Basstyra

Comme quoi je suis pas le seul... Apparemment, on ne critique pas mon cul impunément...

Alors bon, moi là maintenant, c'est le matin, ça me fait sourire doucement, et puis l'idée à la base du sujet est sans doute louable, alors on va pas recommencer à s'engueuler pour rien

EDIT : Et puis je pense que je vais finir par appliquer les conseils de je sais plus qui, remplacer "la crise" par "mon cul" ou autre expression fleurie. C'est la faute à mon cul, c'est quand même plus marrant ! D'ailleurs ça commence maintenant !

Y sont cons, ces auteurs !!

Désolé, mais non. C'est même pas que je ne considère pas ta requête comme acceptable, c'est juste que je suis comme ça : parfois, il faut que je dise les choses directement, dans un ton abrupt. Ca reste des mots, faut pas trop pousser mémé dans les orties non plus, le politiquement correct a ses limites.

C'est "facile" de dire les choses directement. C'est "facile" aussi de suivre le mouvement et de dire senior plutôt que vieux. C'est "facile" enfin de juste se taire. Je ne vois guère en quoi on peut évoquer la facilité dans une telle situation... Y'aura toujours des gens pour ne pas apprécier tel ou tel discours. Et c'est même pour ça en fait qu'on les tient, si tout le monde était d'accord la question ne se poserait pas.

Pour le reste, tu ignores ce que je vis en dehors du net, merci donc de ne pas en préjuger J'ai été augmenté à la date anniversaire de mon CDI, merci de te soucier de mes finances Par ailleurs je suis de toute façon sous-payé, mais je suis dans un cas un peu spécial, entreprise toute neuve, boulot-passion, et investissement sur l'avenir, toussa... Le discours genre "de toute façon faut demander plus de fric aux patrons, ces grands méchants", j'en ai soupé, je n'y adhère pas. Il se justifie largement dans tout un tas de situations, mais pas dans la totalité. Tout le monde ne trouve pas forcément QUE l'argent pour justifier leur travail, même si c'est, on est d'accord, la situation largement majoritaire.

C'est une astuce connue. Certains mettent une goutte de vinaigre dans l'eau.

Je l'ai tenté une fois. Ca fait illusion, mais pas longtemps et pas totalement, alors j'ai pas recommencé.

Non non, tu n'es pas un crétin, tu es juste un peu sanguin. Moi aussi, au cas où ça aurait échappé à quelqu'un... Je ne peux donc décemment t'en vouloir... Surtout que c'est moi qui ai lancé le truc à la base.

Et je te rassure, si besoin est : je ne suis guère rancunier, faut vraiment me faire chier longtemps et souvent pour que je prenne quelqu'un en grippe réellement...

Et pour le sujet, j'ai voté "rien changé", comme finalement la plupart des gens. Quand j'étais étudiant, je changeais mes cordes à chaque fois que je perdais un oeil, en gros. Depuis que je bosse, j'ai toujours un jeu ou deux à la maison. Je change rarement mes cordes, au bout de un ans environ pour ma basse principale. Jamais sur mon ATK, parce qu'elle sonne mieux avec des cordes mortes. Jamais sur les autres, puisque je ne les joue presque pas.

Désolé Basstyra si tu l'a pris comme une insulte mais je ne voyais pas l'intérêt de ton commentaire déplacé sur un sujet qui ne le méritait pas et qui pouvait en heurter plus d'un.

Le ton employé était volontairement heurtant, j'ai explicité ensuite plus en détail (y'avait pas grand-chose à en dire en fait) pourquoi.

Alors encore une fois, non, je ne "nie" pas "la crise". Non, je ne me réjouis pas du malheur de ceux qu'elle frappe, de ses conséquences directes ou de ces conséquences collatérales (par le climat de frilosité ambiante créé par les faits et cette omniprésence médiatique). D'ailleurs, non, je ne me réjouis que rarement, crise ou pas, du malheur des autres. Ce que je dis tient en deux points, déjà évoques, mais explicitons encore une fois puisque cela semble nécessaire :

=> J'ai du mal à supporter tout sujet qui se voit omniprésente dans les médias pendant trop longtemps, tout support confondu. Que ça soit une crise ou une coupe du monde de rugby (pour changer d'exemple... ). L'expression s'en vide de son sens, devenant un référent unique, totalement inutile. Y'a un soucis ? C'est la crise !! Et pas la peine de se faire chier à trouver une autre réponse ni même en fait à la chercher. Ca c'est pour le fond. La forme aussi est chiante, savoir que je vais forcément tomber sur le mot "crise" dans un article sur deux dans le journal, ça m'emmerde, par principe.

Notons d'ailleurs au passage que ce sujet de l'omniprésence médiatique fait noircir beaucoup de papier, notamment chez les humoristes, preuve s'il en était besoin que le sujet intéresse plus de gens que juste ma personne.

