mirak
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mirak started following [Help] - Retranscription de morceaux. , la tonalité d'un morceau , Le Tapping and 1 other
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La tonalité se détermine à l'oreille, en écoutant quelle est la tonique, qui est en effet souvent la note de fin d'un morceau et de début. Il faut s'entraîner avec des morceaux simples comme des airs pour enfants, des morceaux à la radio quand on est en bagnole. C'est une question de ressentit à l'écoute, ce n'est pas une détermination mathématique.
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On dirait qu'ils ont alimenté une IA avec des morceaux de Hardwired pour qu'elle ponde des morceaux similaires. notamment Hardwired To Self Destruct et Moth Into The Flamme.
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qqun a testé une SLB300 ?
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Le slap peut avoir des dérives non musicales, mais en usage basique ça reste musical et passe partout, alors que le tapping il faut quand même VOULOIR en mettre
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J'avais décroché après Fear Of The Dark, et vaguement tenté d'écouter les suivants il y a peu, et avec peu de succès. Le dernier album par contre j'ai écouté, et j'ai bien aimé, et acheté. Bien entendu ça manque de riffs de basse, mais le deuil est fait depuis longtemps, car après No Prayer For The Dying, il n'y a plus rien à se mettre sous la dent.
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Main gauche c'est impec, et main droite les croches sont difficiles, et sonnent comme pointées alors que ça ne devrait j'imagine pas. Peut être qu'il faudrait faire certaines notes en pull ou hammer ou glissés dès que possible, pour que ça sonne aussi fluide que possible.
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Mon post va avoir une tonalité assez négative, mais je me suis rendu compte il y a peu que je m'étais totalement désintéressé du tapping. En fait les seuls morceaux de tapping valables qui me viennent en tête alors que je m'étais beaucoup intéressé au tapping, avec Stuart Billy Shehan etcetera, c'est Running Through My Dreams de Marcus Miller, et Jerry Was a Race Car Driver de Primus. La majeur partie du temps le tapping semble un prétexte, sans musicalité suffisante. Par exemple Wooten en live, c'est une horreur absolue son tapping, ça sonne MAL. Trop de bruits de frettes horribles qui cassent les oreilles. A l'époque Stanley Jordan me faisait rêver à la guitare notamment un live avec Charnet Moffet à la basse, et puis petit à petit j'ai fini par ne plus entendre que les pains en tout genre qu'il faisait, les problèmes de touché, c'est un peu comme voir les fils des effets spéciaux dans un film, ça sort complètement du truc. Donc les critiques que j'ai ne sont pas forcément lié à la basse qui voudrait se prendre pour une guitare, mais qu'en fait les instruments à cordes ça peut vite sonner inintéressant voir pourrit, et qu'il y a que le côté visuellement spectaculaire qui sauve la mise. On pourrait parler du Chapman Stick, mais je vois de temps en temps un gars en jouer dans le métro à Paris, et en fait c'est le même problème de notes qui sonnent mal, et de toucher hasardeux.
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J'en ai un qui n'est pas sortit de sa boite depuis longtemps, mais je me dis que le jour ou je comprendrais vraiment tout l'intérêt d'un compresseur je regretterais pas de pouvoir en tester plusieurs J'avais acheté un MXR87 pour avoir plus de réglages et mieux comprendre la compression, et j'ai l'impression de constater une différence que quand le réglage donne un son naze. Je crois que l'aspect multibande était l'atout du EBS mais c'est trop subtile pour moi ...
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En fait comme on le sait peu, car ce n'est pas mis en avant dans la culture populaire, et les idées qu'on se fait du classique, les grand compositeurs de l'époque Baroque comme Vivaldi, Bach, Mozart, Haendel, ou Beethoven étaient des incroyables improvisateurs. Dans ce podcast Nicholas Baragwanath explique qu'il a fait des recherches sur le solfège italien, qui est l'ancetre de notre do re mi, et explique que les enfants étaient formés très jeunes, notamment au travers de l'église, et étaient en fait des enfants travailleurs, que ce type de formation ne serait pas possible à l'heure actuelle, donc on pourra jamais vraiment répliquer le niveau de talent de l'époque. Bref il explique le concept de solfegi, qui sont en fait des mélodies très simples qui doivent être complètées, le terme exact étant "réalisées" par une improvisation chantée qui doit respecter la mélodie de base plus ou moins comme on doit respecter une grille d'accords, pendant que le professeur aide en accompagnant au piano. C'est là que les hexachord sont utilisés, avec mi fa qui est utilisé pour toujours représenter le demi ton, et l'hexachord qui est décalé. Ce n'est clairement pas la solution miracle, et ce n'est pas facile, mais ça me parait intéressant comme approche. J'avais lu des trucs de Ed Byrnes à l'époque du forum All About Jazz, et son bouquin qui propose en fait de travailler non pas autour des grilles, mais autour des réductions mélodiques des thèmes, ce qui est en fait improviser autour du thème, qui est souvent recommandé en jazz, et qui comme j'ai décrit au dessus semble rejoindre le principe des solfégios. Le problème c'est que ça nécéssite de savoir lire et chanter à vue un minimum, ce qui peut paraitre un challenge hors de porté, mais en fait pas tant que ça, et ce qui peut motiver c'est de constater qu'en fait il n'y en en fait pas beaucoup de jazzman qui savent pas lire ...
