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quatre-quartes

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  1. Salut @ink-eyes, Ton questionnement me rappelle celui-ci qui avait été posé il y a quelques mois dans un autre sujet : Peut-être y trouveras-tu des éléments de réponse… Sur la base de ce que tu décris, je peux juste imaginer que tu joues avec l’index plus fléchi que le majeur. Si tu remontes la voute de la main de quelques millimètres pour le déplier un peu, ça devrait te permettre d’accéder au son de la pulpe sans ongle.
  2. Hello, Ok pas de souci. De mon coté je n'ai pas d'impératif par rapport au 21O Ampeg. Si tu es toujours intéressé, fais moi signe et on voit comment on s'y prend ; et sinon je le garde pour l'instant. Bonne journée !
  3. Hello, Je reprends une vie plus normale où je suis débordé, mais où le programme des journées peut tenir dans 24 heures... Du coup, si cet échange est toujours d'actualité et si un sympathique onlybassien a l'occasion de convoyer ce petit 210 de Paris à Poitiers, on peut sans problème en reparler !
  4. Sans problème ! Je suis en banlieue est de Paris (Gagny), et je peux facilement déposer le 210 dans Paris si quelqu’un a l’occasion de le convoyer. On en reparle si/quand l’occasion se présente.
  5. Hello, Je peux tout à fait être partant pour l’échange, mais j’ai la tête sous l’eau jusqu’à début décembre, et je n’ai pas trop d’occasions de passer par Poitiers. Il t’arrive de venir en région parisienne ? En tout cas on en reparle volontiers si tu ne fais pas affaire avec quelqu’un d’autre…
  6. Salut, Ben oui : AB = 2 entrées vers une sortie avec sélection de fonction A et/ou B // Y = 1 entrée vers 2 sorties // ABY = 2 entrées routables vers 2 sorties (A et B; A ou B, Y). Sauf erreur monumentale de ma part, dès lors que ça s'appelle AB, ça doit répondre à ce qu'en attend P-bass Boy, ou alors ça ne mérite pas de s'appeler AB Box ! Il y a en effet des AB qui ne font pas Y (par exemple la switchblade EHX), mais je ne crois pas qu'il existe de pédale estampillées AB qui ne marchent que en Y. Il y a des exceptions à ça ?
  7. Hello, Je ne l’ai pas, et donc ne peux te donner de réponse assurée, mais par définition une pédale ABY en configuration AB doit te permettre de te choisir le canal d’entrée puisque c’est à ça qu’elle sert !
  8. Salut, T’importe t-il que ce soit le volume de sortie plutôt que le gain d’entrée ? Je demande ça parce que par exemple, sur le préamp EBS Stanley Clark (environ 400€) tu as deux canaux A et B identiques, avec gains et EQ autonomes, mais un seul volume en sortie. Super couteau suisse pour faire 2 sons distincts et switcher à volonté (aussi bien avec une seule basse qu’avec deux, d’ailleurs). Mais j’imagine qu’à ce prix il y a plein d’autres alternatives… Si l’aspect preamp et EQ ne te concerne pas plus que ça, il existe une ABY avec volumes séparés sur A et B chez Morley (pour environ 170€). Ce n’est pas donné pour une AB box, mais ça répond à ton besoin, et ça te laisse 300€ pour te (re)poser éventuellement la question du cab que tu mets derrière ta micro vr. Tu as le 210-av de base ou tu utilises autre chose ?
  9. Hello, Il me semble que j'ai ça à la maison, je jetterai un oeil quand je repasserai par chez moi, et te ferai un scan le cas échéant.
