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Showing content with the highest reputation on 01/19/16 in all areas

  1. Comme plus ou moins promis, je vous fais part de mes modestes tips, que j'ai pu observer au cours des années. A propos de moi : j'ai organisé mon premier concert à 15ans piges et j'ai globalement arrêté qu'en septembre de cette année, à 23 ans. Entre temps, j'ai eu la chance incroyable de, en vrac : organiser pas mal de concerts, pour aller plus loin encore, bosser dans l'event comme technicien/roadie, faire de la logistique événementielle pour des gros festos belges, travailler comme étudiant dans une salle de concert pour me former encore plus, faire une école ( L'IAD) en production et management artistique, lancer ma structure, faire un stage de plusieurs mois chez un major bien connu, ... Donc ouais, j'ai baroudé et "presque" tout fait sur concert : d'organisateur à technicien son/lumière/roadie, en passant par barman, caissier, responsable sécurité, nettoyer les chiottes, attaché de presse de célébrités qui doit gérer une meute de journaliste/groupie en colère... De l'indépendant underground dans une cave avec 20 personnes sur fond de Noise, à la release party presse ultra secrète de Stromae, ou les soirées Dubstep avec 7.000 camés dans un cinéma désaffecté. Outre le plaisir de me vanter sur mon impressionnant CV ( ), l'idée derrière ce bref historique, c'est d'illustrer que chaque concert est UNIQUE. Pour cette raison, en synthétiser les éléments structurants est quelque peu... Compliqué. Néanmoins, certaines notions clefs : - LE CONCERT EST MORT, VIVE LE CONCERT En ce qui me concerne, le concert tel que je l'ai connu enfant est mort. Donc j'ose même pas imaginer pour les gens de la génération avant moi. On est dans une culture du "tout, très vite, tout le temps", saupoudrée par une démocratisation massive de la musique : organiser un concert, c'est généralement se heurter à l'indifférence générale du grand public*. Il faut donc OSER prendre des RISQUES pour se DÉMARQUER, mais le faire BIEN. (=90% de ma pensée ici bas). * Je 1v1 n'importe qui autour d'un café en cas de désaccord avec ce postulat, je suis intarissable sur le sujet et très très bien rodé. - UNE APPROCHE TRIBALE Par tribale, j'entends viser une communauté bien précise. Le fait d'axer son concert vers un public particulier, c'est augmenter ses chances de succès de façon non négligeable. En effet, pas mal de petites orga se cassent la gueule parce qu'elles veulent diversifier leur programmation en mode "un groupe de rap, un groupe de rock, un groupe de métal, ..." pour ratisser large. C'est une erreur. Exemple : Dans le cadre de mes études, on devait organiser des concerts "réels". J'ai proposé à mon groupe de travail une soirée folk metal, on m'a ris au nez, mais j'ai insisté. Hé bien, on a explosé les scores ce soir là. - DE LA PERSONNALITÉ Une notion indispensable dans l'artistique au sens large, au même titre que le risque. Rien de pire qu'un événement nommé "Soirée Rock", "Rap Night", ... Pour le public, ça rentre dans une oreille et ça ressort dans l'autre. Faut marquer les esprits, provoquer la curiosité. EX : j'ai participé à l'organisation d'un concert altérnatif du nom de... Tyrasonore Rex ( L'organisateur principal est d'ailleurs sur le fofo ) ça envoie sévère, ça interpelle, ça fait rêver et ça permet des folies niveau communication. - UNE EXPÉRIENCE Un concert, c'est une expérience particulière pour le public. Cependant, en 2016, organiser un simple concert, ça n'a plus grand intérêt. Faut prendre des risques (encore!), essayer des trucs, proposer une dimension supplémentaire qui, une fois de plus, marque les esprits et interpelle. EX : Faire un concert où le sol est recouvert de sable ( Beach Party d'Hiver ), faire un coin retro-gaming en after party, foutre des canaps/tapis/poufs partout dans la salle (je l'ai fais, c'était ultra marrant), vendre de la tartiflette, ... La seule vraie limite, c'est l'imagination. Et il y