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Site internet de Fred Monino Son Myspace Continuum, assoc' dont il est l'un des fondateurs
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Encore une belle claque... On a eu droit à Havona en rappel.
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Un looper, sinon mon POG.
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Présent tout compte fait.
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En fait je me suis endormi au moment d'une walking bass, faut dire que je suis pas trop fan même si je commence à apprécier cette approche... Je ne pourrais dire pendant quel morceau c'était.
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Enfin un qui daigne essayer de comprendre. J'ai eu le même soucis que Akouel dans Veloce Hystoria, le guitariste est accordé un ton en dessous. Et quand il a fallu jouer un plan comme : A#---------------------------------------------------------------- F ---------------------------------------------------------------- C ---------------------------------------------------------------- G ---------------------------------------------------------------- D 13-12-10-0-12-10-8-0-10-8-7-0-8-7-5-0-7-5-4-0-5------ Et bien je vous mets au défi de le jouer en position standard... Après si les gens se cachent derrière l'argument "on est pas obligé de jouer le même plan que la guitare", sois ils sont limités dans leur technique, soit leur choix artistique pour créer une ligne de basse est autre. Mais dans ce cas, l'un n'empêche pas l'autre, ce genre de ligne à l'unisson est selon moi du plus bel effet avant d'introduire un refrain. Le choix de l'accordage va faciliter (ou pas) le travail, rien de plus. Transcrire ce qui a été écrit dans un autre accordage sur du standard n'est pas chose aisée.
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Perso je me suis endormi à un moment, j'en avais honte d'ailleurs... Ca le fait pas trop devant Caron. Je serais bien venu te voir après le concert rgglop, mais j'avais besoin de rentrer au plus vite pour dormir. En plus un confrère gaucher...
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Akouel ----> Tu te mets en DGCFBb, et basta (accordage en quarte, "logique" sur une basse). Si tu dois avoir une corde de Do grave, tu droppes la première de 1 ton (CGCFBb au final). Pour les exos, donne moi ton mail par MP Funky Stuff ----> Son problème n'est pas "idiot", on peut jouer beaucoup de choses en accordage standard, mais dans certains cas, il y a des plans qui nécessitent des cordes à vide particulières si l'on veut coller aux riffs de guitares. Ce n'est pas un soucis d'harmonie, mais bien physique. Il cherche à se faciliter le travail, on ne va pas le blâmer pour ça. Et puis c'est son droit de vouloir jouer la même chose que les guitaristes, après tout c'est un choix musical qui se défend.
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rgglop je l'ai repéré dans l'assemblée, mais pas zesebus.
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Grosse impression venant du trio, il faut dire qu'au premier rang j'en ai pris plein la tête !
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On ne va pas épiloguer 107 ans dessus, l'important pour ma part c'est que ma sensibilité de l'harmonie s'est développée, et que je prends beaucoup mieux la mesure de chaque note jouée.
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Et bien je ne le conçois pas comme ça, dans la mesure où pour moi, "jouer en dehors" signifie en dehors de la gamme. Exemple : Je joue sur un EM7, et bien jouer un Sol c'est en dehors, mais il amène le demi ton suivant, et en fait on tombe dans la gamme blues. En fait, je faisais le parallèle avec tout ce que je jouais avant, notamment la musique métal, où là si tu joues "en dehors", ça "sonne faux". Déjà ce n'est pas dans ce bouquin que j'ai appris l'essentiel de ce que je sais. Je dirais que c'est en lisant à droite à gauche sur internet, Onlybass inclus, en achetant Cours2Basse depuis 2 ans (Bass Method avant), et en réfléchissant un minimum. La masterclass que j'ai cité n'a été qu'un catalyseur supplémentaire.
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Je me suis aperçu que c'est ce bouquin qu'un collègue claviériste m'a laissé pour bosser le jazz... il a stoppé l'affaire à la moitié d'ailleurs. Il faut que je m'y penche davantage, car j'ai déjà lu quelques passages intéressants et appris quelques trucs, genre la suite d'accord de Giant Steps et sa construction harmonique, mais je suis encore dérouté par la lecture de partitions, notamment les accords. J'en profite d'ailleurs pour vous faire part de mon "déclic harmonique" qui a eu lieu en présence de Dominique Di Piazza et Frédéric Monino. C'est assistant à leur masterclass que j'ai compris beaucoup de choses. De Dominique, j'en retiens une approche variée au travers de gammes, d'arpèges, et d'accords, sans forcément aller chercher dans des gammes tordues. A cela s'ajoute un travail sur des suites d'accords (anatole et II-V-I). Avec Monino, j'ai retenu, outre son travail sur le rythme, le développement d'idées avec l'aide des renversements d'accords, des arpèges augmentés et diminués, la substitution modale (en majeur : Ionien, Lydien, Mixolydien par exemple), la substitution tritonique pour les accords de dominantes. En conclusion, je ne sais plus ce que veut dire "jouer faux" lors d'improvisations sur du II-V-I ! ^^ (j'exagère hein)
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GHS tirant standard + Do aigu GHS à l'unité (0.030), pas loin de 50E.
