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  1. Review d’une Ibanez, ça faisait un bout de temps. D’une Ibanez, ou plus précisément, d’une "Soundgear by Ibanez », terme sous lequel cette gamme apparait en 1987 et qui amène la série SR. Les SR ont remplacé la série populaire RB "Roadstar Bass ». Le corps de SR, désormais bien connu, est en fait la suite stylistique logique des dernière RB comme la RB850, avec un contour arrondi, des bords affinés, une table arquée et une taille légèrement réduite. Le corps est aminci pour réduire le poids et améliorer l’ergonomie, tandis que la fixation du manche évolue un peu afin d'améliorer la stabilité et le sustain. Les SR haut de gamme, aujourd’hui dénommées « Prestige », sont fabriquées depuis toujours dans l’usine historique Fujigen. Elles ont été lancées en 1987 en même temps que les SR de base fabriquées au Japon puis dans des pays en voie de développement. La série SR est aujourd'hui complétée par la sous-série « Premium" qui s’intercale entre les entrées de gamme et les vraies japonaises. Les Premium sont fabriquées dans l'usine de Jawa Timur, en Indonésie. En regardant cette SR1500 que je vous montre aujourd’hui, on ne peut s’empêcher de penser à une autre marque de basses qui commence par un W- et qui finit par -arwick ! En effet, difficile de nier la filiation de concept vus les bois exotiques choisis, la construction multi-plis du manche, la forme de la tête, les 24 frettes, la configuration micros, le chevalet spécifique… ça fait beaucoup. Oui, les SR haut de gamme sont nées comme des clones de Warwick et c’est pas grave 😉 En fait, elles n’ont pas certaines caractéristiques clé des Warwick (les frettes) et une ergonomie bien différente (pas d’équilibre pourri), donc pas de souci, c’est pas du Canada Dry. Une SR1500, c’est donc une sorte de Prestige, c’est même le top de gamme à cette époque pionnière. Elle a existé en deux versions : corps padouk ou bubinga (rare), avec des micros actifs EMG (marché US) ou passifs Di Marzio (marché EU). Celle que j’ai eu la chance de chopper est une SR1500B Europe, donc corps bubinga et micros DiMarzio. A noter que c’est la cinquième SR dont je fais la review, après ses soeurs SR1100, 2010 (Ashula), 3005 et 3006. Oui, j’aime bien. 0 - Photos Cette basse est belle. C’est une très belle SR. Par certains aspects, elle surclasse les Prestige modernes, notamment pour les bois, bubinga et ébène, qui ne sont plus utilisées depuis belle lurette, même sur les haut de gamme. Un instrument fin, élancé et original, fait à la main avec des bois de luxe. Bien sur, comme tout bubinga qui s respecte, la teinte du corps dépend totalement de l'éclairage, du brun sombre au rouge-orange qui pète. 1 - Caractéristiques Année de production : novembre 1990, made in Japan, usine Fujigen Gakki Nagano Construction : manche vissé (4 vis largement espacée avec bushings) Bois du corps : bubinga 2 pièces Bois du manche : 5 pièces wenge/bubinga Profil : C ultra fin Bois de la touche : ébène Diapason : 34" Radius : 12 pouces Sillet : ébène Largeur au sillet : 38mm Écart au cordier : 19mm (fixe) Frettes : 24 Finition : bois naturel cirée Accastillage : mécaniques Gotoh GB7, chevalet Accu-Cast IV très spécifique Trussrod : double action à réglage en tête Micros : DiMarzio reverse P+J Balance micros : un potard cranté au centre Électronique : préampli paramétrique Power Curve (deux modes et un potard) + mode passif Le Power Curve est un eq paramétrique qui creuse la fréquence choisie (potard) selon deux niveaux (switch). Un monde entier de sonorités avec deux commandes, c'est original et assez déroutant. Pas de contrôles individuels par fréquence comme sur les préamplis habituels. Un bon schéma vaut mieux qu'un long discours, voici celui qui explique le fonctionnement de cette électronique originale : J'ai trouvé le schéma de câblage, ça peut servir : NB : sur la mienne, le Power Curve était mort. J’ai choisi de la passer en passif VVT avec un switch série/parallèle pour le micro P et des potards 1MOhms. 