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[jeu] De Quel Livre Est Tiré Cet Extrait?


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Merci, mais si tu ne devais en citer qu'un ? :lol:

Je vois d'ailleurs que tu ne conseilles pas le Tokyo Montana qui, de mémoire, était présenté comme un grand livre. Quand je dis qu'il faut se méfier de 4° de couv'.

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Je ne vous dérange pas avec ma proposition ,sinon vous me le dîtes et je la retire ! :goute:

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:lol2:

Si c'est pas un roman d'anticipation, ça a été écrit en 69 ou après. J'ai bon, là ?

Je crois reconnaître le style alerte et dépouillé d'Alexandre Jardin. :goute:

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Pour le coup de l'année,je reconnais ton sens de la déduction !

Sinon,pour Alexandre Jardin,c'est par rapport à mes gouts de chiottes ,

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Merci, mais si tu ne devais en citer qu'un ? :lol:

Je vois d'ailleurs que tu ne conseilles pas le Tokyo Montana qui, de mémoire, était présenté comme un grand livre. Quand je dis qu'il faut se méfier de 4° de couv'.

Je connais par coeur Tokyo-Montana-Express.

Et les Mémoires sauvés du vent.

Et le Journal japonais.

Impossible de n'en citer qu'un, car on prend Brautigan entièrement et on l'aime passionnément comme il est, ou on ne le prend pas. Il est bien trop imparfait pour essuyer la critique !

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Paul Auster ?

Edit : plus précisément et au hasard, quelque part dans sa Trilogie new-yorkaise ?

Edited by big'
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Pas lu. Madame Big' aime bien. Moi, je préfère revoir Smoke de temps en temps.

Du savoureux :

Après avoir pissé un plein urinal, il se mettait à table. Etant naturellement flegmatique, il commençait son repas par quelques dizaines de jambons, de langues de boeuf fumées, de cervelas, d'andouilles et tels autres avant-coureurs de vin. Pendant ce temps, quatre de ses gens lui jetaient dans la bouche, l'un après l'autre et sans cesse de la moutarde à pleines palerées ; après quoi, il buvait un honorifique trait de vin blanc pour lui soulager les rognons.

Fastoche, non ?

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Un peu de polésie,

N'écris pas. N'apprenons qu'à mourir à nous-mêmes.

Ne demande qu'à Dieu... qu'à toi, si je t'aimais !

Au fond de ton absence écouter que tu m'aimes,

C'est entendre le ciel sans y monter jamais.

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N'écris pas. Je te crains ; j'ai peur de ma mémoire ;

Elle a gardé ta voix qui m'appelle souvent.

Ne montre pas l'eau vive à qui ne peut la boire.

Une chère écriture est un portrait vivant.

N'écris pas !

Les séparés

C'est Marceline Desbordes-Valmore. Admirée de Balzac, Verlaine, Baudelaire..., et que je lis souvent.

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Oui, honorée de Balzac.

Tiens ça n'existe pas au féminin comme prénom... enfin je crois pas... tandis qu'on a Aimé et Aimée

Bon je cherche un truc pour quand L'Anatole me passera la main.

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Personne n'a répondu Julien Clerc,c'est dejà ça :goute:

Ma poëteuse preférée !

Bravo,et féloches à toi.

T'as décidemment des bons goûts (enfin aux miens !)

A toi ISABELLE :wink:

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Je connais par coeur Tokyo-Montana-Express.

Et les Mémoires sauvés du vent.

Et le Journal japonais.

Impossible de n'en citer qu'un, car on prend Brautigan entièrement et on l'aime passionnément comme il est, ou on ne le prend pas. Il est bien trop imparfait pour essuyer la critique !

Jawohl mein Fürher , sauf que tu me permettras de prendre ce que j'aime chez lui et de laisser ce qui me fait chier (d'ailleurs j'ai oublié de citer un privé à Babylone dans ceux que j'aime bien): le Brautigan 100% geignard de mémoires sauvés du vent (poussière d'Amérique) me plaît pas plus que ça. Même si on met au second plan artistique le côté bidonnant et la fantaisie d'autres bouquins, je le trouve plus inspiré dans ses recueils de poésie comme The pill versus. Accessoirement, pour répondre à big' c'était difficile de répondre "commence par tous".

Posted

@ Isa' : Honorine existe.

@ Totor : je te remercie de m'avoir aidé dans mon choix. :lol: Quand j'aurai un moment, je feuilletterai et selon la première page ...

Posted

@Totorbass : je ne te permets rien du tout, you're free, man !

Je reconnais que quand j'aime quelqu'un, je manque totalement d'objectivité. D'ailleurs mes aptitudes à la critique raisonnée dépassent rarement "j'aime" ou "j'aime pas".

Suite du jeu :

[...] Ca pourrait être une peinture moderne et abstraite de la période expressionniste : elle est composée de trois grands plans, dans les marron pour l'essentiel, deux verticaux et un horizontal, si on excepte la tête d'un petit chien noir en bas du tableau, peint dans un style proche de la bande dessinée, et enterré jusqu'au cou dans ce qui pourrait être du sable, levant les yeux, l'air pathétique et inquiet, vers la masse déferlante de cette même matière. Il y a tout un tas de théories quant au sens de ce tableau, par exemple : la fin des Lumières ou l'avènement de la modernité. Mais je sais ce qu'il signifie pour moi : c'est une image de la surdité en tant que suffocation imminente, inévitable, inexorable. [...]

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