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Caribou

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Posts posted by Caribou

  1. 19 hours ago, Djooh said:

    J'ai du mal à comprendre ça en fait, parce que Schecter bon c'est pas les basses du siècle :D 

     

    18 hours ago, Djooh said:

    Ok, on en entend tellement peu parler, surtout appréciés chez les métalleux d'ailleurs.

    C'est bien ce qui me refroidit chez elle ! Yamaha ou Sire me semblent un choix plus sûr.

  2. 3 hours ago, Djooh said:

    G&L L2500 introuvable en occas ? :lol2:

    Héhé je voulais dire introuvable là tout de suite maintenant sur Reverb.com.

    Voilà que j'en ai une à 500 US$ sur talkbass ! Et presque 200 dollars de frais de port depuis l'Alabama... Voilà voilà... Talkbass, Reverb, à garder sous la main pour le jour où je m'en irai acheter une relique.

    Je l'aurai bien prise quand même. C'est une révélation cette G&L !

    Quant à la Sire P7, si elle semble vraiment bien sur le papier, je trouve qu'elle sonne pincée, un peu comme les protestations de canards que l'on plumerait vifs ou comme des Jazz Bass (j'exècre les JB, presque autant que les Warwicks). Même le micro Precision tout seul fait couin. Alors ce n'est que l'avis d'un même pas débutant forgé sur du youtube, donc ne prends surtout pas la mouche Alex ! Je sais la qualité et la pertinence de ton conseil mais je n'ai clairement pas la hype pour cet instrument. Quand je pense Precision, je pense à ça :

    https://www.youtube.com/watch?v=y4YoXGBoiSg

    Simple et magnifique. Je n'avais d'yeux que pour la Rick, puis en jouant à reconnaitre les basses avec ma femme, on est arrivé tous deux sur cette même conclusion : la Precision déchire tout ! Je ne retrouve simplement pas ce son sur ce que j'ai entendu de la Sire. Mais si tu me dis que y a moyen, que la Sire peut sortir cette rondeur toute boisée (allez parler son sans avoir l'air de goûter du vin), alors ça va mettre fin à mes recherches tout de suite.

    J'adore le son puissant et défini de la Shecter, son growl de fou, elle est bradée comme pas permis, et elle a la tronche d'une valkyrie au sortir du lit. J'adore le son un peu plus réservé et sophistiqué de la Yamaha, elle est vraiment pas dégueu esthétiquement (la 605 et sa table en érable flamé, miam !), et certainement trouvable facilement d'occasion. Vos avis semblent tendre vers cette dernière, Yamaha semble être une valeur sure. Mais du monde a-t-il un peu d'expérience sur les schecter ? De l'idée que j'ai pu me faire, c'est de la lutherie de haute-voltige, mais des micros maison assez plats.

    Merci encore de votre intérêt à mes questions, c'est vraiment cool de pouvoir avancer grâce à quelques avis éclairés !

     

  3. Il a l'air d'y en avoir, des occaz sympa sur Reverb, pour qui a une voiture ou se prépare à avoir des frais de port ahurissants. Ca a l'air de foisonner d'instruments hauts de gamme, quelques trucs de luthier... Mais comme choix de 1ere/2de basse ... Peut-être patienter et regarder le ijiji de temps en temps... Ou acheter neuf quand il y a des rabaits honteux, comme sur la Stage 5...

  4. Merci pour tous ces éléments de piste, même si j'en ai un peu le tourni ^^

    @BASS13013 et @MrMoe, Mon budget irait jusqu'à 600 euros grand max, sachant que je vais pas dépenser cher pour l'ampli. Juste un petit combo d'étude, le temps d'apprendre...

    @MrMoe, Comme tout débutant, j'imagine, je suis attiré par des tonnes de boutons puis des lasers. Puis j'ai regardé quelques vidéos, pour me rendre compte qu'une précision, deux boutons, un look de papier peint de grand-mère, ça le faisait pas mal quand même ^^. Bref, je suis indécis.

