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AlexB6

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Everything posted by AlexB6

  1. Justement, savoir interrompre une relation amicale qui peut dégénérer, que ça soit du friend-zonage ou un début de relation plus intime, c'est salutaire ! J'ai eu à la faire deux fois, l'une parce que la fille en question j'en étais fou amoureux et qu'en fait j'étais en friend zone bien comme il faut (en gros je faisais tout avec elle, sauf me retrouver dans son lit), et l'autre fois c'est avec ma compagne. À l'époque on s'est manqué de peu, elle s'est consolé dans les bras d'un pote mais voulait me garder comme ami. Je n'ai envoyé bouler, ça ne m'intéressait pas de souffrir inutilement... résultat une fois libre elle est revenue vers moi et le jeu de la séduction a repris... Bientôt 10 ans que je suis avec, papa d'un patatoïde de 13 mois. C'est souvent incompréhensible d'en arriver à des décisions aussi radicales, mais dans le cas de cette fille, c'est pour moi une décision plutôt cohérente qu'elle a pris à l'époque, pour se protéger. Après évidemment il y a l'art et la manière de couper les ponts. Avec mon premier exemple, c'était archi-tendu, on avait beaucoup d'ami(e)s en commun, donc j'avais annoncé que dès qu'elle serait à un endroit avec eux ben j'y serais pas, et son mec de l'époque était venu me supplier que je revienne dans sa vie pour leur équilibre à eux... le monde à l'envers !
  2. Je joue principalement comme ça, et plus globalement avec les autres doigts, le tout sans casser le poignet. Quelques exemples en vidéo : Pas de secret particulier, j'ai tout repompé chez Di Piazza, j'ai également bien bossé sa méthode écrite pour le Pocket Picker (quelques euros, mais une vraie mine d'or pour qui sait s'en servir).
  3. AlexB6

    Jazzyb

    Je ne pense pas que Cyril ait réellement comparé une JBV avec sa version revisitée. La customisation peut aller très loin, car non, ce n'est pas facile de trouver une JB à soi dans le commerce. Tu veux le finish d'une Adam Clayton, avec la config micros d'une Sadowsky Metro, 24 cases, avec une tête en 3+2, un diapason 33"... T'es pas sorti de la berge ! En tout cas c'est un joli projet, évidemment à milles lieues de ce que j'aurais envisagé si j'avais passé commande (une version 5 cordes de la A.C, c'est juste une des nombreuses versions de la JB qui me traversent l'esprit), mais la simplicité a parfois du bon.
  4. Le site constructeur : http://www.swanflight.com/guitarist-flightcases/pedal-board-flightcases/single-level-guitar-pedal-board-case.html
  5. AlexB6

    Le Club Des F

    Cela peut être de l'ébène de macassar, qui est généralement dans les tons marrons/chocolat.
  6. AlexB6

    Le Topic Des Gauchers

    @pat27 : je t'ai répondu en MP @jerome18340 : un écartement de 18mm au chevalet, c'est le compromis idéal pour moi. Cela me permet de développer ma technique de slap sans trop galérer sur de faibles écartements, et c'est bien proportionné pour ma technique aux doigts : quand j'utilise les 4 doigts simultanément des fois ça coince sur du 16,5mm, en 18mm j'ai pas ce souci. Actuellement je n'ai qu'une seule basse ne moins de 18mm, c'est une 5 cordes en 17mm mais elle est accordé avec un Do aigu donc la sensation de faible écart est réduite.
  7. GoT, Hunters, Orphan Black, Penny Dreadful, Supernatural, Gotham, Grimm, Bates Motel, The 100, Fear the Walking Dead... Je suis sur tous les fronts !
  8. J'ai pas essayé mais j'ai déjà envisagé cette idée et même fait faire des devis pour des micros custom du genre. Au final je m'étais dit que le plus simple serait de combiner un MM dans sa position d'origine avec un micro chevalet singlecoil de même composition, par exemple chez Delano avec les JB à gros plots.
  9. AlexB6

