Allez, pour l'édification des jeunes, petit bilan d'un début d'année pas trop morose:
- première semaine, une bonne veste avec une copine. Je me doutais un peu que j'étais sur l'autre échelle, mais j'avais envie quand même
La conversation normale a repris son cours. Jusqu'au prochain dérapage?
- deuxième semaine, libéré des pulsions de la précédente, je réalise avec effroi qu'une collègue occupe mes pensées en dehors des heures de travail.
Situation délicate s'il en est.
Le dernier concert du groupe fut un premier bon prétexte à sortir du cadre.
Un prochain week-end au ski en sera un autre... mais mon fuseau est vieux de quinze ans et j'ai plus rien à me mettre
- le vendredi de la troisième semaine, deux dames d'à peu près mon âge m'ont clairement (mais avec beaucoup de tact) fait comprendre qu'elles n'ont rien contre moi...
Celle qui vote probablement à droite me plaît davantage, et je ne me sens pas obligé de parler politique.
Celle qui m'a donné son numéro avec un bouquet de sourires, je la trouve touchante...
Bref, le temps ne fait rien à l'affaire. Quand on est faible, on est faible