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Caribou

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Everything posted by Caribou

  1. Pas seulement hors UE, méfiance aussi avec les virements franco-français. J'en ai fait les frais en me faisant escroquer de 450€. Une annonce pour un appareil photo que je cherchais, annonce crédible dans le prix et la description. Je contacte la vendeuse (avec un nom bien français, c'est très con mais je trouve qu'on se méfie moins si c'est une supposée vendeuse plutôt qu"un vendeur...), pose deux-trois questions rapides, à chaque fois il/elle me répond de manière cohérente avec l'annonce. Il/elle veut être payé par virement et m'envoie son RIB. Je constate qu'il est en FR et ne me méfie pas plus que ça (j'ai vendu et acheté des caisses de trucs sur Lbc, jusque là sans souci), fait le virement et... plus rien, je relance une première fois après 5-6 jours, il/elle me balade sur quelques mails et je comprends rapidement que je me suis fait avoir. Seulement avec un virement on a aucun recours, en tous cas avec les virements effectués en personne au guichet, ce que j'avais fait. Même si ça fait moins d'un mois. J'ai porté plainte à la gendarmerie pour le principe et ai fait mon deuil des 450€. Surprise, près d'un an après, une gendarme du bled où était domicilié le compte m'a appelé pour me dire qu'ils n'ont trouvé personne. En fait, quand on ouvre un compte en banque on a un mois pour authentifier son identité auprès de la dite-banque. Certains établissement sont assez peu regardants et permettent ainsi aux malfrats d'ouvrir un compte sous une fausse identité et une fausse adresse, avoir un RIB, y faire effectuer des virements et avant la fin du mois, retirer l'argent. Ensuite ils vont en ouvrir un autre ailleurs (j'imagine qu'il circule des listes d'établissements peu regardants), faire trois quatre arnaques et recommencer. En bref, les virements aussi il faut éviter, qu'ils soient hors UE ou pas.
  2. En théorie oui, ça peut faire des effets bizarres sur la corde. En pratique, si l'épissure n'est pas très longue, ça ne s'entendra pas. Par contre les épissures ne sont que rarement calibrées (vu que d'ordinaire elles se retrouve sur la portion de corde "morte") et je me demande si avec certaines cordes on n'a pas un risque de frise épissure/pontet.
  3. Mais c'est tout aussi précis qu'un chevalet classique. Avec un chevalet classique aussi il faut réaccorder quand on déplace le pontet pour l'intonation. Le réaccordage est certes de moindre amplitude mais on procède exactement de la même manière. Il n'y a aucune différence de précision du réglage de l'intonation entre ce chevalet et un autre, aux pontets classiques.
  4. L'action ne change pas, les deux réglages sont indépendants. L'intonation se règle ici exactement comme sur un chevalet plus classique, en reculant ou avançant le "pontet". En effet il faudra un peu plus alterner l'accordage à la mécanique avec le réglage du pontet. Mais sur un chevalet classique aussi reculer ou avancer le pontet nécessite de réaccorder. Ici le réglage d'intonation prendra de ce fait un peu plus de temps mais c'est de l'ordre de la minute... pour un réglage qu'on ne fait que si on change de tirant de cordes.
  5. Non non, on peut bien faire le réglage d'intonation. Exactement de la même manière ici qu'avec un chevalet plus classique. Dans les deux cas l'opération consiste à modifier la longueur vibrante de la corde. Qu'il y ait ou non de la corde "morte" derrière le pontet ne change rien. Il a l'air bien gaulé ce chevalet, bon par contre c'est pas une nouveauté, j'avais déjà vu ça ailleurs chez des luthiers (dont j'ai oublié le nom, ça date pas d'hier). Sans même parler des chevalets sans sillet, courants sur les ouds et les classiques d'avant la moitié du XIXeme siècle. Mais qui ne permettaient pas de réglage d'intonation et d'action. Je suis un peu circonspect en revanche sur la compatibilité avec toutes les cordes du marché, je me demande si les épissures de certaines marques et/ou modèles ne risque pas de poser de problème.