=> Comme tu le fais remarquer, certains subissent "la crise", d'autres moins, d'autres pas, et d'autres en profitent. Que les 1ers se lamentent sur "la crise", je ne peux guère en dire quoi que ce soit. Que les second se lamentent de même, à leur propre compte, c'est-à-dire pour justifier leurs agissement vis-à-vis de leurs finances, qui en fait n'ont rien subit, ça, ça m'énerve, et je pense que c'est légitime. Je ne suis moi-même pas riche, mais je mange et m'amuse à ma faim, et justement, venir blâmer "la crise" pour dire que je ne peux pas me payer ma 5eme basse, je trouverais cela fortement déplacé. Et si je dis ça c'est que je l'ai lu, et pas qu'une fois.

C'est en effet hors-sujet, mais c'était l'occasion, le "crise" de trop si tu préfères.

Merci en tout cas de ta réponse plus constructive. Les mots peuvent parfois être violents, ils sont entre autre là pour ça, mais je pense qu'il ne faut pas s'y bloquer quand ils sont suivi d'autres. Ta longue tirade était blessante, oui, mon 1er message était choquant pour certains, sans aucun doute. Suite à une réponse plus polie de ta part, je n'ai aucun soucis à négliger le ton initiale de ton intervention vis-à-vis de moi, tout comme, je pense, les gens choqués par ma 1ere intervention pouvaient comprendre mieux le but exact de mes propos avec ce qui a suivi. Qui n'était de me moquer de personne.

Le ton agréable et posé de ton discours me pousse à vouloir continuer la discussion, mais je ne sais trop pourquoi, je ne vais pas le faire...

Libre à toi de penser ce que tu veux et de le dire en termes insultants et faux. Moi j'ai râlé ce que j'avais à râler, sur ce je vous laisse, j'ai des clodos vers chez moi qui n'attendent que que j'aille me foutre de leur gueule. J'ai aussi une mère célibataire à aller expulser et un enfant à aller manger...

Le groupe de reprise de hendrix, c'est pas vraiment l'exemple que je prendrais pour parler de l'indispensabilité d'un bassiste...

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Jouer du piano, non du synthé, permet de retrouver une part de ces sensations. Enfin en fait non, pas une part de, plutôt d'autres, mais dans l'esprit : ca vibre sous les doigts et tout autour. Et même si le contact avec la corde se fait via une touche puis un marteau, d'une manière étrange, difficilement descriptible, il y a une vraie interaction mécanique entre les doigts et la mécanique actionnée.

En passant sur un piano numérique (sans même parler d'un synthé), la chose qui me manque le plus, ce sont clairement les vibrations.

Enfin de toute façon, pour jouer la basse, je suis plus à l'aise sur une basse. Une fois sur un clavier, c'est d'autres choses qui m'attirent.

La collecte rituelle du samedi :

Dans la série Blog et cie :

Raghnarok de Boulet

Joséphine de Pénélope (oui, j'assume totalement le coté girly )

Les petits riens de Trondheim

Dans la série Intello mais pas trop, et pas vraiment BDs en fait : Le banquet de Platon illustré et commenté par Joann Sfar. Succulent...

Dans la série Alors, déjà un classique ou pas encore ? : Titeuf de Zep (j'avais du 1 au 7 sauf le 6, ça faisait tâche dans ma bibliothèque...)

Et dans la série Je sais pas... : Fennec de Trondheim et Yoann (j'aime bien les one-shot de Trondheim...)

EDIT : et après vérification, je me rend compte que je n'avais pas cité Le Chat du Rabbin de Sfar, récupéré il y a quelques temps. Le 1er tome est exemplaire, à ne pas rater

Le reste est un peu mou, les personnages introduits dans le 1er tome sont développés, mais la force n'est plus vraiment là, on retombe dans de l'histoire assez standarde. Et le dernière (tome 5, Jérusalem d'Afrique) m'a laissé un drôle d'arrière-goût : la préface est prometteuse (une histoire de parler contre le racisme) mais je n'ai pas vraiment réussi à la mettre en relation avec ce que j'ai trouvé ensuite dans la BD.

Est-ce tu pourras nous faire un sample ou deux du SH-101 ?

J'essayerais de faire ça dès que j'aurais déménagé.

Basstyra, c'est une manie ou un challenge que tu t'es fixé ?

Non, c'est que quand des choses m'emmerdent, j'aime en faire part. Ca permet d'en discuter. Mais ej te rassure, je ferme ma gueule sur un bon paquet d'autres sujets

Ce que tu dis n'entre guère en contradiction avec ce que je dis pour ma part.

Big : ce que je pointe ici, c'est une différence de proportions. Voir des gens se plaindre de "la crise" sans réellement la subir, c'est ça qui m'énerve. Compatit pour ceux qui sont touchés, c'est une chose, lancer "la crise" à tord et à travers, reprise à son propre compte, quand on ne la voit qu'aux infos, s'en est une autre.

Que certains secteurs de l'économie soit touchée, je n'en doute pas. Que les gens soient devenus frileux, à télévision tord ou à raison, c'est un fait visible.

