Glitchmann

Et cette PB, de 1971, qu'en pensez-vous ? https://www.leboncoin.fr/instruments_de_musique/1018649851.htm?ca=12_s

Un nouveau titre en ligne depuis quelques jours. Il s'agit, cette fois, d'une composition de Michel Alibo: https://www.youtube.com/watch?v=dGihVQQg_PA

Je me suis attaqué au problème ce week-end sauf... qu'il n'y avait plus de problème !! Corde de Mi parfaitement juste aussi bien en Mi que détunée en Ré. Va comprendre... À suivre lors de la prochaine répète. En tous cas, je laisserai la basse dans son étui maintenant ! Merci de vos avis et conseils ;)

Oui, depuis ces derniers jours j'ai laissé la basse en question dans son étui.

Le truss, je n'ai pas envie d'y toucher. Si mon problème vient de l'intonation comme le suggère certaines réponses je vais suivre le tuto posté par SEB54, que je remercie au passage, et jouer sur les pontets.

Merci ! Je vais m'y atteler ce week-end.

Quelle est la méthode pour régler l'intonation ?

Bon, il faut clairement que je dégotte un luthier ou un atelier dans mon coin et je serai bon pour deux réglages par an si je comprends bien. Ce qui m'a vraiment surpris c'est le passage en drop-D et l'impossibilité de jouer !!

Bonjour, Avant de me mettre en quête d'un luthier, j'aimerais bien avoir des retours sur le problème que je rencontre. Depuis quelques répètes je me suis rendu compte que ma basse était fausse et, en particulier, la corde de Mi. Bien accordée à vide, la corde de Mi joué à l'octave est plus grave d'environ 1/8 de ton. Beaucoup plus embêtant, en drop-D, c'est la cata ! À tel point que je ne peux plus jouer dans cette configuration, je suis faux dès le Mi ! Le phénomène apparaît aussi, mais beaucoup moins, sur la corde de La Les cordes Ré et Sol sont parfaitement justes. J'ai déménagé dans le sud de la France il y a deux ans maintenant et l'appartement que j'habite, dans un vieil immeuble du centre-ville est TRÈS chaud l'été et TRÈS froid l'hiver. Je m'en fiche, je l'adore et j'y suis, au final, très peu dans la journée. En revanche, je pense que ma JazzBass n'apprécie pas... Avez-vous rencontré ce type de problème ? Quelle solution voyez-vous ? À priori, je pense la porter chez un luthier (si j'en trouve) mais je ne vais pas non plus me priver de ma basse chez moi donc les conditions resteront les mêmes... Merci de vos avis/conseils

Pas très original mais Fender JB également par ici. Depuis ma toute première Morris copie JB en 1978 jusqu'à ma CS 61 actuelle en passant par une vintage 67 dans les années 80. Il y a eu quelques autres basses dans l'intervalle (Ibanez, Hofner, Musicman...) mais pas tant que ça en fin de compte. Le truc rigolo c'est que je n'ai jamais posé les mains sur une PB...Étonnant non ? (Si ça se trouve, ça déchire !)

Faisais-tu partie des chanceux présents en studio durant la captation ?

Vu une jolie Rascal turquoise hier dans les mains du bassiste d'Oxmo Puccino. Classieux le bonhomme !

Vendues !

Bonjour, Je vends deux places pour le concert des Insus de dimanche prochain au festival Les déferlantes (66) Le prix officiel était de 46,50€/place (c'est sold-out), je fais un prix spécial OB à 35€ pièce ou à 65€ les deux. MP si intéressé !

Effectivement. Faute de frappe rectifiée dans le texte. Merci pour ton attention ;)

