. Pourtant la Sado est en 34" alors que la Fodera est en 35". Attention, je ne dit pas que la Sadowsky est difficile à jouer. Je dis que la Sadowsky est une super basse très très facile a jouer mais que la Fodera l'est encore un peu plus. Concernant le poids de la Fodera j'avoue qu'au début je revenais de répète avec le dos en compote. Je m'étais même dit qu'il va me falloir dégager du temps dans mon emplois du temps pour faire un peu de musculation afin de compenser musculairement. Puis, au fil des semaines, sans vraiment m'en rendre compte, je me suis habitué à son poids. J'ai pour tant des problème de dos (dorsales + cervicales) mais, au moment de partir en répétition rien a faire, c'est la Fodera que je met dans la housse. Avec l'habitude j'arrive maintenant a jouer 2h debout sans trop souffrir (je sens quand même mon épaule le lendemain si je fait 3h de répétition). Du coup je joue assis en répétition (tabouret haut) et ça le fait. En concert je joue debout sans rien si le set dur moins de 2h. Au de la je demande un tabouret haut sur lequel je me repose en restant debout (je pose juste les fesses en appui). Conclusion, je préfère les basses légères en général mais si une basse lourde me donne LE SON alors je fais avec Par contre je ne pourrais pas aller au deltas des 5kg. C'est déjà ma limite !!!
  18. Joel

    CV Gate

    Le fil vert sur le bouton bleu et le fil rouge sur le bouton jaune ;)
  19. alcor

    Le Topic Des Gauchers

    Là elle est à 1300€. J'attents un coup de fil du proprio.
  20. C’est une SR500, sdgr étant la référence complète. Avec cette référence, le produit a beaucoup changé au fil du temps. Maintenant elle est en acajou avec 2 humbuckers Bartolini mk1, corrects mais pas top. Là il s’agit d’une vieille série, il faut voir dans quel état elle est et comment elle est équipée. Un upgrade des micro peut être intéressant. Ce sont de bonnes basses et pour le prix tu ne prends pas de risque.
  21. Avant 96 il faut surveiller les aimants d’alternateur qui ont la fâcheuse tendance à se décoller..... et là c’est la mouise ça fout le la limaille partout. Donc si le couvre alternateur est plus récent que le reste méfiance.... sinon inspecte bien le carénage car il part souvent en dentelle. Et dernier point pas mal de gpz ont fait de la piste donc plutôt malmenées. Regardes si il n’y a pas du percage sur les boulons pour passer du fil de fer. sinon c’est des bécanes sympas bien que datée maintenant niveau châssis. C’est un frein à tambour je crois à l’arrière sur les phases 1.
  22. Non c’est une Greco, le logo a changé au fil des ans.
  23. Super ce fil, j'apprends des tas de trucs. Une question technique pour Pedro, sur une version précédente de ton grindboard tu alimentais ton LeBass avec l'alim Cioks DC7 ?
  24. slade

    Less is more ?

    Eh ben , faut se détendre un peu et savoir faire preuve d'un peu d'humour , ça ira beaucoup mieux ! Je suis adepte du Less ( Guitars ) is More ( Basses ) ! La première achetée en 1969 , la dernière arrivée il y a 48 H ( une très belle occasion dans tous les sens du terme ). A part ma première guitare et ma première basse , mes instruments ( et mes amplis d'ailleurs ) sont des occaz , ils ne restent pas dans leurs étuis , j'en ai plus que"nécessaire" - ( on peut aussi être "amoureux" de ses instruments et s'y être attaché au fil des années pour différentes raisons que je ne détaillerai pas ici ). Je n'ai pas besoin de me justifier ni de me faire analyser , tout va bien merci , et ce n'est pas pour autant que je ne fais pas par ailleurs attention à ma façon de "consommer "...on pourrait en discuter , mais ce n'est pas le sujet , puisqu'on parle basses ici. Bon week-end !
  25. Yac

    Less is more ?

    Disons que sur ce forum je prends la basse comme sujet et je suis sûr que ça concerne pas mal de monde ici. J'ai un copain qui s'est fait faire la basse de ses rêves et qui la joue tout le temps après avoir vendu tout ce qu'il avait dont une bonne demi-douzaine de basses qui n'étaient quasi-jamais jouées. On a quand même ce gros problème de GAS et je pense que c'est un problème car finalement on ne fait pas de meilleure musique au final. Une autre question que je me pose c'est qu'un instrument qui n'est pas joué ne développe pas son potentiel sonore au fil des années et un luthier m'a expliqué que les instruments, même électriques doivent être joués afin de donner leur plein potentiel sonore au fil des années. Je parle des instruments de qualité correcte. Donc au final, stocker comme beaucoup le font ça sert à quoi ? C'est juste une question, pas un jugement car moi même je me suis remis en question à ce niveau là.
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