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P.net

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Everything posted by P.net

  1. P.net

    Topic Cinéma

    J'ai vu "la merditude des choses".... Brut, on en prend plein la gueule sans le moindre coup de feu (enfin si... mais c'est du plomb), mais plutôt à coup de bouteille de bière belges. Un brin moralisateur avec le recul mais ce film a une furieuse odeur de bière tiède et on touche rapidement le fond du tonneau
  2. Outch Sven, c'est du radical et c'est... ultra réducteur: dommage. Au contraire, l'éducation, les normes et autres ont totalement acculé l'instinct à une sphère quasiment inconsciente. Comment peux-tu croire qu'un pauv' indvidu qui va bosser à rythme aussi régulier que ses heures d'embouteillage ou ses trqjets de métro laisse la place/ un quelconque intérêt à son instinct. l'Homme est un animal soit, mais il en a oublié les rudiments et, plus triste, les bon côtés!!! C'est effectivement la civilisation, la culture, la religion et autre joyeusetés qui permettent le "vivre ensemble" sans trop de domination du plus fort... Perso, ce qui me fait mal, c'est que ces inventions ont détruit la richesse et la diversités des individus (instinct de sociabilisation, accord avec soi-même, liberté du corps par rapport au mental etc...) sans en avoir bannit le plus important: la connerie! Ton histoire de meute, famille et autre banalités sont... décourageants Refléchis 2 secondes et observe les gens, tu changeras sûrement d'avis: ces modes de vie sont culturels et non instinctifs Sinon, pour m'épancher un peu, la simple vue de cette gonzesse me ... joestrianise et le pire c'est que je n'ai absolument rien à lui dire J'ai tout fait pour ne plus la voir et suis retourné auprès de ma copine... mais putain que ça fait mal: là le corps/ instinct, l'est pas du tout content mais c'est pour préserver le peu de bonne santé mentale qu'il me reste de cette histoire
  3. Aaaaaaah I-Sa-Belle, je trouve ça triste de lire ça, même si tu as peut-être raison: Un corps de femme est magnifique même sans artifice!!! Les formes, les rondeurs, les détails, les gestes etc... on en mangerait L'érotisme c'est du spectacle et le jeu est de le partager, d'être sr la même longueur d'onde, mais un corps de femme respecté(e), simplement là, nu, c'est carrément... surémotionnant a te faire mouiller ton calbard dès que tu lui pose la main dessus
  4. D'un autre côté, je vois mal un singe ou autre animal se retirer juste avant éjaculation/ enfiler un préservatif ou, moins sûr, s'accoupler hors chaleur...certains animaux prennent plaisir à l'accouplement et s'en souviennent (ma chatte courait les matous même une fois stérilisée... ) J'avais entendu que la femme était la femelle à avoir le plus de chaleurs par an de tous les mammifères : 13fois/ans, c'est pas mal. Pour l'homme, je ne sais pas trop comment ça fonctionne... y'a p'têtre un moment où les testicules sont trop lourdes/ douleurs dans le bas ventre (comme les femmes). ça va quand même un peu plus loin que le plaisir (cérébrale), il vaut donc mieux qu'on puisse éviter de faire des mouflets à chaque fois que le corps/ la nature pousse à la procréation...
