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  1. Review numéro OnSenFout, pour une petite perle arrivée fraichement chez moi : une Warwick Corvette Standard de 1997. Une Corvette, c'est une Wick assez basique et bien connue, mais celle-ci n'est pas n'importe quel exemplaire et elle est très chouette. Qu'avons-nous là ? Le modèle d'entrée de gamme de la marque, dans sa configuration de base, tout simplement, mais attention, elle date de l’époque ou Warwick ne faisait pas encore de low-cost donc « entrée de gamme » a un sens particulier. Aujourd’hui, si vous voulez la même neuve, il faudra débourser 4000 euros pour une Masterbuilt. C’est beau la stratégie commerciale… 🤮 Bon, une Corvette. Bizarrement, c'est une première pour moi après toutes ces années à fréquenter la marque, alors qu'est c'est en général plutôt une première Warwick qu'une... vingt-sixième ! C'est un exemplaire fabriqué en 1997, il y a 26 ans, mais dans un état quasiment neuf. Ça, c'est super parce que, vous le savez, c'est encore une époque où les Warwick sont excellentes, alors en trouver une aussi fraiche, c'est une sacrée aubaine. Donc quand je suis tombé sur une annonce pour une vielle Warwick "qui dort dans sa housse depuis vingt ans", j'ai bondi. Il a fallu lui rendre sa jeunesse, et il y avait du boulot, mais j'ai découvert sous la crasse une basse parfaite, enfin aussi bonne que je l'espérais. Je découvre donc la Corvette et la Corvette, ben c'est pas mal du tout ! L’historique du modèle est proche dans les grandes lignes de celui de la Thumb BO que j’ai déjà détaillé. A noter cependant une plus grande variabilité de configuration et une trajectoire pas très lisible, comme si Warwick se cherchait avec ce modèle. Corps en frêne, érable, érable flammé, bubinga ou cerisier. Manches érable, érable bubinga, wenge. Électroniques passives, actives/passive, full actif, et en 4, 5 et 6 cordes. Un vrai bazard. En tout cas, en 97, la standardisation de la lutherie est consommé avec les manches wenge à volute et le bubinga ou le frêne pour le corps. Reste les trois configurations au choix, parfois pas évidentes à distinguer. Celle que je vous présente est une moderne avec trussrod double action et corps simplifié. C’est une version de base avec les micros passifs et pas de préampli. 0 - Photos Très belle basse au look plutôt équilibré, un peu moins caricaturale dans ses proportions que les modèles originels Thumb/Streamer/Dolphin. Un peu moins typique aussi puisque le corps n’est pas cintré mais plat comme une bête Fender. Warwick plus classique. Bon, il y a ce grand zizi 👊 qui n'est pas tout à fait heureux 😝 A noter que le bubinga change complètement de teinte en fonction de la lumière, du vieux chêne en intérieur au rouge violacé un peu translucide au soleil. Fun. A noter que c'est bien une PETITE basse (même si elle est lourde sa mère : presque 1kg de plus que l'ATK Prestige !) 1 - Caractéristiques Année de production : 1997 Construction : manche vissé 4 vis Bois du corps : bubinga plutôt pommelé Bois du manche : wengé/wengé/wengé, avec un peu de wengé aussi Profil : en C d'épaisseur moyenne Bois de la touche : wengé Radius : 20" Sillet : Just-A-Nut 1 laiton Largeur au sillet : 38mm, comme une JB Espacement des cordes au chevalet : réglable autour de 19mm Frettes : 24 frettes, larges et basses Diapason : 34" Finition : bois nus cirés Accastillage : Warwick chrome, réglable tous azimuts (3D), changé pour du noir Micros : 2 micros MEC passifs "Dynamic Correction" au format Jazz Bass Balance micros : potard de balance Électronique : passive avec une tonalité passive J'ai upgradé cette Corvette en lui posant un jeu de micros EMG-JA (A pour ALNICO, donc pas de céramique dans ce cas, son traditionnel). Ils sont actifs avec un volume chacun et en guise de tonalité, un filtre