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Ze bass

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Everything posted by Ze bass

  1. Salut, on joue de nouveau à La Gélinote demain 22 juin, viendez nombreux !
  2. Ze bass

    Le Topic Des Macs !

    Salut, la seule fois où on en a pris une (5 ans avec échange à neuf, bref la totale) c’était pour la télé, une Sony ... qui n’est jamais tombé en panne et ce depuis neuf ans ! Heureusement parce que j’avais oublié d’envoyer le papier Après l’Apple Care c’est différent parce que tu as aussi une assistance technique en plus ... mais bon j’ai toujours trouvé la réponse à mes questions ici même ou sur le forum de MacG. a+
  3. Ze bass

    Le Topic Des Macs !

    Salut, on utilise Ableton Live avec SONOVOX et la réponse est oui à la première question. Par contre je ne connais pas la compatibilité PC/Mac, à voire dans les options d’export. Toujours avec SONOVOX, pour passer de PC à iPad Pro on exporte carrément les Wave pour bosser indifféremment sur Ableton ou Garage Band. Salut aussi, réponse en deux temps. Pour les virus, c’est surtout lié à ton utilisation du net. Avec une pratique « normale » (pas de streaming, de peer to peer, de site porno vérolé ou de comptes sur des sites pas sécurisés), tu ne devrais pas en avoir besoin. J’ai passé des années sur PC avec l’antivirus de base Microsoft … qui n’a jamais servi ! Depuis que je suis passé sur iPad Pro, j’en ai carrément pas mis ! Pour les logiciels Mac, regarde déjà ce qu’il y a par défaut sur ton ordi. C’est l’avantage de cette marque : tu peux déjà faire plein de trucs sans trop rajouter de trucs dessus, en dehors de besoios spécifiques. Il y a aussi la suite bureautique Apple qui est pas mal mais on est carrément en dessous de la suite Office qui est dispo sur l’app store. Pour le multimédia le dernier MacOS se rapproche d’iOS avec un éclatement du vieux iTunes en plusieurs appli et je trouve ça plutôt pas mal. a+
  4. Ze bass