    @AdHoK, et tout le monde ensuite : J'ai pas l'impression que le marché de l'occaz soit très fulgurant par ici. A part quelques instruments vraiment chers, j'ai pas vraiment trouvé mon bonheur sur Reverb.com. Les prix des instruments me semblent souvent quasi similaires au prix du neuf, ou subbissent un frais de port exorbitant, rarement loin d'une voir deux centaines de dollars.

    @Djooh, je savais pas du tout. Est-ce pour ça que sur certaines basses de style P, la position des micros en forme de pièce de tétris est inversée ? Sinon je me serais bien tourné vers les Ibanez, mais les écarts minuscules entre les cordes me refroidissent. Sinon, niveau magasins... Ben il y en a, mais pas comme regroupés comme à Paris. J'ai pas pu voir l'extérieur et la périphérie de Montréal, mais s'il y a plein de petits magasins, n trouve pas ou peu de gros détaillants. Il y a bien Archembault, genre de Fnac, Mais pas de gros magasins spécialisés genre La Baguetterie... Il doit bien y avoir quelques luthiers, on est dans le pays de Garou et Coeur de Pirate quand même.

    @dipching, je connaissais vraiment pas. Juste de nom, quoi. La Tribute L2500 est vraiment chouette, et j'adore le look. J'ai pas bien compris comment marchaient les changements série/parralel. Introuvable en occasion, apparemment.

    @AlexB6, J'y ai pensé un moment à la sire p7, mais les bancs d'essai et avis que j'ai trouvé ne sont pas dithyrambiques, encore moins follichons à ce sujet, et les instruments de cette marque sont assez critiquées sur ce site, j'ai l'impression.

    Bref, vous m'avez montré plein de choses, et me voilà pas moins indécis.

  5. Hello !

    Inscrit il y a pas bien longtemps, je m'apprête à enfin acheter ma première basse. Mais là, dilemme. Je m'esplique : Alors déjà, n'étant pas encore tout à fait sûr de ce que je voudrai jouer, ou serai capable de jouer, je comptais me tourner vers une 5 cordes directement. Un grand espacement entre les cordes est requis, une bonne polyvalence itou.

    J'aime bien les sons rock et ronds, un brin crassou, mon choix se porterait naturellement sur une foutue Precision des seventies, si c'était envisageable sans revendre mon canapé, mes meubles et ma perruche. Mais après quelques tests, c'est une yamaha TRBX505 qui a su le mieux retenir mon attention. Corps en acajou, manche 5 plis érable/acajou, touche palissandre. J'aime bien son côté moderne, avec un grain un chouilla vintage qui se fait entendre. Et il y a la grande soeur avec corps en aulne, qui semble juste sonner un peu plus clair...

    Et puis il y a cette occasion qui semble en or : une schecter stiletto stage 5 à quasi moitié prix (459 dollars US neuve, au lieu de 750 et quelques...). Manche traversant 3 plis d'érable et renfort en carbone, touche ébène, ailes en acajou, micros actifs façon MM, plot actif/passif. Alors dans mes rêves, s'il n'y avait pas de Precisions et de Rickenbakers, ce serait une Stingray qui remporterait la licorne. Mais si cette Schecter semble vraiment chouette sur le papier, que vaut elle vraiment ? Est-ce que des micros ''style Music Man'' suffit à faire le son Music Man ? Le peu d'avis que j'ai pu lire sur cette basse semble vouloir dire qu'elle touche à l'excellence, seulement si on lui change les micros (j'attendrais de savoir jouer un minimum avant ça, bien sûr).

    Alors pour information : Je suis pas encore bassiste, mais tout de même musicos confirmé (20 ans de percu et batterie), avec une courte période de cleptomanie envers les instruments de mes bassistes. Excusez-moi donc si j'ai l'air de sauter les étapes. Il s'agit donc d'une toute première basse. Je cherche la petite avec laquelle refaire ma vie, d'où le fait de vouloir trouver la perle dès le début. Pas de Squier ou d'Ibanez cheap ! Beurk ! (Avis de noob hautement pertinent !).