    Le Topic Des Gauchers

    Attention, gros ovni dont je suis prêt à me séparer.... : http://onlybass.com/index.php?/topic/90752-calmon-bcm5-headless-singlecut/ Pas de chichi, c'est pour financer un autre projet de lutherie, fini l'accumulation (enfin ça peut repartir sans problème en gagnant au Loto ). Un petit MP et on en discute si vous êtes intéressé... pas vraiment d'annonce pour l'instant mais si ça mord pas je passe à la vitesse supérieure.
  10. Entrée instrument, entrée Aux et sortie casque : http://www.tomtop.com/joyo-i-plug-electric-guitar-mini-headphone-amp-amplifier-built-in-overdrive-effect-connecting-to-iphone-samsung-ios-android-window-compact-portable-i464.html
  11. Nouvel extrait, métal cette fois-ci, avec un riff de mon groupe de prog en stand by : Voir le Fichier : CGTL_5.mp3 (je détaille un peu plus en 1ère page)
  12. J'ai eu l'opportunité de récupérer une B7K Ultra, et p***** qu'est-ce qu'il me manquait ce grain ! Ça transcende méchamment ma shortscale 6 cordes, et encore j'ai pas encore trituré la partie préamp ! Par contre je trouve dommage qu'on ne puisse pas enclencher la disto sans activer le préamp.
  13. Encore un nouveau soundclip, typé africain : Voir le Fichier : CGTL_4.mp3 Le genre de musique que j'aimerais faire tourner plus souvent...
  14. Salut à tous, J'avais vu passer sur Facebook le concept, finalement le propriétaire de cet OVNI a pondu une vidéo démonstrative : Qu'en pensez-vous ?
  15. Oui en effet le paramètre "merguez" est très important ! J'ai ajouté un autre soundclip aux doigts : Voir le Fichier : CGTL_3.mp3
  16. J'ai édité pour la config' micros slap, c'est en version splittée en manche et chevalet. Je ne suis pas trop d'accord avec le fait que l'érable compresse le son. Au contraire je trouve que ça chante davantage que d'autres bois. En revanche je reconnais cette qualité là chez l'ébène (j'ai aussi une basse 6 cordes avec touche ébène et en 34'', vendue d'ailleurs...). Si on parle lutherie de façon empirique, pour moi la touche d'une basse c'est comme un filtre, ça laisse passer certaines fréquences et en matent d'autres. L'érable, je le vois comme un petit sauvageon, ça pète dans tous les sens, et cet effet peut être renforcé avec un corps en swamp ash ou bien être lissé avec un corps en acajou. Le corps dans ce cas donne un peu la "tonalité" d'un instrument, c'est pour cela que j'ai voulu rester dans du classique avec le tilleul, ça tourne plutôt dans les médiums mais ça descend pas aussi bas que l'acajou. Ma référence c'est ma Yamaha rendue headless par Cyril, le corps est en agathis donc assez proche du tilleul il me semble. Après si on parle technique de jeu, je ne laisse pas forcément "péter" les notes à la Miller, mais cherche plutôt à phraser à la Caron, donc ce soundclip n'est peut-être pas représentatif.
  17. J'avais fait une revue de ma Cosme Moji sur OB, mais celle sur Audiofanzine contient des éléments rédigés avec davantage de recul : http://fr.audiofanzine.com/basse-electrique-frettees-pour-g/cosme-basses/MOJI-HSC-6-Gaucher-Custom/avis/r.58855.html Sinon il y a celle de mon ex-Mensinger : http://onlybass.com/index.php?/topic/68207-mensinger-cazpike-6p-natural-custom/
  18. J'avais lu l'histoire au sujet de cette contrebasse, gros projet, le projet d'une vie ! J'ai des idées bien plus softs en comparaison, mais par contre sur les délais je reste assez intransigeant. J'aime quand c'est clair et défini. L'exigence dont je fais preuve pour établir mes besoins et mon cahier des charges, je l'attends en retour auprès du luthier, réputé ou pas. D'ailleurs Benjamin ça l'a plutôt motivé, ça lui changeait des clients indécis ! Et puis si au final l'alchimie ne fonctionne pas, au moins je peux dire que j'y suis pour quelques chose, vu l'implication forte au niveau de la conception. Je garde mes idées tordues pour plus tard, genre une basse pour faire du flamenco, avec capteur de frappe sur table amovible...
