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Ce que j'aime chez toi Mirak, c'est que tu ne lâches rien. Moi non plus d'ailleurs. Oui je pense avoir développé une sensibilité aux hauteurs. Absolues, çà serait présomptueux, très très proches, çà c'est certain. A froid, pour le chant, sans repère préalable, je tombe très rarement à côté de la note que je souhaite chanter. Si je ne suis pas en forme, mon écart maximal, c'est le quart de ton... [un jour lors d'un remplacement au CNR de Dijon, j'ai, avec l'un de mes anciens profs joué à relever à l'oreille des tonalités, accords en temps réels sur des morceaux qui passaient à la radio (c'était en fin d'année scolaire, après les examens de fin d'année, un dîner entre profs de FM dans un restau, et comme j'avais fait tout un trimestre, l'équipe pédagogique avait eu la gentillesse de m'inviter)]. Quand j'entends chanter avec le nom des notes un prof de sax (sur un alto), c'est pour moi une torture... Sinon gre, je ne minimise pas le boulot à la basse (écoute préalable...), on connaît tous le processus. Sinon pour Debussy et sa classification des tonalités/sensations, je dois avoir çà dans un de mes livres, mais il faut que je me souvienne duquel. Mais je peux t'assurer qu'un changement de hauteur sur n'importe quel morceau (que ce soit en classique ou pas) par rapport à l'original change mon écoute... Je dois avoir un problème psychique.
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A gre, Aborder une nouvelle tonalité se fait de façon "spontanée" quel que soit l'âge, du point de vue chanté. Enfin pour un peu que l'on soit en mesure de maîtriser sa technique vocale. Là je pense que l'on est tout les deux d'accord. Ce qui pencherait à dire qu'effectivement on tranpsose simplement une gamme de Do sur une autre hauteur. Mais là ou je ne suis pas d'accord (à titre personnel, je ne détiens pas le savoir absolu sur la question) c'est sur la "théorisation" qui accompagne le dit changement. C'est à dire on prend un calque que l'on déplace. De ce que j'ai pu constater sur le sujet du chant (et je ne parle que de chant on peut aussi inclure aussi les instruments à cordes non frettés à archet ou non): Bien qu'accompagné par un instrument tempéré (piano) ou un orchestre, un chanteur (ou un instrumentiste à corde) dans certains cas n'aura pas la même justesse que l'accompagnant par nécéssité d'interprétation ou de rendu sonore: Un fa# dans un contexte n'aura pas la même hauteur que la même note fa# du même morceau (et dans la même tonalité) à un autre endroit. Ce n'est pas que le chanteur chante faux, c'est que la musique l'exige: exemple dans un contexte de Sol M, sur une cadence finale, on peut pousser la note de 2-3 commas pour donner une sensation un éclairage différent. Sinon çà sonne terne. Mais le problème, c'est que la même note Fa# dans une autre tonalité, sonnera encore différemment. Ce n'est qu'un exemple parmi d'autre. C'est comme l'histoire de l'enharmonie: sur une basse un mib par exemple sonne comme un ré#. En chant si l'on applique cela (il faut avoir une sacrée maitrise pour çà, je l'accorde), çà sonne faux. on fera le ré# plus haut car dans les 3/4 des cas la note tend à devoir se résoudre vers le haut et le mib un peu plus bas. Alors je sens venir ta question: est-ce que les élèves sont capables de différencier cela: à 99% non. Le 1 % restant ce sont des élèves adultes chanteurs. Ayant constaté dans du répertoire qu'une justesse tempérée n'était pas l'idéal et que sur deux trois notes, on doit repasser en gamme naturelle et de par mon passé, comme tu as pu le lire, de violoniste, où l'on m'a fait travailler de la sorte, chez moi c'est instinctif d'élaborer le travail de chant dans le contexte (avec l'armure, les bons noms de notes...) Voilà, c'est ma position. Je prends ce qu'il y a à mes yeux de bon dans les grands courrants pédagogique (willems, Orff, kodaly) et j'en écarte les points avec lesquels je ne suis pas en accord. J'espère ne pas avoir droit au bûcher de l'inquisition pédagogique pour cause d'hérésie? P.S. Le travail des gammes en chant et le travail de l'oreille qui vont de paire, n'ont rien à voir avec le travail d'un bassiste où effectivement on reproduit quelques schémas mécaniques en changeant simplement de case.