    Donc, que feriez-vous à ma place ? La Yamaha ou la Schecter ? L'offre de la Schecter ne va certainement pas durer longtemps !

    Dsl pour le pavé. Mais je n'écris qu'en pavés.

  6. Il y a 5 heures, manmane a dit :

    Après, un luthier sympa et honnête ne devrait pas te prendre grand chose non plus, c'est à priori une intervention très simple (pas besoin de toucher aux frettes ni au truss)

    +1, si on s'en tient à la photo c'est un cas de figure très simple, mais qui doit être réparé.

    Su ce genre de réparation, ce qui plombe le plus souvent la facture ce sont les retouches cosmétiques, de vernis. Ici on dirait bien que c'est une finition huilé/cirée, beaucoup plus simple à retoucher.

  7. J'ai fait celle-là en frêne brûle. Le frêne a l'avantage dans ce cas d'avoir une différence très marquée entre les veines de bois d'été et celles de bois de printemps, et quand on le brûle en surface, ça creuse et donne à mon avis tout l’intérêt de la chose, si ça reste lisse... autant teinter noir... Avec du peuplier ça restera llisse je pense. Ou alors Il y a aussi l'option plus extrême, de vraiment brûler plus qu'en surface et ronger la forme. Quoiqu'il en soit ça se fait facilement au chalumeau type lampe à souder, enfin facilement... c'est en fait pas si simple d'être homogène, mais en y passant un peu de temps c'est pas sorcier non plus.

    il faut savoir aussi que le bois va se rétracter pas mal, même s'il est sec, j'ai dû reprendre les cavités micros après le brûlage.

    Ensuite, passage à la laine d'acier pour virer la couche pulvérulente, un coup d'huile pour être sûr de bien fixer la poussière qui pourrait rester, lustrage au chiffon et hop.

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  8. Le 18/07/2018 à 10:06, BassMatt a dit :

    Va à plein de jams, parle aux autres musiciens, va à leurs concerts, propose toi sans être lourd, mais pour qu'ils sachent que y a un bassiste sympa qui est motivé et qui joue bien, un jour quelqu'un aura besoin de toi et t'appellera, et si tu fais bien le taf ils te rappelleront et en plus parleront de toi à leurs potes et collègues.

    Le plus important dans ce métier, peut-être plus que la musique, c'est d'être pro à tous les niveaux: Soit cool, facile à vivre. Pointe toi à l'heure à toute les répèts, en ayant bien préparé tout le répertoire, ai du bon matos fiable pour pouvoir assurer.

    Bonjour, intéressante cette discussion. Je ne suis pas musicien mais luthier, et à ce titre voit passer beaucoup de musiciens, des amateurs, des pros, des amateurs qui aimeraient ne faire que ça, des amateurs qui surtout veulent garder la musique uniquement en loisir, des pros qui galèrent, des pros pour qui tout va bien, etc...
    J'en rajoute une couche sur ce que dit BassMatt, si je regarde ceux de ma clientèle qui bossent, qui ont des dates (que ce soient des amateurs avec un autre boulot ou des pros), le point commun ce n'est pas le niveau, il y en a des très bons mais aussi des qu'on pourrait qualifier d'éternels débutants ou encore des qui sont très bons dans un créneau mais à l'ouest ailleurs (et qui le savent). Le point commun c'est la fiabilité, ce sont tous des gens avec qui il est sympa de bosser, qui tiennent leurs engagements, qui se pointent à l'heure, etc... ça parait évident à certaines personnes qui par nature ou éducation ont toujours fonctionné comme ça mais crois moi, ce n'est pas une généralité dans la population, qu'elle soit musicienne ou non. Et c'est souvent ça qui fait la différence.
    Il y a aussi l'aspect social, comme dans tous les boulots où on dépend aussi un peu de l'envie des autres, il ne faut pas trop être "ours" ou asocial, là aussi ça peut paraître une évidence mais manifestement ça ne l'est pas pour tout le monde.
    Et pour les diplômes, c'est certainement un atout pour donner des cours mais pour le reste je pense que tout le monde s'en moque.