passe-bas actif "VLPF" provenant d'un kit EMG-PJ-X. Petits détails bien chouettes même si attendus pour une Wick de cette époque : - le wenge coupé sur quartier avec mélanges des angles pour maximiser la stabilité - les strap-locks Dunlop encastrés - les gros ressorts sous les micros - le sillet réglable - le chevalet 3D encore plus réglable... avant la restauration 2 - Confort de jeu Poids : 4,9kg, ça pique. Le bubinga, c'est hyper dense, donc hyper lourd. Equilibre : impeccable, c'est clairement une des rares Warwick qui peuvent le prétendre Accès aux aigus : moyen, c'est pas le point fort des BO (mais il y a 24 frettes) Accès aux contrôles : un potard par fonction, pratique et assez simple C’est une Warwick à l’ergonomie correcte, c’est important de le dire je pense. Elle garde les grandes qualités de ce manche wenge deux octaves à touche plate, mais ne punit pas le jeu en décalant la basse vers l’extérieur. Bon, il reste le poids conséquent mais avec ce bon équilibre et la faible encombrement, c’est tout à fait agréable à jouer debout. La Corvette est donc très différente de la Thumb BO, et encore plus de mon vieil exemplaire de l'époque hand-made. Elles n'ont en fait rien à voir en termes d'ergonomie, à l'avantage de la Corvette, même si le manche plus épais et rond de la Thumb me va mieux. 3 - Qualité de la lutherie Stabilité du manche : vous voulez vraiment qu'on en parle ? C'est parfait et c’est un argument majeur pour favoriser ces anciennes à manche wenge. Cette Corvette n’a vraiment pas été choyée mais la barre à mine qui lui sert de manche n’en a rien à cirer. Qualité du frettage : top moumoute Action globale : radada, radada, radada ! Trop fastoche Finition du corps : un peu de cire, c'est tout ce qu'il faut Finition du manche : le wengé nu, c'est fort agréable, y a pas à chier. Accastillage : pas trop cheap sur cet exemplaire. La basse a été laissée à s'oxyder pendant deux décennies, alors je l'ai trouvé dans un état immonde. Je pensais devoir le changer mais en fait, sous la crasse, il n'avait pas bougé. Y a juste eu du boulot pour nettoyer les dizaines de pièces ! On est en 97 sur un compromis interessant puisqu’on a encore les bois de luxe, mais avec la construction moderne à la CNC et le gros trussrod double action dans le manche renforcé. Moins de poésie car c’est de la série, mais des assemblages super sérieux. Pour l’avoir démontée de fond en comble lors de sa restauration, je peux confirmer que tout est de grande qualité, des défonces aux câblage en passant par l’assemblage et même l’accastillage qui n’a pas vieilli d’un iota. C’est un tank indestructible. De la vraie deustshe qualität comme on n’en fait plus à prix accessible. Coup de chance supplémentaire sur cet exemplaire dont le corps est en deux pièces de bubinga un peu pommelé, pas toujours le cas sur les Standard (parfois en trois pièces avec un grain moche). 4 - Son Idée reçue N°1 : ouais, c’est une Jazz Bass quoi. NON, ce n’est pas une Jazz Bass. Idée reçue N°2 : encore une Warwick qui sort que des mediums canards. NON, pas du tout. Idée reçue N°3 : c’est pas polyvalent, c’est pour du métal. NON, ça fait tout ce qu’on veut. C’est une JJ, OK, mais PAS à l’emplacement des micros d’une Jazz Bass. Les deux micros sont décalés vers le chevalet de 2cm pour le manche et 1cm pour le chevalet, donc pas autant que sur une SS2 (ou pire une Thumb). En gros, le J manche est comme le centre du micro d’une PB et le micro chevalet à l’emplacement JB 75. Si on veux comparer à une Fender, ce serait plutôt une PJ. Mes Yamaha BBP ont les micros… au même endroit ! C’est pas une Jazz Bass. Donc normalement, on doit entendre plus de mediums et moins de graves qu’une JB, mais le même trou dans les mids avec les deux micros ouverts (vous suivez). En fait, la lutherie rattrape les graves qui