  5. Ben franchement, quelqu'un de stérile, tant qu'il continue de bander/ prendre son pied (pour vous mesdames), il est pas (même génétiquement: médecine toussa) mort!!! Retrouvons l'intérêt de la vie: se rencontrer et partager... et pourquoi pas autour d'une bonne envie de toucher, de se découvrir hein? Ceti pas un bon prétexte de rencontre, le cul? Puis un plan cul, si tu l'invite au resto, ou tu te fais un ciné, ben ça peut évoluer
  6. Sur le chemin du retour, Daniel tentait de tout remettre en ordre, les évènements, les personnes rencontrées, les lieux visités. Il s'engageait à la limite de la ville sur le chemin de terre qui menait à la maison d'Anna. Quelques goélands survolaient la favella en quête de nourriture. Leur hurlements à son aplomb lui firent lever la tête. "qu'est ce qu'ils ont ces cons là" ronchona t'il en sortant quelques restes de son sandwich de midi. "Z'avez faim " lança t'il en l'air. Mais la ronde continuait s'en prendre garde à l'offrande de Daniel. Il accéléra. "Hombre" lui adressaient les habitants du quartier en souriant. "Salut" jeta t'il sans vraiment regarder à qui il s'adressait. Une inquiétude persistante lui assombrissait le visage. Son cœur tambourinait et il transpirait. Il ralentit devant la maison. "Anna?" scruta 'il en rentrant... La chienne n'était pas là et le môme devait être à l'école. La case lui paraissait bien grande et silencieuse. Il déposa ses affaires et sorti jusqu'à la "douche". C'était un montage rudimentaire: Un long tuyau parcourait le sol de terre rouge depuis l'unique bouche d'incendie en bas de la colline et desservait une dizaine de points d'eau potable. Anna et ses voisins avaient aménagé leur coin de manière à avoir un peu d'intimité. L'embouchure du tuyau venait déverser l'eau depuis le sommet d'une tente de tôle ondulée. Une barrière de sécurité avait était fixée à l'envers pour accrocher sur chacun de ses pieds les vêtements, une serviette et souvent la machette. Une palette recouverte d'un plastique surélevait l'espace humide. Il s'avança sous le jet et souffla longuement en fermant les yeux. "DANY!" Il sursauta et une lueur de tristesse plongea dans ses yeux quand il aperçu Anna, heureuse et lumineuse. Comment pouvait-il douter de cette femme? Elle eut un petit rire conquérant en voyant Daniel presque effrayé, nu et luisant. Son visage disparu derrière la tôle. "tu surveilles" fit-elle à la chienne en lui frictionnant la tête derrière les oreilles. La chienne couina et se lécha la truffe en en éloignant son museau du visage d'Anna. Anna faisait de nouveau face à Daniel. Ses seins se dressèrent lorsqu'elle hôta sa chemise. Elle attrapa l'ourlet de sa robe et le remonta. Lorsque son visage réapparu, Daniel avait déjà oublié l'étrange conversation. Anna eut à peine le temps d'accrocher sa robe que Daniel la tira violemment contre lui. Elle riait. L'eau coulait sur leurs corps. **** Daniel regardait de sa chaise Anna affairée au repas du soir. Il cherchait dans un rictus, un regard, un mouvement de main de quoi se rassurer. Mais le rire démoniaque de l'enfant l'envahissait de mélancolie. "Ah au fait Daniel, on vient de retrouver les cadavres de trois policiers de chez toi... c'est un employé de la station d'épuration qui a donné l'alerte... parait que c'est pas joli à voir" Daniel s'électrisa. "Putain, c'est peut-être ça" fit il à voix haute. "Quoi ça?" interrogea Anna "Coucou maman, salut Daniel" interrompit le fiston
  7. "Voici votre pain de semtex" fit Khul en déposant par dessus son épaule un paquet. "Oh putain" fit Daniel en se retournant, "les rêves sont pugnaces". "C'est elle qui m'a dit de vous donner ça" fit Khul d'une voix d'enfant. Le garnement de 12 ans était déjà plus grand qu'un panier de basket US. Daniel se calma en voyant le visage juvénile transpirant. Il sorti et aperçu à sur la terrasse de la maison voisine une superbe créature habillée d'un simple voile qui flottait le long de ses courbes parfaites. Daniel retrouva ses ardeurs et fit signe de loin à la dame. "c'est ma maman" fit le môme, son masque sous le bras. "l'est band... l'est bien bon... tu la remercieras bien, hein" fit Daniel en poussant doucement le chérubin hors de la cahute. "Vous savez, on voit peu de gens dans le coin, maman vous invite..." ajouta le gamin de 3m17.
  8. L'odeur de porto dont empestait notre amateur de dentelle adoucit Khul (le cousin de Hulk) qui lui emporta l'oreille gauche d'un coup de langue, qui se voulait pourtant affectueux. Paulo se mit à parler en flamand et vit la chambre, jaune, tourbillonner. Il s'éloigna de Khul en pissant le sang. L'odeur raviva les plus bas instincts du monstre qui, tout rose qu'il était, n'appréciait guère de voir son pigment dermatologique couler hors de ses mets favoris... Paulo fut fauché par la longue queue de khul...
