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wonderbro

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  1. Cette basse est magnifique, dans tous les sens du terme. J'ai la même, en gaucher et, sans même parler de l'aspect esthétique, les Rick Walnut /érable ont un truc que les traditionnelles 4003 n'ont pas : Plus de punch, un grave plus franc et profond, légèrement moins de rondeur... Pour moi, c'est simple : 36 ans que je joue, un certain nombre de basses me sont passées dans les mains, dont quelques superbes engins, mais il m'en reste finalement 2 que je ne revendrai pas, dont la frangine gauchère de celle ci.

    Contrairement aux idées reçues, aux doigts, elle est fantastique de chaleur vintage et de définition. Au médiator, avec un peu d'overdrive ou de disto, c'est une pure merveille. Encore une fois, contrairement aux idées reçues, cette basse ne marche pas que pour du rock, on peu tout faire avec.

    @ThomasD Il s'agit effectivement d'une basse/marque à part. Il y a d'abord le look Rick, qui n'a pas bougé (ou très très peu) depuis la création de ces basses. En terme de son,  il y a également un grain unique, très particulier. Personnellement, je ne suis pas fan du son des 4001 (sur cette 4003, tu peux switcher du son 4001 au son 4003, ce qui est est vraiment un plus) mais le son 4003 est vraiment quelque chose d'unique. Les Rick sont des basses qui étaient très en avance sur leur temps (Les premières en manche conducteur, les premières également à proposer la possibilité de s'amplifier en stéréo) et qui ont certains défauts connus, mais que leurs qualités compensent très largement. A titre d'exemple, j'adore le manche de ma 4003.

    En résumé, cette version de la 4003 est une vraie et franche réussite. Tout à fait le genre de basse qui peut être la basse d'une vie.

    @neurosis sorry pour le pavé, mais je suis très fan :wink:

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  2. Le 31/01/2020 à 14:01, Cagneu a dit :

    AFFAIRE !

    J'offre en sus de la table un porte-clé Ford ! (Il allait avec ma Focus, et franchement, il est bien)

    C'est con , c'était un Citroën, je te prenais la table : J'ai le C3 Picasso , mais j'ai pas le porte-clé.

    Ceci-dit, J'ai eu l'occasion de travailler avec 2 différentes consoles de chez Soundcraft, et elles sont de loin celles que je préfère en analogique. C'est très intuitif, ça sonne vraiment très bien, et la réputation de matos  bien costaud n'est pas usurpée.

  3. Quelques news :

    On commence par du bon Math Rock pas prétentieux et plutôt très bien fait : Je ne saurais d'ailleurs, pour leur merch' de concert, de se munir abondamment en slips Léotard,  il vont faire fortune...

    Un nouvel album de Greg Dulli, de Afghan Whigs, à sortir :

     

    Et puis Dewaere, dont l'album est sorti récemment, mais que j'ai raté : Il faut dire que dans mon Auchan, ils n'ont pas su faire faire face à la demande, ils ne l'avait plus en stock.

     

  4. Je suis très très très, mais vraiment très fan de Johnny Cash.

    Je connais quasi par coeur les dialogues de l'épisode de Columbo qu'il a tourné, c'est dire... Non, je déconne.

    Mais par contre, je suis vraiment très fan et il a vraiment tourné dans Columbo.

    Le coffret Cash Unearthed est indispensable dans toute discothèque : Sinon, c'est qu'il s'agit d'une collec' de skeuds de hipster qui bosse dans le marketing qui mérite seulement d'être brûlée ( la collec', pas le hipster, on n'est pas des boeufs, quand même)

  5. Finalement, comme à part @Mister K et moi, je ne sais pas qui participe, je poste mon top album de la décennie.

    Je n'ai pas pu faire de top 10, Parce que tous ces albums sont indispensable. Un top 50 pour 10 ans de musique, ça me semble finalement pas mal, ça fait une moyenne de 5 par an, ce qui est déjà bien moins que ce que j'achète par mois. Ils sont classés comme dans dans ma discothèque, c'est à dire par ordre alphabétique, à part quelques exceptions (les Moore et Ranaldo sont rangés avec les Sonic Youths, par exemple). Il y a un album de la décennie, je vous laisse découvrir lequel....