  10. Salut @Canauos, Je ne peux pas te parler de Shadows Motown que je ne connais pas, mais je peux te dire tout le bien que je pense de la Bass Method Complete Edition. Je m'en suis beaucoup servi comme support de cours pour des élèves débutants en conservatoire. On peut dire que l'ensemble des 3 volumes couvre à peu près les acquis d'un bon premier cycle. C'est très progressif et ça construit des bases très saines, mais comme toute méthode, ça n'est pas forcément adapté à tout le monde. C'est plutôt adapté à des gens qui ont un profil studieux, patient et méticuleux, avec le goût du détail maitrisé. Une minorité d'élèves les plus lents et les moins bosseurs peut avoir du mal à atteindre le tempo pour jouer avec les backtracks, et une autre minorité d'élèves les plus rapides (ou qui ont déjà des acquis) peut avoir le sentiment que la pente de progression n'est pas assez rapide et gratifiante pour eux. Mais dans l'ensemble, ça fonctionne bien, y compris pour des enfants, des ados et des adultes. Le premier volume existe en français. Le niveau d'anglais des volumes 2 et 3 ne me parait pas inaccessible quand les exercices sont expliqués par un prof. Bonne soirée ! On en parle aussi ici : Et des alternatives sur lesquelles je n'ai pas d'avis parce que je ne m'en suis jamais servi sont évoquées là :
  11. Chouette et vaste sujet ! Je serais tenté d'avancer que pour ma part, je joue soit de la basse (ou de la contrebasse), soit des effets, mais rarement les 2 ensemble. Une anecdote qui m'a amené à ce positionnement: il y a environ une vingtaine d'année, j'avais investi dans un multieffet boss GT6B qui venait de sortir, et à l'occasion d'un concert avec un guitariste qui avait le même GT6 en version guitare, j'ai découvert que nous avions exactement le même son. Autrement dit, le pédalier gommait la personnalité de l'instrument. Il me fallait donc choisir entre jouer ma basse ou jouer du GT6 ! Et comme choisir c'est renoncer et que je déteste ça, je me suis trouvé des occasions de faire les deux. Jouer de la basse, c'est plutôt ce que je m'emploie à faire dans un répertoire où on attend de moi que je fasse des notes à une hauteur déterminée et à des moments déterminés (ce qu'en général les gens normaux appellent "musique"). Dans ce cas, j'ai tendance à jouer complètement dry, et mon plus gros dilemme va éventuellement être le choix de la basse (c'est comme ça que je suis devenu un incorrigible gaseur sur onlybass). Bon, j'aime bien quand même avoir sous la main une saturation, une réverb, un delay et un looper. Juste au cas où. Si jamais. Mais pour m'en servir entre très peu et presque pas, le moins possible voire pas du tout. Dans des contextes plus ouverts et expérimentaux, et notamment quand le geste instrumental a son importance, il m'arrive volontiers de jouer de la basse préparée (en mettant des objets dans les cordes) ou d'utiliser des modes de jeu inhabituels (gratouillis et frottements avec des matériaux variés). C'est la version la plus analogique (et pour moi la plus trippante) des effets : sans le recours aux pédales, en explorant tout ce qui peut faire du son. Il a résulté de tout ça que quand j'utilise des pédales d'effets, ce qui m'intéresse, c'est que ce soit le plus éloigné possible de ce que je peux faire sans. Ou le plus représentatif de ce que je ne peux obtenir qu'avec. Après ma prise de conscience avec le GT6B, je ne l'ai plus que poussé dans ses derniers retranchements pour que le résultat n'ait plus rien à voir avec le son d'une basse. Réglages extrêmes, y compris là où ça décroche, et 100% de Wet : ça devient un instrument électronique, accessoirement déclenché par une basse. Au fil des années, j'ai radicalisé cette démarche, et j'ai désormais plein d'effets que j'utilise indépendamment de mes instruments. Comme je fais pas mal de musique pour le théâtre, j'utilise notamment des effets pour traiter la voix des comédiens, ou pour sonoriser des éléments au plateau, selon les besoins de la pièce. Quand je reviens à des situations musicales de concert, il m'arrive d'utiliser des principes similaires pour trafiquer en temps réel le son des autres musiciens avec qui je joue, particulièrement avec de la synthèse granulaire. J'essaie régulièrement de me fixer un pedalboard cohérent et transportable, mais c'est à peu près impossible parce que chaque projet me fait brasser mes machines différemment, et parce que j'ai sans arrêt des nouvelles idées et envies de configurations à essayer. Actuellement, je commence à explorer les possibilités des pédales modulaires (Empress Zoia et Poly Effects Beebo), et mon sentiment est que c'est aussi réjouissant que cronophage de faire ses propres effets. Long aussi dans la réflexion parce que ça n'a à mes yeux qu'un intérêt très limité de galérer à reconstituer soi-même un effet qui est déjà très bien fait dans les presets des multieffets classiques ! Ça m'amène donc à réfléchir à ce que j'ai envie d'entendre qui n'existe pas, et à comment le réaliser. Bref, ma relation aux effets, c'est un bazar prospectif à plein temps, qui peut par moments me faire oublier de fréquenter mes instruments. Ça me guette : si ça continue, je vais devenir "effectiste" davantage que bassiste. D'ailleurs, j'y retourne.