  6. Pour moi le problème de la flute à bec au collège c'est qu'il me parait impossible de faire des cours instrumentaux de qualité avec 25-30 débutants dont la plupart n'en n'ont rien à faire. Le chant est probablement la meilleure pratique musicale de groupe qui peut convenir à ce cas de figure. Des différents profs de musique que j'ai eu au collège, ceux qui m'ont laissé le meilleur souvenir mettaient l'accent sur la découverte de la musique (styles, genre, histoire, etc...) et sur le chant, tous ensemble ou deux par deux (pas de chant seul, pour ne pas trop se heurter aux complexes d'adolescence). Bien sûr, j'ai aussi eu un spécimen caricatural de la vieille prof de musique rigide, barbante et à même de dégouter tout le monde de sa matière.
  7. On peut avoir un son clair avec la British Invasion, en mettant le gain en début de course. Mais tu auras très vite du crunch en le montant un peu seulement si tu as des micros qui envoient un peu. Elle est quand même relativement polyvalente (plus que la Mojo Diamond je trouve). A partir de 3'30" tu le vois jouer avec le gain :
  8. Elles sont formidables les mini-têtes Hotone, et c'est vrai que je ne comprends pas non plus qu'elle n'aientt pas davantage de succès. Elles sont typées (faut pas se tromper de modèle) et en même temps les corrections sont ultra-efficaces, on change vraiment du tout au tout en bidouillant les 5 potards. Le seul truc qui leur manque, en tous cas pour les têtes dédiées guitare, c'est une reverb intégrée. J'utilise quotidiennement à l'atelier, les clients essayent leur guitare électrique sur la British-Invasion (branchée sur un 12" Ibanez) que j'aime vraiment beaucoup. J'ai eu la Mojo Diamond (typée Fender, bien clair), je l'avais pris pour que ce soit complémentaire d'avec la British Invasion (typée Vox AC30, qui crunch à souhait) mais au final j'apprécie tant cette dernière que je n'allumais jamais la Mojo. J'ai aussi la Thunder Bass mais qui m'a moins emballée. Elle est en ce moment chez un ami qui pourra dire ce qu'il en pense s'il passe par là ;)
  9. D'ailleurs, j'y pense, plutôt que de passer un coup de bombe sur le chevalet, le passer sur la brosse à dents et ensuite brosser le chevalet. Ça évitera d'en mettre trop sur la basse. Ça marche bien la brosse à dent pour les chevalets, c'est ce que j'utilise à l'atelier quand je dois en dépoussiérer un.
  10. Je ne savais pas qu'il y avait plusieurs versions du WD40, je pense à la version classique qu'on trouve partout. Le WD40 a cet avantage, entre autres, de chasser l'humidité de surface.
  11. Le truc à faire après avoir joué et plus particulièrement après un concert, c'est d'enlever l'humidité partout où la main s'est baladé. Un coup de chiffon sur le manche et les cordes (ainsi que sous les cordes), les micros et le chevalet. Et pour aller dans les interstices de ce dernier, un coup léger de WD40 et ensuite re-chiffon ou sopalin pour enlever l'excès. Bon, le WD40 après chaque concert c'est un peu la grosse artillerie. C'est surtout dans le cas de quelqu'un qui transpire beaucoup, c'est pas le cas de tout le monde, et a la main souvent posée sur le chevalet, c'est pas non plus le cas de tout le monde en basse. Pour la plupart des musiciens ce n'est pas nécessaire et on peut simplement se contenter de brosser avec une brosse à dents et un embout d’aspirateur (en marche) juste à coté pour enlever la poussière, et ça de temps en temps seulement, quand la poussière commence à s'accumuler.
