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ISABELLE

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Everything posted by ISABELLE

  1. bonaniv Totor ! bonaniv Dam's ! et aux autres gars d'ici que je ne connais pas
  2. ah triple m....e, j'ai vraiment pas la tune pour les Magnum en ce moment j'espère pour toi que ça va partir tout ça, Papao, j'espère vraiment good luck
  3. i m'fait rire kedd avec son metolfleaevol as fuck !
  4. Morgoth a juste dit qu'à 3 mètres ce n'est pas très simple, mais pas impossible et que c'est agréable c'est ce que j'ai lu
  5. oui, sûrement, y'a pas de hobbit dans Stendhal c'est ça qu'est dommage
  6. – Ainsi, vous ne m'aimez plus ? – J'ai horreur de m'être livrée au premier venu, dit Mathilde, en pleurant de rage contre elle-même. – Au premier venu ! s'écria Julien, et il s'élança sur une vieille épée du Moyen Age, qui était conservée dans la bibliothèque comme une curiosité. Sa douleur, qu'il croyait extrême au moment où il avait adressé la parole à Mlle de La Mole, venait d'être centuplée par les larmes de honte qu'il lui voyait répandre. Il eût été le plus heureux des hommes de pouvoir la tuer. Au moment où il venait de tirer l'épée, avec quelque peine, de son fourreau antique, Mathilde, heureuse d'une sensation si nouvelle, s'avança fièrement vers lui; ses larmes s'étaient taries. L'idée du marquis de La Mole, son bienfaiteur, se présenta vivement à Julien. Je tuerais sa fille ! se dit-il, quelle horreur ! Il fit un mouvement pour jeter l'épée. Certainement, pensa-t-il, elle va éclater de rire à la vue de ce mouvement de mélodrame : il dut à cette idée le retour de tout son sang-froid. Il regarda la lame de la vieille épée curieusement et comme s'il y eût cherché quelque tache de rouille, puis il la remit dans le fourreau, et avec la plus grande tranquillité la replaça au clou de bronze doré qui la soutenait. Tout ce mouvement, fort lent sur la fin, dura bien une minute, Mlle de La Mole le regardait étonnée : – «J'ai donc été sur le point d'être tuée par mon amant !» se disait-elle. Cette idée la transportait dans les plus belles années du siècle de Charles IX et de Henri III. Elle était immobile, debout devant Julien qui venait de replacer l'épée, elle le regardait avec des yeux d'où la haine s'était envolée. Il faut convenir qu'elle était bien séduisante en ce moment, certainement jamais femme n'avait moins ressemblé à une poupée parisienne (Ce mot était la grande objection de Julien contre les femmes de ce pays). – Je vais retomber dans quelque faiblesse pour lui pensa Mathilde; c'est bien pour le coup qu'il se croirait mon seigneur et maître, après une rechute, et au moment précis où je viens de lui parler si ferme. Elle s'enfuit. - Mon Dieu ! qu'elle est belle ! dit Julien en la voyant courir : voilà cet être qui se précipitait dans mes bras avec tant de fureur il n'y a pas quinze jours... et ces instants ne reviendront jamais ! et c est par ma faute ! et au moment d'une action si extraordinaire, si intéressante pour moi, je n'y étais pas sensible ! ... Il faut avouer que je suis né avec un caractère bien plat et bien malheureux. Le Rouge et le Noir - Stendhal Dans le genre "tu veux ou tu veux pas", ça a de la gueule non ?
  7. mais de qui de quoi vous causez ? chui carrément au tas.
  8. Loukoum quel scandale J't'ai vue toute nue dans l'journal Loukoum c'était fatal T'étais trop belle pour le travail Starshooter
  9. Ah pardon, Vince, t'étais là ? J'espère que tu m'en veux pas pour les métalleux tout ça... C'était ce que je pensais AVANT ! En fait j'en aime bien certains.
  10. Cépafo ! Mais i peuvent pas comprendre, les autres !
  11. L'orthographe, quand ça merde, c'est juste un poil plus compliqué à réparer qu'une basse. Allez les techniciens, retournez à vos limages, forages, trempages et chocs thermiques, vous en parlez très bien et à bon escient. Et toi le jeune, fais gaffe de pas te faire virer sur Slappyto si ça continue ! T'auras sûrement ton bac mais la sélection par l'orthographe sur les forums "de bonne tenue", - oui mon cher -, est impitoyable ! Enfin, moi je m'en fous de tes fautes, hein, c'est les autres
  12. Merci du compliment. Mais je m'appelle pas Bénédictine. Sérieusement, en un mot comme en cent, 350 euros pour une Aria injouable et maquillée, c'est malhonnête. Et il n'y a pas de raison que ça ne se sache pas. Et il y a encore moins de raison pour que ce soit celui qui s'expose qui se prenne des leçons et des moqueries plein la gueule en plus de l'escroquerie dont il est l'objet. D'autant que, même s'il est vrai qu'acheter à un forumeur ne représente aucunement une garantie, on sait très bien que le principe non écrit de la forumade c'est d'une part le sérieux (du matériel évalué au juste prix pour ce qu'il est, et même un peu moins, souvent, parce qu'il y a un truc qui s'appelle la sympathie qui fonctionne), et la confiance de part et d'autre, vendeur acheteur. Des valeurs humaines, quoi... Et s'il y a désaccord, on met les choses à plat, on annule la transaction et basta. Le faire publiquement c'était un bon moyen pour que chacun s'en sorte honorablement, puisque la communication privée était restée sur une impasse.
  13. Candide et confiant, c'est déjà difficilement acceptable, mais pauvre, fainéant et geignard... Là, tu pousses le bouchon un peu loin, franchement, Darkhim ! Pour ta complète mortification tu porteras le silice et te flagelleras aux orties en public, - ici même sur ce forum car nous sommes friands -, en récitant 153 Ave Aria.
  14. Ah Paowz..... Tiens, un truc qui peut servir : L'amour c'est l'infini à la portée des caniches. Et moi, j'ai ma dignité. Louis-Ferdinand CELINE Oui je sais...........................................
  15. Et si les vieux en question avaient pas d'enfants, ça serait pareil ou pas ? Je veux dire, est-ce que ça serait malsain parce que ça renverrait plus ou moins consciemment à l'idée d'inceste ? Alors qu'il n'y en a pas ?
  16. Ah ben écoute, il a 74. Un jeunot mal dégrossi quoi !!!
  17. Et un mec qui sort avec une femme qui pourrait être sa mère, c'est malsain aussi ?
  18. Un extrait de La bête qui meurt, de Philippe ROTH, l'histoire d'un vieux prof de fac qui se tape ses étudiantes et finit par tomber amoureux d'une en particulier, qui le lui rend bien : " Que faire quand on a soixante-deux ans et que l’urgence de cueillir ce qui se cueille encore n’a jamais été aussi impérieuse ? Que faire quand on a soixante-deux ans et que l’on comprend que ces pièces détachées jusque là invisibles (les reins, les poumons, les veines, les artères, le cerveau, les intestins, la prostate, le cœur) vont commencer à se manifester de la manière la plus alarmante à mesure que l’organe jusque là si central est condamné à se rabougrir jusqu’à l’insignifiance ? … Tu l’imagines, la vieillesse ? Non, bien sûr. Moi non plus, je ne l’imaginais pas. Je n’y arrivais pas. Je n’avais pas idée de ce que ça pouvait être. Je ne m’en faisais même pas une image fausse, je ne m’en faisais pas d’image du tout. Et personne ne souhaite autre chose. Personne ne veut la regarder en face avant d’y être obligé. Comment ça va tourner tout ça ? Les œillères sont de rigueur. Tout stade de la vie plus avancé que le tien est pour toi inimaginable, c’est logique. Parfois on est à mi-distance de l’étape suivante avant de se rendre compte qu’on s’y est déjà engagé. Et puis il faut bien dire que les premiers stades de la maturité ne vont pas sans compensations. Et déjà, même ainsi, la moitié du voyage en inquiète plus d’un. Alors la fin… Chose intéressante, c’est le premier âge de la vie auquel on se sente extérieur alors même qu’on est en plein dedans. A être le témoin de son propre déclin (si l’on a autant de chance que moi), on peut se permettre, grâce à sa vitalité constante, de prendre un recul considérable – voire de s’en désolidariser gaillardement. Certes les signes se multiplient, inexorables, qui mènent à la fâcheuse conclusion, mais malgré tout on reste extérieur. Et la férocité du regard objectif est brutale. Il faut bien faire la différence entre le chemin qui mène à la mort et la mort elle-même. Le chemin vers la mort n’est pas ininterrompu. Si l’on est en bonne santé, bien dans sa peau, il est invisible. La fin est une certitude qui ne s’annonce pas forcément à grands cris. Non tu ne peux pas comprendre. La seule chose qu’on comprenne chez les vieux, quand on ne l’est pas soi-même , c’est qu’ils ont été marqués par leur temps. Mais comme on ne comprend que ça, on les fige dans leur temps, ce qui revient à ne rien comprendre du tout. Pour ceux qui n’ont pas encore atteint la vieillesse, elle signifie qu’on a été. Seulement la vieillesse, ça veut aussi dire que malgré son avoir-été, ou en plus de lui, en prime de lui, on est encore. L’avoir-été est vivace. Mais en même temps, on est toujours là, et on est habité par cet être-là dans sa plénitude, tout autant que par l’avoir-été, la passéitude. Figure-toi la vieillesse en ces termes : tu risques ta vie au quotidien, tu n’échappes pas à la conscience de ce qui t’attend à brève échéance, ce silence qui va t’entourer pour toujours. A part ça, c’est pareil. A part ça, on est immortel, tant qu’on est vivant. … Qu’est-ce que j’y peux, moi, si à ma connaissance, rien, mais alors rien n’est mis en sommeil, quelque soit l’âge de l’homme ?"
  19. ISABELLE