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Je ne parle pas de couleur au sens théorique (mineur, majeur, par tons...), je parle de couleur au sens musical. Tu fais de la musique ou tu es un robot? Tiens, je viens de trouver ce site, ce n'est pas Debussy, mais on s'intéressait à ceci dès l'époque baroque: http://www.musebaroque.fr/Documents/tonalites.htm Si tu me dis que n'es pas sensible à ce genre de chose... Ah, merci depuis le temps, je ne m'en étais pas rendu compte. Pour de vrais morceaux du répertoire oui. Et même quand on transpose une ligne de basse, moi perso, çà me fait çà. Je n'en crois pas mes yeux... Je suis peut-être prisonnier des onzes années que j'ai passé à travailler le violon et faire sonner chaque tonailité avec une couleur, pardon une "sensation" différente. Et des années suivantes avec la contrebasse. Quant au dandelot, il est fait pour l'apprentissage des clés. Je préfère me tirer une balle dans le pied, plutôt que de le conseiller à quelqu'un qui cherche à associer lecture note et hauteur de note. Bon tu m'excuseras Mirak, mais on s'est tout dit, je pense à ce sujet. Au plaisir de se recroiser sur un autre.
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19 Ans.
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C'est sur ce point précis, que je ne suis pas d'accord, pour ce qui concerne l'ordre de travail et le résultat escompté. Ce qui m'intéresse, quand je fais découvrir une tonalité à mes élèves ce n'est pas en premier lieu cela. C'est la couleur sonore que tu découvres en chantant cette gamme de Mi M, ce qu'il en résulte d'un point de vue écoute, donc oreille. Et pour apprivoiser cette nouvelle couleur sonore, tu as besoin d'y mettre le vrai nom des notes. Alors comment la ressentent-ils cette couleur sonore? Je leur fait chanter la gamme avec le vrai nom de notes, plus un accompagnement au piano avec des accords, dans le respect dans règles harmoniques classiques. Donc moi, je tiens effectivement ce rôle de fonction des degrés, mais ce qui m'importe pour mes élèves c'est la différence sonore, de ressenti de couleurs, d'émotions par rapport à une gamme de DoM. Ce n'est pas de leur dire avant attention vous allez chanter des fonctions. Ensuite forcément vient la phase d'explication et là tu es obligé d'en passer par le rôle des degrés. Mais moi je n'en fais pas un préalable, vois-tu? Tu sais comme moi, que plein de compositeurs, toutes périodes confondues, ont composé des séries de pièces dans toutes les tonalités, en vrac les exemples les plus connus: Bach, Chopin, Debussy. Debussy, a classifié les émotions sonores rendues par les différentes tonalités. Pour moi la musique c'est çà. Alors que même si techniquement la méthode Kodaly est utile pour la compréhension des fonctions, je trouve dommage, qu'elle fasse de ce système un préalable à l'apprentissage d'un nouvel univers sonore, alors que pour moi elle n'apporte qu'une explication technique. Tu sais j'ai commencé jeune prof, formaté par le conservatoire, à expliquer à des élèves les tonalités par cette approche de transpo du Do. Et bien il y a eu de grands moment de solitude... Aussi bien dans les sons chantés, que dans les expications et la différenciation mais aussi le lien (la succession) que peuvent avoir les tonalités. Maintenant, quand j'enseigne une nouvelle tonalité c'est dans l'ordre: 1) On chante sur nom de notes réelles ( c'est spontané parce que le piano soutient et double la voix) 2) On analyse le ressenti sonore et ce qui fait sa spécificité (les altérations forcémment). On en déduit donc une armure. 3) On analyse la construction et on y mets des mots, des fonctions, et on fait une comparaison par rapport à ce que l'on connait déjà. La fameuse gamme de Do. Même si tu vois dans ces trois étapes, de la méthode Kodaly, jamais à aucun moment, la technique pour les élèves n'est à l'origine de la découverte. La fonction des degrés c'est mon rôle (piano), et je demande ensuite aux élèves de me citer dans le nouveaux contexte ( la nouvelle tonalité), les notes importantes. La dernière phase est d'intégrer les fonctions. Cette dernière phase n'intervient pas 3 ans plus tard, elle vient dans la foulée, et est le fruit de la réflexion des élèves. Et non pas un truc que l'on donne pré-décortiqué. Et cela n'empêche pas pour autant la compréhension et çà n'en est pas contrairement à ce l'on peut penser une forme d'enseignement austère, car elle aussi fait appel à l'interactivité (si l'enseignant sait mener et animer son cours, bien entendu). Donc pour la découverte d'intervalles, de tonalités, je fais appel à des livres de chants (Vaccai) mais surtout des recueils de mélodies, lieder. Mais il n'existe, il est vrai pas grand chose comme ouvrage sur les intervalles s'appuyant sur la musique...
