Nono the Bass

J'étais allé l'écouter à Dijon à la Vapeur, il y a bien longtemps maintenant... Je le découvrais. Je n'ai jamais suivi son actualité, mais tout ce que j'ai retenu de ce jour là, c'est d'avoir eu cette chance d'écouter ce grand monsieur.

L'éternelle querelle entre les anciens et les modernes. @arbazer L'esprit de mon post initial était d'évoquer, à un temps T, un court morceau de vie avec une classe, avec des élèves de 9 à 14 ans, portant sur la distorsion générationnelle (et bien naturelle) de point de vue, d'analyse, entre des élèves et leur prof. Cette distorsion a toujours existé, quelle que soit l'époque et les médias. Cela prend en compte de multiples facteurs (les centres d'intérêt du moment pour les élèves- la mode, les moyens d'accéder au savoir et bien entendu l'évolution de cette distorsion au fil du temps, due à l'augmentation de l'âge du prof, sujet que j'ai évoqué pour ce qui me concerne). Il n' y a aucune critique ni dénigrement de la jeunesse là-dedans. . Tu veux que je le dise directement? Bien non les jeunes vont n'êtes pas tous cons et réciproquement les vieux profs ne le sont pas tous non plus. Et si cela peut te rassurer, j'ai d'anciens élèves qui se sont hissés musicalement à un niveau pro et j'en suis fier.

H.S. Je me retrouve un peu sur les discussions ici, mode vieux con, etc... le rapport à l'éducation et la culture générale. Quand j'ai des discussions avec mes élèves sur les goûts musicaux de chacun... Je leur explique que, vu de mes cinquante ans, je n'ai pas forcément la même vision des choses qu'eux. Ils me répondent que cinquante ans, ce n'est pas vieux (par politesse ou réflexe, je ne sais pas)... Je renchéris en leur disant que j'ai déjà parcouru un demi-siècle et là, leurs regards changent et ils se disent: "Ah ouais, quand même..." et là ils me disent qu'ils ont quand même déjà vu un film de Charlie Chaplin, même que c'était du noir et blanc... mais par contre si je leur parle de Louis Armstrong, ils me répondent qu'il a marché sur la lune... bref.

Prochaine étape: "Chérie j'ai revendu la bagnole, j'ai trouvé une Plymouth Fury rouge et Blanche...et tu sais quoi elle s'appelle Christine" Je sors.

Un petit up pour du son de ces belles dames vers 4:00:

Tu penses à ce trait d'orchestre mesure 10 ?:

Je me souviens avoir vu lors de mes études (déjà lointaines) au conservatoire, quelques allemandes modifiées avec des sillets démesurément longs (pour donner une idée, voici une extension mais le principe reste le même). Ainsi on obtient une quinte entre la corde à vide et le talon. Par contre la main ne remonte pas aussi haut en première position premier degré.

Certains sont essayistes, moi je suis débiliste: Deux amis se retrouvent à l'aéroport: -Ben, per où qu't'étais passé toué? -Ch'uis allé chercher une pochade de cocatine. La prochaine foué, lis ma missive...

Merci pour ce partage! Mes coups de cœur sont la 1/2 soliste (la trois cordes) et la contrebasse avec les épaules en forme de poire.

Je dois le recevoir aujourd'hui (commandé samedi sur Amazon). J'ai hâte. Edit: Je viens de le recevoir. Très très beau livre. Malheureusement "quelques erreurs" de traduction (exemple page 23 sur l'accord courant mi-sol-ré-sol au lieu de mi-la-ré-sol, pareil pour l'accord soliste fa#-si-mi-sol au lieu de fa#-si-mi-la)... J'espère que ce sont les seules... Bon, on a le bon accord sur la portée page 25. Malgré ce petit couac, c'est un sacré boulot!

Ça me fait penser à Hector Berlioz. Notre french compositeur amateur d'opium, révait pour son orchestre idéal de quatre octobasses. Berlioz vivrait au XXIème siècle, il voudrait quatre Giant Ampeg amp. CQFD.