2 - Confort de jeu Poids : 4,2kg, tout ce poids étant dans le corps en bubinga ! Équilibre : très bon, mais c’est facile vu la répartition du poids Accès aux aigus : excellent Accès aux contrôles : simple, trois contrôles, un switch et pas de potard empilé Manche : Le manche des SR est minuscule. Il faut le savoir parce que c’est tellement minuscule que ça ne conviendra pas à certaines mains. C’est vraiment une allumette. J’ai plutôt l’habitude de manches plus présents dans la main mais je peux tout à fait jouer celui-ci. En fait, c’est chouette parce qu’on peut placer tout et n’importe quoi avec des doigtés approximatifs : ça passe toujours. 3 - Qualité de la lutherie Stabilité du manche : il est très fin ce manche et il est fatalement un peu sensible à la température et l’hygrométrie. Le trussrod très souple d’emploi permet de rapidement corriger au changement de saison ou de tirant et la courbure est nickelle, bien régulière. Qualité du frettage : superbe, de grosses frettes jumbo joliment insérées dans l'ébène. J’ai fait faire une planification par mon luthier pour que ce soit impec et il m’a dit que l’acier des frettes était très dur. Action globale : pas mal du tout, grâce aux qualités citées plus haut. Le manche est très fin, ce qui de plus, minimise l'importance de ce paramètre. C’est toujours facile à jouer. Finition du corps et du manche : irréprochable, cette basse a 32 ans et tout a très bien vieilli. A noter que c'est du fait main, pas à la CNC. Une très belle lutherie en gros. Les pièces de bois du corps sont très belles, la touche ébène est noir uni (ébène africain sans doute). Tout est superbement assemblé et rien ne bouge. Le chevalet est assez space. Il est à la fois super compliqué, énorme, en plusieurs parties et dans une grosse défonce, mais à l’inverse, les réglages sont limités. En effet, les pontets ne sont pas réglables individuellement, ni en hauteur, ni en écartement. On peut juste ajuster l’assiette de la platine qui est dessous et qui est cintrée comme la touche. En fait, ça marche très bien et c’est super simple, mais un maniaque comme moi sera frustré. Détails qui tuent (et là, il y en a !) : Le chevalet oufesque (360 grammes) l’entrée jack encastrée avec son cylindre en ébène, dédicacée à @mistergroovy La cavité, bien pleine avec le Powercurve, beaucoup moins avec l'électro passive maison Le neck pocket bien profond, qui révèle et confirme la version (B = bubinga) Pas de mousse, mais un ressort autour de chacune des vis de réglage en hauteur des micros 4 - Son C’est le pied cet engin. Déjà, le P inversé, c’est le bien, les micros décalés vers le chevalet, c’est le meilleur, et les micros sur-bobinés pour compenser, c’est le top. Ça sonne énervé, vous vous en doutez, avec énormément de médiums qui grognent, mais la touche ébène et le preamp (ou les potards 1MOhms en passif) ramènent plein d’aigus chatoyants. Les Model P et Model J, avec leurs gros aimants céramiques, travaillent très bien en combinaison et c'est avec les deux ensemble que le son est le plus complet : bien plein, bien dynamique, hargneux au besoin mais jamais brouillon vu la position décalée. Très bon mariage entre la lutherie, la conception et le choix de micros. Le seul truc impossible à faire, c’est sonner discret, mais on peut jouer tout ce qu’on veut si on est pas timide. V’la du son les copains. Mode PJ puis P seul : https://soundcloud.com/user-496014650/sr1500-pjandp?si=b91af83b4dcf43999f958ce67af6d215&utm_source=clipboard&utm_medium=text&utm_campaign=social_sharing Au pick, comme un chtit rockeur : https://soundcloud.com/user-496014650/soundrockgear?si=18aef190c64a4fbbb0c1344ecc121bf9&utm_source=clipboard&utm_medium=text&utm_campaign=social_sharing Des mediums, bien riches et détaillés : https://soundcloud.com/user-496014650/groovysr?si=019aaad60fb84e3d85913d204eb43a83&utm_source=clipboard&utm_medium=text&utm_campaign=social_sharing