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Quelle Basse Dans Rapper's Delight?


Jacques Daniel

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Oui je viens d'écouter les deux et j'ai tout d'abord pensé à une histoire de pitch puisque la légende veut que ce soit le sample de Chic. Pourtant, si la version studio de Chic est au même tempo et au même pitch (en E) ce n'est pas la même basse et pas le même jeu... le sample provient peut être d'une autre version du Good Times de Chic... Je retourne fouiller le net !

Edited by LowlO
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les moyens de quoi ? De payer pour un sample ? Ca ne se faisait pas à cette époque...

Je suis d'accord pour la PB.

une autre version de rapper's delight. Et là, ça ressemble plus à l'original...

Plus d'info sur la page youtube de la video

Edited by LowlO
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Chip Shearin said in a 2010 interview that at age 17, he was visiting a friend in New Jersey. The friend knew Robinson, who needed some musicians for various recordings, including "Rapper's Delight". Shearin's job on the song was to play the bass for 15 minutes straight, with no mistakes. He was paid $70 but later went on to perform with Sugarhill Gang in concert before backing up such artists as Janet Jackson and Marion Meadows as well as composing movie scores and teaching the business of music on the college level. Shearin described the session this way:

The drummer and I were sweating bullets because that's a long time. And this was in the days before samplers and drum machines, when real humans had to play things. ... Sylvia said, 'I've got these kids who are going to talk real fast over it; that's the best way I can describe it.'[5]

Wang said:

There's this idea that hip-hop has to have street credibility, yet the first big hip-hop song was an inauthentic fabrication. It's not like the guys involved were the 'real' hip-hop icons of the era, like Grandmaster Flash or Lovebug Starski. So it's a pretty impressive fabrication, lightning in a bottle.

Wikipedia

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Comment ça y'avait pas de sampler à l'époque ? Un Fairlight c'était trop cher je peux comprendre mais le Mellotron par exemple était largement capable de sampler une ligne comme ça.

A l'époque de Good TImes je pense que Bernie Edwards était encore sur Jazz Bass mais tout est possible. On parle d'un temps où les gens prenaient le temps de bien trifouiller le son.

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Le truc, c'est que le studio où ils ont enregistré n'était pas équipé de sampler. C'était donc moins cher de payer un mec 70$ pour une session de 15 minutes de rang, sans pain...

Edit : oubliez pas de replacer tout ça dans le contexte : musique urbaine, de rue, jouée par des mecs peu ou pas friqués du tout… Et enregistrée à l'arrache avec les moyens du bord. L'équivalent noir-américain du punk anglais 77 et du hardcore DIY des petits blancs de Washington ou de New-York.

Edited by Piedo
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Oui Piedo, tu as raison dans ta description du hip hop de l'époque... J'avais pas capté que c'était en 79 l'histoire et les sampleurs étaient pas dans tous les home studio comme aujourd'hui !

Sinon, quelqu'un pourrait me dire ce qu'est l'espèce de pb inversée sur la deuxième vidéo du Freak svp ? Et si vous pouviez me dire ça rapido ça serait bien, j'ai rencard avec la chanteuse déguisée en zèbre... Elle m'attend dans la voiture :lollarge:

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