manquent et on as le compromis parfait et équilibré en graves/mids/aigues. La Corvette. C’est une sacré bonne recette qui permet d’utiliser tous les mélanges de micros. Manche et chevalet peuvent sonner seuls sans souci et tout à fond, on a un growl creusé mais plus plein qu’une JB. Résultat, polyvalence totale. Basse à tout faire. Les micros passifs d’origine n’étaient pas si mal mais le volume de sortie faiblard et la dynamique moyenne me semblaient ne pas faire honneur à la lutherie. J’ai testé les EMG-J (céramique) puis les JA (alnico) et gardé ces derniers, qui sonnent assez proche des micros d’origine et me donne le compromis classique/moderne que je cherchais avec des beaux mediums et pas trop de grave/aigus. HS : Vivent les kits EMG sans soudure ! Par ailleurs, c'est vraiment une Warwick, avec ce son de frettes très particulier, ce grain rocailleux dans les graves et l'articulation très marquée entre les notes. Bon sang ne saurait mentir. Voilà du son m’dames et messieurs (avec Soundcloud qui bugge sans doute). Review avec les micros MEC passifs d'origine : Slap en EMG-J Micro manche du kit EMG-JA avec tona à zéro : Comparatif global EMG-J (premier son) contre EMG-JA (deuxième) : Avec une satu moyenne et au pick, parce qu'elle est méchante (enregistré devant l'ampli) ! Cordes acier, en appuyant fort, doigts puis slap. Superbe son de vraie Warwick :
  2. Salut la compagnie, Les review se suivent et parfois... se ressemblent ! Trouver une Thumb fretless était un vieux rêve, il est réalisé depuis bientôt deux ans avec ma NT6 de 91. C'est un instrument fabuleux que j’adore. Pas simple au niveau de son ergonomie, mais le son est objectivement démentiel. Qu'est-ce qu'on peut espérer de plus après ça dans cette catégorie ? C'est pas évident mais j’ai de la ressource et l’Internet est infini. J’ai trouvé et j'ai choisi de lui offrir une petite sœur moins effrayante : une autre Thumb fretless ancienne, mais avec 4 cordes seulement. C’est presque une basse normale :-) Voici donc une review qui ressemble à la précédente, mais qui reste utile à plus d'un titre, au moins pour les amateurs de la marque ou du modèle : LA Warwick Thumb NT4. Vous verrez qu’en effet, il a matière à discuter. Cet exemplaire est assez improbable : cette basse qui a 25 ans est dans un état quasi neuf. Une sorte de NOS qui a traversé les décennies sans prendre un gnon. Une Thumb NT de 1997, c’est interessant parceque c’est la troisième version de la Thumb Bass, fabriquée dans la nouvelle usine d’ex RDA. Pour ceux qui ne savent pas, c’est la voie de dégringolade vers la fabrication de masse et d’extension de gamme vers le bas qu’a choisi de suivre Warwick de ses origines à 2013. On a quelque chose d’hybride qui a commence à abandonner certaines caractéristiques et avec elles, la nature purement artisanale des instruments du début. Au chapitre des différences, qui pour un puriste sont autant de deuils, cette Thumb NT de 97 a abandonné : le corps fait à la main, et sa forme d’origine. On a un corps taillé à la CNC, que toutes les Thumb NT4 de la même génération ont à l’identique. Les BO de l’époque partagent d’ailleurs les mêmes courbes le chevallet en laiton massif fabriqué chez Schaller. Warwick s’est faché avec le fournisseur historique et a internalisé la fabrication de cette pièce… en baissant la qualité puisque c’est un aliage d’alu léger qui arrive en 1992. les mécaniques japonaises Gotoh, remplacées par des clones made chez WW… de piètre qualité. J’ai remis des Gotoh d’ailleurs. MAIS il reste l’essentiel à cette époque : les essences de bois et leur assemblage. Important pour le sound of bois. On a toujours droit sur cette génération à des pièces remarquables de bubinga (miam), de wenge (ultra-miam) et surtout d’ébène d’afrique pour la touche des fretless (aaaarghhh !). La construction est toujours identique à celle des premières Wick, jusqu’au trussrod extractibe. L’honneur est encore sauf à cette époque. A noter aussi qu’il y a une amélioration notable avec le passage de l’électronique MEC de deux à trois bandes, et de 9 à 18 volts. Les micros sont des MEC actifs ce qui n’est pas nouveau sur les 4 cordes, mais reste récent. Voila pour la page culturelle/diner du mercredi soir. 0 - Photos On va pas passer par quatre chemins. Elle est belle à crever et puis c'est tout. C’est fou comme l’écart de largeur du manche modifie les proportions de la Thumb. Il faut dire que le corps est si petit que quand on éloigne les ailes de deux centimètres, ça change tout. La 4 est plus effilée, moins trappue, et le corps est vraiment minuscule. Par contre, elle quand même un poil plus volumineuse que la minuscule BO4 noyer de 95 : 1 - Caractéristiques Année de production : 1997 Construction : manche conducteur caché sous la table (hidden neck) Bois du corps : bubinga figuré mais pas franchement pommelé Bois du manche : 7 pièces, wengé majoritaire avec laminations bubinga Profil : D léger (ou C avec un léger méplat), épaisseur moyenne Bois de la touche : ébène totalement noire, pas de fretlines, repère 3-5-7.. en bordure supérieure Diapason : 34" Radius : 20" Sillet : just-a-nut bronze (pas cassé...) Largeur au sillet : 38mm Écart au cordier : 19mm (réglable) Frettes : équivalent 26, un peu plus que deux octaves, ça semble infini Finition : bois naturel ciré Accastillage : chevalet/cordier Warwick lréglable tous azimuts. Mécaniques Warwick de base remplacées par des Gotoh GB7. Trussrod : simple action extractible. Micros : deux MEC actifs au format Jazz Bass (longueur chevalet pour les deux micros) Balance micros : potard de balance Électronique : MEC 18V avec équalo 3 bandes debrayable 2 - Confort de jeu Poids : 4,3kg, très classique pour une 4 cordes, pas mal pour une active 18V en bois ultra-denses Équilibre : pas terrible dans l'ensemble, on le sait, mais pas catastrophique. Tout est question de référentiel et j’ai une BO4 à corps léger dont le piquage de tête est trois fois pire. Clairement, le plus gênant est le décalage du manche vers l’extérieur qui donne l’impression de jouer une diapason de 36 pouces ! Sanglée assez haut, ça va et on apprécie le très faible encombrement du corps. Accès aux aigus : très bon, mais pas parfait comme les anciennes dont la touche était entièrement hors du corps. Ici, il faut aller chercher les deux/trois dernières frettes. Accès aux contrôles : pas terrible. Trois potard dont deux stacked. Je trouve très naze la balance micro sous forme de bague du potard de volume qui est push/pull en plus ! Pas moyen de changer de son rapidement. C’est une 4 cordes à manche fin, il faut le dire. Pas de bûche du tout sur cette génération. Il a une certaine épaisseur quand même (c’est pas une Ibanez SR), mais celui qui parle de batte pour une NT des 90s ne sait pas ce qu’il dit. C’est étroit et l’absence de frette et le radius très plat renforcent le côté « baguette ». Pour finir, la sensation de rigidité est reste très élevée, et inspire confiance. Et comme d’hab, que des bois nus et soyeux. Super manche. 3 - Qualité de la lutherie Stabilité du manche : super. Pour une fois, ma review est rédigée après trois bons mois et un changement de saison, donc je peux affirmer la stabilité énorme de cette bûchette en wenge, bubinga et ébène. Qualité du frettage : pas de frettes, pas de souci Courbure : presque parfaite, y compris au niveau de la jonction manche/corps, vive le wenge. Le truss fonctionne parfaitement, mais le bois fait la majeure partie du boulot. Action globale : raz des pâquerettes, évidemment. Les cordes effleurent la touche partout, comme j’aime. Peut-être la basse la moins fatigante à jouer que