  12. Pas que Music Man, d'autres aussi. En fait le terme qui convient n'est pas torréfié mais rétifié. Les deux procédés sont assez différents, la torrefaction consiste simplement à chauffer tandis que la rétification consiste à chauffer en atmosphère neutre, sans oxygène. Ça transforme la structure du bois, le rend plus dur (mais aussi plus cassant) et plus résistant aux xylophages et champignons. C'est très utilisé dans le bâtiment pour cette dernière raison. En lutherie, l'interêt est plus discutable mais ça rend le manche plus raide et supposément plus stable. En prime, une coloration qui donne un aspect vieilli.
  13. Tiens, ça parle de sustain ? Je croyais qu'il n'y avaient que les guitaristes à avoir cette étrange obsession Franchement, ça vous est arrivé souvent de vous dire "ah c'est dommage, il y aurait plus de sustain, ça marcherait mieux" ? Du sustain ok, mais pour quoi faire ? Dans la plupart des situations, TOUTES les guitares et basses du marché offrent suffisamment de sustain. Le sustain c'est devenu un élément marketing, dès qu'un fabricant propose une prétendue innovation (je dis prétendue, parce bien souvent ça consiste à réinventer l'eau tiède) il faut dire que ça améliore le sustain. Un sillet en laiton ? c'est meilleur pour le sustain. Un sillet en carbone ? c'est meilleur pour le sustain. Rajouter un poids sur la tête ? c'est meilleur pour le sustain. Alléger la tête ? c'est meilleur pour le sustain, etc...
  14. Oui, c'est quand même un peu bourrin le coup de la lame de rasoir. Ou alors je ne comprends pas bien le but de l'opération mais si ça consiste à niveler les petits pocs sur le dos du manche, c'est pas la bonne solution. Sauf à considérer que le vernis du manche doit être refait régulièrement. Edit : OK, j'ai compris, c'est pour supprimer la petite "marche" qui se crée au fil du temps sur le joint entre le skunk strip et le reste du manche. Alors pourquoi pas mais faut pas s'arrêter là, faut ensuite poncer fin et éventuellement repolir.
  15. Ouais enfin les luthiers quatuor ils ne font que le quatuor, ils ne touchent pas de près ou de loin à tout ce qui ressemble à une guitare, qu'elle soit acoustique ou électrique. Accessoirement les luthiers quatuors ne font pas de vernis tampon ;), le vernis des violons c'est du vernis à l'huile appliqué au pinceau. Ceux qui font du tampon en revanche ce sont les ébénistes (et certains luthiers guitare, surtout en guitare classique). 300 à 500€ pour décaper et revernir un corps d’électrique, ça ,n'a rien d'excessif. Certes il se trouvera des carrossiers qui le feront pour moins mais ils ne décaperont pas (ou alors ils le feront payer eux aussi) et le décapage pour arriver à un corps prêt à vernir t'en a bien pour 3 heures minimum. Quand au vernissage proprement dit,la spécificité du vernis d'instruments de musique c'est qu'il doit être le plus fin possible. Mais plus on fait fin, plus le risque est grand de percer pendant les phases finales du ponçage/polissage (voir le post de Glooby au-dessus). Alors une manière de s'en prémunir c'est de charger allègrement avec un vernis bien garnissant, ce que font les carrossiers et pas mal d'industriels de la guitare (PRS en est un parfait exemple, décaper une PRS, c'est pas des vacances...), mais on est alors plus proche de la finition d'une planche de surf que d'un instrument. Enfin il y en a qui aiment.
  16. Hé hé, le rendez-vous des anciens Pour ceux qui ne connaitraient pas, une chaine YT pleine de pépites sur HFT : https://www.youtube.com/user/sparadrapjoey/videos Par exemple : https://www.youtube.com/watch?v=psXZyUXHmjo
  17. La densité du frêne des marais est assez variable, sur le papier ça peut en effet avoir la densité du tilleul (très faible) mais en pratique, à chaque fois que j'en ai eu entre les mains c'était assez nettement plus lourd.