a moyen de trouver des idées à bas prix. Un type de ma ville fait des concerts à thèmes qui marchent assez bien. - RESPECTER SON PUBLIC Prendre son public pour un con, c'est une énorme erreur et souvent, la franchise paye. EX : " PAF : 5€ - C'EST CHER, MAIS ON AIMERAIT NE PAS RENTRER EN STOP". Si c'est une release party, expliquer le pourquoi du comment des tarifs joue souvent en votre faveur. EX : " Pour financer notre prochain album qui coute XXX€" ou "les bénéfs vont servir à acheter du matos pour faire encore plus de bruits, ..." Les plans style "pas de petits profits donc on abuse" faut oublier. Un concert réussi souvent quand l'orga s'est mis à la place de son public. " Est-ce que je payerais autant?" "Est ce que je paierais pour aller aux chiottes ?" - LES PARTENARIATS ( WIN-WIN ) Qu'on se le dise, le sponsoring financier à notre niveau, c'est mort et enterré. Par contre, ce qui marche super bien, c'est la valorisation : demander des services / biens au lieu d'argent, toujours dans le respect mutuel. Vous devez louer du matos? Proposer des entrées gratos / des boissons / des banderoles / ... De faire des heures contre une réduc. EX : j'ai fais 40h de presta pour un pote pour 20€ (une frite, deux paquets de clopes et le trajet, le minimum). MAIS, ce type a une boite de loc' de matos et il m'a fait des prix indécents en échange.... Par indécent, j'entends plusieurs milliers d'euros de matos contre un seul billet. Besoin d'un catering ? Proposez le plan à la brasserie du coin. Etc, etc. - LA RIGUEUR Organiser un concert, c'est un engagement. On a des gens sous sa responsabilité et on assume jusqu'au bout, même si on est fatigué ou qu'on a envie d'une bière. C'est chiant, mais rien de pire que des orga qui gèrent par leur merdier. En tant que manager, je suis déjà rentré dans le lard de staffs, qui, la chope à la main, à moitié imbibé et de surcroît incompétents, tenait des propos incohérents sur l'organisation générale de l'enroule. Je suis peut-être dur, mais je m'en fous, mais quand on organise, on assume. - L'ORGANISATION, C'EST BIEN. Faire un budget prévisionnel, un planning, un inventaire et une to-do du jour J, c'est clair c'est chiant, mais même sur des mini concerts, ça sert toujours, ne fut-ce que pour garder les idées claires et avoir un minimum de légitimité. - LA PUB, OUI. INTRUSIVE? CRÈVE. Alors, je serai intraitable : tout ce qui est event facebook relancé inlassablement et ce qui va avec, vous oubliez, même pour la promo de vos groupes. Ce genre de démarche pue le nombrilisme et la défaite à 1500km. Il faut mettre en avant de la visibilité pour son événement, c'est sur, mais les personnes visés ne doivent pas se sentir "envahies" ou "harcelées". Aussi, il ne faut pas négliger les démarches traditionnelles que sont l'affichage et quelques articles dans les journaux locaux, ça marche toujours, même si ça parait has-been. .... Et bien d'autres choses, mais la je fatigue. La suite bientôt. GE KONTINUE SI G 50 LIKE. ___*$****αιмє єт נє ρυвℓιє, υη ¢σммєηтαιяє ∂σηηé ρσυя υη яєη∂υ*****$*___
    8 points
  2. Très jolie prise, elle sonne vraiment PB cette PB et elle le fait vraiment très bien, je pense que le pickguard n'y est pas pour rien.
    2 points
  3. "Dans la vie, il y a 3 choses qui permettent de savoir la vérité : les enfants, les mecs bourrés, et les pantalons moulants."
    1 point
  4. C'est bon ça ! c'est qui ?
    1 point
  5. A mon avis faut pas chercher bien loin. C'est juste que l'oeil s'approche au moment où le spécialiste s'apprête à fouiller, comme si le patient pouvait voir avec son oeil de verre et le contrôler. 'fin moi c'est ce que j'ai compris.
    1 point
  6. Il y a meme pas photo, elle sonne clairement mieux avec le pick tortoise !
    1 point
  7. Ah bon, y a moins de basse sur une pb que sur une jazz maintenant ?
    1 point
  8. 1 point
  9. Rhhhhha merci pour cette pré-review.... Ca donne trop trop envie... Bon allez je retourne voir des photos de Fod en écoutant "The Bridge" moi tient.
