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Bottle Neck?


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Voili en se jours d'automne le doute ma bite, le bottle neck s'utilise t-ilà la basse? question peut être con mais bon j'aime bien expérimenté des trucs, la question est surtout est-ce possible? après si sa se fait où trovuver des trucs dessus? sinon je passerais pour un con en essayant :rolleyes:

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Plutôt jouer de la fretless non ?

Histoire de te faire une idée, écoutes "Bassicaly yours" sur l'album Bass Extremes avec Victor Wooten et Steve Bailey. Bailey y a une partie fretless monstrueuse, il fait comme une guitare en slide, c'est génial !

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okay merci je vais éssayer de trovuer sa, mai sinon c'est quand mêmepossible ou pas? parceque j'ai pas les moyen de me prendre une fretless

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Merde, il est mort le bassiste de Morphine ?

Remarque Morphine, moi ce que je kiffe, c'est le sax baryton.

184336[/snapback]

Ca fait 6 ans quand même. <_<
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Ma belle en dépose régulièrement une pile à la maison ...

Donc les chiottes sont fournies ...

Quoi que ça ce vole pas mal, genre mes frangines passent à la maison et se battent avec ma femme pour les Voici.

Enfin, tout ça ne me dit pas de quoi il est mort.

  • 1 year later...
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Tiens, en cherchant le topic sur Mark Sandman (qui date probablement de l'ancienne version du forum), je suis tombé sur celui-ci. Je prend la liberté de citer ici une chronique lue sur un site à propos du dernier album qu'ai sorti Morphine :

Au mois d'août 1999, s'éteignait sur une scène en Italie l'un des musiciens qui nous aient le plus surpris et passionnés durant cette décennie. Mark Sandman s'en allait rejoindre Kurt Cobain, Jeff Buckley et quelques autres au royaume des musiciens partis trop tôt, beaucoup trop tôt. Chez Mark Sandman, c'est le cœur qui a lâchement lâché… Difficile de croire à cette nouvelle pour qui avait côtoyé cet homme si chaleureux, si plein de vie, d'humour et de tendresse, d'attention pour qui était reçu dans son monde musical. Difficile d'accepter ensuite que l'art de ce trio ne puisse pas se propager un peu plus loin, se prolonger un peu plus haut que les quatre albums (plus une compilation : une production quasi identique à celle de Nirvana) que le groupe avait sortis de son vivant. D'abord en import chez Rikodisc, puis, ensuite, distribués en grande pompe tandis que le groupe connaissait en France une notoriété rarement atteinte pour des tenants d'une musique si originale et si indépendante des moindres fluctuations du "marché".

Ainsi, lentement mais sûrement, le trio prenait une telle importance que Mark Sandman à la basse à deux cordes jouées en slide, Billy Conway à la batterie jazz et Dana Colley aux saxophones baryton écumaient tout ce que ce pays connaît de salles afin de faire profiter la jeunesse française d'influences et de vibrations bénéfiques. Et invariablement, à la fin de chaque concert, Dana Colley rassemblait le public au centre de son objectif. Et, dans un grand remerciement, fixait pour l'éternité les fans dans un éclair de flash qui ravissait tout le monde.

The Night, album posthume sur lequel travaillait Mark Sandman quand il fut emporté, rassemble quelques-uns des titres que les fans connaissaient grâce à une interprétation faite durant ces fameux concerts. So many ways, Souvenir ou Top floor, Bottom buzzer, par exemple, ne sont pas étrangers à nos oreilles. En revanche, ainsi que le faisait pressentir Like swimming (paru en 1997), Mark Sandman faisait évoluer sa musique (il écrivait texte et musique de toutes les chansons du groupe) vers quelque chose de moins figé que ce que Yes (en 1995, le moins réussi des albums de Morphine) avait pu laisser croire. La "formule" d'une rythmique syncopée sur coulis de basse slidée et de riffs de sax assassins avait vu son aboutissement pour partir dans des directions beaucoup plus fines, plus jazz encore, plus travaillées dans les arrangements. Un orgue par-ci, une guitare acoustique par-là (Rope on fire aux subtiles sonorités arabisantes), un piano qui survient et s'éteint comme il était apparu, quelques sons électroniques, des clics, des clacs (Like a miror), des chants et des contrechants, quelques harmonies vocales (Top floor, Bottom buzzer justement) ou un harmoniseur (A good woman is hard to find). Toutes choses que l'on retrouve sur The Night, au long des onze morceaux parfaits dans leur diversité au sujet desquels on ne regrette qu'une chose : qu'ils soient définitivement les derniers de ce merveilleux compositeur.