  18. Et quand bien même tu trouverais une CB gratuite avec des cordes neuves, après tout, pour quoi pas, faut aussi avoir à l'esprit qu'une contrebasse c'est un peu comme une voiture... La moindre intervention pour réglage ou réparation coûte cher, bien plus que pour la basse électrique où les opérations les plus courantes sont quand même dans un budget limité.
  19. A l'époque où je bossais en magasin, on avait une boite pleine de sillets de tête de différents types et différentes tailles, à poser direct. Quand j'avais un sillet à changer sur une guitare, je regardais toujours dans la boite, pour le cas où il y en aurait eu un qui corresponde et que ça m'épargne 1h de boulot... ce n'est jamais arrivé. Les sillets tout faits sont toujours à reprendre, même quand c'est supposé être identique, par exemple en en prenant un estampillé Fender JB pour monter sur une Fender JB. Et vu qu'il faut les reprendre, ça limite franchement l’intérêt de ces sillets tout faits, autant partir d'un bloc d'os.
  20. Faut se demander aussi d'où sort le sujet. Ce sont en général les journalistes qui sont demandeurs, pas les intervenants. Tu es journaliste, tu veux faire une pige sur le sujet, tu vas voir qui ? L'intermittent lambda qui était au SMIC avec ses indemnités et qui sera au RSA après ? ou celui pour qui tout roulait et qui tombe de haut ? Et celui qui tombe de haut, on lui demande comment ça se passe, il va dire quoi ? "Je ne ferais pas de commentaires" ? Ajoutes-y que si l'article ou le sujet n'est pas un tant soit peu sensationnaliste, il a peu de chances d'être diffusé/publié et que si son titre n'est pas putaclick il a peu de chances d'être lu ou écouté... Il ne s'agit pas dune tribune, c'est sans doute moins ce musicien qui veut faire pleurer dans les chaumières que la journaliste qui veut faire du sensationnel.
  21. C'est un peu hors sujet d'avec l'article en lien du premier post mais je trouve que les intermittents et leur(s) organisation(s) font une erreur de communication depuis un moment à propos de leur situation liée au covid. Je suis peut-être mal tombé mais tous les articles ou témoignage que j'ai pu lire ou entendre dans les médias sont sur le thème "ah, c'est dur de pas jouer, et la culture c'est important". Certes, c'est évidemment tout à fait vrai et ça ne fait pas oublier les difficultés réelles et concrètes qui se posent aux gens concernés, mais pour le citoyen (et électeur) lambda, c'est tout à fait abstrait. Celui qui n'est pas concerné autrement que parce qu'il va de temps en temps voir un film ou un concert, ne mesure pas tout ce que ça implique. Et je ne parle pas de situations personnelles mais de toute l'économie qui va avec et que les gens ne soupçonnent pas. Je sais bien que je n'apprends rien à ceux ici qui sont concernés mais le spectacle vivant ça pèse lourd économiquement, et le "grand public" ne le sait pas. Pour beaucoup, les musiciens, comédiens, techniciens et compagnie, c'est la cigale de la fable comme dit plus haut, ils sont jolis dans le décor mais finalement pas si importants. Vous le savez, un concert ce sont les gens sur scène mais aussi les techniciens, le personnel de la salle, la micro-brasserie du coin qui a un partenariat avec la salle (ou plus communément France Boissons, là aussi ce sont des emplois), le restau d'à coté qui va remplir quelques tables ce soir là grâce au concert, le loueur de matos, peut-être un taxi, des billets de train, etc... vous le savez mais le français lambda ne le sait pas. Quand je dis à des gens pas concernés que le spectacle vivant ça pèse plus lourd économiquement que l'automobile, il ne me croient pas, et ça pèse pourtant bien plus lourd (grosso modo trois fois plus). Idem avec les indemnités pour les intermittents, pour beaucoup c'est un luxe que le pays s'offre... souvenons nous de la grêve des intermittents de 2003, qui gueulait le plus fort ? les commerçants et restaurateurs d'Avignon qui déploraient une saison foutue et intimaient l'ordre aux grèvistes de retourner au boulot... faudrait savoir, ça coûte de l'argent à la collectivité ou ça en rapporte ? Quand l’État renfloue Peugeot ou Air France, tout le monde trouve ça normal et on parle des emplois qui vont avec, quand on parle des intermittents, on ne parle que de leurs "grasses" indemnités. Encore une fois, je sais que vous êtes nombreux ici au fait de tout ça mais alors pourquoi la communication dans les grands médias se fait uniquement sur le mode "sentimental" ? Occultant l'aspect économique global, et pas uniquement individuel.