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  9. Le 03/01/2018 à 12:57, bajito a dit :

    . Il y a la place pour le marché de la lutherie à Paris, c´est sûr. Sauuf que les luthiers aiment être en dehors de Paris, pour des questions évidentes de coût et de place.

    C'est vrai que les luthiers sont peu nombreux à Paris, en proportion de la population,  au contraire d'autres régions où ils sont par endroits trop nombreux. En cause comme tu le dis le coût exorbitant du foncier mais pas seulement. Si on veut faire autre chose que de la petite réparation et entretien, il faut un peu d'équipement bruyant et plus ou moins polluant (que ce soit à cause des poussières ou des vernis), type rabot/dégau, scie à ruban, cabine de vernis, ce genre de choses. Et les normes à Paris sont devenus draconiennes  et très dures à respecter pour un atelier de lutherie "complet", contrôle du bruit, de l'émission de poussières, des horaires, etc... Il ne reste quasiment plus d'artisan à Paris. Même le Faubourg Saint Antoine, pourtant haut lieu historique du travail du bois, n'a plus vu un copeau depuis bien longtemps.
    Ajoutons aussi que bon nombre de luthiers ont la fibre plus "rurale" que "citadine".

  10. Ça parle beaucoup de bidouilles mais il faut le rappeler, il y a des distributions Linux qui sont parfaitement clef en mains et parfaitement stables. Mint par exemple et pour parler de celle que je connais mais il y en a d'autres je suppose.

    Avec Windows, soit on l'a déjà installé avec un PC qu'on vient d'acheter et en plus de manquer des trucs (un décompresseur par exemple, ou un lecteur de PDF, ce genre de choses) il y en a toute une tripotée dont on a rien à faire et qui sont le plus souvent des versions d'essais limitées dans le temps si on achète pas la licence. Ou alors on fait une installation "sèche", à partir d'un ISO ; là on a que le minimum windows mais du coup là aussi faut rajouter des trucs.

    Avec Mint, une fois l'installation effectuée (pas plus compliqué qu'installer Windows, tout en interface graphique), on a tout ce qu'il faut. Même des logiciels un peu sophistiqués genre Gimp (bon, je trouve que c'est de la merde Gimp, mais il y en a qui aiment). Accessoirement le système de mise à jour est bien mieux pensé que sur Windows. Si à une époque j'ai bien aimer bidouiller les ordis ça n'est plus le cas depuis bien longtemps, aujourd'hui tout ce que je demande à un ordi c'est d'être un outil pour faire des trucs qui ne sont pas de l'informatique à proprement parler, je ne veux plus mettre les mains sous le capot. Et pour ça Mint c'est parfait, c'est même plus simple et au moins tout aussi efficace que Windows tant qu'on ne veut pas utiliser de logiciels un peu pointus et les utiliser vraiment (par exemple ne pas utiliser Photoshop juste pour recadrer et redimensionner ses photos).

    Pour 80% de la population, Linux ça pourrait être vraiment ce qu'il leur faut.

  11. Le 20/11/2017 à 16:17, lejimi a dit :

    Ben… Linux on bidouille si on a envie de bidouiller. Autrement on touche à rien et ça marche !

     

    Tout à fait. Les distribution Linux  orientées grand-public n'ont aujourd'hui plus grand chose à voir avec ce qu'elles étaient il y a encore 10 ans. Il y en a qui sont réellement clef en main et très stables (je pense à Mint en particulier que je pratique mais il y en a probablement d'autres). J'ai été en full linux (sans dual boot et même sans émulateur ou machine virtuelle) pendant 7 ans, avec Mint et très franchement, pour celui qui a un usage "tout venant" de l’ordinateur, à savoir navigateur web/messagerie/bureautique/visionnage de vidéo/photo basique, c'est à dire 80% de la population en fait, et bien ça fonctionne très bien et c'est beaucoup plus simple que Windows parce que VRAIMENT clef en main.