     

    The apartments : No song, no spell, no madrigal

    Il a failli être mon album de la décennie. Merveille pop, ce one man band est sans égal. Beauté et mélancolie irradiante.

    Boards of Canada : Tomorrow's harvest

    Chacun de leurs albums est un délice intemporel, celui-ci ne fait pas exception. Electro hyper inspirée et planante.

    Jacco Gardner : Hypnophobia

    Petit génie pop, il rend hommage brillamment et magnifie la musique des 60’s et des 70’s.

    Camera : Radiate

    Néo Krautrock? Fondamentalement indispensable à tout fan de Neu.

    Kadavar : Abra Kadavar

    Tu aimes Black Sabbath? Leur son rugueux t’a marqué la gueule, et tu n’en a pas eu assez? Kadavar. Ça joue, c’est lourd, tu as 17 ans pour toujours, et tu kiffes les pattes d’eph.

    Claypool Lennon Delirium : Monolith of Phobos

    Longtemps, le mot « prog « m’a filé la chair de poule. Cet album fait vraiment partie de ceux qui m’ont radicalement fait changé d’opinion. Une écoute par semaine au minimum.

    Allah-Las : le 1er éponyme

    Leur 4 albums sont excellents, mais il fallait en choisir un. Tu viens de faire une super session VTT ou skate avec tes potes, tu es en terrasse devant une pinte archi fraîche face à la mer, le soleil resplendit et la soirée s’annonce radieuse? Ecoute les Allah-Las.

    Beak : 3

    Encore un album pour fans de Krautrock. Les 3 albums sont sans fautes, celui-ci est juste moins minimaliste et plus orchestré et accessible. Musique très immersive.

    David Bowie : Black Star

    On ne peut rêver meilleur album pour clore une vie. Une sorte de monument indéfinissable, unique pour un artiste unique. 

    Nick Cave : ghosteen

    Magnifique et profond. À écouter seul et dans le noir.

    Jay Mascis : several shades of why

    En solo, il est bien meilleur, de très loin même, que sur les derniers albums de Dinosaur Jr. Il y a du Nick Drake chez Jay Mascis, et c’est très bon quand il se décide à le montrer.

    Fidlar : debut lp

    C’est très punk, c’est brut, C’est jouissif comme une montée de speed.

    fleet foxes : helplessness blues

    Les Beach Boys font de l’Americana. 2 univers qui se télescopent à merveille, sans faire d’étincelles, seulement un grand disque.

    Fontaines DC : Dogrel

    Succès hyper mérité. Un des tous meilleurs albums anglais de ces dernières années.

    forever pavot : ?

    J’hésite entre « La pantoufle «  et « rhapsode ». Peu importe, choisissez. De la pop à l’ancienne, de la pop d’artisan, un hommage aux grands maîtres de la musique de films. A ce niveau là, on a un pied, voire les 2, dans la virtuosité.

    Future of the left : Travels with myself and another

    La suite de McClusky. La brutalité en finesse, une sorte de quadrature du cercle. Et un son….

    Gallon Drunk : The road gets darker from here

    Je les adore, depuis longtemps. Il me font penser à mes potes, ils pourraient être mes frangins. Une forme d'absolu rock'n'roll.

    Grinderman : le 2

    Sauvage, brut. J’y reviens en permanence. Comme on reviendrait à Birthday Party, c’est à dire indéfiniment.

    PJ Harvey : The Hope 6 demolition project

    Ai je besoin d’argumenter? Un top album sans Pj Harvey? Hein?