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Je serai bien présent. La salle du JAM est vraiment excellente, très bonne ambiance au concert de David Linx récemment... Un bon concert en perspective donc... et un petit verre entre bassistes qui sait. ;-)
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Développe et argumente, ça m'intéresse.
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Je trouve mon bonheur niveau ghost notes toujours avec Zouk Machine de Maldon.
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J'ai rédigé un compte rendu de la Masterclass de Dominique Di Piazza et Frédéric Monino, je vous en fait donc profiter... Internationales de la Guitare 2008, Montpellier, 11 et 12 Octobre La veille de cet événement, j'ai entrepris de faire un tour au salon de la lutherie à l'Opéra Comédie. Constat navrant : des absents parmi les luthiers annoncés en grande pompe sur le site des IG, et ce n'est que le début... Néanmoins la présence remarquée de Christophe Leduc suffit à me convaincre que ce salon n'est pas gâché par un manque d'organisation à peine palpable ce jour-là. Le Samedi, levée tôt pour se présenter à la salle Molière derrière l'opéra, afin d'assister à la première partie d'un week end bassistique chargé. Je finis par rentrer sur le coup des 10h du matin dans la salle, Dominique était déjà là en train de jouer quelques tourneries de Jaco Pastorius. Je m'installe sur une des chaises placée sur la scène, face au monsieur, et je commence à sortir mon instrument, car je me suis inscrit en tant qu'élève. Il s'avère qu'après l'arrivée de quatre autres spectateurs, je suis le seul à avoir amené ma basse... Nous débutons donc le cours en petit comité, chose assez extraordinaire au vu de la notoriété d'un tel invité. En effet, Dominique Di Piazza est connu pour être un des meilleurs bassistes du monde de par son sens de la mélodie, de l'harmonie, et sa technique semblable à celle des guitaristes flamenco. Dominique entame donc son cours et son discours est axé essentiellement sur sa façon d'aborder l'instrument : "Je ne vous dis pas comment faire, je vous dis comment je fais ! ". Il explique la genèse de sa technique de main droite. A son époque, il y avait peu de moyens de communications et il était difficile de voir de grands bassistes en concert comme Jaco Pastorius, alors il a développé sa manière de jouer en utilisant le pouce comme base, ainsi que l'index et le majeur. Depuis quelques années il utilise un onglet de pouce doublé de cuir afin d'avoir une attaque plus franche, et a incorporé l'annulaire dans son jeu. Après un déjeuner avec lui et les autres participants, nous reprenons l'après midi avec un développement sur l'harmonie, une petite dictée musicale ainsi que d'autres sujets dont je ne me rappelle plus très bien, et j'irai même jusqu'à dire que je ne saurais remettre exactement les sujets dans l'ordre chronologique, mais passons. A 16h débute la conférence de Christophe Leduc sur la lutherie basse. Il explique notamment quelles sont les questions qui lui sont apparues au début de sa carrière - comment répondre aux besoin des musiciens ? -, et il développe sur comment il a pu répondre à ces questions en créant des instruments innovants, comme en témoigne son brevet déposé pour la table "flottante", qui consiste en une désolidarisation de la table et du corps de la basse, pour capter davantage les mouvements du chevalet et reproduire un son fidèle. 17h. Concert du duo Di Piazza / Monino. Les deux compères sont tantôt solistes, tantôt accompagnateurs, offrent des compositions et des réarrangements subtils, l'un excellant avec sa fretless et l'autre nous offrant un jeu très guitaristique par moment. Le duo est acclamé et se termine à 18h. Je discute un peu avec Patrick Cosme, un futur luthier que j'ai rencontré il y a quelques temps et qui est basé à Cazilhac, avant de rentrer. Dimanche. Rendez-vous devant la salle guillaume de Noguaret à l'Espace Pitot. La salle est vide, personne pour accueillir Frédéric Monino et une organisation à l'arrache pour pouvoir jouer sur des amplis amenés par Frédéric lui-même... Je profite d'une petite parenthèse pour souligner une organisation déplorable, non sans avoir déjà évoqué certaines absurdités auparavant. Une information erronée et parfois inexistante - des salles qui changent jusque la veille de la masterclass - , manque de savoir vivre - pas de bouteilles d'eau ni de pot de bienvenu pour les professeurs, et personne pour les accueillir -, bref, la masterclass a tout de même lieu, heureusement que les "maîtres" sont là et donnent de leur personne au lieu de tout planter. Frédéric Monino nous plonge directement dans le bain en sortant son métronome. Il axe son cours sur le rythme, et