  12. Hello @gaille, J’ai été un peu trop rapide à dégainer les conservatoires dans ma réponse précédente, et tu as tout à fait raison, il y a des formations diplômantes dans de nombreuses écoles privées, et ça revient en général sensiblement plus cher à l’étudiant. Cependant, quand on choisit d’aller étudier dans un conservatoire éloigné de sa résidence pour la richesse de son offre de cours, on peut se voir appliquer des tarifs « hors-commune » qui peuvent être prohibitifs. Il y a aussi parfois des CRC qui ont des conventions de partenariat avec des CRD du même territoire pour préparer à des diplômes de 3ème cycle à défaut de les délivrer. Aucune piste n’est à négliger. Et oui, quelques bases (ou plus) de piano en complément, c’est quasi-indispensable.
  13. Salut, Pour avoir des ateliers et une formation diplômante, ça passe d’office par la case école (conservatoire ou structure privée habilitée à délivrer des diplômes)… Donc c’est une offre de cours globale plutôt qu’une personne particulière qui doit répondre à tes besoins. En gros les études sont organisées en 3 cycles de 3 à 5 ans chacun, avec à chaque cycle des compétences à valider en instrument, en pratique collective, et en formation musicale. Le 3ème cycle peut être orienté amateur ou professionnel, avec un cursus non-diplômant quand il prépare aux études supérieures (Cpes) pour intégrer le cnsm ou un pôle-sup. Est-ce que tu as une idée de quel diplôme tu ambitionnes au terme de tes études musicales, et du niveau de départ dans lequel tu peux postuler ? Et dans quel domaine : est-ce que tu vises un diplôme en jazz ou en Maa (musiques actuelles amplifiées) ? Parce que c’est fromage ou dessert, mais à priori pas les deux, sauf à faire un double cursus. Certains établissements peuvent avoir un département jazz mais pas Maa, ou l’inverse, ou encore être plus dynamiques dans une esthétique que dans une autre… Il me semble qu’il y a plus de choix en jazz parce que c’est un enseignement un peu plus ancien et plus développé que les Maa. De manière générale, les conservatoires qui ont un département jazz et/ou Maa et proposent un 3ème cycle menant au DEM ou qui préparent au DNOP, ou qui ont une classe prépa CPES vont être des CRD ou des CRR. Tu peux partir du principe que les profs qui y enseignent savent généralement de quoi ils parlent, et que les ateliers de pratique collective pourront être d’un bon niveau puisque qu’ils vont drainer suffisamment d’étudiants qui sont là avec les mêmes objectifs. Mais renseigne toi aussi dans les conservatoires d’arrondissement de Paris, qui ont un fonctionnement propre et une offre de cours très conséquente. Dans tous les cas, il y a souvent un calendrier d’inscription assez contraignant, et éventuellement un concours d’entrée selon le cycle que tu veux intégrer. Mais c’est aussi dans les missions des conservatoires que d’orienter les musiciens qui viennent toquer à leur porte ! Commence par aller te renseigner près de chez toi. Tu es de quel côté?