Hofner 500/1 review. Avant d'entrer dans le vif du sujet, un petit rappel historique en intéressera peut-être certains. Ami lecteur, si les digressions te rebutent, tu peux zapper les premiers paragraphes, je ne t'en tiendrai pas rigueur. Historique. L'entreprise Hofner créée à la fin du 19ème siècle s'est spécialisée dès ses débuts dans la fabrication d'instruments à cordes frottées puis, assez rapidement, de guitares classiques. Après une interruption due à la seconde guerre mondiale qui, comme chacun sait, ne fut pas une franche partie de rigolade, l'entreprise est relancée à la fin des années quarante et, surfant sur la mode du jazz qui déferle sur l'Europe en même temps que les bas nylon et les chewing-gums, propose ses premières guitares électriques inspirées des Gibson et Gretsch américaines. C'est en 1956 qu'est présentée, sans succès, la première basse en forme de violon. À quelques temps de là, comme on dit dans les livres de contes pour enfants, les Beatles, un groupe de jeunes liverpuldiens énergiques, débarquent à Hambourg pour y honorer un contrat dans une boîte du quartier chaud. Leur bassiste Stuart Sutcliffe, plus attiré par le dessin que par la musique et tombant sous le charme d'une jeune artiste du cru décide de quitter le groupe. Nous sommes alors en 1961. Les bons livres d'histoire (au pire, Wiki-ton-ami) t'apprendront qu'il n'aura malheureusement pas l'occasion de regretter sa décision. Se retrouvant sans bassiste et n'ayant pas la possibilité de poster sur OB pour recruter, c'est Paul McCartney qui est désigné par ses camarades pour s'y coller. Le voilà donc contraint de se procurer une basse alors même que leurs maigres émoluments leur permettent à peine de manger à leur faim. Et toujours pas dOB et ses bons plans de petites annonces, mais comment faisait-on avant ? C'est là qu'il tombe sur une Hofner exposée dans la vitrine dun magasin du quartier. C'est un instrument abordable, environ le tiers du prix dune Fender (pourtant vintage, mais à l'époque ils l'ignoraient ! ahahah !) et, surtout, cest un modèle gaucher ! Ici, j'en profite pour tordre le cou à la « légende » qui voudrait que McCartney, the left-handed-guy, ait choisi l'Hofner Violin pour sa symétrie. C'est stupide si on considère le fait que, si tel avait été le cas, il aurait acheté un modèle droitier et que, ipso facto, comme on dit dans les livres savants, potentiomètres et pickguard auraient été positionnés en haut lorsqu'il en aurait joué. Or, j'offre un kilo de Malabars roses AVEC les décalques à celui qui me sortira une seule photo de McCartney jouant sur une Hofner droitier. Bref, cet achat va propulser la Hofner 500/1 au statut d'icône et, depuis que le Sir l'a ressortie pour son album Flowers In The Dirt en 1989, et dans toutes ses tournées postérieures, le modèle est devenu une véritable rente pour l'entreprise germanique qui n'a de cesse depuis ces deux dernières décennies de le décliner sous toutes ses formes, du low-cost, via des modèles fabriqués sous licence dans des contrées lointaines où les employés ne roulent pas en Volkswagen quand bien même ils seraient en âge de conduire, au premium, via des éditions spéciales exclusives dont la dernière en date, décorée de la main de Klaus Voormann himself pour le soixantième anniversaire de la basse violon, s'échange au doux prix de 7500€. Mais, trêves de billevesées, comme on dit dans les livres chelous, et passons aux choses sérieuses. Spécificités. Mon exemplaire date de 2007 et la dénomination commerciale exacte est : Hofner 500/1 63 Vintage 63 Beatles bass. À L'époque il était livré dans un superbe et solide flight-case rectangulaire en alu guilloché extrêmement plus résistant que l'étui vintage. La table est en épicéa alors que dos et tranches sont en érable. Le manche en trois parties est un sandwiche érable-hêtre-érable et la touche est en palissandre. L'épaisseur du manche est de, 23mm à la première frette, 26mm à la 12ème. La largeur quant à elle s'établie à 42mm au sillet et 48mm à la douzième frette. Il n'y avait pas sur mon modèle de repères sur la tranche, je les ai peints (c'est moche, mais ça fait le job) en blanc sur le bidding qui est noir. Je crois qu'il est devenu blanc sur les dernières versions et qu'il y a maintenant des dots noirs. Il y a 23 frettes dont une frette zéro donc 22 cases jouables sans aucun problème jusquau fa. L'action est très haute (3,8mm à la 12ème) mais pour ce que j'en fais ça ne me dérange pas et je n'ai jamais touché ni au chevalet ni au truss. Le chevalet (flottant) est en ébène et le cordier en nickel, à l'autre bout des cordes on trouve 4 mécaniques Hofner individuelles (jusqu'en 1962, il y avait 2 plaques de 2 mécaniques) Entre le sillet et le chevalet les cordes oscillent sur 76cm (30) c'est un diapason court. Les cordes que j'utilise sont des Hofner flatwound .40 .55 .70 .100 Les potards et interrupteurs sont montés sur une plaque en perloïd pleine masse comme le pickguard que j'ai ôté. Il y a un interrupteur on/off ainsi qu'un potentiomètre de volume pour chaque micro Hofner H511B Staple Humbucking. Plus un troisième interrupteur qui permet de choisir entre « Rythm » et « Solo » et qui agit comme une sorte de booster. À l'usage mon réglage est : Les 2 micros ouverts, les potards à fond et le boost sur « Rythm ». Simple efficace et pas prise de tête. Last but not least, le poids est incroyablement ridicule. À peine 2.2 kg sur la balance, et ceci est une transition parfaite pour la rubrique suivante. À lusage. Et c'est bien le poids qui surprend en premier lieu, la première fois bien sûr mais encore aujourdhui quand je reprends la Hofner après une période dinutilisation. Et pourtant ma basse habituelle n'est pas dans les plus lourdes. La deuxième chose qui surprend c'est que la basse bascule vers l'avant dès qu'on cesse de la tenir si, par exemple, on doit lever les bras pour : a) Rattraper les petites culottes lancées par des fans hystériques. b) Se protéger des fruits pourris lancés par des fans colériques. La solution est d'accrocher la sangle sur le cordier ce qui permet de retenir la basse en faisant passer la sangle sur le haut du corps. Jai fait l'acquisition de cette basse pour jouer avec un groupe de reprises Beatles. Le batteur possédait une Hofner Reissue 62 qu'il a voulu impérativement me coller dans les pattes. J'ai eu du mal au début mais je suis vite tombé sous le charme. Je suis, par ailleurs, guitariste et je me suis mis à tenir cette basse comme une guitare. Au bout dune répète ou deux je me suis retrouvé tout naturellement avec le pouce de la main gauche sur la corde de mi à jouer des fa ou des sol alors que ça ne m'étais jamais arrivé avant sur une basse. Vraiment étrange. De même, j'ai toujours joué au médiator sur la Hofner et, là encore, comme un guitariste avec la tranche de la main droite sur le chevalet. Enfin, je la porte comme une guitare, plus bas que ma basse. Allez comprendre. L'accès aux aigus est parfait avec cette forme et, mine de rien, malgré son diapason plus court, jai deux cases de plus que sur ma JB ! Du côté des défauts, cette basse n'est pas polyvalente. Elle a très peu de sustain et sa conception ne favorise pas la pratique du slap ou du tapping. Sa forme, aussi, est tellement particulière que les gens attendent forcément du Beatles en la voyant alors qu'elle envoie sévère sur du Motown ou du bon gros rock.

