OK, je comprends mieux. Je partage et ressens exactement la même chose à Sao Paulo, à la différence près que le royaume de l'automobile est présent partout, à telle point que certains quartiers sont impraticables par les vélos, car trop dangereux (trop de voitures, voirie défoncée, voire criminalité trop forte).
Il m'est arrivé une fois de me faire engueuler par un cycliste qui, après que j'aie doublé 10 vélos patientant en file indienne à un feu rouge, sans circulation à venir, sprinte pour me rattraper et m'engueuler. Quand il a capté que j'étais français et que j'avais vécu 10 ans à Paris, il a compris qu'il avait affaire à plus con que lui. :-D