  9. Un affreux hurlement précéda l'entrée ou plutôt le retour fracassant de Daniel dans la chambre. Les poulets stoppèrent leur agitation à la vue de Daniel. Il tremblait et son visage était totalement crispé. Ses lèvres était blanches, ses yeux vides. Son avant bras gauche était en sang, déchiqueté. Jean-François dégobilla son porto et tomba dans les vapes. Daniel, respira et s'éloigna de la porte à laquelle il s'était adossé, à reculons. Ses pas semblaient rattraper sa chute à chaque instant. Il balbutiait. Il arrive.... il est là... je l'ai vu... Un silence de mort assourdit tout ce joli monde. Un ronronnement passa le long du couloir. Une respiration nerveuse se fit plus pressante le long de la porte de la pièce. La poignée de la porte bougea puis se secoua. L'instant d'après, elle explosa sous la pression d'un bras monumental velu terminé par 3 énormes griffes acérées, arrachant ainsi une partie de la porte. Une odeur insoutenable s'engouffra. Tout le monde hésitait entre à crier ou se mettre les mains sur le visage pour tenter de trouver un air plus sain. La lumière s'éteignit. Seul brillait maintenant le regard fluoressant qui observait ses proies à travers le trou éééééééééénorme de la poignée. [HS] voilou ma p'tite patate douce, tout est maintenant plus clair [/HS]
  10. très belle cette photo. ça respire, c'est du très bon (avis perso biensûr)
  11. Heidi gesticulait à l'accueil de l'hotel. Alexandro, l'employé, la regardait et tentait de comprendre ses grimaces. Au bout de 10 minutes, las de regarder la jolie donzelle, lui fit signe et appela sa collègue. Une petite femme s'approcha de Heidi en réajustant le col de sa chemise ainsi que la jupe de son uniforme. -"je peux vous aidez, madame" dit-elle dans un français parfait malgré l'épingle qu'elle tenait entre ses lèvres -"Il n'y a pas d'eau dans les douches, pourtant j'entends l'eau qui descend" dit Heidi sur un ton frais -"Les canalisation viennent tout juste d'être nettoyées, il faut probablement un peu de temps" fit Sara en terminant son chignon "mais ne tournez pas trop fort les robinets..." AAAAAAAAAAAAAAH fit le cri qui raisonna dans tout l'hôtel. Heidi reconnu le hurlement de Paulo et ne put retenir un pouffement. Le vieux rat de l'opéra dévalait l'escalier en trombe tel une rose fanée sur l'écume d'une mer déchainée. "du sang, du sang" précisa Paulo essoufflé. On le suivait effectivement à la trace: depuis la salle de bain de sa chambre des empreintes de mains et de pieds balisaient la course jusqu'à l'entrée de l'hôtel. Heidi remarqua que le vieux placenté avait sur le corps des mottes de poils dru et épais. Alexandro fondit en larme en apercevant paulo. "El Raton, meu amor por onde você tem" (El Raton mon rat chéri, où t'es tu donc fourré?) Alexandro monta 4 à 4 les marches, suivi de près par Heidi et le clodiquant Paulo. Mamadou était lui aussi venu voir. Le tuyau de douche avait explosait au niveau du pommeau. Un amas de petit os, un long museau d'où pendait une truffe sanglante ainsi que quelques quenottes finissait de couler hors de la canalisation. Mamadou ayant grandit dans une famille adepte de la magie noire s'approcha des reste d'"El Raton" et observa que l'œil encore dans son orbite semblait voir encore... "c'est un signe" jugea t'il ***** Jean-François Léporta-Minhu et les flics parisiens commandèrent de quoi supporter le décalage horaire à la jolie serveuse qui les accueillit d'un clin d'œil plus que tendre.