  19. J'ai rajouté un peu de son, juste un petit encas pour l'instant.
  20. @bajito : C'est surtout que je n'ai pas pris le temps d'en parler, procrastination tout ça... @LowIO : L'humain reste très important dans mes collaborations, quand il n'y a pas ça tout fout l'camp ! Benjamin Calmon m'a d'ailleurs réconcilié avec cela, avec d'autres collaborations, c'était pas forcément évident...
  21. En 2013, ma vie a radicalement changé car j’ai commencé à jouer régulièrement dans un cadre professionnel, avec une entrée dans l’intermittence du spectacle en Décembre de la même année. À l’époque je tournais avec mon ex-Mensinger, et même si c’était un bel instrument agréable à jouer, ma situation, mes besoins et mes envies allaient évoluer et m’amener progressivement à renouer avec la lutherie sur mesure, avec l’arrivée en Septembre d’une Maruszczyk Elwood 5 cordes et 24 cases davantage taillé pour mon job. Comme tous les ans à la fin de l’été, a lieu sur Montpellier le Salon International de la Lutherie, qui s’inscrit au cœur des Internationales de la Guitare (IG), festival qui ne cesse de s’étendre et de rayonner, parfois au détriment d’autres… Depuis 2010 le Salon se déroule dans l’enceinte du Corum, qui permet d’accueillir de nombreux exposants. Armé de ma Maruszczyk histoire de pouvoir comparer et discuter spécifications, je me dirige assez rapidement vers le stand de Benjamin Calmon, dont j’avais repéré le travail en regardant la liste des exposants sur le site web des IG. Une basse attire rapidement mon attention : elle est pourvue d’une table rapportée qui ressemble à du noyer ondé, mais qui n’en est pas en réalité. Rapidement nous entamons la discussion, et je fais part à Benjamin de mon souhait en lutherie du moment : la recherche d’une basse 5 cordes plutôt orienté haut de gamme. Il se trouve que Benjamin expose juste à côté de Cosme, or je suis un de ses premiers clients donc je connais un minimum sa production et la qualité de son travail… Sans vouloir comparer je fais comprendre à Benjamin que le haut de gamme j’ai déjà eu et donc que je cherche à nouveau du lourd ! Ce dernier semble plutôt à l’écoute, je sens vraiment que je pourrais travailler de concert avec lui sur un projet unique, entièrement custom, ce qui n’est pas forcément possible avec d’autres luthiers. Je repars du Salon en promettant de le recontacter… En Mars 2014 je me rends chez lui à Roquesérière près de Toulouse, avec un plan à l’échelle 1 d’une basse 5 cordes singlecut headless. Le choix est fait d’utiliser les bois qui m’ont marqués sur les basses de Benjamin lors du Salon de la Lutherie, sur un design issu à 100% de mes désirs luthesques. C’est d’ailleurs la première basse que je dessine quasiment en one shot au niveau de la forme, preuve que c’était déjà très limpide dans mon cerveau ! Cette basse me sera finalement livrée lors du Salon International de la Lutherie 2014, soit environ 1 an après avoir rencontré Benjamin. Caractéristiques Headless / 5 cordes / singlecut Date de production : Septembre 2014 Construction : manche traversant Diapason : 34’’ Corps : table en if ondé, ailes en acajou Manche : 1 pièce d’érable ondé ; 1 truss rod à barillet ; 2 renforts carbone Profil : en C presque plat, épaisseur 19mm à la 1ère frette, 20mm à la 12ème. Touche : érable ondé 26 cases + binding ébène Repères : blanc 3mm (uniquement sur la tranche) Radius : 10’’ Sillet : graphite, largeur 44mm Frettes : type Dunlop 6130 (large et peu haute) Rampe : if ondé, encercle les 2 micros Chevalet : ETS doré en 2 parties, string spacing 18mm Micros : 2 Bartolinis 57CBJD, modèle « Deep Tone » Électronique : John East modulaire comprenant : volume, balance, tonalité avec push/pull actif/passif, basse, aigu, et stack médium semi-paramétrique ; embase jack sur la table. Finitions : vernis brillant Confort et ergonomie Cette basse a un équilibre assez