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A la base les grecs avaient inventé la gamme diatonique, A B C D E F G qui est la notation gardée par les anglos saxons. A l'époque un moine a inventé un système facilitant le chant, à partir de syllabes do re mi fa sol la qui sont les premières syllabes d'un chant qu'il avait inventé. C'était un hexachord, une gamme de 6 notes, dans laquelle en terme d'intervalles, C D E F G A correspond à do re mi fa sol la, mais la hauteur absolue n'avait pas d'importance. L'intérêt était donné à la structure et à la position du demi ton, qui était toujours chanté mi fa, donc une gamme majeure complète ça pouvait donner "do re mi fa sol re mi fa", c'était le solfège italien. De nos jours on chanterait une seule gamme de 7 notes "do re mi fa sol la si" Ce système me fait un peu penser aux chordscales, mais appliqué plutot à la mélodie, là où les chordscale sont assez rigidifié aux accords. Certains tentent de relancer ça car ils pensent que c'est les fondations de ce qu'on étudié Vivaldi Bach Mozart etcetera, et qui leur a permis de développer les qualités d'impro et de compositon. Certains pensent que ça pourrait aussi servir comme travail de fond à l'impro jazz, même si c'est évident que c'est pas ce que Charlie Parker à appris ...
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Si tu t'amuses à transformer le Sol# en Sol dans des morceaux en La mineur, ça ne va pas subitement changer la tonique de La vers Do. Ca sonnera moins dynamique, plus monotone, et rendra certaines mélodies sans intérêt, mais ça change pas le centre tonal. Il y a plein de morceaux en La mineur naturel, et on entend bien sur nettement que la tonique c'est La et pas Do. Après je trouve ça toujours genant de dire que "en La mineur, le V c'est du phrygien majeur", parceque par définition "V ça veut dire note à une distance de 5 notes du centre" et parler de Mi phrygien majeur ça implique que le centre perçu c'est Mi, donc c'est incohérent, autant s'en tenir à dire que c'est du La mineur harmonique. Aussi tu as dis qu'il fallait un Sol# pour que La devienne la tonique, et qu'on ne soit plus en do majeur mais en la mineur. Mais ça ne semble plus être un problème d'établir du Mi phrygien majeur sur V, sans qu'il y ait besoin que le Ré qui précède le Mi soit monté en Ré# pour aider Mi à devenir le centre. Il n'y a rien qui aide à établir le Mi comme centre, qui plus est sur une durée très courte d'une seule mesure, mais on le nomme centre un mode construit dessus, au même titre que le La, qui lui va s'étendre sur toute la durée du morceau. C'est très confus.
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Pour ma part j'aime bien écouter des albums entiers et jouer sur des albums entiers du début à la fin d'une traite sans m'arrêter. Donc je découperais la liste pour en faire des albums, ce qui fait 4 albums de 10 morceaux, et je fais un album par semaine, avec des sessions de 2 heures. Dans un premier temps je joue d'une traite par dessus l'album sans arrêter une seule fois, en jouant tout ce que je peux jouer et comprendre immédiatement. Ce qui me semble trop compliqué je le simplifie.. Je me redonne plusieurs chance de jouer d'une traite l'album, jusqu'à ce que je pète un câble de pas réussir tel ou tel passage, soit car j'ai pas la technique, soit car j'arrive pas à identifier ce qui se passe, et là je bosse en spécifique, en utilisant toutes les stratégèmes possibles. Donc rejouer le morceau entier, puis juste un passage, le mettre dans un DAW et le ralentir, mettre une mesure en boucle, chercher une vidéo sur youtube, mais je cherche jamais les partitions, ça m'a toujours parut plus simple de faire à l'oreille. Donc je fais tout d'oreille, je note rien, c'est sans doute un tort, mais je le fais si je vois que j'arrive résolument pas à comprendre et mémoriser la structure, par exemple Lady Marmelade, étonnamment compliqué je trouve niveau structure. Ca ne peut pas faire de mal d'écouter les morceaux au travail ou dans les transports, mais il ne faut pas compter là dessus pour que ça fasse le taf, ce type d'écoute assez passif.
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Je comprendrais jamaisceux qui comptent les cordes dans l'autre sens
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trouvé sur talkbass
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Je sais bien que Bussonet joue en quinte, je l'ai vu quelques fois en live, donc c'est bien vrai , mais comme je disais on voit bien qu'il est tout le temps obligé de glisser démancher, même pour monter une simple gamme majeure. En accordage quinte, la façon la plus simple de jouer une tierce, c'est en fait la façon la plus compliquée de jouer une seconde en accordage quarte, donc ça demande plus de technique. Au dessus de la case 12 l'accordage en quinte c'est plutot pas mal car il y a pas trop de place, mais sous la case 7, il faut démancher ou alors beaucoup utiliser les cordes à vide, ce qui se fait déjà pas mal sur contrebasse en fait même en quarte, mais pas trop sur basse electrique, et ça demande du coup plus de technique pour éttouffer les cordes etcetera. On le voit sur les vidéos que tu mets, c'est bien plus difficile, et je pense que ça n'a pas trop de sens de montrer des musiciens hors pairs pour faire la démonstration qu'un accordage pourrait être standard. En ce qui concerne la Suite I pour violoncelle de Bach, elle est plus adaptée à un accordage en quinte, car elle a été conçue pour cet accordage, on s'en rend bien compte en tentant de la jouer en quarte, les doigtés n'ont pas trop de sens, ça donne que des trucs à la con Donc oui comme tu dis pour reprendre du répertoire de violoncelle ça peut le faire, mais on va dire pour du violoncelle solo alors, car le violoncelle d'accompagnement ça n'est pas autant arpégé que la suite I de Bach par exemple, donc un accordage en quarte sur contrebasse fait l'affaire. J'ai déjà éssayé l'accordage en quinte il y a longtemps, forcément ça fait rêver d'avoir une tessiture aussi grande sur une quatre corde, mais je pense que de nos jour ça se règle plutot avec les basses 5 et 6 cordes si nécéssaire. On dirait limite que tu penses qu'il y a un complot contre la basse pour qu'elle soit accordée en quarte, mais c'est je pense juste le plus réaliste