    Idaho : You were a dick

    Libération avait titré, dans un article sur eux : «  la perle la mieux gardée de la pop ». C’est exactement çà. On n’est jamais très loin de Sparklehorse.

    Idles : Brutalism

    Le chainon manquant entre Jesus Lizard et McClusky, 2 groupes que je vénère.

    The Jon Spencer BE : Meat + bone

    Des couilles, du sang, du rock’n’roll. On y revient toujours.

    Hanni el Khatib : Moonlight

    Un outsider que j’apprécie vraiment beaucoup. C’est vraiment très bon.

    King Gizzard & the LW : Gumbot Soup / Flying microtonal bananas

    2 albums hyper différents pour ces virtuoses du changement, à vous de voir . Certainement l’un des groupes les plus inventifs de la décennie passée. Déjà, faire du garage en microtonal, c’est juste énorme.

    Last ex : Last ex

    2 musiciens de Timber Timbre sortent un disque, et c’est vachement mieux que Timber Timbre. Un très gros classique dans ma discothèque.

    Mad river : Shining

    La voix de Kim, la fraîcheur des compos. Parfait disque de rock made In France qui collerait une trempe aux ricains. Et un des disques préférés de mon fils.

    Massive Attack: Heligoland

    Bien plus abouti que le précédent, il renoue, en faisant encore une fois la preuve de leur talent sans égal, avec leur grandeur passée.

    Midlake : Antiphon

    Un phare dans la pop. Splendide. Ce groupe est bien trop méconnu, c’est vraiment une injustice.

    Bob Mould : Beauty and ruin

    Sa constance force le respect. Il ne se passe pas une semaine sans que j’écoute un disque sur lequel il figure, et celui-ci est particulièrement réussi.

    The Notwist : Close to the glass

    Chacun de leurs albums est différent, des anti-Ramones, en quelques sortes. Bientôt 30 ans qu’ils sont là, avec quelques perles à leur actif, dont cet album. Si vous êtes curieux, allez jeter une oreille à leurs projets parallèles, comme Console (le live à Beaubourg est magique) ou Lalli Puna.

    Thee Oh Sees : Smote reverser

    Dur, très dur d’en choisir un seul, mais c’est Smote Reverser qui a gagné.

    Oxbow : Thin black Duke

    Chef D’oeuvre. Il est l’album de la décennie, pour moi.

    Mike Patton : Mondo Cane

    Splendide hommage à la musique italienne des 60’s. Indispensable à tout fan d’Ennio Morricone (dont je suis).

    Primus : Green Naugahyde

    Un disque de bassiste. Il en fallait un, et celui-ci est vraiment très bon. Plus j’y reviens, plus je l’aime.

    The sea and Cake : Any day

    Je suis certainement l’un des plus grands fans de the Sea and cake sur cette planète, donc impossible qu’ils ne figurent pas dans ce top. J'ai mis leur dernier album par défaut.

    Michael Head & the Elastic band : Adios Señor Pussycat

    L’injustice qui entoure la carrière de Michael Head me débecte. Cet album est une merveille, comme pratiquement tout ce qu’il a fait, et j’emmerde ceux qui ne sont pas d’accord.

    Shellac : Dude Incredible

    Le Shellac de la décennie. On retrouve pas mal des points (poings?) qui m’avaient fait tomber en adoration de At Action Park, ça suffit pour qu’il figure dans mon top de la décennie.

    Slowdive : Slowdive

    Cet album est superbe, il est très rare que j’accroche à un album de come back, mais il s’agit là de leur album que je préfère.

    Lee Ranaldo : Electric Trim

    Au début je voulais prendre Between the times & the tides, mais j’ai fini par choisir son dernier en date. Lee est, à mon avis, l’âme guitaristique de Sonic Youth et il s’en affranchit avec virtuosité sur cet album.