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Je ne dis pas le contraire Mirak, mais tu transformes un sujet de quelqu'un, qui d'après ce que j'ai compris, recherche "la bonne hauteur de son d'un claquement de doigt" en sujet sur l'enseignement du solfège, de la théorie et de l'harmonie. Tu conçois le travail de l'oreille par rapport à la tonalité, l'harmonie. Je ne peux pas te désapprouver sur ce point. Mais pourquoi parler alors de cette notion de Do mobile, (qui bien sûr est utile pour expliquer la fonction d'un degré dans une gamme), alors que le but de ce topic, si toute fois j'ai bien compris, c'est: une note = une hauteur déterminée et fixe? Tu ne trouves pas çà contradictoire? Alors que l'Arbaretaz ne soit pas à ton goût, d'accord. C'est ton droit. Mais restons sur le sujet.
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A cà y est, c'est enseigné à Berkley, donc c'est parole d'évangile...Tu as raison, c'est de l'argument de premier ordre. Si çà leur plait, tant mieux. Permets-tu qu'ailleurs, on puisse avoir une autre vision des choses? Quand à l'affirmation que j'ai souligné en gras et que tu t'es empressé de changer, c'est faire preuve de grande pédagogie que de t'emporter... Bref, c'est bien tu as trouvé ton bonheur pédagogique et tu te sens à l'aise avec? Tu l'exposes, quel le problème si les autres regardent ailleurs? Je n'en vois aucun.
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Bonsoir Mirak, Nous n'arriverons pas à nous mettre d'accord, tout simplement, (sur l'approche de la méthode Kodaly). Tant pis.
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Les raccourcis sont très faciles à faire et même contre-productifs, donc il faut savoir vers quoi on veut aller. Si l'on cherche à obtenir une oreille relative (avoir la notion d'intervalles, car une gamme est une succession d'intervalles), alors OK pour Kodaly... Mais on ne traite pas de tonalité (au sens d'aujourd'hui) pour autant. Si l'on veut l'oreille absolue, la méthode Kodaly ne vaut pas plus qu'une autre, et nous fait faire un bond de 10 siècles en arrière: celui de la solmisation que tu appelles "Do mobile". C'était vachement pratique, la première note était toujours un Do... (Alors où est la distinction des tonalités là-dedans?? Et de la fonction des degrés). C'était tellement bien que cette méthode s'est cassée la gueule d'elle-même (enfin avec l'aide de Gui d'Arezzo) au profit de notre "solfège moderne", certes loin d'être parfait mais beaucoup plus précis dans bien des domaines, et faisant appel à la notion de tonalités. Je ne crois pas avoir dit que le dandelot ne servait à rien (lectures et transpos à vue), j'ai dit que pour former l'oreille il n'avait aucune utilité. C'est une grande différence. Bon je m'arrête là, parce que parler boulot sur le net, j'ai l'impression de faire des heures supp.
