ju_vd

C'est très bien résumé. Cependant je pondère un peu : j'utilise une passive (ou le mode passif) quand il y a une guitare et un besoin de "percer" le mix (funk...) et de l'actif, en général sans toucher aux potentiomètres, quand je suis seul dans ma gamme de fréquence (jazz, groove...). J'ai du mal à utiliser la tonalité sur mes basses actives avec un mode passif. Je joue plus volontiers sur les combinaisons de bobines (deux doubles splitables sur mes basses... plein de possibilités !)

MP

Joker ?

Il faut surtout éviter de perdre les vis...

Je rejoins le besoin d'un avis de luthier. Personnellement je penche pour des conditions humidité / température défavorables aux vernis Fender. As-tu d'autres instruments stockés au même endroit mais venant d'un autre fabricant ?

J'arrive après la bataille mais... J'ai deux basses de luthier qui sont avec des doubles splitables (série / parallèle / single), un switch actif/passif et un EQ 3 bandes : une Marleaux 5 cordes et une Orchid 4 cordes. Je suis très heureux d'avoir ces possibilités mais au final, comme indiqué par @mistergroovy je ne me sers régulièrement que de deux combinaisons. Par contre, le fait de disposer de ces options me permet d'adapter rapidement sur scène en cas de besoin. J'en profite pour indiquer que ces basses ne sont utilisées que dans un cadre jazz & slam. Pour la funk, je suis bloqué sur mon Alpine S2P. Et pour le slap, j'ai une warwick FNA jazzman qui squatte le haut de mon top 3 personnel. Elle a aussi un double splitable au chevalet, mais je n'utilise que la position "série".

Cherche ailleurs. Au pire, tu devras abandonner un des deux jobs pendant la période d'essai.

C'est clair, va voir un luthier qui fait de la location d'instrument, ce sera bien mieux ! Et bien moins cher pour commencer...

Certes... MrGroovy m'ayant convaincu, mon petit retour sur la touche en olivier... Basse n°1 : fretless, corps en saule, touche huilée en olivier, uniquement du piézo : je trouve le toucher très agréable, plus "lisse" et "doux" que le palissandre ou l'ébène. Le son est proche des bois durs tels que l'ébène, un peu "mat" mais pas brouillon et j'aime beaucoup. Je préfère au palissandre que j'avais sur une autre fretless, revendue depuis. Basse n°2 : frettée, corps en frêne, touche vernie en olivier, avec des micros magnétiques : le toucher est identique à l'érable, en effet je touche du vernis et non du bois... Le son est très proche de ma 5 cordes possédant les mêmes micros mais une touche vernie en érable. J'y retrouve le claquant que je cherchais. Voilà, j'attends impatiemment de voir une Alpine avec corps en noyer et touche en olivier, ça sera très certainement magnifique !

Certes mais les 2 basses en question ne sont pas des Alpines, mais des jurassiennes ;)

J'ai deux basses dont la touche est en olivier, une fretless à la touche huilée et une frettée à la touche vernis. J'adore ces basses et leur son, mais l'olivier en question vient d'Italie, pas de France (mais pour moi c'est pareil c'est quand même l'étranger ;) ). Par contre c'est off topic, plutôt ouvrir un topic dans la section lutherie, non ?

As-tu vraiment besoin, dans le cadre d'un essai de quelques mois, de la trimballer ?

Certes, mais vous courrez le risque de n'être que 4 et là la division des frais fera un peu plus mal...

Attention dans l'organisation : relisez bien les conseils du dessus : prévoir plusieurs mois à l'avance, proposer plusieurs dates, etc... Le bassday Rhône alpes est en avril et l'organisation commence en janvier, en connaissant le lieu en gros entre décembre et février

Mon expérience citée dans mes posts précédents n'est pas suisse, mais bien française. Je suis parti de France à 28 ans, après 2 ans de boulot en tant qu'employé de call Center, seul taf que j'ai pu trouver avec mon master de géographie. Je ne me permettrais pas d'extrapoler à partir d'une expérience dans un autre pays au vu de la question posée. De plus, j'ai bien pris soin de contextualiser et d'indiquer qu'elles étaient mes pistes de solutions/réflexions pour éviter l'ornière dans laquelle j'ai eu la malchance de tomber. Ceci n'est bien entendu que ma propre expérience, assortie de réflexions du "15 ans plus tard".