  12. "Bem-vindo al Aeroporto Internacional Antônio Carlos Jobim de Rio de Janeiro" claironna une voie enjouée qui fleurait bon le sable chaud. La fine équipe attendait les bagages, transpirants. Heidi et Henriette se retirèrent aux toilettes. Paulo, encore boitillant, sorti fumer une cigarette. Il observait la ronde des taxis sous le soleil écrasant de l'après-midi. Mamadou, qui avait eu l'occasion de transiter par le Brésil s'était préparé à cette chaleur. Il avait dans son sac à dos une chemise et un pantalon de toile. Au retour des deux donzelles, très court vétues maintenant, Mamadou fila lui aussi aux toilettes. Le décolleté d'Henriette lui avait fait de l'effet. Il se passa de l'eau sur le visage, déboutonna sa chemise et dû attendre un peu de sérénité pour changer de futal. A son retour, les 3 autres attendaient avec les valises. Le taxi sentait le vieux tabac. Le cuir des sièges était tanné mais tendre et confortable. Henriette, qui parlait un peu le portugais s'était assise devant. Une fois sorti de la zone de l'aéroport, le vieux chauffeur, fumeur de cigares, et, à en croire les biblots qui envahissaient son véhicule, très pieux, libéra son entrejambe, remonta le pli de son pantalon et s'enfonça dans son fauteuil avec un sourire d'apaisement en regardant les longues jambes brunes de Henriette. Le paréo de la dame volait au gré des courants d'air et dévoilait de bien intéressantes parties de son anatomie. Heidi, Paulo et Mamadou respiraient à pleins poumons le nouvel air qui s'engouffrait dans l'habitacle.
  13. Ok, je range le cuir les chaines et la batte de base-ball Mais pour passer de la théorie à l'exécution et faire vivre le morceau, danser les auditeurs etc..., il faut bien leur donner un repère (plus ou moins clair) quand même. Si tout est plat, c'est la mélodie qui l'emporte et chacun l'interprète comme il veut en accord avec ses compères. Un peu comme du classique sans les accentuations. Merci en tout cas pour ce topic. C'est un peu pour ça que je parlais de temps fort, le fameux poom-tchak dont on ne se passe plus. ça me rappelle le jeu de batterie d'un trio récent sur one shot note avec un orgue hammond... Sur la première chanson (c'était énorme, mais je ne me souviens pas du nom: il passait le même soir que raul midon), la pulse était ressentie plus qu'entendue. J'ai jamais fait attention/su à l'indication de battue sur une partoch'. C'est sous quelle forme?
  14. Merci Gre pour l'astuce du passage à l'anglosaxonne J'ai saisi je pense le principal. JazzAd ton intervention m'a, moi aussi, un peu destabilisé. Surtout l'histoire du 12/8 et 4 temps par mesure qui, il me semble ne colle pas. Pour voir si j'avais compris Gre*, le 12/8 indique que la mesure se compose de 12 croches pulsées à la croche, donc 1tps=1croche non? Ensuite, c'est à chacun d'interpréter les temps forts je présume. Perso, j'aurais bien fait par groupe de 4 croches soit 3 blanches... et le batteur, il se démerde *toute remarque est bienvenue
  15. C'est pas une raison, mais vas y!!!! D'une, Son copain ne le saura pas. De 2, il faut savoir profiter de telles occasions! De 3, y'a pas de mal à se faire du bien et ça relancera la machine.