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"Le manuel pratique" date (1928), mais il est très efficace pour apprendre les clés (les sept proposées) pour peu qu'on le veuille. Mais il n'est fait que pour cela. Ce que je veux dire, c'est qu'il faut des années d'association: lecture et reconnaissance de la note sur la portée/ écoute attentive du son produit sur l'instru/ dictées en tout genre (relevés de morceaux par exemple)/ reproduction vocale pour avoir pour parvenir à ce résultat. Avoir l'oreille aux aguêts constamment... Seuls "Lire la musique par la connaissance des intervalles" de Marie-claude Arbaretaz volumes I et II te permettent de faire ce travail de tous les jours. Mais ils sont en clé de sol... Tu vas en chier au début, mais tous les intervalles y passent la dedans. Alors clavier ou pas, çà c'est une autre histoire...Si c'est pour comparer, puis rectifier la justesse d'une note au trombone, çà ira dans un premier temps, mais çà ne sera pas pour autant ce que tu recherches. Il faut batîr sa justesse intérieure de toute manière pour corriger ses fausses notes à l'instrument et non l'inverse.
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Exactement. [Mode à côté de la question] J'ai commencé d'abord la contrebasse, puis (tout en poursuivant mes études de grand-mère) 3 - 4 ans après, la basse frettrée, mais en autodidacte. J'ai fait au bout de 8 ans environ de basse, deux tentatives fretless à 2 ans d'intervalle, je me suis pris une claque dans la tronche à chaque fois question justesse et ai revendu du coup, une yamaha RBX260F et cort action fretless. Et comme je suis têtu, je réessaie de nouveau (alors que dans un autre post j'avais dit que non ) sur une Squier VM fretless achetée il y a quelques mois. Enfin quand je dis je réessaie... quand j'aurai le temps quoi. Ce n'est pas ma priorité instrumentale.
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Coucou, Alors petit point au sujet des doigtés: Dans le manche: Si on se sert d'une technique classique de contrebasse (1,2,[3+4]), la main gauche reste bien en place. C'est la plus courante. En technique classique, il y a aussi l'italienne (moins connue chez nous): 1,[2+3],4. Depuis quelques années, on voit effectivement des techniques de basse (1,2,3,4), alors la main main gauche ne peut que pivoter, c'est sûr. J'ai eu pendant un an un prof qui m'obligeait à jouer comme çà. Je dirais que cette dernière est intéressante dans certains cas à la fin du talon, avant les positions du pouce. Mais dans le manche on bouge tout le temps, sans parler de la justesse. Mais comme le dit redcarp, heureusement que la contre est plus "tolérante" qu'une basse fretless. A partir de l'octave d'une corde (voire même la septième ou la sixte de façon exceptionnelle), c'est position du pouce (+,1,2,3), avec un doigt pour un ton (en diatonique) ou un doigt par 1/2 ton (en chromatique). Les deux sont reconnues. Le signe + représente le pouce. Voili. Quant au travail pour passer d'une fretée à une fretless (Cb ou basse) en34", Je ne suis pas du tout sûr qu'il soit si aisé que cela...
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Après une 1/4, comme une plus petite ou une plus grande, çà reste de la contrebasse. Je dis "réservée" car plus habituel chez un ado. Si tu as déjà l'habitude du jeu fretless, alors la porte reste grande ouverte. Ce n'est pas parce qu'utiliser une 1/4 pour un adulte est rare que c'est interdit. Maintenant, tu sais comme moi que ce qui change suivant la longueur de corde vibrante, ce sont les écarts et la profondeur de son de part la taille. Mais si l'idée te taraude, ne recule pas alors. Moi j'exprime mon point de vue perso, ce n'est pas parole d'évangile. Après une contrebasse d'usine n'est pas forcément merdique. La mienne, que j'ai payée 2500€ en 2004 (achetée neuve) sonnait mieux qu'une 7/8 de luthier (neuve également) que quelqu'un avait achetée 9000€. Alors... J'espère te voir bientôt avec la carte du club.