Content pour toi ! J'espère que c'est une bassiste

Le post que je me suis permis un peu plus haut voulait simplement relever ta remarque sur "une basse d'homme" Je suis certain que tu n'y voyais aucune malice pas plus que quand tu parles du "mec" qui voudrait acheter un tel instrument ou du basseux, ce "mec" qui se ballade avec des musiciens. C'est juste que je pense (et j'espère !) que ce forum est aussi fréquenté par des femmes aussi passionnées que nous "les hommes" par la basse et que je trouve dommage d'utiliser presque par habitude des expressions qui sont, en fin de compte, sexistes. Imagine Carol Kaye se voyant jeter par le vendeur lors de l'achat de sa première Precision. Putain, le nombres de parties de basse mythiques qu'on aurait perdues ! Allez, sans rancune:

Ah ? Et sinon, c'est quoi les autres caractéristiques d'une basse d'homme ? Mis à part la lourdeur, je veux dire...

Zut, ma vue baisse, pas beau de vieillir... J'vois pô d'octo sur la vidéo J'espère que vous faites aussi Hole In My Life ma préférée d'Outlandos !

L'imagerie steampunk est classieuse, bois, laiton, cuir, engrenages... Scorsese y rend un bel hommage dans son Hugo Cabret

Voilou...

On trouve des choses surprenantes dans la mouvance steampunk.

Hello mistergroovy, Bravo pour votre boulot, c'est bien foutu ! The Police est un groupe que j'ai eu la chance de découvrir en temps réel et de voir plusieurs fois en concert et je peux te dire que j'ai pris un grand plaisir à regarder ta vidéo même si je l'aurais préférée in-extenso ! Concernant la chanteuse, c'est vrai que comme certains ici j'ai un peu de mal. Elle chante bien, rien à redire, mais je crois que ma gêne vient du fait que vous avez musicalement opté pour des reprises ultra-proches des VO et du coup, ça créé un hiatus avec son interprétation à elle. Il y a des morceaux où j'adhère à 100%: Bring On The Night, Bed's Too Big Without You, Driven To Tears. D'autres où ça bloque (au niveau du chant je précise !) So Lonely, Can't Stand Losing You. La bonne idée c'est de couvrir l'ensemble de la (courte) production du trio. Il manque peut-être un pêchu Next To You pour souligner leurs influences punk-rock des débuts. La basse est aux petits oignons, le guitariste mérite un satisfécit car Andy Summers est une sorte d'ovni guitaristique bien loin des riffs habituels et on retrouve vraiment bien sa patte particulière. Enfin, si le look de votre batteur est loin loin loin de celui de Copeland ;) on reconnait la signature rythmique, le jeu de Charley entre autres, si caractéristique. Mais, il n'y a pas à tortiller, cotisez-vous et offrez lui une paire d'octobans. Un tribute The Police sans octobans c'est comme un tribute The Beatles sans Hofner !!! Bravo encore, c'est super !

Toc, toc, toc ! Je vais, moi aussi, traîner régulièrement par ici. J'aime les traitres à six ou douze cordes, à baguettes ou à claviers ! J'ai une Cort CS Jumbo acoustique (qui est mon instrument le plus ancien) et une Strat '70 series. Quant à la double 6/12, c'est la bonne solution pour sortir Hotel California proprement en live.