Glitchmann

Un excellent souvenir et, effectivement, un grand bassiste français Pascal arroyo. Il est l'un des piliers du "son" Lavilliers. Et aussi avec France Gall fin 70 sur des titres comme Musique.

Ah oui je l'avais repérée dans les annonces et j'avoue qu'elle est magnifique et que, comme aurait dit Jeannot, si son ramage se rapporte à son plumage...elle doit sonner sa race !! Mais bon, je partage la vie d'une belle JB frettée depuis bientôt 3 ans et, même s'il ne faut jamais dire jamais, je crois bien que celle-là est la bonne pour moi et qu'on fera encore un bon bout de chemin ensemble. Bonne vente en tous cas ;)

Mais permets-toi donc De plus, je suis presque d'accord avec toi sauf que j'ai l'impression que TOUTES les JB fretless sunburst que je vois sont sans pickguard comme si c'était une règle tacite (la Jaco touch obligatoire en quelque sorte) Et ce serait quoi cette "superbeté" ? Dis toujours, des fois que l'envie se déclenche !

Oui, c'est aussi ce que je pensais sauf que l'un des deux PG que j'avais chez moi venait d'une Geddy Lee MIJ. Et il ne convenait pas mieux que celui de ma CS... Bof, je finirais bien par en trouver un, il n'y a pas d'urgence.

Merci pour ta réponse mais, en fait, la référence de la basse je la connais, Il s'agit bien de la JB62 FL. Mais, ça ne me dit pas pourquoi un PG aux cotes d'une JB "classique" ne s'adapte pas dessus. Les MIJ ont-elles des cotes de corps différentes ? S'agit-il plutôt d'une question de millésime ?

J'ai une question pour les spécialistes des pickguards de Jazz Bass (si, si, il y en a !): Je possède une fretless RI62 MIJ du début des années 2000. Je l'ai achetée à une boutique, World's Music, dont il est question sur un autre topic. Cette basse n'a pas de pickguard, ni même de trous pré percés. J'avais bien envie d'en installer un lorsque je l'ai reçue et j'avais "en stock" un tortoise qui était initialement sur une CS61 et un blanc venant lui d'une Geddy Lee. Mais aucun des deux ne s'adapte sur cette fretless. Savez-vous quelle référence conviendrait ? Merci d'avance pour vos éclaircissements

Je leur ai acheté une JB RI62 fretless il y a un peu plus d'un an. RAS de mon point de vue, contact par mail d'abord puis par téléphone avec un interlocuteur qui m'a paru sérieux, basse reçue rapidement dans un emballage soigné (elle était vendue sans case) De mémoire je l'avais touchée à un peu moins de 900€ fdpin. Maintenant, je n'en sais pas plus sur cette boutique si ce n'est que leur truc semble être d'acheter "en lot" au Japon. Ça me fait penser que j'ai une question à poser à propos de cette basse, je vais aller faire un tour sur le topic JB ;)

Oui, c'est la sagesse et ça me rappelle une expression : Il n'y a pas de bons motards, il n'y a que de vieux motards. Bien sûr, quand tu roules en deux roues, à un moment ou à un autre tu vas mettre la poignée en coin pour voir ce que ça fait. Tu vas t'offrir des shots d'adrénaline comme tu dis et je pense qu'on l'a tous fait. Mais tu vas aussi te prendre des shots involontaires quand tu vas passer à deux doigts de la correctionnelle par ta faute ou celle des autres. Le tout quand ça arrive c'est d'être suffisamment lucide pour comprendre qu'on vient de griller un joker et qu'on en a certainement pas des dizaines en stock. Après, pour se prendre réellement pour un pilote dans un environnement safe il y a plein d'offres aussi bien sur circuit que TT un peu partout.