    The Beatles

    On tient un record non ?
  5. Salut, ben pas moi ! Étant un utilisateur heureux du 2 depuis de nombreuses années, je fais partie des cibles potentiels du bidule. J’ai regardé les infos données sur le site d’EBS mais plusieurs éléments me déçoivent, surtout au niveau de l’ergonomie du truc. Il y a des choses positives : enfin un master général de la pédale assorti d’un blend, une entrée aux en mini jack pour lecteur MP3, un output en jack mieux placé pour une intégration dans un Pedalboard. Et dans les moinches ... il manque des trucs quand même : la sortie link, le -10dB à l’entrée pour les basses actives, le tub sim sur la tranche A (je sais c’est gadget mais j’aime bien ... et c’était le seul gadget du 2, à mon avis), le blend de la boucle d’effet (il y a la stéréo certes qui ressort au casque ou en XLR), le speaker sim de la DI (utile sur scène, croyez-moi) et surtout l’alim panthom ! Le bidule demande 400 mA maintenant ! C’est vrai qu’il faut alimenter le compresseur gadget avec zéro réglages et l’accordeur avec encore moins de réglages (bon là, c’est un peu de mauvaise foie, on n’a pas tout le temps besoin de s’accorder en 442 hz à cause d’un soufflant pénible ... mais ça arrive). Et chose rigolote : je trouvais que l’output jack était bien plaçée ... les sorties XLR et casques sont ... derrières ! Ce ne sera pas plus simple d’intégrer le machin dans un pédalier. L’autre truc qui ma gonflé, c’est l’EQ entre drive et clean, autant dans les réglages disponibles que dans la présentation de l’ensemble. Avant c’était le A va là avec une EQ analogique sans réglages de mid et deux filtres, le B va là avec une EQ paramétrique des mid et un drive. C’était vraiment pensé par défaut pour deux instruments ou deux EQ différentes pour un même instrument. Tu pouvais mettre les 2 en parallèle avec un switch sur le dessus. Avec le 3, l’organisation entre les deux est clairement : là c’est clean et là c’est pour du crin crin (c’est écrit dessus). Il y a même une EQ paramétrique des mid des 2 côtés. C’est à se demander à quoi sert le blend entre les 2 ou la possibilité de les mettre en série. Pour retrouver la possibilité du 2 tu doit jouer du switch et du blend, un vrai bordel. Bref, je suis déçu. J’ai l’impression qu’on a oublié le vrai couteau suisse pour pro qui pouvait passer de la DI seule à la tour de contrôle d’un pedalboard. Mais avec le 3 et ses 400 mA demandés, tu peux oublier la fonction DI pure. Les réglages proposés et les gadgets (ça leur coutait quoi de mettre le circuit et les réglages du multicomp dans le machin plutôt qu’un simple potard ?) font de l’EBS 3 un truc plus à la mode, un « tout en un » qui ressemble à la concurrence alors que le 2 avait des années d’avance. Le son est sûrement là (on est chez EBS quand même) et la solidité aussi. Mais bon je passe mon chemin. a+
  6. Salut, R16 ... tout de suite penser à ça : Désolé ... Plus sérieusement, tout dépend du but de l'enregistrement. Si c'est pour pouvoir bosser tes parties à la maison tranquillement et/ou garder une idée de compo au chaud, un Zoom de la série H suffit amplement .(.. et je fais partie de la génération qui regrette amérement le Mini-disc, outil compact et efficace pour ce genre de besoin). Et c'est valable si vous faites de la compos ou de la reprise un peu retravaillée. Si vous faites des reprises assez ou un tribute, il vaut mieux bosser sur les morceaux originaux. Le guitariste de Floyd Side enregistre quasiment toutes nos répètes avec un petit Zoom. Ils nous envoie ça via Google Drive. Au début je téléchargeais consciencieusement les centaines de Mo de chaque répète ... pour finir par bosser sur les originaux du Floyd, que ce soit en Live ou en studio, ce qui était amplement suffisant. Si c'est pour diffuser ce que vous faites au vaste monde, là il faut passer par une usine à gaz plus ou moins coûteuse et complexe à base de micros et de table.
  7. Salut, ce n’est pas pour demain ! Le site très bien renseigné radiohead.fr renvoi sur une interview de Thom Yorke qui parle de son prochain album solo et des 20 ans de Kid A : http://www.radiohead.fr/longue-longue-interview-de-thom-yorke-dans-crack-its-coming/
  8. Salut, flûte, je ne trouve pas la vidéo où Robert Trujillo joue le solo de For whom the bell tolls sur la fameuse Bass of Doom de Pastorius (qu’il avait retrouvé, racheté, fait restaurer et rendu à la famille Pastorius) et qu’il fait sonner comme une de ses basses avec du fuzz et son attaque main droite de malade (et là je sais que certains n’entre-vous sont déjà en PLS). Un bassiste qui a un jeu caractéristique fera sonner une basse comme lui le souhaite et sera reconnaissable assez rapidement, même sur une basse cheap ou très loin de ce qu’il a habituellement. Après, là où je rejoins @Djooh : un bout de bois de qualité reste un bout de bois de qualité. Une pelle faite en composite avec un manche vrillé et une lutherie approximative, même entre le main de Lagrène ou de Pastorius, avec des bons micros et un gros stack derrière, sonnera comme une merde. A la limite, un très très bon bassiste saura cacher habilement les défauts de son instrument et assurer le service minimum pour que ça sonne aux oreilles du public, mais ça ne supportera pas la comparaison avec un instrument de qualité bien réglé. Si on reprend l’exemple de départ, la Squier a clairement été retravaillé au niveau de la touche qui a probablement été vernie, sans parler du petit repose pouce et d’un réglage au petits oignons. De plus, il me semble que le sustain ne soit pas fou fou. Sur une partie solo (prélude à Continuum je crois), on voit clairement Lagrène utiliser un vibrato main gauche sur chaque note qui doit durer un peu. Ceci peut s’interpréter comme soit 1/ un choix d’arrangement, mais sur une fretless de qualité ET bien réglée, le fameux mwaah apparaît sans vibrato soit 2/ un cache misère habile pour faire vivre la note alors que sustain naturel de la basse est faible (testé et approuvé sur les quelques points morts de la touche de mon Ibanez). a+
  9. Ze bass