j’ai eue vues les dimensions, l’action très basse et les cordes TI. Trussrod : simple action extractible, il a pas beaucoup de boulot à faire vus les bois du manche ! Finition du corps : pas de finition, pas de souci. Le bubinga est dur et s’assombrit avec le temps, donc ça vieillit bien. Finition du manche : nu aussi, mais le wengé donne toujours l'impression d'être verni tellement il est dur. Électronique : tout est très bien fait et n’a pas bougé. Dans les cavités des micros on trouve les habituels inserts pour les vis et les gros ressorts. Globalement, la qualité de cette NT est très élevée. Cependant, il faut bien le dire, elle est est inférieure à celle de la génération précédente qui était encore faite à la main. On échange la régularité des formes, des courbes et des à-plats contre la finition et les détails. Les bords de touche moins arrondis, les défonces des micros moins impeccables, les raccords des pièces de bois moins doux, plein de petits détails qui donnent une sensation moins parfaite et moins unique que sa grande sœur de 91 que j’ai également. Comprenez moi bien, la 97 est superbe, mais la 91 est dans une autre catégorie. Et puis, bien sûr, il y a tout cet accastillage de merde. Désolé pour la vulgarité, mais ça ne mérite pas d’indulgence. J’ai remplacé illico les 4 mécaniques et le cordier/chevalet qui juraient : ils avaient l’air d’avoir plus que leur âge alors que la lutherie est comme neuve. Du jeu dans les mécaniques qui perdent de l’huile, quelques petites vis allen du chevalet foirées, et la couleur noire bien passée sur les pontets qui commencent a s’oxyder. Au moins, cet exemplaire n’a pas le jack qui merde. Vous allez me dire : « Ben oui Kasco, elle a 26 ans ! » mais je proteste : j’ai une Thumb de 1991 dont TOUT l’accastillage d’origine est fonctionnel et propre. Pas de débat. C’est nul. Pourquoi ils ont fait ce choix d’accastillage low-cost à partir de 96 ? Ça me dépasse. Et c’est toujours le cas aujourd’hui… sauf sur les Masterbuilt à 6000 boules. 4 - Son Ah la Thumb NT fretless, qu’est-ce que c’est bon ! Maintenant que je connais assez bien la gamme, je peux dire que ce que je préfère, ce sont les frettées à manche vissé et les fretless à manche conducteur. Je trouve que c’est le meilleur de chaque monde. Aux Thumb frettées l’attaque supérieure, le mordant et la définition, aux fretless la profondeur, le grain et la chaleur. Bref, cette fretless est un plaisir. Elle est extrêmement bavarde. Je l’ai assez vite mariée avec des TI Jazz Flats , ce que je ne fais d’habitude jamais avec les fretless mais dans ce cas, c’est extra. J’ai tout ce que je veux de mwah et de précision, elle ne sonne pas du tout éteinte. Un mot sur les micros et le preamp : j’adore. A ce chapitre, elle n’est pas surclassée par son ancêtre. Les micros n’ont pas de personnalité particulière, mais l’equalo 3 bandes est très bien foutu. Il me semble très différent de celui que j’avais sur une NT5 moderne (9V) et nettement mieux. Le potard d’aigu a un fonctionnement assez particulier car il travaille aussi les hauts-médiums en parallèle. Par exemple, quand on coupe les aigus, les mids sont boostés et inversement. Ça donne un timbre très différent avec un seul potentiomètre. Une petite remarque : avec plus de deux octaves par cordes, une Thumb NT 4 cordes a une tessiture de 5 cordes à 21 frettes. Autant de notes que sur ma Fender Dimension V ! Un bassiste à petits bras peut la passer en BEAD et de jouer à partir de la cinquième position ! Allez, voila de la bafouille sonore. D'abord en round wound : Le potard d'aigus, en full boost, à plat et full cut. Interessant non ? Maintenant, en flatwound TI JF344 : Alternée avec la BO4 en round : En video avec prise de son devant l'ampli : Le potard d'aigu :
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