    1 point
  10. Deux gars sont en train de discuter et l’un d’entre eux dit: – Si la fin du monde arrivait dans les quinze minutes qu’est-ce que tu ferais ? – Moi, je baiserai tout ce qui bouge ! Et toi ? – Moi, je ne bougerai pas…
    1 point
  11. Salut, J'ai reçu ma Fodera dimanche matin. Je redonne le lien : https://fodera.smugmug.com/Newborn-Gallery-Vol-III/Newborn-660/i-J7RhgtT J'ai passé mon après-midi à la bichoner (je suis maniaque loool), j'ai resserré les mécaniques et le chevalet, nettoyé et huilé la touche, polishé le corps, installé des codes neuves (Fodera Stainless 40-120), réglé le manche, les pontets (hauteur + justesse/intonation). Bref, ça m'a pris la moitié de l'après midi. J'ai ensuite branché l'engin et waoooouw !!!!!! J'ai pas encore eu temps de la tester sérieusement, juste quelques notes avant de sortir en famille. Voici mes premières impressions à chaud : - La basse est lourde, 4.8 kg bien tassés mais est super bien équilibrée. Si je prends ma Sadowsky UV60 ou ma JB76, elles ont tendance à piquer du nez/tête. Du coup, la sangle tire sur le haut de l'épaule ce qui est fatiguant à la longue. Sur la Fodera, il y a 50% du poids sur la corne et 50% sur le bas du corps, du coup la charge est super bien répartie/équilibrée sur la sangle et cela reste très confortable (moins fatiguant mais bon, au bout de 2h de concert, je pense que ça va quand même se sentir les 4.8kg...). Pour le poids, je le savais, ça fait partie de la politique de Fodera de ne pas construire de basse trop légères. Pour eux, le son de la basse vient aussi de la densitée/poids et je dois avouer que c'est vrai car j'ai une véritable profondeur dans le son (que n'avait pas ma superbe Sadowsky MV5, enfin pas autant). Du coup, je vais refaire un peu de musculation, c'est une bonne motivation pour faire du sport loool. - Le manche est terrible, rapide, pas trop large, pas trop long (malgré le 35"), super confortable. Le raduis compensé de la touche est génial aussi. Bref, du tout bon. - Le son (équa flat) en position simple : Je retrouve l'esprit "sauvage" de ma Sadowsky UV60 mais en plus plein/précis. On va dire que l'UV60 est une sauvageonne en hayons alors que la Fodera aussi une sauvageonne mais qui aurait enfilé une robe "haute couture" et des talons aiguilles. Le grave est droit, propre, précis avec un growl prononcé mais qui ne ressemble à rien de ce que j'ai pu joué jusqu'à présent. Les aigus sont précis, brillants, tranchants mais pas du tout agressifs (sur la UV60, ils sont très agressifs, ce qui m'oblige à mettre à tonalité à 50% pour les calmer un peu). Si j'ajoute 2 à 3% de grave, je me retrouve avec le son FAT, des graves qui cognent comme une grosse caisse, vraiment jouissif. - Le son (équa flat) en micro double : Là on entre dans LE son Fodera. Un truc très FAT et précis avec beaucoup de corps (mais pas envahissant). Un son pour du Hip-Hop, du R&B, du Gospel. Un peu déroutant pour moi au début quand je le joue seul (pas forcement très flatteur comme son) mais terriblement efficace dès que je joue par dessus un MP3. En boostant de 2 à 3% les aigus, ça devient (pour moi) parfait car un poil plus tranchant encore. - La basse : Le truc qui m'a de suite frappé c'est le sustain. Tu joues une note et elle ne s’arrête jamais. Le son reste gros et plein sur toute la longueur. Impressionnant. Ensuite c'est la réactivité. La moindre nuance de jeu, que ce soit main droite ou gauche se ressent. Ca va m'obliger à être encore plus précis et propre (plus qu'avec mes autres basses qui sont déjà des avions de chasse). Il y a aussi l'équilibre 100% parfait entre les cordes (assez rare pour être souligné). Le truc assez fou est que les cordes de ré et de sol sonnent très bien en haut du manche alors que, souvent, je les trouvent plus fluettes sur mes autres basses (je chipote mais c'est vrai). Il y a un super équilibre entre le slap et le jeu aux doigts (souvent ça sonne plus fort en slap qu'aux doigts ou parfois c'est l'inverse, faut tirer et cogné plus fort en slap pour se faire entendre dans le mix). Là, c'est le même volume quelque soit l'endroit joué sur le manche (terrible). Grosse semaine au bureau donc pas eu le temps de tester plus que cela. Mes premières impressions sont donc très très très positives et je comprends la réputation qu'à Fodera, c'est vraiment pas usurpé (même si je trouve que c'est très cher... mais c'est un autre débat que je ne veux aborder ici). Je vous ferais une belle revue avec photo et MP3 dès que j'aurais un peu de temps. A suivre...
