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Mister Kay

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  1. Euh... si toute l'infrastructure était daubesque, je doute qu'une méga-pelle-de-la-mort-qui-tue aurait fait des miracles, au contraire, même car d'expérience en live, la PB c'est ce qui pardonne le plus.
  2. Ah ben moi quand j'essaie une basse, c'est quasiment comme ça que je teste en premier, et si j'arrive pas à en tirer du gros son dub qui tache, c'est que çay d'la merde
  3. Il est quand même des éléments tangibles tels le sustain, la résonance, les harmoniques... On pourrait supposer une comparaison à l'oreille avec des instruments servant de "mètres-étalon" en interne, puis une sélection entre ce qui s'en rapproche ou s'en éloigne trop, mais ce sont là de pure conjectures.
  4. Et à priori, une config JB passive, c'est la plus sensible à la lutherie, pas d'esbrouffe possible avec les micros ou le préamp. Après, il y a l'esthétique, pour ça que les finitions naturelles sont souvent plus chères vu qu'on réserve les plus belles pièces de bois.
  5. Voilà, quelqu'un comme Jean Jacques Burnel des Stranglers, son son et son jeu sont bien vite identifiables, mais ce qui marque aussi, c'est aussi son attitude, on se dit en le voyant sur scène qu'il n'y a pas intérêt à le faire ch... ...Et il n'y a effectivement pas intérêt, il est 5ème ou 6ème dan de karaté
  6. Wé, avec les synthés, moi, je balançais des infras comme c'était pas possible, les bassistes de rock fort vont plutôt partir dans les aigus, d'où ces dernières années des modèles de Warwick telles la Vampyre aux formes sans équivoque.
  7. Pour faire les deux, je dirais qu'en tant que soliste (pas virtuose pour un sou), il est primordial d'avoir un instrument avec lequel on se sente à l'aise et en confiance pour la simple et bonne raison qu'on a plus de pression par rapport au musicien qui va se borner à un discret accompagnement. Et comme je l'écrivais plus haut, j'ai fait un concert tout seul accompagné d'un playback (batterie, sons électroniques), pression maximale donc, et au moment de choisir les armes, j'avais le choix entre ma Jack Casady et 5 autres instruments (Fender US, Rick, un gros truc de luthier que j'ai d'ailleurs revendu depuis), eh bien j'ai pris la Casady car c'était celle qui était la plus adaptée à ce que je voulais faire ce soir là niveau son, largement suffisante niveau qualité. Et puis esthétiquement elle a de la gueule aussi
  8. Sauf que s'il joue à l'unisson avec des gros synthés (c'était un gros problème dans un groupe précédent) ou dans certains trucs de metal "moderne" avec une paire de gratteux avec des grattes à 7 ou 8 cordes accordées 3 tons en dessous branchés dans les gros Mesa Boogie à lampes (gros son archi compressé), à la limite, le bassiste sert limite à faire joli
  9. Dépend des styles, si la Rick est le Graal du bassistus coldus moyennus, 'pas par hasard
  10. Même principe que les Classic Vibes dont j'ai posé les vidéo plus haut, c'est ce que je recommande à des débutants, c'est directement utilisable sans changer la moitié des trucs, après ils jugent si ça vaut le coup ou non de passer sur plus gros. Un ancien compagnon de jeu avait ainsi préféré une PB Vintage Modified à une Jazz Bass US (mais bon, il préférait le grain PB aussi). Mais perso, je trouve ça plus exigeant à faire sonner une JB, pas question de se planquer derrière l'électronique.
  11. Ce qui me fait rigoler, c'est que le guitariste de Queen a toujours utilisé une seule gratte qu'il a fabriqué avec 16£ de pièces de récup et aux dire de l'intéressé, malgré les restaurations, il resterait des trous de vers dans le bois tellement il était pourrave à la base
  12. Tout en érable la Rick! Après, j'ai beaucoup de mal à l'utiliser en live, par contre en studio, c'est une de mes basses principales
  13. Question d'image... De mon côté la première basse "sérieuse" que j'ai eu, ça s'est jouer entre une MM Sterling et une G&L L-2000, la G&L sonnait mieux et était moins chère, mais mon dos me faisait un peu mal et j'avais apprécié le confort de la Sterling, et le côté "usine à gaz" de la L-2000 m'avait rebuté aussi, surtout que le vendeur lui-même avait bien été infichu de me dire à quoi servait tous ces switchs... Après, le pris des G&L en neuf a peut être baissé avec le dollar (Gibson avait vraiment abusé il y a quelques années, MM, il y a l'importateur qui se gave comme un cochon)
  14. Wé mais les Steinberger d'époque en carbone, c'est hyper recherché, comme les Wal...
  15. D'expérience décotent beaucoup : - Les G&L en général - Les Godin en général Ne décote pas trop - Gibson T-Bird, mais c'est comme les Rick, c'est un look très typé
  16. fbassman Le prix du neuf peut aussi être faussé, par exemple par les changes, il suffisait de voir le raid que le forum faisait à une époque sur Ishibashi vu qu'on pouvait avoir de fort belles Fender japonaise pour même pas le prix des premières mexicaines ici en France. De même j'avais eu une Godin SD à une époque, 600€ en étui dur car le dollar canadien valait que dalle à l'époque, la qualité US pour le prix asiatique, très bon plan en occase
  17. Bien au contraire, celles conçues par le père Leo, c'est sans doute les plus faciles à refaire en pas cher La preuve
  18. Ce n'est pas sans rappeler la baffe la plus monumentale de toute l'histoire du rock, celle qu'une génération de musiciens qui avaient la prétention de "ré-hausser les standards du rock", dont la virtuosité n'avait d'égale que la suffisance s'est prise en pleine figure de la part de quatre petits mecs sachant à peine jouer (dit autrement, prog des 70s qui s'est pris le punk en pleine poire)
  19. Si c'était avec moi, tu repartirais sans doute de la boutique avec une Precision ou équivallente
  20. Dans le cas de la Cort Curbow, c'est encore mieux que ça, le corps est en fait un gros bout de plastique moulé, c'est sûr qu'espérer un son "boisé" là dessus... Ce qui va changer : - la qualité et le séchage des bois utilisés (un bois qui a séché 50 ans bougera moins qu'un bois de la même essence mais fraichement coupé) - la qualité des micros et des matériaux pour l'acastillage (qualité de l'acier...) - l'exigence du contrôle qualité (si on est laxiste ou strict au point de jeter la moitié de la production) (j'ai entendu une légende sur ce dernier point au niveau des Fender US, que les instruments étaient testés à la sortie de l'usine et en fonction de comment ça sonne, on les destine à tel ou tel marché, pour le marché US ou pour l'export, j'ignore le degré de vrai ou de légende...)
  21. D'où mon théorème copyrighté déposé breveté (mais dès que c'est du passif et du double bobinage, la différence est beaucoup moins nette entre des petits prix et du gros, les petites Epiphones genre EB3 ou TB sont étonnantes)
  22. Là aussi Bowie fait presque de la figuration sur un de ses plus grands classiques, en plus (sans oublier que Mick Garson était aussi de la partie, avec son jeu de piano toujours aussi décadent)
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