  14. Salut @Billou33, Je ne connais pas la méthode de B.Tauzin, mais pour te répondre au mieux, il faudrait que tu nous en dises un peu plus sur ton profil et ton projet… Quels acquis sont transposables (ou pas) de ta pratique de la guitare ? Tu es attaché au support vidéo ou pas obligatoirement ? Tu veux travailler la lecture en même temps que la basse ou pas plus que ça ? Si une courbe de progression assez lente (donc moins gratifiante au début) mais très complète ne te rebute pas, l’édition anglophone des 3 volumes de la « complete bass method » de Ed Friedland chez Hal Leonard est une valeur sûre et recommandable pour te constituer des bases solides et saines. On en parle ici : Aucune méthode n’est parfaitement adaptée à tout le monde, puisque par définition ce qui est méthodique ne prend pas en compte les différences entre les individus, mais celle-ci me semble quand même particulièrement réussie dans sa progression : chaque exercice amène un petit détail nouveau qui vient enrichir ou complexifier les acquis précédents, et il y a des playbacks plutôt bien foutus pour mettre les choses en pratique.
  15. Hello @mikhailo Sorry pour le délai de réponse, je ne suis pas trop dispo ces temps-ci, mais les autres s'en sont chargés, et je ne saurais trop souscrire à ce que @gaille t'a déjà répondu. La main droite est plus importante que la main gauche : si tu fais une erreur de notes dans un concert, seules quelques personnes s'en rendront compte, alors que si tu plantes le rythme ou si tu hésites, tout le monde est au courant. La spécificité d'Aebersold, c'est que tu peux te rattraper si tu te plantes (parce qu'il y a toutes les infos nécessaires), mais que tu n'es jamais en situation de faire planter le playback et qu'il ne se recalera jamais sur toi (ce qui arrive fort heureusement dans la vraie vie quand tu joues avec d'autres musiciens). Pour répondre plus précisément à la question que tu poses : non, pour moi le drive n'est pas lié à une connaissance "parfaite" d'un déroulement harmonique. Ça reviendrait à se trouver des excuses harmoniques pour remettre la question du rythme à plus tard ! Au contraire, je pense qu'il faut apprendre à débrancher la partie du cerveau droit qui s'occupe de piloter la main gauche et te fais culpabiliser (et donc hésiter) si tu te plantes... Pour le travail indépendant, par exemple, ça me parait hyper intéressant (aussi bien tout seul que sur un aebersold, ou même en groupe avec des camarades conciliants) de faire un walk totalement aléatoire, ou hyper chromatique, en tout cas totalement décomplexé, et sans aucun lien avec aucune structure harmonique (ce qui arrive éventuellement quand tu es perdu dans une grille mais que tu es en mode "the show must go on"). Autrement dit, te mettre en mode "priorité absolue à la main droite". Tu peux constater que si tu es dans le time, ça va sonner certes "free", mais ça préserve le caractère swing de cette musique, autrement dit ça marche bien mieux que si tu fais des "bonnes" notes pas en place. Pour bosser la solidité de ton débit rythmique, je te suggère d'explorer la raréfaction des informations. Par exemple, sur un morceau à 4/4, tu mets ton métronome à 120 et tu t'installes dans le débit de noires. Ensuite tu le descends à 60 et tu considères que c'est le 2 et le 4 (le charley du batteur). Que tu sois à la noire ou à la blanche ou que tu mélanges les deux, penser tes 1 et 3 en dialogue avec l'after-beat, c'est une étape super importante du travail du swing. Quand tu commences à te sentir à l'aise avec ça tu descends ton métronome à 40 : il est donc en blanches pointées, et sur un cycle de 3 mesures il va tomber sur les temps 1-4-3-2. Là, ça commence à être intéressant, parce qu'il ne t'aide plus à planter les clous, il te permet juste de vérifier que tu tiens bien ton tempo (et c'est donc plus difficile que de suivre un aebersold). Et si en parallèle tu bosses tes grilles et que tu en viens à les entendre et à connaitre plein de chemins qui vont d'un