P en série, puis P en parallèle : https://soundcloud.com/user-496014650/pseries-ppara?si=bb9d6abb6f2144d494a74a75e20b7fce&utm_source=clipboard&utm_medium=text&utm_campaign=social_sharing P+J avec le P en série, puis pareil avec le P en parallèle : https://soundcloud.com/user-496014650/pseriesj-pparaj?si=1a6f49fb07fa4ec6af959b838d5c953d&utm_source=clipboard&utm_medium=text&utm_campaign=social_sharing Avec des flats, ce que s’attend peu à voir sur une SR, ça marche pourtant très bien : https://soundcloud.com/user-496014650/flatsalive?si=9b988c19f4e64f2789e0eed45b12b064&utm_source=clipboard&utm_medium=text&utm_campaign=social_sharing
  2. Review numéro OnSenFout, pour une petite perle arrivée fraichement chez moi : une Warwick Corvette Standard de 1997. Une Corvette, c'est une Wick assez basique et bien connue, mais celle-ci n'est pas n'importe quel exemplaire et elle est très chouette. Qu'avons-nous là ? Le modèle d'entrée de gamme de la marque, dans sa configuration de base, tout simplement, mais attention, elle date de l’époque ou Warwick ne faisait pas encore de low-cost donc « entrée de gamme » a un sens particulier. Aujourd’hui, si vous voulez la même neuve, il faudra débourser 4000 euros pour une Masterbuilt. C’est beau la stratégie commerciale… 🤮 Bon, une Corvette. Bizarrement, c'est une première pour moi après toutes ces années à fréquenter la marque, alors qu'est c'est en général plutôt une première Warwick qu'une... vingt-sixième ! C'est un exemplaire fabriqué en 1997, il y a 26 ans, mais dans un état quasiment neuf. Ça, c'est super parce que, vous le savez, c'est encore une époque où les Warwick sont excellentes, alors en trouver une aussi fraiche, c'est une sacrée aubaine. Donc quand je suis tombé sur une annonce pour une vielle Warwick "qui dort dans sa housse depuis vingt ans", j'ai bondi. Il a fallu lui rendre sa jeunesse, et il y avait du boulot, mais j'ai découvert sous la crasse une basse parfaite, enfin aussi bonne que je l'espérais. Je découvre donc la Corvette et la Corvette, ben c'est pas mal du tout ! L’historique du modèle est proche dans les grandes lignes de celui de la Thumb BO que j’ai déjà détaillé. A noter cependant une plus grande variabilité de configuration et une trajectoire pas très lisible, comme si Warwick se cherchait avec ce modèle. Corps en frêne, érable, érable flammé, bubinga ou cerisier. Manches érable, érable bubinga, wenge. Électroniques passives, actives/passive, full actif, et en 4, 5 et 6 cordes. Un vrai bazard. En tout cas, en 97, la standardisation de la lutherie est consommé avec les manches wenge à volute et le bubinga ou le frêne pour le corps. Reste les trois configurations au choix, parfois pas évidentes à distinguer. Celle que je vous présente est une moderne avec trussrod double action et corps simplifié. C’est une version de base avec les micros passifs et pas de préampli. 0 - Photos Très belle basse au look plutôt équilibré, un peu moins caricaturale dans ses proportions que les modèles originels Thumb/Streamer/Dolphin. Un peu moins typique aussi puisque le corps n’est pas cintré mais plat comme une bête Fender. Warwick plus classique. Bon, il y a ce grand zizi 👊 qui n'est pas tout à fait heureux 😝 A noter que le bubinga change complètement de teinte en fonction de la lumière, du vieux chêne en intérieur au rouge violacé un peu translucide au soleil. Fun. A noter que c'est bien une PETITE basse (même si elle est lourde sa mère : presque 1kg de plus que l'ATK Prestige !) 