    Par contre, dès qu'on a besoin d'être un peu pointu dans certains domaines, on se retrouve vite à utiliser des logiciels impossibles à faire tourner sous linux. J'ai fini par prendre un deuxième ordi rien que pour y avoir W10 (bon, je pourrais de nouveau faire un dual boot mais je n'arrive pas à installer Mint sur le nouveau) et utiliser un logiciel de traitement photo. Parce que non, les équivalents linux à Lightroom/DXO/Photoshop et compagnie, ne sont vraiment pas au même niveau. Accessoirement, puisque j'ai de nouveau Windows je me suis remis à jouer un peu à l'ordi, je peux pas dire que ça me manquait mais enfin c'est sympa quand même.

    Un truc m'a surpris avec ce nouvel ordi, sous W10 donc... c'est que W10 bin il est pas mal du tout... bien meilleur que les précédentes moutures. Et à mon avis ça va mettre un sérieux frein à la diffusion de Linux dans le grand public.

  12. il y a 55 minutes, attya a dit :

    Au fait, qu'est devenu Jim Harley, quand ont-ils fermé boutique ? Ça s'appelle comment maintenant si ça existe encore ?

    Ah purée, je viens de me rendre compte que j'ai confondu Jim Harley et Harley Benton... J'édite mon message au-dessus.

    Les premiers instruments premier prix mais de qualité honorable je les ai vu arriver vers le début-milieu des années 90, d'abord Yamaha avec ses Pacifica (guitares très honnêtes, malheureusement un peu moches), en basse il y avaient les Washburn, qui n'étaient pas vraiment des premiers prix mais qu'un lycéen ou un étudiant pouvait se payer avec un petit boulot d'été d'un mois. Après, au début des années 2000 il y a eu l'arrivé des Cort, qui franchement en donnaient largement pour ce que ça coûtait.

    Et oui, avant donc le milieu des années 90 les premiers prix c'étaient toujours des grosses merdasses.

    Quand au son, chacun est libre d'apprécier l'un plutôt que l'autre, indépendamment de la qualité et du prix de l'instrument. Mais reste que la qualité de fabrication et des matériaux est un paramètre important sur la durée. Et c'est souvent surtout là que se fait la différence.

  13. En tant que luthier, j'en vois passer régulièrement depuis pas mal d'années des Jim Harley (edit, j'ai confondu avec Harley Benton). Et je dois dire que ça s'est amélioré. Autant il y a quelques années c'était vraiment pas terrible du tout*, autant dernièrement j'ai été surpris en bien par des instruments qu'on m'a amené. Bon, ça reste du Jim Harley Harley Benton, je ne suis pas en train de dire que ça vaut plus que ce que ça coûte et bien sûr il vaut mieux les faire régler convenablement mais c'est mieux qu'il y a 10-15 ans.

    *Et les plus de 35-40 ans savent que les instruments premier prix d'aujourd'hui sont d'une qualité sans commune mesure avec les premier prix des années 60-70-80 et même début 90 qui étaient souvent des trucs à te dégoûter de la musique...

  14. Attention pour la dégau/rabot, une qui prend du 50cm de large ça existe mais c'est pas très courant, la plupart de celles qu'on croise dans les ateliers de menuiserie tourne plutôt autour de 40cm.

    Pour revenir aux fournisseurs, tu peux en trouver plein en France qui vendent des plateaux, pas besoin d'aller en Allemagne, mais tu risque fort d'être obligé d'en prendre un en entier (qui te coûtera pas loin du même prix qu'un morceau de plateau).

    Dans l'Est tu as une filiale de Peltier Bois à Épinal, entre autres et pour parler d'une boite que je connais.

  15. Ah, j'avais pas vu les dimensions recherchées. 100x50x5cm, c'est ça ? C'est pas très grand et les marchands de bois massif risquent de t'envoyer balader si tu leur demande juste un morceau de plateau. Cela dit il y a pas mal de bois exotiques dits précieux qui ne sont pas de grands arbres et dont on peut donc trouver des plateaux dans ces dimensions, mais c'est du bois "précieux", et le prix est en conséquence. Pour ça tu peux contacter des boites comme Les fils de Georges à Bagnolet ou Marechaux .