accord à un autre, les 2 approches vont finir par se rejoindre : oh joie, tu vas mettre les bonnes notes au bon moment ! On peut aussi ajouter que la fluidité, c'est quelque chose de physique qui résulte de ta pratique régulière : c'est la souplesse du sportif bien entrainé. Et jouer d'un instrument, c'est une pratique physique qui revient à faire un sport basé sur des micro mouvements. C'est incontournable à la contrebasse, mais je pense que ça existe aussi à la basse. Il faut enfin garder à l'esprit que cette notion de "bonnes notes" dépend essentiellement de la musique que tu joues et surtout avec qui tu la joues : d'un contexte à l'autre la même ligne de basse peut-être perçue par tes partenaires comme ce qu'il faut exactement faire, ou comme ce qu'il faut exactement ne pas faire ! Par contre, le rythme va plus facilement mettre tout le monde d'accord : être en place te garantit ton ticket pour le prochain voyage, tandis qu'être fluctuant sur le tempo risque fort de compromettre les chances d'une aventure au long cours. Bon courage et joyeux tempo !
  16. Cool, bravo, ça va te faire avancer du tonnerre. Si ce pianiste a envie de jouer avec toi, tu peux partir du principe qu'il aime ton son tel qu'il est, et que ce n'est pas le principal point à remettre en cause. Pour moi, le gros truc sur lequel tu dois te concentrer, c'est plutôt le drive : ça s'entend que tu fais attention à ta main gauche pour mettre les "bonnes" notes, et la contrepartie c'est que tu as des hésitations et des fluctuations de tempo. A mon sens, tu devrais inverser la hiérarchie pour passer en mode priorité à la main droite, sans te laisser déstabiliser par une main gauche qui n'est pas toujours là où tu voudrais. Et surtout, en l'absence de batteur tu devrais bosser avec un click à la moitié du tempo, et que tu places sur 2 et 4, pour te construire un charley intérieur qui te donnera un after-beat d'horloger suisse. Bon courage pour la suite de ce projet.
  17. Hello @Bob51 Il ne s'agit pas ici de n'importe quel changement de nature d'accord. Je n'arrive pas à écouter ton lien et ton exemple à 3'00, mais pour aller dans le sens de ce que te répondent @gaille et @Snooopy, c'est en fait quelque chose de très courant, y compris dans l'harmonie classique. Qu'on appelle ça emprunt ou dominante secondaire, ça revient au même : il s'agit de faire entendre (même très passagèrement) une nouvelle sensible qui "tonicise" la fondamentale de l'accord suivant. C'est par exemple ultra fréquent de rendre x7 (dominante) l'accord de la quatrième mesure d'un blues mineur pour amener le IVème degré à la cinquième mesure, sans que ça ne perturbe la structure du blues. Et quand on pousse cette logique plus loin, ça aboutit au "blues suédois", ou les points d'appui du blues sont amenés de très loin par des cascades de dominantes secondaires. Dans un concept élargi, c'est aussi ce que font les bassistes de jazz à longueur de grille quand dans un walk ils amènent le degré V par un chromatisme ascendant dans un II-V. Mais ce n'est ni un truc de jazz, ni même du XXème siècle : la notion de dominante de la dominante existe déjà chez Jean-Sébastien Bach, et ça n'a rien de "chelou". Finalement, on pourrait pousser le bouchon jusqu'à dire non pas que ça respecte l'harmonie du morceau, mais que ça la renforce et que ça la dynamise. Parce que créer une nouvelle tension (ici le la# du F#7), c'est donner à l'auditeur l'envie d'entendre la suite. Ce type de tonicisation de la fondamentale suivante fait donc partie de la trousse à outils pour faire marcher la mécanique de l'intérêt chez celui ou celle qui écoute. Ce qui ne dispense pas d'essayer d'avoir les idées claires sur le schéma harmonique de base d'un morceau; c'est justement quand tu as la vision des points d'appuis essentiels que tu peux jouer à les amener par des enrichissements. Et dans le schéma de base, c'est effectivement très sain au départ de considérer que les natures d'accords ne sont pas impunément interchangeables.