    Trombinoscope...

    Dans le placard à balais avec une fille ?
  20. Fané, froissé... Bah.... on est toujours le vieux ou la vieille de quelqu'un de toute façon. Déjà à 17 ans, j'avais le sentiment d'avoir passé l'âge, alors maintenant... Mais tu as raison, à un certain âge, - et même pas un âge certain -, on se rend compte par un beau matin clair que tout ce qui avant était devant, eh ben c'est déjà passé derrière, sans qu'on ait bien vu quand ni comment ça s'est produit mais le fait est là, on a bien irrémédiablement basculé du tout au presque plus rien. Bon, j'arrête mes considérations aussi stériles qu'inappropriées à l'objet de départ, qui était de te remonter le moral au moment où le désespoir t'accable, alors je vais t'envoyer une photo de Raymond Barre nu avec un lombric homosexuel en rut pour te montrer qu'il y a pire que toi et que ta vie est quand même fraiche et belle (mais moins que moi évidemment)
  21. Ta ta ta... Allez, vas-y, lance-toi, dis un chiffre ! 27, 42, 50 ?
  22. Ah ah ! Sauf que moins c'est poétique, moins c'est vrai. C'est quoi l'âge fané ? Tu leur plais peut-être pas forcément. Elles ont peut-être juste envie de s'amuser !
  23. Ca va viendre, Paowz. Il y en a une quelque part qui ne s'amuse pas non plus et qui est pour toi. C'est sûr, c'est certain.
  24. Bon anniv à toi, Lapaju, my favorite dealer !
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