1 - Caractéristiques Année de production : 1997 Construction : manche vissé 4 vis Bois du corps : bubinga plutôt pommelé Bois du manche : wengé/wengé/wengé, avec un peu de wengé aussi Profil : en C d'épaisseur moyenne Bois de la touche : wengé Radius : 20" Sillet : Just-A-Nut 1 laiton Largeur au sillet : 38mm, comme une JB Espacement des cordes au chevalet : réglable autour de 19mm Frettes : 24 frettes, larges et basses Diapason : 34" Finition : bois nus cirés Accastillage : Warwick chrome, réglable tous azimuts (3D), changé pour du noir Micros : 2 micros MEC passifs "Dynamic Correction" au format Jazz Bass Balance micros : potard de balance Électronique : passive avec une tonalité passive J'ai upgradé cette Corvette en lui posant un jeu de micros EMG-JA (A pour ALNICO, donc pas de céramique dans ce cas, son traditionnel). Ils sont actifs avec un volume chacun et en guise de tonalité, un filtre passe-bas actif "VLPF" provenant d'un kit EMG-PJ-X. Petits détails bien chouettes même si attendus pour une Wick de cette époque : - le wenge coupé sur quartier avec mélanges des angles pour maximiser la stabilité - les strap-locks Dunlop encastrés - les gros ressorts sous les micros - le sillet réglable - le chevalet 3D encore plus réglable... avant la restauration 2 - Confort de jeu Poids : 4,9kg, ça pique. Le bubinga, c'est hyper dense, donc hyper lourd. Equilibre : impeccable, c'est clairement une des rares Warwick qui peuvent le prétendre Accès aux aigus : moyen, c'est pas le point fort des BO (mais il y a 24 frettes) Accès aux contrôles : un potard par fonction, pratique et assez simple C’est une Warwick à l’ergonomie correcte, c’est important de le dire je pense. Elle garde les grandes qualités de ce manche wenge deux octaves à touche plate, mais ne punit pas le jeu en décalant la basse vers l’extérieur. Bon, il reste le poids conséquent mais avec ce bon équilibre et la faible encombrement, c’est tout à fait agréable à jouer debout. La Corvette est donc très différente de la Thumb BO, et encore plus de mon vieil exemplaire de l'époque hand-made. Elles n'ont en fait rien à voir en termes d'ergonomie, à l'avantage de la Corvette, même si le manche plus épais et rond de la Thumb me va mieux. 3 - Qualité de la lutherie Stabilité du manche : vous voulez vraiment qu'on en parle ? C'est parfait et c’est un argument majeur pour favoriser ces anciennes à manche wenge. Cette Corvette n’a vraiment pas été choyée mais la barre à mine qui lui sert de manche n’en a rien à cirer. Qualité du frettage : top moumoute Action globale : radada, radada, radada ! Trop fastoche Finition du corps : un peu de cire, c'est tout ce qu'il faut Finition du manche : le wengé nu, c'est fort agréable, y a pas à chier. Accastillage : pas trop cheap sur cet exemplaire. La basse a été laissée à s'oxyder pendant deux décennies, alors je l'ai trouvé dans un état immonde. Je pensais devoir le changer mais en fait, sous la crasse, il n'avait pas bougé. Y a juste eu du boulot pour nettoyer les dizaines de pièces ! On est en 97 sur un compromis interessant puisqu’on a encore les bois de luxe, mais avec la construction moderne à la CNC et le gros trussrod double action dans le manche renforcé. Moins de poésie car c’est de la série, mais des assemblages super sérieux. Pour l’avoir démontée de fond en comble lors de sa restauration, je peux confirmer que tout est de grande qualité, des défonces aux câblage en passant par l’assemblage et même l’accastillage qui n’a pas vieilli d’un iota. C’est un tank indestructible. De la vraie deustshe qualität comme on n’en fait plus à prix accessible. Coup de chance supplémentaire sur cet exemplaire dont le corps est en deux pièces de bubinga un peu pommelé, pas toujours le cas sur les Standard (parfois en trois pièces avec un grain moche). 4 - Son Idée reçue N°1 : ouais, c’est une Jazz Bass quoi. NON, ce n’est pas une Jazz Bass. Idée reçue N°2 : encore une Warwick qui sort que des mediums canards. NON, pas du tout. Idée reçue N°3 : c’est pas polyvalent, c’est pour du métal. NON, ça fait tout ce qu’on veut. C’est une JJ, OK, mais PAS à l’emplacement des micros d’une Jazz Bass. Les deux micros sont décalés vers le chevalet de 2cm pour le manche et 1cm pour le chevalet, donc pas autant que sur une SS2 (ou pire une Thumb). En gros, le J manche est comme le centre du micro d’une PB et le micro chevalet à l’emplacement JB 75. Si on veux comparer à une Fender, ce serait plutôt une PJ. Mes