Philippe Desvalois

Voici une sélection perso de quelques morceaux (maheureusement je suis limité par la taille de mon maigre ftp) qui ne donne pas forcément un aperçu de la diversité du groupe, j'ai plutôt fait un choix de coeur. Une bonne et logique entrée en matière est tout d'abord ce qui est à ma connaissance leur seul morceau connu chez nous (enfin connu...) que j'ai entendu pour la première fois une nuit au Tigre à Reims :

. Celui-ci est extrait de "Cure For Pain", leur deuxième album... En voici deux de "Good", le premier, qui est plus intimiste, plus feutré : "You Like Rain", un blues magnifique et "I Know You Part I" qui est l'intro d'un autre blues au groove puissant qui représente pour moi un idéal absolu en terme de son, d'énergie et d'ambiance. "All Wrong" est extrait de Cure For Pain, un morceau que j'adore surtout à cause de son solo de sax à la wha-wha ! (semble t'il). Le troisième album du groupe "Yes" est en général considéré comme pas très intéressant car l'inspiration semble se tarir et le groupe se limiter, il y a néanmoins des choses fort sympathiques comme ceci : http://www.youtube.com/watch?v=Hrx4EnkVj50. "Wishing Well" est un autre magnifique morceau qui est sur "Like Swimming", le quatrième album, perso j'ai à chaque fois des frissons sur la montée finale avec les très (trop) discrets choeurs féminins. Ceux-ci sont beaucoup plus présents sur le dernier album du groupe, The Night, et particulièrement sur "Top Floor Bottom Buzzer", encore un groove énorme ou l'on sent quasiment les cordes de basse (la corde devrais-je dire) vibrer ! D'ailleurs à ce sujet, je conseille vraiment d'écouter tous ces morceaux au casque pour profiter de toutes les nuances de jeu de Mark Sandman. Voilà, pour finir, "The Night", le morceau titre qui ouvre ce même album, difficile vu l'ambiance de ce titre de ne pas y voir un chant du cygne...

Autrement on trouve quelques trucs sur Youtube, voici des images de live très intéressantes pour se rendre compte de l'énergie du groupe sur scène :

9040_lg.jpg

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picture.jpg

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Connaissais pas ce groupe. C'est dans quel style ?

Sinon, pour la basse au bottleneck, "rien n'est impossible mon cher Grishka !"

Posted (edited)

:huh::D le jimi, Boazz t'as tout mis pour te faire une idée précise de morphine :wink:

morphine comme style...c'est du morphine des athmosphères tendue, un monde musicale

très particulier moi perso j'adore B) même si je n'ai plus qu'une compile " b side and otherwise "

très bien foutu mes autres albums n'ayant pas été rendu :( ( certainement chez d'anciens collègues

d'ifsi )

edit : si tu parlait de la classification, tu doit pouvoir trouver ça dans le rock americain indépendant

Edited by garcimore
Posted (edited)

Dans les bassistes plus proches et moins mythiques, le bassiste "soliste" de JMPZ joue au bottleneck sur certains morceaux, avec même disto, effets multiples.... Tente le coup, tu n'auras l'air ridicule en rien. Pour le côté pratique, il faut appuyer suffisamment pour faire la note nettement, mais pas trop non plus pour éviter que la corde touche les frettes. Et avec des cordes de basse, je te conseille un bottle neck lourd pour sortir un minimum de son. Les matériaux différents donnent des sons différents. Autre point important, en open tuning c'est de la balle avec la disto.

Edited by Pierre-Antoine Roiron
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OUuu j'ai découvert deux truc avec ce topic.

De un qu'on peux jouer de la basse avec un bottle neck (et sa rend plutôt bien) et de deux morphine...je sens que je vais découvrir un nouveau groupe majeur pour moi :rolleyes:

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On peut facilement faire un bottleneck avec... un goulot de bouteille ! Il suffit de bien choisir l'objet (regarder du côté des bières spéciales) de le vider (avec ou sans modération) et de découper le goulot avec un disque diamant. Il faut ensuite poncer la découpe pour ne pas se dégnaper le doigt. Ca se fait... au papier de verre. Avantage : c'est pas cher. Défaut (?) : ça pèse son poid !

  • 1 month later...

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