    La meilleure fretless

    Salut, Celle que j’ai évidemment ! Comme dit @Sven il y a la GWB1 à cause du son, de l’ergonomie juste parfaite et aussi parce que c’est une des rares signatures qui a subi autant de transformations utiles en fonction des demandes de l’artiste. On peut dire aussi, comme @foxtrot The bass of doom à cause de son histoire, et de l’impact de son propriétaire légendaire sur le développement de notre instrument. Dans ce que j’ai entendu, il y a la Modulus Graphit de Fernando Saunders avec Lou Reed, la contrebasse électrique 6 cordes (!) de Rob Wasserman, toujours avec Lou Reed, la Wale de Jeff Ament sur le premier album de Pearl Jam, bref les basses de ceux qui m’ont donner envie de jouer de la fretless. Bref2, c’est vraiment un topicalacon.
  10. Salut, je ne m’étais pas rendu vraiment compte de son travail pour construire des lignes de basse pertinentes dans le foisonnement de Radiohead. L’analyse des transcriptions montre vraiment cela. De plus, il forme avec Phil Selway une paire rythmique vraiment intéressante, identifiable très vite et avec une grande liberté, capable de jouer collé serré ou alors de manière assez indépendante mais complémentaire. a+
  11. Salut, Jeff Ament, bassiste de Pearl Jam, cite les mêmes références : Dunn et Jamerson ... ça change de Pastorius ! a+
  12. Salut, j’ai oublié de vous dire qu’il y avait des transcriptions de lignes sur le site : https://bassmagazine.com/transcriptions/transcription-colin-greenwoods-radiohead-bass-line a+
  13. Ze bass