Il faut que je vous raconte l'histoire de cette config, vous comprendrez mieux. Tout a commencé avec l'achat d'okaz d'une tête ashdown little giant 350 dans un cashmachin. J'ai recherché une enceinte compacte de la même marque et j'ai jeté mon dévolu sur la petite sœur la Mi10. Cette config était au départ pour la contrebasse. Trouvant que le son était "serré" question grave, je me suis mis en quête de trouver la grande sœur, donc la Mi12. Oui mais je ne voulais pas mettre le prix plein pôt pour une enceinte plutôt méconnue avec les incertitudes que cela engendre. Donc j'ai zieuté les bons plans et c'est sur am.... que j'ai pu obtenir la première Mi 12 à un prix très honnête en promo. Satisfait de cette nouvelle acquisition (encore une fois le rapport prestation/coût financier étant positif), j'ai attendu 6 mois puis j'en ai acheté une deuxième dans la même fourchette de prix). La little giant devenant insuffisante pour bien exploiter l'ensemble, je suis allé au mag de musique du coin et j'ai acheté une markbass little mark 3. Une très bonne surprise quant au résultat, deux concerts, un en extérieur et un en salle avec le volume réglé à 9 heure... Aucun besoin de passer par une sono. Je passais largement au-dessus et des graves avec ma Laurent Kah à faire trembler les praticables formant la scène et les autres zikos. Vient la dernière étape: lors des soldes d'hiver de cette année, je tombe toujours sur le même site sur les 2 dernières Mi 12 avec un prix défiant toute concurrence : 2 pour le prix d'une en promo, bref le destockage . J'ai craqué, j'ai pris les deux. Il me les fallait... Me retrouvant avec quatres enceintes, j'ai cherché une tête pouvant descendre sous deux ohms. Chez Broc...., Il vendait une peavey firebass, je passe donc commande. Quelques jours plus tard je reçois un message comme quoi la tête était défectueuse et qu'ils me remboursaient. Deux mois sont passé je tombe sur le sujet Epifani/Eden sur le forum, et je me mets en quête de trouver une epifani et je tombe sur thotho sur une tête b-stock. Donc cette config plutôt atypique n'est qu'une suite favorable de coups de bol inattendus et non calculée. Une idée complétement folle, miser sur des enceintes presque inconnues voire snoobées (certes pas du haut de gamme, ça c'est indiscutable) et voir ce que cela donne. Je suis allé au bout de mon idée. @Sven Je voyage très léger en temps normal avec mon Ibanez P3110.

C'est rangé, car ce machin est dans le bureau au je donne mes cours encore en visio dans 12 minutes...

Craqué pour recevoir ce midi par UPS une tête Epifani UL901, c'est le sujet du forum qui m'a fait envie. Posée sur mes quatre Ashdowm MI12 empilés les uns sur les autres (presque 164 cm de hauteur), je sais c'est pas banal et il existe mieux... Je peux confirmer que rien ne crame à deux ohms. J'me suis juste bousillé un peu les tympans avec les tweeters non réglable et par respect pour les voisins je n'ai pas dépassé le premier repère au volume.

Ce que j'indiquais n'était que des bases de l'école classique à l'archet. Après on fait bien ce que l'on veut . Un panachage des deux peut convenir pour un jeu en pizz sans démancher sur l'index: On montant : IV: La1_Si4 III: Do#2_Ré4 II: Mi1_Fa#4_Sol#2_La4 I: Si1_Do#2_Ré4 (un peu maladroit)_Mi1_Fa#4_Sol#2(1)_La3(2) ou IV: La1_Si4 III: Do#2_Ré4 II: Mi1_Fa#4_Sol#2_La4 I: Si1_Do#4_Ré1_Mi4_Fa#+_Sol#2(1)_La3(2) Le pouce n'est pas "interdit" à partir de la septième (même si ce n'est pas le plus courant) ou III: La0_Si1_Do#4_Ré1_Mi4 II: Fa#1_Sol#4 tu finis le reste du La au La sur la corde I avec le doigté Nanny. De toute façon, il faut garder à l'esprit que la contrebasse reste un instrument hors normes de part sa facture et qu'en jouer nécessite de personnaliser la technique (en respectant quelques bases morphologiques ).

Bonjour amis contrebassistes. Doigté de base deJean-Marc ROLLEZ (à l'origine pour monter sur trois octaves): III: La0_Si1_Do#4_Ré1_Mi4_Fa#1_Sol#4_La+_Si1_Do#3 II: Ré+_Mi1_Fa#3 I: Sol+ (ça veut dire que le pouce s'est décalé pour rapport à la seconde corde, logique)_ La1. Pour la troisième octave, c'est une question de préférence personnelle, doigté diatonique ou chromatique. Inversement pour descendre. Doigté d'Edouard NANNY pour la deuxième octave: I: La1_Si4_Do#2_Ré4_Mi1_Fa#4-Sol#2-La3 Inversement pour descendre. Cette deuxième solution offre plus d'amplitude pour faire vibrer le Sol# et le La.