  22. Formidable The Preacher ! Les premiers épisodes on se demande ce que c'est que ce truc, surtout si on ne connait pas le comic original, mais on s'y laisse prendre très rapidement et on se régale ! La dernière saison est un peu décevante, en regard des précédentes, mais on lui pardonne pour tout le plaisir que cette série apporte. Et oui, le meilleur perso c'est clairement Cassidy. Bonne surprise de le voir, moi qui ai découvert cet acteur dans This Is England (excellent film par ailleurs), dans un registre fort différent. Dans le genre séries marantes (parce qu'en ce moment je sais pas vous mais moi j'ai pas tellement envie de The Handmaid's Tale...), Silicon Valley, une des séries les plus drôles que j'ai pu voir. Il y a 6 saisons, les deux dernières sont dispensables, surtout la dernière, mais je n'ai jamais autant ri que devant les quatre premières.
  23. J'aurai pu écrire ça mot pour mot, en remplaçant Yam BB424X par Yam TRBX605. L'effet Yam ? Je me dis que mes envies devraient se faire sur ce que ma yamounette ne peut pas faire. Or, à mon niveau elle peut tout faire, c'est moi qui suit pas. Alors mes envies vont vers des belles au caractère unique. Une 35'' qui grogne (Lakland J-sonic5), une rockeuse indomptable (Rickenbaker 4003 s5), l'aînée inimitable (Precision 78 ?)... Je crois que le GAS se gagne avec le talent de lécher les vitrines ^^. Je propose en tout cas, comme les tremblements de terre ont leur échelle de Richter, les tornades celle de Fujita, que d'un consensus quasi scientifique nous adoptions l'échelle Glennoise du GAS.
  24. Excellent, merci beaucoup ! J'ai réglé le gain, et je peux maintenant brancher la pédale en série, le son est beaucoup plus chaud en passant par la lampe du canal clean du two notes. C'était juste impossible avant, le niveau de sortie de l'erupter étant juste bien trop élevé sans réglage. Il y a trois potentiomètres à l'intérieur de la pédale : ''level'' (le gain donc), ''bias fine'' et ''bias adjust''. Je ne sais pas à quoi correspondent exactement ces deux derniers. Le ''bias adjust'' était réglé de base presque au minimum, j'ai l'impression d'avoir gagné beaucoup d'équilibre et de basses en le réglant à mi-course. Je n'ai pas touché au ''bias fine'', réglé lui de base au milieu.
  25. Ça va bien au-delà du prêt de matos pour les tests. Un magazine vit autant, sinon plus, de la pub que des ventes au numéro. Si un test ne fait pas l'éloge d'un annonceur... plus d'annonceur. Et ça c'est beaucoup plus grave pour la trésorerie du journal que de devoir se procurer du matos en prêt. Vous n'avez jamais remarqué qu'un test pour, par exemple, Yamaha, coïncide justement avec une campagne de pub Yamaha ? Comme dit plus haut, les "test", c'est de la publi-information, rien de plus. En tous cas pour les magazines français.
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