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Zvoyn [Clips Inside, Maj 08/2012]


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Posted (edited)

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En préparation du dernier EP de la trilogie qui avait commencé par les volumes I et III, voici un nouveau morceau du volume II de Zvoyn, peut sobrement intitulé "Onomatopeous Love Letters, Book II : Malika"

Le morceau s'appelle "Faiza", qui n'est autre que la soeur de Malika, pour les plus curieux.

Le Book II de Zvoyn devrait sortir avant la fin de l'année. Je pense.

Par ailleurs, l'intégralité du Book III est en écoute là:

) Edited by OYC
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Vivement la suite!

comme le copain et Zvoyn ne feras pas tache avec Ephel ou le Art Metal Trio dans ma sonotheque :rolleyes:

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Tiens, cool que ça fasse penser à de la musique de film, il y a beaucoup de ça dans cet EP, dont un morceau entièrement composé avec des images très spécifiques en tête.

  • 6 months later...
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Avec ce morceau, un petit hello est de rigueur: Pierre Antoine, voici à quoi me sert l'epoxy. Entre autres :)

Ca faisait un moment que j'avais envie de passer quelques heures à chercher une bonne overdrive à la limite du percussif sur les fretless. Je ne suis pas trop mécontent du résultat.

Le traitement a été fait par Pierre Antoine sur deux des basses utilisées dans ce morceau, une Fender/Squier Jazz Bass 4 cordes et une Mayo Jabba Custom 5 cordes. Toutes les basses utilisées dans ce morceau sont fretless.

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The one and only que j'utilise depuis près d'un an maintenant, la Bass BB Preamp d'Xotic. Devant l'ampli pour la Fender (passive, micros en série) et en FX Loop derrière la TecAmp pour les mayo, actives.

ps: Antonin, je jetterai un oeil sur ton dilemme poly un peu plus tard, promis.

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Toujours aussi fan ! Beaucoup de choses m'échappent sûrement, mais je suis super fan :)

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Je suis très fan du dernier, qui est plus "accessible" je trouve ... au sens où il est plus classiquement metal/death, moins de clavier zarbi ou sons chelous qui partent partout ... bon ça reste violent pour les neurones tout de même en effet :)

Mais celui là fait partie de ceux qui seraient "jouables" en live par une équipe de mutants, je pense ...

Par contre, c'est court. Les Zvoyn font souvent un peu "carte postale musicale", courts morceaux à fort pouvoir évocateur. Ce morceau là aurais tout à fait le potentiel pour être plus long, avec du chant, dans un cadre de jeu en groupe.

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La moyenne d'un morceau de Zvoyn est de 2 minutes. Seul le morceau "Hanne" dans le Book II fait 4 minutes. Il en avait besoin. Le reste, comme le titre des EP l'indique, c'est des onomatopées musicales, donc ça doit être concis :)

La prochaine trilogie sera plus... hmmm, sera différente. Des constructions plus longues, des idées différentes.

  • 5 months later...
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Merci :)

Je viens de mettre en ligne un nouveau morceau. Ca s'appelle Sarah et... c'est du 4/4. En fait il est tellement pas si compliqué à jouer que j'ai fait un petit topo avec tabs et tout:

Le morceau:

Les parts:

http://theoycfactory.com/Z/Zvoyn_-_Book%20II_-_SarahBassTabsSheet.pdf

Le topo explicatif (en anglais, c'est plus universel pour les news, surtout qu'il y a pas beaucoup de fans de Zvoyn en France :) )

Splitting baby hairs on Zvoyn’s “Sarah”

Zvoyn isn’t now and will probably never be a magical studio unicorn vomiblasting rainbows with perfectly studied frequencies, carefully measured snare drums, tight as fuck, overcut staccatos and, in general, monstrous production. The one thing it will always be, though, is a carefully cultivated thought, measure-by-measure.

Most Zvoyn songs are zealously messed up instrumentally (hence the trilogy’s main title, “Zealous Decadence”), but for this one song, I have decided to take a slightly different approach: 4/4.

And I feel dirty. And I feel sick, because my hatred for the 4/4 knows no bounds.

To feel a little less dirty, two things have been clearly defined:

1 – The human impossibility of the melody line. At 300 bpm and mostly in 16th, we’re just gonna quote Markov and say that’s a near-perfect probability of impossibility.

2 - The emphasis on broken rhythms:

- The driven polymeter starting at 32 was cut into several pieces, much like oriental music composers tend to do, in order to comply to the very intricately layered rhythms they have to deal with. Here, the riff is written in 4/4 but is actually a 9-times-4/4 split into 11+8+25+25+3 (eights). The accompanying melody is NOT a 9-part structure. It is split in 7 + 8 + 5 + 4x2 + 4x2[harmonized]. In the end we do get the 36 measures.

- The fretless bass solo is a painful motherfucker. Not only can the sped-up attack in 164/165 be problematic, but the switch to the triplets and overall fuckedupness to follow the mindscrewing polyrhythm played by the synth is quite a hassle to get in time. If you pay attention, starting at 167, the bass actually follows during a short period said polyrhythm after a very vicious triplet quarter G (17th note on your D string).

The main silences, as you can see on the sheet music, denote the pretty linear conception of the song, and the pretty linear conception in…well, life: You bing-bang-boom, you find out you have a little visitor; aaaaah, it burps, laughs and says mama.

Have fun. Or not.

  • 2 weeks later...

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