Yamaha BBP ont les micros… au même endroit ! C’est pas une Jazz Bass. Donc normalement, on doit entendre plus de mediums et moins de graves qu’une JB, mais le même trou dans les mids avec les deux micros ouverts (vous suivez). En fait, la lutherie rattrape les graves qui manquent et on as le compromis parfait et équilibré en graves/mids/aigues. La Corvette. C’est une sacré bonne recette qui permet d’utiliser tous les mélanges de micros. Manche et chevalet peuvent sonner seuls sans souci et tout à fond, on a un growl creusé mais plus plein qu’une JB. Résultat, polyvalence totale. Basse à tout faire. Les micros passifs d’origine n’étaient pas si mal mais le volume de sortie faiblard et la dynamique moyenne me semblaient ne pas faire honneur à la lutherie. J’ai testé les EMG-J (céramique) puis les JA (alnico) et gardé ces derniers, qui sonnent assez proche des micros d’origine et me donne le compromis classique/moderne que je cherchais avec des beaux mediums et pas trop de grave/aigus. HS : Vivent les kits EMG sans soudure ! Par ailleurs, c'est vraiment une Warwick, avec ce son de frettes très particulier, ce grain rocailleux dans les graves et l'articulation très marquée entre les notes. Bon sang ne saurait mentir. Voilà du son m’dames et messieurs (avec Soundcloud qui bugge sans doute). Review avec les micros MEC passifs d'origine : Slap en EMG-J Micro manche du kit EMG-JA avec tona à zéro : Comparatif global EMG-J (premier son) contre EMG-JA (deuxième) : Avec une satu moyenne et au pick, parce qu'elle est méchante (enregistré devant l'ampli) ! Cordes acier, en appuyant fort, doigts puis slap. Superbe son de vraie Warwick :
  3. Salut à tous, Je mets en vente ma Sandberg Bullet Special achetée neuve en 2014 (commande custom). C'est une basse très polyvalente avec un son excellent. Elle est en parfait état si ce n'est une légère "tache" au dessus du straplock côté diapason (la sangle a frotté contre le bois) Diapason 34" Frette "zéro" Table en bubinga Touche ébène sur manche érable Matching Headstock Electronique Glockenklang 3 bandes avec potard de volume servant de switch actif/passif Trappe pour pile sans outils Micros soapbars Delano Straplocks Dunlop Photos supplémentaires : https://goo.gl/photos/yMcp56ft3FchPex56 J'en demande 900€ fdp out (prix neuf actuel > 2000€ pour une Classic Special) Fournie avec la housse d'origine Sandberg. Envoi possible en flight case Gator Merci !
  4. Bonjour, Je suis à la recherche d'une Modulus Quantum 5 fretless. Mon idéal serait une fretless lined, Bubinga top, micros & préampli Bartolini, fin 90’s ou 00’s. Spécifications = Bubinga Top, Satin Finish Body, Alder Body, Phenolic Fingerboard, Fretless w / Lines, 35 "Scale Length 24 Freight Lines, Satin Finish Neck, Side Dot Inlays, Bartolini Soapbar pickups, Bartolini NTMB Preamp (active treble, mid, bass), A Style Hipshot Bridge, Black Hardware, Weight: Approx 9 lbs. 14 oz Toutes les propositions seront étudiées, bien sûr !! Merci d’avance. A bientôt, M
  5. Bonsoir, Je me sépare de cette grogneuse de compète: Construite en 98, dotée d'un EQ 2 bandes et deux micros J actifs MEC, elle excelle dans le growl. En contrepartie, elle a bien sûr du mal à se faire discrète, mais ce n'est pas son registre, évidemment. 4.6 kg à la pesée, en très bon état. Bref, je sais qu'elle me manquera, mais elle doit partir. Edit suite à quelques questions: je pourrais envisager un échange, uniquement contre une bonne fretless 5 cordes, ou une petite frettée 6 cordes, et sans ajout de ma part du tout. Elle est à vous pour 1600 euros fdp out, et viendra avec un flightcase rectangulaire ainsi que les straplocks. Rien de plus, rien de moins. Pour info, elle vient d'être refrettée et réglée par Christophe Huort. Elle est montée avec un do aigu, je fournirai avec le jeu de cordes qui était monté dessus lorsque je l'ai achetée (WW Red label), et je peux ajouter aussi un jeu d'EB Slinky, neuf.
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