N'empêche que pour beaucoup de gens, ça n'a pas réellement d'impact sur la vie quotidienne, sauf celui qu'on veut bien lui donner. Et ça, ça m'énerve un peu, suffit en quelque sorte qu'on dise que "c'est la crise" pour que, effectivement, ça soit la crise.

Si on ajoute le coté systématique du mot, qui à lui seul me donne des envies de meurtres... Y'a pas moyen d'ouvrir le moindre médium sans être averti que "c'est la crise, ma bonne dame..." Je n'aime pas plus cette propagande que celle me matraquant que "c'est la coupe du monde de foot".

Alors oui, y'a pas mort d'homme, toussa, mais de temps en temps ça fait du bien de gueuler sur ce qui énerve, et je vous emm***e !

Et pour Lilic : t'as pas plutôt un pneu à aller changer, par hasard ?

(il a fait pas mal d'années de taule au mexique avant de devenir acteur)

Alors ça, c'est tellement gros, dans le genre légende urbaine, que ça pourrait même bien être vrai !!

Qui ici a réellement pâti de "la crise" ? (il y en a sûrement, mais combien ?)

Moi perso, je n'ai pas perdu mon travail, mon salaire n'a pas baissé, mon loyer a augmenté dans les proportions normales, mon budget bouffe-essence-électricité-internet-etc... n'a pas bougé.

Et je n'avais pas d'actions Lehman-Brother.

Ca commence à être un poil pête-burne cette histoire, tomber sur le mot crise toutes les 3 pages du net...

Actuellement je lorgne sur un budget de 500€ à tout casser (les KRK RP8 seules). Le reste ça sera plus tard.

Comme mes ESI viennent de se vendre, ça va devoir se décider vite...

Très bon, Don Rosa, très bon !

J'ai un Roland SH101 que j'aime beaucoup. Et bien sûr mon Nord Stage, qui a moins de mojo en terme de synthèse, mais qui sonne d'enfer quand même.

Mais au final, pour jouer des lignes de basse, je suis plus à l'aise sur une basse.

l'alimentation du préamp vient du potentiométre de volume géneral de la basse

Non, l'alimentation du préamp vient de la pile (fil rouge, normalement). Ce qui vient du potard de volume c'est le signal.

Ca serait peut-être bien que tu fasses un petit topo complet sur l'état actuel de ta basse, parce que après tu parles "du Bartolini", et "d'un potard", et on ne voit pas vraiment à quoi ça correspond...

Au pire si après déconnection du préamp la basse sonne moins fort, qu'est-ce que ça peut bien faire ? Tu augmenteras le gain sur ton ampli et c'est tout. Le volume sonore n'est pas lié directement à la qualité sonore...

Pourquoi donc est-ce que ca dégraderait ton son ?

Waoh...

- je veux plus m'ennuyer avec des piles.

- je trouve que le préamp de ma bass n'est pas génial.

- j'ai une basse avec de bon bois et j'aimerai un son un peu plus "naturel"

- J'aimerai que les réglages de mon ampli soient plus présent (pas modifié par rapport au préamp en amont)

C'est des mauvaises raisons?

Les deux premières, non, clairement.

La suivante, pourquoi pas.

La dernière, bof. Si tu laisses les contrôles à midi, il n'y a guère de raisons que les contrôles de ton ampli changent réellement.

Sandman : un micro standard, ça n'est guère prévu pour ci ou ça. C'est un composant, qu'on insère dans tel ou tel montage, basta. Il existe des micros un peu spéciaux mais ils sont à la marge de la production.

Passer en passif, supposant que le préampli n'apportait pas de gain, fera rarement baisser le niveau. Sauf à utiliser un câble tout pourri et un ampli avec une impédance d'entrée trop faible, mais bon...

Mettre les potards d'une basse active à midi fait que ces corrections d'EQ sont à midi. Ca ne veut pas forcément dire qu'elles sont inactives, ni qu'il n'y en a pas d'autres appliquées sans potard... A mon sens, oui, un bon préampli, avec ses contrôles à midi, ne doit pas du tout s'entendre (c'était le cas de ma Vigier Arpège), mais c'est loin d'être une généralité. De plus, on peut de toute façon assez facilement entendre la différence d'impédance qui se produit quand on le bypasse (en général ça se traduit surtout par un souffle qui se déplace en fréquence, et un rendu un peu différent dans les aigus), et ça c'est par principe assez inévitable. Mais si le préamp est bon, ça n'est pas forcément bon ou pas, c'est juste différent.

Si le monsieur veut plus de simplicité et en a marre des piles, virer le préamp me semble un bon choix.

Une "passive" et une "active", c'est la même chose, jusqu'à ce qu'on mette un préamp dans l'une... Y'a pas de raison que ça sonne pas, sauf si c'est une basse de merde. Mais si c'était le cas, tu l'aurais déjà vu, non ?

Autre question : pourquoi veut-tu la passer en passive ? Si c'est pour changer le son, c'est sûr que c'est une mauvaise idée, le changement sera au mieux de l'ordre de la nuance.

A peu près autant que deux PB passives d'origine.

C'est-à-dire sans doute non...