    Topic Cinéma

    Quelques scènes seulement ? Tout est lourdingue dans ce film ! Je gardais un souvenir terrifiant du bouquin, un de mes préférés de Stphen King. Mais là c'est balourd avec des effets téléphonés et un cimetière en carton-pâte. Au bout d'une demi-heure, une partie de la salle était sur son smartphone en regardant distraitement ce qui se passait à l'écran. a+
  14. Salut, reprise des opérations ... alors que tout le monde grenouille en solo, Colin Greenwood a accordé une longue interview à bassmagazine.com où l’on parle de basse dans Radiohead. C’est par là : https://bassmagazine.com/artists/colin-greenwood-how-to-disappear-completely Bonne lecture !
  15. Salut, Nick Mason fait actuellement une tournée intitulée A saucerful of secrets où il reprend plein de vieilleries pre Dark Side of the moon avec Guy Pratt à la basse. Voici une captation pas trop pourrie : Lors d’un concert il fut rejoins par un certains Roger Waters pour une version d’anthologie de Set the control for the heart of the sun : Bref, pour la bonne bouche voici une FAQ avec Mason et Waters, alors en pleine tournée The Wall, une FAQ qui a été projeté en épilogue des diffusions de cette tournée au cinéma, qu’on retrouve dans la version Deluxe du Blue-ray (je crois) et sur YouTube, non sous-titré désolé : Bon visionnage !
  16. Salut, comme les collègues : le réglages de la courbure est le même que pour un frettée. Plus c'est précis et plus l'action est basse, plus tu as le fameux mwaaah des fretless avec un peu de frisures. Une petite vidéo de Gary Willis qui comporte un truc assez simple pour voire rapidement si ta courbure et bonne : https://youtu.be/1mLp8TI0tu8 Le reste de la vidéo concerne uniquement le réglage de ses basses signatures. Pour les cordes, je mets des filets ronds en nickel, je préfère nettement le son même si ça abime un peu la touche (un jour je ferai faire une planimétrie par un luthier ... hum ...). a+
  17. Tu veux dire en mettant en pratique des clichés sexistes sur la gente féminine ? Je suis psychologue avec une vingtaine d’années d’expérience et je peux t’assurer que ce qu’avance ce monsieur est totalement faux. Les femmes ne sont pas plus efficaces et déterminées que les hommes. Il y a juste plus de femmes que d’hommes qui s’acquittent de cette tâche pour tout un tas d’autres raisons qui sont plus structurelles et sociologiques que de supposées qualités de contact ou de d’efficacité qu’auraient les femmes et pas les hommes. A mon avis, il faut aller chercher les raisons dans ce qu’avance Djooh : Faire de la musique et/ou travailler dans ce milieu ne prémunit pas du machisme et du sexisme. Dans Floyd Side, c’est notre chanteuse qui nous trouve les plans ... principalement parce qu’elle est pro et qu’elle développe ainsi son réseau pour donner des cours et ses autres projets. C’est un deal assez clair entre nous où chacun est gagnant sachant que le reste du groupe est 100% amateur. Après ce que je voulais surtout souligner c’est le lien matrimonial entre le leader du groupe et notre manageuse (qui était la sœur du batteur) qui bloquait toute critique ou même petite remarque sur certains choix qui nous ont vraiment mis dans la merde. a+
  18. Salut, pour le dernier avatar du fabuleux discours commercial RH où les Consultant de recrutement deviennent des Créateur d’affinités professionnelles ... mundo cane. a+
  19. Salut, j’ai pris une belle claque aussi ! Au début j’ai eu un peu peur. Le son de basse était énorme, presque trop fort par rapport au reste du groupe. Côté amplification il avait carrément un mur, sûrement pour faire de la biamplifcation. Ils ont joué Good Bye Pork Pie Hat, un jam basse batterie qui a commencé par une citation de School Days, un autre classique de Stanley Clarke dont j’ai oublié le nom (et que j’avais joué en plus !). Et puis il a pris sa contrebasse pour le reste du concert et c’est devenu magique ! Déjà que je trouvais ses mains énormes sur son Alembic mais c’est encore plus impressionnant sur une grand-mère. Il donne vraiment l’impression que c’est facile à jouer comme instrument et qu’on peut faire ce qu’on veut avec ... en tout cas lui le peut. Je crois même que son solo où il a joué tout seul pendant près de 10 minutes va rester un de mes moments de concert préféré depuis que je vais voire des concert. Pour un bon concert, il faut un bon groupe et ce fut le cas. Il y avait un batteur fou venu du Bronx (j’ai eu une pensée émue pour sa caisse claire tout le long du concert) capable de swinguer comme un papy au Blue Note puis de partir sur un rythme drum n’bass de folie. Le groupe comptait aussi deux claviéristes prometteurs, un maître des tablas charismatique (il y a même un moment où Stanley Clarke a essayé de suivre ses rythmes) et un violoniste au physique de videur de boite de nuit, très impressionnant à voire jouer. Un super concert et je regrette vraiment de ne pas avoir écouter ce pionnier de la basse plus tôt !
  20. Ze bass

    Marcus Miller

    C’est clair que faire du Miles sans Miles SURTOUT la première période électrique avant la pause des 70’s c’est très risqué et je ne suis pas loin de partager le point de vue de @SpeeRoo. L’album live de Marcus Miller consacré à Tutu (album qu’il a produit) sonne beaucoup moins artificiel. Pour en revenir au cas Vernon Reid, il a son style c’est clair mais avouez que le début de son premier est un peu raide ! a+
  21. Ze bass

    Marcus Miller

    Hi hi c'est pas faux, pourtant Vernon Reids (fondateur de Living Colour quand même) n'est pas un manchot à la guitare mais bon ça arrive sur un premier solo des fois ... comme Mark Konpfler du mega concert à Knebworth en 1990 (ça commence à 4'00) : Fin du HS !
  22. Oh le vieux débat sur l’utilisation ou non des effets avec un basse ...
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