me met à forte contribution pour rejouer en boucle des parties de basse pendant qu'il fait travailler le reste du groupe, toujours restreint hélas... Il développe des méthodes pour chanter le rythme. Ainsi nous apprenons quelques onomatopées indiennes, avec le métronome qui tourne de manière presque hynotique en fond, à des vitesses plus ou moins enlevées. Après la pause déjeuner, il accélère le rythme (non pas le métronome), et on a droit à un travail sur les arpèges assez étoffé, nous permettant de constater qu'avec une connaissance approfondie des accords, on peut s'en sortir dans de nombreuses situations. Il termine enfin en nous donnant des noms d'ouvrages pour travailler davantage l'instrument, voire la musique tout simplement. Je suis ressorti de là à la fois tout excité et pleins d'interrogations sur moi-même, ma façon d'appréhender la basse électrique, le travail régulier etc. Le virage un peu plus ouvert que j'ai entrepris voilà déjà deux mois me ramène à l'époque où je découvrais la musique progressive et ses possibilités infinies, et me voici aujourd'hui en train d'approcher pas à pas le jazz et les musiques improvisées. Cette masterclass n'est que le début d'une remise en question de ma condition de musicien... Je souhaite donc remercier Dominique Di Piazza ainsi que Frédéric Monino pour leur humilité et leur sérénité. Je n'oublie pas mes camarades auditeurs, qui bien que plus âgés que moi, ont su faire évoluer la masterclass de part leurs interrogations bien plus pertinentes que les miennes. Je ne remercie pas les IG et les membres de l'association Confluences, qui bien qu'ils aient programmés cette masterclass, ont vraiment pris les gens pour des billes, et ils feraient bien de revoir leur prétention à la baisse, car on ne se dit pas "International" si l'organisation est plus dérisoire qu'une fête d'école maternelle. Alexis http://www.myspace.com/dominiquedipiazza http://www.myspace.com/moninofrederic
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Au contraire, je trouve que depuis que j'utilise le pouce et l'index en aller retour, je ressens mieux le groove, ça sonne différemment mais beaucoup plus précis, et la moindre erreur est vite perçue. Pour bien ressentir cette différence, je m'entraîne sur Zouk Machine de Maldon, là si la technique est pas bonne, impossible que ça groove.
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Je pense un peu la même chose que Yamsha. Si tu souhaites un accordage avec comme basse un Ré grave, Ok, tu veux jouer comme les gratteux. Mais dans ce cas, ne pourraient-ils pas faire l'effort de modifier leurs plans de sweep pour que toi tu puisses les jouer sur la 5 à l'unisson ? Il y a un peu plus d'un an, j'étais dans un groupe à tendance death trash progressif. Sur ma Yamaha 5 cordes j'étais en CGCFBb (soit DGCFBb mais 1 ton en moins pour la première corde), donc plus grave que l'accordage que tu souhaites. Cela ne m'a pas empêché de composer du sweep à l'unisson avec la gratte, sauf que niveau son ça donne une octave en dessous. Si tu veux des tablatures de sweep version Guitar Pro j'en ai en pagaille (je peux en inventer), ainsi que des exercices (inventés aussi), tu peux d'ailleurs voir ce que ça donne (avec 6 cordes hélas ! ) sur cette vidéo : http://fr.youtube.com/watch?v=jl6mGHoEvnE En fin de compte il faut que tu trouves un compromis avec tes gratteux, histoire d'arriver à "faire de la musique" et non pas "jouer des plans de sweep". ;-)
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Tu transposes à l'octave, tu harmonise à la tierce renversé... Pour le sweeping c'est un peu gênant de n'avoir que 5 cordes, surtout sur des plans en 4 cordes, vu la tessiture de l'instrument et le diamiètre des cordes ça sort pas top. Tu peux éventuellement jouer quelques triades en fin de manche, après ça dépend si tu t'amuses à copier les plans de sweep de la guitare. Autrement en solo tu fais comme tu le sens selon l'accessibilité des notes et la tonalité.
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N'hésitez pas à aller voir le site de son association, une mine de renseignements et de bons plans musicaux : http://www.assocontinuum.com ;)
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Ma première rampe maison était faite ainsi, j'avais rajouté quelques millimètres à ma plaque de plastique plié à l'aide d'un briquet, ce qui fait que je n'avais plus qu'à l'insérer dans l'espace laissé libre entre les deux soapbars et les défonces micros, puis j'ai bourré l'espace entre le corps et la plaque avec de la mousse.
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De suite. Je pense peut-être changer le chevalet de ma Schecter justement, et puis ma future basse sera étudié pour cela en amont.