    Une adresse en Allemagne qui peut être pas mal pour ces dimensions, faut les contacter : https://www.designholz.com/category/Solid-Wood

    Et sinon, les marchands de matériau ont en général des plateaux de différentes essences, domestiques comme exotiques.

  16. Il y a 1 heure, redcarp a dit :

    lasemainesanglante qui est luthier et qui intervient sur ce forum a un stock de bois brut et en vends régulièrement. Ca vaut peut être le coup de le contacter.

    Merci d'avoir pensé à moi mais si en effet j'achète mon bois en massif et en revends des débits je ne vend pas de plateaux bruts.

    Dans quelle région es-tu Jan ? Des marchands de bois, exotiques et domestiques,  il y en a dans à peu près chaque région. Par contre effectivement ce sera du plateau brut de scie. Pour en faire ce que tu veux il te faudra un peu d'huile de coude à défaut d'avoir de l'outillage adapté.

  17. Bonjour à tous, je suis le luthier chez qui se trouve cette basse. Je préfère ne pas mettre d'autres photos (si le propriétaire le souhaite il le fera lui-même). A vrai dire je ne doute pas de l'authenticité de ce manche ni même de son âge. Et 1968 ça correspond à ce que m'avait dit le propriétaire, il m'avait dit 1971 mais c'était sans doute l'année où il l'a acheté (et puis peut-être qu'il se trompait d'un ou deux ans, c'est que ça commence à dater).

    Ce qui me surprend c'est ce numéro et surtout son emplacement, et il n'y a rien à la place habituelle du tampon de manche.

  18. Il y a 3 heures, phebert a dit :

    ça commence à avoir des impacts -

    Il parait qu'il y a eu en 2017 une baisse de 20% des ventes de certains instruments (guitares/basses pour l'essentiel), imputable à cette nouvelle réglementation...

  19. Si tu as eu un très bon résultat c'est parce que quelqu'un est passé derrière pour ajuster.

    Je le redis, la Plek à elle seule ne garanti pas un super résultat, il faut repasser derrière et de manière plus ou moins traditionnelle pour bien faire. Une Plek et pas de luthier derrière, le résultat est mauvais (et peut-être bien qu'il y a quelqu'un chez Thomann qui repasse derrière hein,  je ne dis pas le contraire). Son seul intérêt est de faire gagner du temps à l’atelier qui procède à l'opération (et pas suffisamment pour justifier l'investissement, très élevé, pour un atelier artisanal à mon avis mais c'est pas le problème du client). Ne pas oublier non plus le réglage qui ira avec, une planimétrie impeccable et un mauvais réglage, ça ne sert à rien.

    Maintenant, pour ceux qui veulent absolument en passer par cette machine et bien allez à Orsay plutôt qu'en Allemagne.

  20. Euh oui, là c'est vraiment n'importe quoi...

    Sachant qu'un refrettage bien fait implique nécessairement une planimétrie et que la touche est toujours contrôlée et rectifiée si nécessaire  (et c'est toujours inclus dans le prix), envoyer son instrument en Allemagne pour un refrettage + changement de sillet et payer 436€ (plus les frais denvoi) alors que la quasi totalité des luthiers français font la même chose pour presque deux fois moins cher... sérieux, les bras m'en tombent.

     

    PS : Tiens, je l'avais oublié mais ça me rappelle qu'il y a deux ans à quelques jours près j'ai mis ça à ce sujet sur la page fb de l'atelier.

     

  21. Il y a 2 heures, Djooh a dit :

    Il me semble que le terme planification est souvent utilisé mais est une erreur de langage, on dit planimétrie, juste au passage, si les luthiers présent peuvent confirmer, on en ressortira tous que mieux informé :)

    En effet, beaucoup de gens, et en premier lieu des luthiers, disent planification alors que le terme est impropre (enfin les luthiers disent plus volontiers "planif").

    Pour ma part après l'avoir employé pendant longtemps, depuis quelques années j'essaye de me forcer à dire planimétrie, mais les vieilles habitudes resurgissent parfois...

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