Coucou tout le monde, ça fait un petit moment que je ne suis pas passé par là. J'ai donc une question à la con: Qu'est-ce qui différencie la peavey firebass 700 à façade noire avec liseret rouge de son homologue à façade grise et même liseret rouge? Je sais que c'est une question de génération, mais je ne me souviens plus laquelle est la plus ancienne et la plus récente. Merci aux connaisseurs de la marque. Édit: je me réponds à moi même, en ayant trouvé la réponse à partir d'un site qui utilise la langue de Shakespeare: Sur Talkbass: Apparemment la génération blanche (que je prenais pour du gris), serait la première, la noire, la seconde...

Oui oui il y a toujours des anciens, dont certains comme moi qui passent devant la vitrine sans rentrer.

Un grand mélodiste et contrepointiste. Une signature sonore identifiable dès les premières notes. Bref encore un grand compositeur qui nous quitte.

Bonsoir tout le monde. J'ai une Stanmore I et une Woburn Ii. Achetées pour diffuser de la musique pendant mes cours. J'étais insatisfait par la Stanmore, le son était comme étouffé. Je suis passé à la Woburn II. Ce n'est pas le même budget ( le prix est doublé) mais quelle différence en terme de rendu sonore. Dans mon utilisation, ce n'est pas facile à transporter, car pas prévue pour (je me sers d'une valise delsey). Je n'ai pas constaté de problème de fiabilité ni sur l'une ni sur l'autre, malgré les transports à répétition.

Le public du Tour de France avait pourtant fait son choix, c'était Yvette dans la 403! Imagine le contraire, déjà il aurait fallu un camion plateau Berliet (pour les packs de bierre) et en plus avec la ribambelle d'ampli, ils auraient mis les batteries à plat dès le premier accord.. j'imagine la foule en délire pousser le camion... Sans compter la hache pour les mômes, "dis papa, pourquoi j'ai pas la même ?"... C'était les deux minutes du Dr Apfelglück...

Je viens de faire l'essai: Placé côté corde de sol, la main gauche seule suffit à le retirer. Le pouce appui sur le levier et ça part sans difficulté. Après deux solutions s'offrent à toi pour la réception: Soit tu joues assis, ta main gauche suffit à le récupérer pour le poser sur ta cuisse. Soit tu joues debout, tu places ta housse de basse ouverte au dessous , et là tu chasses le capo d'un mouvement du pouce.

Pour l'enlever, c'est tout aussi rapide que de décapsuler une bouteille de bière en verre. Au montage, au lieu de monter le coude en "U" de la pince sur le manche (côté corde de mi), tu le montés en sens inverse, donc côté corde de sol. Le C2 ayant un profil plat aucun souci de frise. A l'inverse d'un capo à ressort qui nécessite un appui pour l'ôter, là tu n'as qu'à basculervle levier, et comme il aura la tête en bas, il tombera tout seul. Étant léger et solide, il ne fera pas de bruit et ne cassera pas. Au pire tu prévois un petit quelque chose pour amortir le choc

Entre les modèles C1, C2 et C4 c'est effectivement une question de radius. Les Shubb sont fait pour assurer la pression (réglage de sa force par la vis) et la qualité du barré qui est impeccable. Avec le même réglage de vis (qui règle le débattement de l'ouverture, donc la pression du levier qui va faire la pince), tu vas pouvoir jouer (pour mon cas) de la première à la cinquième case, sans rien modifier. Au delà faut re-régler. Si c'est pour assurer dans un morceau, un passage qui nécessite la mise en place d'un capo à une case donnée et rien d'autre, c'est donc tout à fait jouable, en quatre-cinq secondes (grand maximum, le temps de couper puis remettre le volume sur la basse) c'est posé avec soins à deux mains (c'est un système à levier comme je l'ai dit, la force est pré-réglée par la vis) et ça ne risque pas de friser ni de foutre la camp, même en tapant dedans.

Coucou, Pour ma part, j'utilise un Shubb C2: https://fr.euroguitar.com/capodastre-nickel-classique_3972.html Parfait pour un profil de manche d'Ibanez SR 1000 Prestige.