Retour d’expérience sur le G10 que j’utilise depuis le début de l’année aussi bien en répètes que sur scène. Le gros point positif reste l’ultra simplicité du système. On branche le récepteur au secteur, l’émetteur dans la prise jack et…c’est tout ! Je n’ai pas constaté de déperdition et/ou d’altération du son par rapport à la configuration câblée. Pas de problème non plus du côté de l’autonomie malgré des répètes de près de 6 heures. Avec l’un de mes deux groupes, dont le local de répétition est très grand, j’aimais déjà me balader avec mon fil à la patte entre les différentes sources sonores. Sans fil, c’est carrément le pied et il faut vraiment s’éloigner pour que le signal commence à décrocher. Aucun risque donc sur scène (Du moins, celles sur lesquelles je joue !) Un bémol pour l’alimentation du bloc récepteur qui est constituée d’un câble USB muni d’un adaptateur secteur. Le tout semble vraiment cheap au point que j’ai déjà prévu un spare au cas où. Dommage aussi qu’il n’a pas été prévu de pouvoir utiliser une alimentation de pedalboard. RAS en revanche du côté de l’émetteur. Pour le prix, c’est carrément une bonne affaire. Les guitaristes de mes deux groupes sont très tentés. Reste à savoir si l’utilisation de deux G10 en même temps est aussi sûre que Line 6 l’annonce. D’après eux, chaque bloc va se verrouiller sur un canal dispo et ne plus en bouger. À suivre.

Pense aussi à scruter les annonces de basses "assemblées" comme les Stevie-G. Bien souvent, elles sont construites pour répondre à des demandes qui sortent des standards comme, typiquement, une PB avec un manche JB.

Merci pour ta réponse et au temps pour moi, je n'avais pas capté que tu parlais d'un point de vue esthétique uniquement. La couche de vernis doit effectivement être hyper fine et fragile si les traces d'usure que l'on voit sur les photos ne correspondent qu'à une dizaine d'années d'utilisation.

Hello, Je n'arrive pas à saisir ce que tu veux dire dans la phrase reprise ci-dessus. Si, aussi bien une CS qu'une Nash te donnent l'impression d'avoir du "faux", j'imagine que dans ton propos, tu te réfères à un instrument vintage donc "vrai". Jusque là je suis ton raisonnement mais alors je ne vois pas en quoi cette JBV-R2 est différente dans sa philosophie que les deux modèles précédemment cités. Ceci étant dit, je ne connaissais pas du tout cette marque et ces basses semblent excellentes.

Hello, Je recherche une housse pour couvrir mon cab Markbass 104HR. Il mesure environ 60x60x50cm Merci !

Après les frères Davies et les Gallagher, voici les D'Addario. Leurs futurs rapports seront-ils plus apaisés que ceux de leurs glorieux ainés ? Un p'tit live:

Je saoule tout le monde depuis des semaines avec ce combo de Long Island dont le premier opus Do Hollywood est sorti fin 2016. Il est l'œuvre de deux frérots à peine pubères qui composent et jouent tous les instruments avec une élégance et une fraicheur communicatives. Plus j'écoute et plus je découvre les multiples tiroirs cachés ici ou là. Il y a longtemps qu'un nouveau groupe m'avait fait un tel effet. Je ne trouve RIEN à jeter sur la totalité de leur album. Voici le lien YT vers le premier single.

D'où l'intérêt de l'utilisation d'un diable. Tu ne fais qu'un seul voyage, tout en préservant ton dos !

Hier, je jouais dans un petit espace, du coup j'ai juste besoin d'un voyage pour tout prendre avec moi !

Le sujet que gargouill a posté mardi au sujet du nombre de basses utilisées lors des répètes m'a donné l'idée d'ouvrir celui-ci. J'ai remarqué qu'un certain nombre de réponses mettaient en avant le côté galère du transport, raison pour laquelle beaucoup d'entre nous se contentent du minimum. Je vous propose de donner vos trucs et astuces pour voyager léger. Cette problématique m'est tombée dessus il y a 3 ans après que j'ai déménagé et changé de région. Jusque là, j'avais le luxe d'avoir chez moi une pièce de musique tout équipée et, c'était là que répétaient les deux groupes dans lesquels je jouais. Depuis, j'habite un appartement situé dans un cœur de ville historique exclusivement piéton. La voiture est à 10mn à pied. Je joue avec deux groupes régulièrement (2-3 fois/semaine) plus un troisième, plus pour le fun, occasionnellement. Je précise que j'ai bien tapé la barre de la cinquantaine et que même si je fais en sorte de garder la forme, on ne déplace pas impunément un cab de 25kg à 54 ans comme à 20 ! La solution que j'ai adoptée a été d'investir dans l'amplification. J'ai gardé mon vieux combo Ampeg qui se trouve à demeure dans le garage/salle de répète du groupe occasionnel et pour les deux groupes réguliers j'ai un baffle 410 dans un local et un baffle 112 dans l'autre. J'ai une tête classe D qui reste toujours dans la voiture ainsi que la valise de câbles, micro et accessoires divers et, pour la maison, un combo Rumble. Je n'ai donc à transporter que la basse et le pedalboard entre les différents lieux et pour ça j'utilise un diable super pratique. Pour les concerts je prends l'un ou l'autre des baffles, voire les deux mais c'est facile puiqu'on peut mettre la voiture à cul dans les deux locaux. Le hic ce sont les scènes mal foutues où il faut faire 500m à pied ou franchir des escaliers avec le matos mais bon, c'est plutôt rare. Bon, j'ai un peu l'impression de raconter ma life mais j'ai remarqué que le transport est un sujet de discussion qui revient souvent entre musiciens (d'un certain âge...et sans roadies!) Si vous voulez raconter la vôtre, c'est à vous ;)