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Alors, les petites contrebasses ne sont effectivement pas moins chères que les modèles adultes (3/4,4/4). Comme tu le dis, le prix est plus lié à des questions de qualité de construction. Après ce qui est singulier dans ta démarche, c'est que la taille 1/4 est quand même en général réservée à l'apprentissage des jeunes. Les plus petites utilisées par des adultes sont des 1/2 pour certains répertoires, et bien sûr entières ou 3/4.. C'est comme si un violoniste cherchait à vouloir jouer sur un 1/16 (le "violon de clown"), sous prétexte que la sangle de son étui avec son violon 4/4, lui fait mal à l'épaule pendant le transport... Je te dis çà, c'est du vécu. Je ne dis pas cela pour rester dans une norme, mais par exemple si un violoncelle est plus petit qu'une contrebasse, c'est pour des questions de correspondance entre résonance et tessiture. Voilà pour mon point de vue pour la taille. Alors, pour ta demande, souhaites-tu jouer un jour à l'archet? As-tu pensé à cela? Si oui pas de doute il te faut une contrebasse. Si c'est non et définitivement non, comme je te l'ai dis, la contrebasse (petite ou non) n'est peut-être pas l'instru que tu recherches (puisque tu parles de Ukulélé basse). Essaie dans des basses acoustiques fretless (mais pas dans une gamme genre 600 euros, car hélas sans ampli çà ne sonne pas d'un point de vue niveau sonore). Après passe chez un luthier pour tester des contrebasses, car c'est tellement personnel comme sensations, que choisir une contrebasse parce qu'un gus sur internet t'as dit de le faire, c'est comme espérer trouver ta moitié sur meetic. Prends le temps de comparer et ne tombe pas dans le piège de: "Tiens, je vais prendre un instru insolite (par rapport à l'usage traditionnel), me singulariser histoire d'être original, ou imiter un gars que j'ai vu"... Non pas parce que çà ne se fait pas chez les bien-pensants ou intégristes, mais parce si quelqu'un a fait le choix de la contrebasse 1/4, c'est que cela correspondait à son trip perso. Et de plus un achat à l'aveugle coûte très cher. Dernière question qui me passe par la tête: recherches-tu vraiment un jeu "à la verticale", où simplement l'esprit acoustique? Dernière modification de mon post: Quelque soit l'instru choisi (contrebasse, basse électro-acoustique fretless et même basse électrique fretless), il faut avoir la volonté de repartir de très loin dans le travail de la technique pour la justesse, et même à longueur de cordes équivalente). Pour moi je préfère le jeux fretless sur une contrebasse. La basse électrique, je la joue frettée (4 et 5 cordes) et la sensation des frettes me gènent encore. Un jour quelqu'un m'a dit: "pourquoi ne pas jouer bass fretless", je lui ai répondu que je ne voulais pas me rajoutter un gabarit fretless dans les mains.
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Hello, Quelles sont les motivations qui te ferais choisir un petit instrument? 1) Place, transport? 2) Peur d'aborder l'écart dû à la différence de longueur de cordes? 3) Autres? Petit instrument ne signifie pas automatiquement son pourri ou instrument injouable. Ce qu'il faut, c'est d'abord une lutherie de bonne facture (en acoustique çà compte beaucoup) et ne pas lésiner pour acheter un jeu de corde adapté, de qualité semblable à la gamme de l'instru. Si c'est pour une orientation musicale à très long terme vers l'acoustique, je conseille la grand-mère, quitte à en suer au début. Ce n'est pas insurmontable. Si c'est une simple envie d'avoir de "l'acoustique sous le coude", alors peu importe l'instru.
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Il y a bien longtemps (15 ans), en plein cœur d'un hypermarché Carrefour. Un employé m'a même prêté un transpalette manuel pour transporter ampli, caisse à pupitres, matos lourd... Tu joues entre un gars qui choisit sa bande-dessinée et l'autre sa piscine gonflable...Bref qui n'en a rien à foutre! Par contre, je me suis rendu compte que ce n'est pas facile de se frayer un chemin dans la foule avec le transpalette.
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Ou comment adapter le concept du Superbone (trombone mixte) à la basse...