  16. Henriette décida donc de passer chez elle avant de rendre visite à son amie. Les premières goutes d'eau sur ses épaules la détendirent. Elle se laissa aller à s'extasier un long moment sous la douche malgré son corps endolori. Quand elle rouvrit les yeux, sa salle de bain était remplie de vapeur. Elle s'entoura d'une serviette, se servit un whisky sec et s'enfonça dans son canapé. Elle se laissa emporter par un très bon live de Bill Evans. Elle alluma une cigarette. Mr Paulo Popope, 53 ans, admis en soins intensifs ce matin très tôt en état de choc. Multiple fractures au niveau de la rotule et du péroné de la jambe gauche. Les deux chevilles sont brisées. Nous envisageons l'amputation de trois orteils du pied droit car ils ne sont plus irrigués. -Merci Marie-Jeanne fit le docteur Troudbal en lui tapant sur les fesses. -Et... qu'est ce que ceci? interrogea le toubib en plongeant son regard inquisiteur dans le bleu de celui de l'élève infirmière. Les longs cheveux blonds de Marie-jeanne masquèrent mal le pourpre de ses joues lorsqu'elle baissa la tête sur le dossier du patient. -Il s'agit de ses vêtements, bafouilla t'elle en tendant son visage et ses yeux mouillés d'orgueil et de défi vers ceux du médecin chef. Celui-ci afficha un sourire colgate qui illumina son visage au bronzage artificiel. La jeune femme serra son dossier contre ses seins et baissa la tête de nouveau en se mordant la lèvre. -Je dois voir un autre patient, puis-je y aller, Monsieur? -Bien sûr, continuez, vous êtes sur la bonne voie rassura le médecin Marie-Jeanne se retourna, radieuse sous sa blouse. Le stylo tomba du dossier. La jeune femme se pencha sur ses talons. Le médecin allait interroger Paulo lorsqu'il eut tout le loisir de contempler la dentelle des collants de sa stagiaire et la fine toison bonde luisant sous sa courte jupe. Paulo bava et tenta d'avoir une meilleur vue sur cette jeune croupe, mais en vain. Le toubib rajusta ses lunettes et passa sa langue sur ses lèvres.
  17. [HS] hoy chipo, le mécano se faisait sodomiser par Daniel sur le quai alors que Daniel se trouvait dans le bananier panaméen... A moins d'avoir le don d'ubiquité sarkozien (qui lui sodomise 66millions de français depuis l'élysée... quel talent!), Daniel n'a pas troussé le mécano sur le quai, ni même assommé sur le quai... ça pouvait donc être de l'ordre du rêve/ cauchemar. La réalité de la scène se jouant dans la salle des machines. Puis je trouvais que ça manquer d'amour tout ça puis comme on dit sodomie une fois, sodomie deux fois [/HS]
  18. j'vais pas tarder à chercher un point de chute... tout de seins, de fesses et de lèvres 'fin j'en sais rien en fait
  19. Le mécano aperçu en ouvrant les yeux Daniel faisant mine de s'occuper de son "bébé". La tête lui tournait encore et une image lui revenait sans cesse à la tête. Il avait froid. Sur les quais. On venait de l'immobiliser. Une silhouette s'éloignait de lui vers le cargo. L'image encore floue lui fit vérifier que son postérieur n'était pas douloureux... il était nu! A l'odeur sèche des machines, il était maintenant persuadé d'être dans le Django de Palmas. Il tenta de se mettre sur ses cannes. Fébrile il se reteint sur l'épaule de Daniel qui fit volte face et lui brisa le nez d'un coup de boule magistral. Le mécano se recula en se tenant le visage. Ses yeux mouillés et le sang coulant sur ses lèvres, il embrassa le mur en se retournant. A la vue de cette croupe cambouisqueuse, Daniel hôta le slip rose et fit du cauchemar du mécano une réalité: Il colla son torse dans le dos de... Jim, souffla le mécano en serrant les dents.
  20. ce putain de brouillard faisait flipper Mamadou. Impossible de connaitre la direction à prendre. Il décida de filer droit. Il poussa la radio et se mit à chanter.
  21. P.net

    Topic Covers

    euh Claf, t'as pris quoi?
  22. Henriette s'assit sur la nuque de Mamadou et lui pissa dans le dos... Le créole était pris de spasmes: il suffoquait. Daniel, Habitué à des situations extrêmes, tira Henriette par les cheveux, la fit tournoyer puis il lacha. La tête d'Henriette se planta dans le plafond mais les vertèbres de Daniel hurlèrent si bien qu'il retomba net laissant la reine du nunchaku pédaler dans le vide. ['tain je comprends plus rien ]
  23. L'éclatement testiculaire lui mit les genoux à terre et il siffla 2 octaves plus haut saaaaaaaaaaaalopes . Henriette avait en effet le nunchaku aussi précis que vicieux. Elles ne purent retenir un rictus compassionnel devant un tel pestacle.
  24. [chavais po que c'était le perso principal ] Les images qu'elle voyait dans sa boule de cristal inquiétaient Heidi. L'avenir pouvait-il lui mentir? Comment faire pour éviter la mort de son frère? [allez hop Carlos is alive et roule ma poule ...]
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