  18. En cours d'échange avec un forumeur, sujet clos.
  19. Sans surprise, en cours de vente à Nuf, sujet clos.
  20. Hello Nuf, Je suis à Gagny, en banlieue est de Paris. Sauf si tu passes bientôt par Paris, on va privilégier l'expédition... Je vais délaisser mon ordi ce soir et demain, mais on pourra finaliser ça en MP à partir de lundi et je peux te l'envoyer mardi. Bonne fin de journée !
  21. Bonjour, Cette bestiole revient aujourd'hui à environ 270€, avec son alim en option et une rallonge qui permet de s'affranchir des problèmes de connexion de l'émetteur en TRS sur certaines basses actives. La question est documentée ici : Je l'ai achetée en juillet 2020 sur Thomann, elle est donc encore sous garantie pour quelques mois. Je m'en suis très peu servi (genre 1 semaine en presque 3 ans) et je la vends parce que je ne lui fais pas confiance pour l'usage que je voulais en faire (cavaler dans tous les sens sur un grand plateau de théâtre). Pour de la musique en restant assez proche du récepteur (et en plaçant bien celui-ci), je suppose que ça doit marcher très potablement (en tout cas vous êtes nombreux à avoir des avis plus positifs que moi sur la chose). J'en demande 130€ pour émetteur + récepteur + câble, et éventuellement 15€ en sus pour l'alimentation optionnelle, soit 150€ port compris si je l'expédie. Je dois encore avoir la boite d'origine, il faut juste que j'entreprenne des fouilles archéologique dans ma cave pour vous la retrouver. N'hésitez pas si vous avez des questions.
  22. Salut, Je sollicite par avance votre indulgence pour ce mauvais jeu de mots, mais le fait est là : ces derniers temps, j'ai gasé plus haut que mon cul. Et le pire est que je n'en éprouve aucune souffrance ni culpabilité ; j'ai même l'intention de continuer. Il me faut cependant intégrer un principe de réalité que vous connaissez tous, amis gaseurs : pour sortir de l'argent, il faut aussi en rentrer. C'est la raison pour laquelle je remets en circulation mon Avalon U5, qui est en parfait état cosmétique et de fonctionnement. La cote AF est à 500€, mais je pourrais m'accommoder de descendre à 450 pour un Obiste sympathique. Pour les plus éloignés, une expédition est facilement envisageable à vos frais. Au plaisir.
  23. Hello, La belle est toujours là, et je baisse mon prix ! Pour un instrument de luthier en super état et très bien réglé, ça ne me semble pas être un mauvais plan.
  24. Pareil... Je suis potentiellement intéressé aussi si ça n'aboutit pas avec @bass 30et1. Bonne soirée !
  25. Salut les traitres à la causes bassistiques, Une petite info pour les amateurs de guitare qui résident en région parisienne... J'organise occasionnellement des concerts dans mon local de répé, et j'aurai l'immense plaisir dimanche prochain 19 mars à 17h d'y accueillir Marc Ducret, qui est tout de même une sacrée pointure. Il se produira en duo avec le saxophoniste Stéphane Payen. Et pour me rattraper de cette double traitrise, il y aura le 16 avril un duo d'Olivier Lété (dont je pourrais affirmer qu'il est l'un de mes bassiste préféré) avec Elise Dabrowski (super contrebassiste et chanteuse). Dans les deux cas, ça se passe à Gagny, en banlieue Est (à 1/4 d'heure de RER de Paris plus 10 minutes à pieds). Si vous souhaitez avoir les infos détaillées, donnez moi votre adresse mail en MP, et je vous envoie la newsletter avec tous les détails. Au plaisir.
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