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Pour ce qui est de la tessiture, j'avoue que je ne sais pas si la mini-contrebasse joue à l'octave supérieure ou pas. A priori, je dirais que c'est la même tessiture. Pour les autres instrus à cordes (violon-alto-violoncelle), il existe des jeux spécialement conçus pour les modèles jusqu'au 1/16ème, et il n'y a pas de changement de tessiture. Hors-sujet: Le seul instrument pour lequel on change de tessiture (octave supérieure), est à ma connaissance le saxophone. Les gamins hauts comme trois pommes qui se mettent au saxophone jouent sur des sopraninos courbés (le sax de clown) et non sur des altos petites tailles, car çà n'existe pas.
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Bonsoir, Le monde de la contrebasse s'intéresse désormais aux juniors. Et ce n'est pas trop tôt. Je me souviens, il y a une vingtaine d'années, que les enfants de 10-12 ans commençaient la contrebasse sur... un violoncelle monté avec des cordes de contrebasse. Les chevilles étaient remplacées par des mécaniques individuelles de grand-mère. Cela posait d'énormes problèmes de tension (cordes ultra flasques). Le son était naze. La contrebasse étant devenue un instrument comme les autres, donc on trouve des tailles adaptées aux enfants. C'est donc simplement l'équivalent en contrebasse, de modèles de basses électriques comme les Greg Bennett Corsairs, Ibanez GSR Mikro,...
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Bonsoir, Bien j'en dis que pour une grand-mère qui n'a jamais servi, elle a déjà bien souffert: rayures à la tête, aux éclisses, chevalet hors d'usage (courbure très prononcée).
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Je serais le fabriquant du Bsx, je doublerais tous les tubes, de l'embase jusqu'à celui du bras en \________/, un peu à la façon des stands de clavier si vous voyez ce que je veux dire. Je dis çà sérieusement en plus. Ce ne serait peut-être pas très pratique d'avoir le double de rotules à vérouiller, mais à au moins ce serait costaud. Et puis pour ce qui est du transport du stand, bah on a pas l'instrument le plus facile à transporter non plus.
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Le pro BSX est une pure daube; je le dis en connaissance de cause, j'en avais acheté un exemplaire. C'est à cause de ce dernier que je me suis mis à réfléchir à la conception de mon "modèle". Non seulement la contrebasse se balance dangereusement ("roulis" très important), la prise au sol est très insuffisante et dernier point, plus personnel: pour tout ceux qui comme moi utilisent une ventouse en bout de pique, la coupelle impose de déposer ladite ventouse. Lors d'un concert, non seulement on pert plus de temps à poser/sortir la contrebasse de ce stand et si des personnes rodent autour sans faire attention, on a vite des sueurs froides (entre l'angle d'inclinaison restraint, la tenue faiblarde et le roulis). Après une utilisation, j'ai même dû refaire la soudure de l'écrou qui permet le vissage du bras en \________/. Seuls points positifs: le pliage et les crants dans les rotules, pour le reste, il faut passer son chemin:
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Coucou, Je confirme que je suis à l'origine du stand "fait maison" sur ce forum à partir d'une penderie et Tiki613 en a fait un article sur Contrebasseries. C'était du temps où j'avais quelques idées et j'ai décidé de partager... Si la structure globale est bonne, voire excellente en matière de qualité/prix, la finition finale relève de chaque personne l'ayant fabriqué: Tiki613 a mis une chambre à air sur le tube chromé et moi un fourreau mousse vite remplacé pour un fourreau sky gris sur mesure, pour éviter le déplacement latéral. Cette dernière solution me donne entière satisfaction. J'ai mis quatre gros pieds caoutchouc pour ce qui est des tubes reposant sur le sol; çà ne bouge pas. La grille est toujours présente. Sinon pour le transport, c'est tel quel, je ne démonte rien. Sinon à la maison c'est coin de murs, comme beaucoup ici.