particulier. En effet elle a tendance à pencher côté corps, ce qui est déstabilisant en position assise. En revanche debout, ça permet de ramener les graves assez facilement vers soi ! L’acajou n’est pas innocent, la basse atteint malgré tout les 4,3kg. L’emplacement de la découpe stomacale demande à être retouché car actuellement cela a tendance à repousser la basse vers l’extérieur. Cela signifie que les graves sont plus accessibles, mais les aigus eux beaucoup moins, or j’ai un jeu qui s’établit plutôt à partir de la 7ème case, et cette basse allant jusqu’à 26 cases, c’est dommage de ne pas pousser jusque là à cause d’un banal chanfrein… L’emplacement des attaches courroies permet de corriger un peu ce souci, mais à l’usage ça peut agacer de devoir repousser sans cesse l’instrument pour changer d’octave. En l’état ça en fait une superbe basse d’accompagnement, mais le soliste refoulé que je suis n’est pas tout à fait satisfait pleinement ! Le layout paraît assez lourdingue mais au final je joue surtout en passif, donc limite l’EQ 3 bandes est là pour faire joli ! Qualité de la lutherie Cette est à priori la meilleure basse sortie de l’atelier de Benjamin Calmon. Il a vraiment progressé grâce à ce projet, notamment sur les finitions. Et de fait j’ai vraiment le sentiment d’avoir acquis le haut de gamme de sa production. Pari réussi donc. Les bois utilisés sont magnifiques. L’if ondé que j’ai pu sélectionner sur une planche de 2m est sublime. Pour l’anecdote, on ne sait pas vraiment si c’est de l’if ondé… Le fournisseur de Benjamin lui a vendu sous ce nom là mais difficile d’avoir des certitudes sur sa véritable nature… De toute façon je m’en fous, je voulais un truc ondé qui ne soit pas de l’érable, c’est fait ! J’avais un peu peur du manche en une pièce mais sa construction avec les renforts le rend tout à fait exploitable. Côté réglages j’ai dû un peu tâtonner pour en tirer toute la quintessence, le radius de 10’’ n’aidant pas vraiment. Esthétique C’est la première basse singlecut que je dessine, et j’avoue être très satisfait du résultat final. Ma base de travail reste l’Imperial de Fodera. Mais plutôt que de faire un clone, j’ai voulu m’en détacher en estompant les courbes trop massives de ce modèle, un peu à la manière du luthier JCR. Pour la partie headless, j’ai retravaillé le bout de manche un peu trop géométrique de ma Mermet, tout en conservant cette idée d’extension des bois du manche (je n’aime pas le headless pur et dur à la Steinberger). L’avantage de ce design c’est qu’on pourrait tout à fait imaginer une version avec tête facilement. Le choix du doré reste discutable, mais je ne cache pas mon envie d'avoir un instrument "bling-bling". En noir cela aurait été redoutable, mais difficile de ne pas craquer sur tous ces petits potards surmontés d'abalone... Prise en main « Best 5 string neck ever ! » pourrait s’écrier un américain, tellement c’est déconcertant de fluidité. Le radius de 10’’, qui donne un bel arrondi sous les doigts, rend le manche encore plus fin qu’il ne l’est déjà. La rampe ayant été travaillée avec le même soin, les notes fusent sans contrainte, l’accès aux 26 cases est parfait (j’aurais pu en mettre 2 de plus c’était pareil). Dans l’esprit, je voulais retrouver les mêmes sensations de jeu et le toucher que peut avoir Janek Gwizdala quand il joue son modèle signature chez Fodera… On est en plein dedans ! Cette sensation de liberté est indescriptible, et bien qu’il m’ait fallu un temps d’adaptation pour la maîtriser davantage, les mois suivants m’ont vraiment conforté dans l’idée que j’avais un super outil d’expression musicale entre les pattes. Son Acajou/érable, c’est gras ! Donc de base le son est assez plein et défini. Ensuite le choix d’électronique était surtout motivé par le fait de compenser certains choix de conception. La version « Deep Tone » des Bartolini c’est en rapport avec leur position