J'ai toujours apporté une seule basse en répète ou en concert. Je touche du bois (c'est le cas de le dire) je n'ai eu qu'un problème en plusieurs décennies, un vol avant un live mais, heureusement, on partageait l'affiche avec un autre groupe et leur bassiste m'a dépanné. En studio, pareil, une seule basse.

J'ai retrouvé une photo de la basse en forme de violon en illustration d'un article consacré à...Jacques Favino ! Je connaissais ce luthier de réputation (J''habitais aussi près de son atelier lorsque j'étais gamin) bien connu pour être le facteur, entre autres, des guitares de Georges Brassens, Le Forestier, Enrico Macias...Mais je ne savais pas qu'il avait aussi réalisé des basses. Ce n'est pas explicitement dit dans l'article ci-joint mais ça semble cohérent. http://www.favino.com/php/entretien-fr.php

Je préfère de loin quand il assure la basse lui même. Il a la classe, j'adore ! Sur ce docu de l'INA on le voit, dès le début, avec une basse qui ressemble à celle du lien posté plus haut puis, vers 6:00, avec une autre qui a un corps façon Hofner et un manche + tête type SG. En tout cas, un grand grand Monsieur de la chanson française (et italienne et suisse, ne soyons pas chauvin)

Complètement. J'ai l'habitude de dire que si je veux connaître l'heure exacte, je la consulte sur mon i-Phone. En revanche, quand je choisis de porter une montre mécanique le matin, je prends plaisir à la mettre à l'heure, à la remonter jusqu'à sentir le mécanisme entrer en résistance, à voir la trotteuse reprendre son mouvement fluide, affranchi des pulsations du quartz et à refermer le bracelet sur mon poignet. Ceci dit, j'ai aussi des montres à quartz et il m'arrive souvent de ne pas porter de montre.

Bonjour, Je pense qu'il faut avoir à l'esprit qu'une montre mécanique, qu'elle soit automatique ou manuelle, n'est, par définition, pas précise à partir du moment où elle est portée. Les différentes positions du mouvement vont plus ou moins influer sur le mécanisme. C'est d'ailleurs pour pallier ces inévitables écarts que l'une des complications horlogères les plus prestigieuses, le tourbillon, a été inventée. Donc, à mon avis, faire réviser une montre mécanique (simple, i;e. sans complications) au prétexte qu'elle n'est pas précise n'a pas vraiment de sens. Une minute par semaine ce n'est vraiment rien du tout et si tu n'as pas d'incident particulier avec ta montre (chute, choc, défaut d'étanchéité...) tu n'as pas à t'en faire.

Je garde une Hofner depuis des années. Elle correspond à la description que tu donnes de ta basse et je l'ai toujours montée avec les cordes Hofner idoines. De temps en temps je l'emmène sur des scènes ouvertes pour justement taper le boeuf sur des vieux trucs sixties Beatles/Shadows etc. et franchement il n'y a pas photo, c'est exactement ça !

@Go Comme AdHoK j'attire ton attention sur la dernière mouture (V3) de la série Rumble de chez Fender. En combo, ils sont particulièrement légers même si leur encombrement est supérieur à un PJ. En revanche, ils sont faciles à trouver en occasion et d'un rapport qualité-prix plus que convaincant. Je possède un 100W qui accuse moins de 10Kg sur la balance et qui propose toutes les fonctionnalités que tu recherches.