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Non, celui que je t'ai conseillé éventuellement d'essayer (car la marque est assez répandue) c'est le Tech21 Para-Driver conçu pour la gratte et par extension pour les instrus acoustiques. C'est celui-ci: Son impédance d'entrée est de 4,7 MegaOhms. Celui que tu montres est le traditionnel modèle pour la basse électrique Tech 21 Bass Driver avec une entrée de 1 MegaOhms, qui ne change rien par rapport à ce que tu as déjà. Oublie les préamps pour basse électrique (à deux trois exceptions près) et penche-toi vers les modèles acoustiques ou mieux basses acoustiques, voire ceux à deux cannaux (la plupart du temps le deuxième canal possède une très hautre impédance). Une petite page avec des modèles: http://www.gollihurm...ORS.html?from=1 Alors là-dedans: LR Baggs Venue DI LR Baggs Para DI Acoustic Preamp LR Baggs Gigpro Single-Channel Radial Engineering ToneBone PZ Pre Dual Channel Basswitch IQ DI Foot Pedal Dual Input Preamp Fishman Pro-EQ Platinum Bass (celui que je possède et qui est taillé pour le traitement du son piezzo basse) Fishman B-II Bass (la version simple qui sert de buffer: d'apatateur d'impédance et de niveau) Un qui ne figure pas dans la liste l'EBS MicroBass II, une de ses entrées est commutable à 10 MegaOhms. Alors là-dedans les prix vont du simple au quintuple (Fishman B-II Bass/Basswitch IQ DI Foot Pedal). Evidemment si tu pouvais tester un Fishman Pro-EQ Platinum Bass, ce serait l'idéal...L'essayer, c'est l'adopter (pour une cellule comme la nôtre). Et preuve que je suis patient, j'ai saisi le texte dans la réponse rapide, je ne me suis pas souvenu que je n'étais pas identifié et le cache de Firefox 16, ne retient plus le texte comme avant. Il a fallu ressaisir une deuxième fois... T'as d'la chance que je sois en vacances, tiens!!
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Ce n'est pas fatiguant, de répéter, ce n'est pas çà la question... C'est que tu as un souci, qui ne provient pas de toi, ni de ton matos. C'est simplement que tu emploies un type de cellule et un ampli (certes très performant) qui ne sont pas fait pour aller bien ensemble sans interface. Ou alors, il faut un autre type d'ampli. (regarde le sujet dans amplification "Tête Markbass Jeff Berlin"). De là tu te poses légitimement la question du micro. Mais ce n'est pas la bonne piste. Sauf si tu veux du super son acoustique sur une scène hyper large, avec très peu de zicos, un peu à la Garcias-Fons (je crois qu'il utilise une full circle et deux micros). Je ne défends pas spécialement la david gage, je ne la porte pas aux nues, non plus. Une full cicle pose dix fois moins de problème et sonne très bien. J'ai simplement une petite expérience depuis cinq ans, avec la contrebasse amplifiée, avec donc la david gage the realist, que j'ai pu "apprivoiser" et que j'arrive maintenant à bien gérer avec mon matos. Si j'avais des thunes et des thunes à claquer, j'aurais fait monter une full circle sur le chevalet, voire pris un capteur schertler (pas si facile que çà à ce qu'il paraît pour cette dernière marque). Mais, car il y a un mais, je suis contrebassiste classique à la base, je joue plus de la contrebase à l'archet (même amplifiée) qu'en pizz... bon j'ai eu une période où c'était l'inverse, mais le projet est terminé. Je ne souhaitais pas toucher à l'intégrité de cette pièce primordiale. Et mon chevalet ayant des ouies taillées de façon particulière (c'est usiné de cette sorte), ne permet pas le montage de cellule à l'intérieur de celles-ci. Donc le choix a été vite fait. Et si un jour je ne joue plus en amplifié, je peux retirer le david gage sans aucun frais. Voilà, donc si j'insiste, c'est que j'ai rencontré les mêmes problèmes que toi, eu les mêmes intérrogations et trouvé des réponses, qui dans l'absolu sont certes, des compromis, mais tout en ayant trouvé un système fonctionnel. Sinon c'est vraiment trop difficile, sans engager un budget vraiment très conséquent d'obtenir le graal acoustique. Si l'on ne veut pas que cela devienne une obsession, il faut trouver un équilibre et je pense l'avoir atteint comme cela. Sinon t'inquiète-pas, mon métier, c'est justement de répéter, voire parfois (trop souvent à mon goût) de parler pour les murs! 18 ans que çà dure!!