    Thurston Moore : Demolished thoughts

    Dans le tirage de bourre post Sonic Youth auquel se livrent Thurston et Lee, il n’y a pas de gagnant, exceptés nous. En voici encore une preuve.

    Sparklehorse & Danger Mouse : Dark night of the souls

    Parce que Mark Linkous me manque, parce que je n’aurais plus jamais le plaisir de décellophaner son nouvel album avant de le glisser avec gourmandise sur la platine. Et puis parce que c’est le seul qui soit sorti durant cette décennie.

    Laetitita Sadier : Find me finding you

    En cette sordide période que nous vivons, ce disque fait fondamentalement partie de ceux qui te réconcilient avec le genre humain, et il n’y en n’a pas tant que çà. Pop lumineuse.

    Le super homard : Meadow lane park

    Superbe album. C’est ensoleillé, c’est frais. J’ai envie de rouler en Alfa Roméo Giulietta Spider décapotée,  en bord de mer et avec mon amoureuse, quand j’écoute cet album.

    Tahiti 80 : The past, the present & the possible

    Pop, brillant, un sans faute. Inconnus en France, des stars au Japon. Va comprendre, Charles. Le général avait peut-être raison : Les français sont des veaux.

    Tame impala : Inner speaker

    Le retour du Psychédélisme par la grande porte. Album splendide.

    Tomahawk : odd fellows

    Ce n’est pas mon préféré d’eux, mais je suis immensément fan de ces musiciens. Ils pourraient chier dans un pot de chambre et s’enregistrer, ce serait encore très au dessus de la mêlée.

    We insist : Wax and wane

    Ce groupe est un des 3 ou 4 meilleurs groupes français en activité à l’heure actuelle. Plus ils avancent dans leurs albums, meilleur c’est. Achetez- le. J’insiste.

    Wire  : Change becomes us

    Parce que Wire restera à tout jamais une référence inamovible pour moi.

    Githead  : Waiting for a sign

    Comme du Wire bis, en différent et en tout autant indispensable.

    Yo la Tengo : There’s a riot going on

    C’est comme Bob Mould, ce sont de trop vieux compagnons, ils doivent figurer dans cette liste. Le dernier album est un très bon cru.

  6. J'aime beaucoup le Sony MDR 7506.

    https://www.thomann.de/fr/sony_mdr7506_kopfhoerer.htm

    J'ai le mien depuis environ 20 ans : Je l'avais acheté parce que c'était une référence que j'avais vu dans chacun des studios d'enregistrement dans lesquels j'étais allé, je le connaissais donc bien.

    Ce n'est certainement pas le plus spectaculaire, ce n'est pas non plus celui qui va faire les basses les plus énormes, mais il est idéal pour enregistrer et mixer. On peut le garder des heures sur les oreilles sans aucune fatigue auditive, il est vraiment confortable.

    Le mien a pas mal vécu, j'ai changé deux fois les mousses, mais il marche comme au premier jour.

  7. @Mister K je te recommande fortement de jeter une oreille attentive à la carrière solo de Harry Nilsson, à commencer par le génial Nilsson Schmilsson. Il a écrit et interprété certains des sommets de la pop de ces années là.

    @Kolia super groupe sur disques mais également en live, 22 Pistepirrko. J'ai beaucoup écouté.

    Alors, pour le top 10 de la décennie, ça nécessite une sacrée réflexion, pour ma part; mais je relève le défi.

    Ce qui serait rigolo, ce serait que tous les participants se préviennent quand ils sont prêts, afin de poster tous quasiment en même temps afin de ne pas s'influencer mutuellement....

  8. Le 07/06/2019 à 16:35, Vsoleil a dit :

     

     

    Pure ligne de basse vraiment interprétée magistralement, pur feeling rap old school comme j'adore, plaisir évident de jouer, sans parler du sens de l'humour hyper communicatif du gars.

    J'adore. J'ai dû regarder cette vidéo au moins 8 fois.

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