J'avais la sangle, mais une diapason de contrebasse. Et 10 kg d'instrument sur la sangle c'est la mort...

L'urbanisme en France c'est une affaire d'ingénieurs ayant réussi le concours d'ingénieur territorial, que tu n'as pas forcément le droit de passer avec une master. La carto numérique est une affaire d'informatique, pas de géographe ( en termes de statistiques d'emploi). L'environnement c'est le recyclage des crises de cinquantaine ratées, quand les enfants ont quitté la maison. Et tant que le CNESER validera l'existence des masters sur les statistiques de stages et non d'emploi tu peux oublier les masters français de fac. Mais ce n'est que mon expérience et non une étude. J'ai personnellement trouvé plus facile d'entamer une carrière de musicien professionnel que de trouver un boulot dans ma branche d"études. Ok c'était il y a 15 ans, et je suis en dehors de France depuis plus de 10.

Il n'y a que des ingénieurs et des commerciaux, au moins statistiquement. Après tu peux moduler entre ceux qui produisent du travail à valeur ajoutée et ceux qui s'assurent que cette valeur est ajoutée. Plus simplement, après mon expérience personnelle qui m'a conduit dans un autre pays que là où j'ai grandi : on choisit ce qu'on veut faire de sa vie après son premier boulot, pas avant.

C'est un gratteux, non ? Si tu le convains qu'il se complique la race, il va se mettre à la basse. Laisse-le avec sa gratte.

Nan, sur Toulouse les montagnes sont trop petites. C'est un coup à faire des arrêts cardiaques pendant le bassday...

Attention il vous manque un truc : prévoir les multiprises et les stands pour poser les instrus

J'avais pas vu le topic... Alors je suis géographe et géologue de formation, avec Master, DU et tout le toutim. Formation sur France, etc... J'ai fait un super stage dans un super endroit. Maintenant: J'ai enfin tourné la page de mes 2 ans de Mac Do puis RMI en sortie de fac et : Je vis dans un autre pays ; Je travaille dans le conseil en organisation spécialisé dans la conduite des directions informatiques (au début grâce à du pur copinage) ; Un jour j'ai utilisé un truc que j'ai appris en fac de géo : le GPS était en panne et j'avais une carte routière (véridique). Mon erreur : j'ai choisi mon master en fonction de ce que je voulais faire. Ce que je ferais différemment, par ordre de préférence, si je pouvais revenir en arrière : Je ferais l'INSA ou une autre école d'ingé, genre ENTPE, car leur fonctionnement en "castes" permet d'avoir un premier job plus facilement ; Je ferais toutes mes études supérieures hors de France ; Je choisirais mon master uniquement sur la taille et l'efficacité du réseau d'anciens, quel que soit le thème de master.

J'ai pu jouer sur une NS design pendant quelques années. J'ai fini par abandonner pour retourner sur une fretless de qualité. Outre mon épaule gauche défaillante suite à un accident de vélo, la raison qui m'a poussé à abandonner est le fait qu'on a le "double-défaut" : - Diapason super long (contrebasse...) donc on se tourne vers les lignes de contrebasses, le jeu de contrebasse, mais le son appelle à très grands cris les envolées lyriques d'une fretless... - Absence de contact avec le corps, donc on ne profite pas des résonances. Si mon épaule me le permettait, je me tournerais vers une contrebasse de location auprès d'un luthier agrémentées de cours. Pour 200 euros et quelques semaines, j'aurai un vrai essai de contrebasse. Quitte à prendre après une contrebasse électrique plus traditionnelle.

Pour ceux qui veulent entendre une Alpine S2P, je joue demain soir 25/08 avec le Funky workers band au DS bar, grand rue 24, Estavayer-le-Lac à partir de 20:30...

C'est vraiment très bien, j'ai beaucoup aimé ! Bravo pour le boulot et la prise de risque !