    1 point
  12. Bédarieux c'est dans l'Hérault, dép 34, au sud du Larzac et du Massif Central....les Pyrénées sont 200km plus au sud/sud-ouest ! Après ces LAG, bof bof....
    1 point
  13. Je vous l'avais dit qu'ils étaient cool chez Fender France!! Et compétents en plus...
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  14. Et voilà la vidéo. Le même groove, joué un coup tona ouverte, un coup tona fermée, avec les différentes configs. Sur le descriptif de la vidéo sur Youtube vous pouvez passer directement d'une config à l'autre avec les liens.
    1 point
  15. 1 point
  16. Si on veux, on peux y aller en tongs, nous aussi, hein! On peux même se déchirer à la caipirinha, si on veux.
    1 point
  17. Deux statues dans un jardin de la ville, l’une masculine et l’autre féminine, se font face depuis plusieurs siècles lorsqu’un jour un ange descend du ciel, et leur murmure : – Vous avez été exemplaires pendant toutes ces années et je vais vous faire un cadeau. Je vous donne la vie, mais pour une demi-heure seulement. Aussitôt les deux statues s’animent et se rapprochent l’une de l’autre. D’un même élan, elles se lancent dans un buisson. On entend quelques bruits d’agitation, des branches qui cassent, des rires, des cris étouffés. Au bout d’un quart d’heure, les deux statues ressortent du buisson, le sourire aux lèvres. – Il vous reste encore du temps, leur dit l’ange. Vous devriez en profiter. La statue féminine se tourne vers son partenaire et lui dit: – D’accord, mais cette fois, c’est toi qui maintient le pigeon par terre et c’est moi qui lui chie dessus. Samedi soir Ginette est allée à un bal costumé. Le lundi matin au bureau, sa copine s’empresse de lui demander : – Alors c’était bien cette soirée ? – Oh, c’était super! j’ai dansé avec un mec génial qui était déguisé en Adam ! – En Adam ? et alors ? – Eh bien, maintenant, je sais ce que ça veut dire « Etre dur de la feuille » !
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  18. Un Parisien a repéré une maison de campagne et s'apprête à l'acheter lorsqu'il voit des ruches au fond du champ. Il dit alors au paysan-vendeur: - Vous comprenez, j'ai des enfants et je ne peux pas me permettre de leur faire prendre le risque de se faire piquer par une abeille ! Il faudrait enlever les ruches ! Le paysan répond ouvertement: - Mes abeilles n'ont jamais piqué qui que ce soit ! Tenez, je vous propose un truc, je vous attache tout nu à l'arbre pendant une heure et si une seule abeille vous pique, la maison je vous la donne ! Le type se dit qu'une heure, c'est vite passé et que le jeu en vaut la chandelle. Une heure après, le paysan retourne voir le Parisien et le voit tout pâle, fatigué, épuisé... et s'écrie: - NOM DI DIOU !!! Elles vous ont piqué ? - Oh non! répond le Parisien. Elles ont été sympa les abeilles mais le petit veau, dites-moi, il y a longtemps qu'il a perdu sa mère ?
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  19. Deux petits clips (direct iphone son/image....donc moyen) pour avoir une (toute) petite idée de ce que peut faire le sy300 en terme de son, et surtout de tracking :
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  20. C'est bizarre mon souci et ma solution son exactement inverses. Sur les manches en fini brillant je sue à l'excès et ça glisse de partout, je manque de contrôle et je perd mes repères, je rate des notes. Donc ma solution est de poncer légèrement le dos des manches (au grain 800 environ) pour récupérer du satiné et là, je sue moins et ça glisse moins. Il faut recommencer de temps en temps parce qu'avec l'usage le vernis se patine et retourne au brillant.
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