presque Ken Smithienne, je ne voulais pas rendre l’ensemble trop coin-coin. Quant à l’East modulaire, c’est un peu « qui peut le plus peut le moins ». Rien que le stack des mids permet d’obtenir une palette sonore variée, et le potard d’aigus offre un autre voicing que celui de la tonalité, celle-ci étant assez « dark », limite dub-style. Je posterai des soundclips un peu plus tard… Conclusion Le but final était d’atteindre un certain standing, digne des grands noms de la lutherie (Fodera en tête). Cette basse, dans sa conception, dépasse largement mes attentes de ce côté-là. Je ne cherche pas à opposer ces grands monstres de la lutherie avec le Made In France, mais dans cette logique de façonnage d’un instrument sur mesure qui répond à toutes mes exigences, travailler en local, avec ses propres idées, et en collaboration avec un luthier compréhensif et à l’écoute, ça pousse à réfléchir au-delà des mythes et du rayonnement des marques. En travaillant avec Benjamin, on a souvent abordé la question du rapport qualité/prix. En commandant chez lui, je savais que je payais des pièces, des fournitures, du bois, de la main d’œuvre/salaire… dans des proportions qui me semblaient raisonnables. Je sais que Benjamin a mis tout son cœur à l’ouvrage, et de le voir heureux (et de l’être également) dès les premières notes sorties à l’ampli, il n’y avait pas besoin d’avoir un papillon au bout du manche pour obtenir ce résultat. C’est ça la magie du sur mesure, ça casse tous les codes, et même si une marque comme Fodera me fait toujours autant baver, je sais au fond que jamais elle ne m’offrira autant de bonheur, divergence de conception oblige.
  22. En effet les truss sont en V, avec la barre de carbone au milieu.
  23. Pour situer un peu, je ne fume pas et je ne bois pas, je ne suis pas du genre à me ruiner pour le dernier smartphone à la mode... D'autre part, la musique est ma seule passion, et c'est aussi mon métier. Donc quand j'achète un truc qui se rapporte à la pratique musicale, depuis quelques années j'essaie de faire concorder les deux aspects. D'ailleurs je parle souvent de la balance besoins/envies. Mes instruments rassemblent la plupart du temps des spécifications plutôt basiques sur le papier. Si on regarde la CG, le combo tilleul/érable, c'est assez neutre, et combiné avec un placement micros standard et une électronique passive, on peut pas dire que l'innovation soit au rendez-vous. Mais là où ça va loin, c'est sur la recherche de confort et d'ergonomie, pour faciliter la prise en main. Je déteste lutter sur un instrument pour en sortir quelque chose, il faut que ça réagisse sans que je sois obligé de forcer. Tout ça rentre dans la case "besoins". Après pour les "envies", ce sont surtout le design et les finitions qui les traduisent. Je pourrais tout à fait jouer sur une basse avec tête et en doublecut et un finish plutôt Fenderien (ah tiens, c'est déjà le cas avec mes Ramsay ^^), mais ma relative capacité à concevoir un instrument me fait dire que ça serait du gâchis de ne pas jouer la carte de la singularité. L'aspect humain me plaît beaucoup dans le fait de faire fabriquer un instrument à sa mesure. C'est toujours gratifiant de voir que le luthier s'éclate sur le projet mais aussi qu'il respecte le cahier des charges, on a vraiment le sentiment d'être compris et écouté, c'est un point assez important chez moi. Enfin, je suis très perfectionniste. Je reste souvent insatisfait dans la vie de tous les jours, donc faire fabriquer une basse selon ses plans et son cahier des charges, et voir le résultat final qui pète à l'oeil et aux oreilles, c'est quelque part une satisfaction de l'égo. En résumé, je GASe utile, mais je GASe quand même !
  24. @bajito : En effet, je n'ai pas vraiment abordé le sujet de la Calmon jusqu'à présent... Je vais en faire une revue, tu devrais y voir plus clair !
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