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AraokAtao

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Everything posted by AraokAtao

  1. une bâche de 2mX2m pour mettre derrière la scène.....
  2. AraokAtao

    Bongo

    C'est blérotator ton nouveau pseudo........ Je suis mort de rire.......... :lollarge: :lollarge:
  3. Je Veux ça en grand pour la déco du resto.........Faut tuer qui ? :lollarge:
  4. Ce qui serait bien c'est d'être assez bon en peinture pour être capable de faire un tableau de l'œuvre de Bashung...... j'ai toujours pensé qu'il peignait ses chansons....... C'est tellement visuel ce qu'il dit.... Je ne sais pas si on comprend bien ce que je raconte ce soir........
  5. pour le poids c'est Kifkif......... et plus elles sont vieilles plus elles sont légères à cause du séchage du bois....... :lollarge:
  6. AraokAtao

    Bongo

    Je sais pas mais moi Chez MM c'est la seule qui m'attire vraiment et quand une occase passera je saute dessus...... en vert je craque vraiment
  7. Ben oui moi aussi je suis triste , mais tu l'as dit toi même il est mieux ou il est....... la souffrance est la pire des vacherie de merde..... Et le plus important c'est de tirer sa révérence tant qu'il nous reste un poil de dignité....... c'est pas un mec qu'on a envie de prendre en pitié......juste continuer à l'admirer... Pour le compteur c'est dommage....mais bon à l'impossible nul n'est tenu...
  8. C'est une belle histoire, dont je suis impatient de connaitre la suite........
  9. J'aime bien, ça me fout la nostalgie du Festival.......... Je suis en train d'écouter vos rengaine et ça me plait bien........ faut venir à Carcassonne ....... foutre le feu à la Cité :lollarge: J'ai vachement envie d'un Kilt depuis longtemps......... peut être à la saint Patrick aux Frères de la Côte.... pour foutre l'ambiance....
  10. AraokAtao

    Basses Eastwood

    Désolé, c'est qu'ici tout le monde le sait à cause de ma "grande bouche" ....... C'est une enclave culturelle néo celtique en terres Occitanes......... Un restau bar musical à Carcassonne 11 quoi ! :lollarge:
  11. AraokAtao

    Basses Eastwood

    Ben ça c'est facile, elles seront à l'essai pour les amis au bar des frères de la Côte à partir de cet été........
  12. Il nous faut absolument un compteur pour le compte à rebours.......
  13. AraokAtao

    Basses Eastwood

    Bah c'est un peu la renaissance d'une légende les EUB d'Ampeg...... Le son est typé acoustique pour la fretless en filé plat et un peu passe partout pour le frettée..... rien de transcendant..... c'est de bons outils polyvalents capables de faire un peu tout si le bassiste est pas trop manche...... En plus ça a une certaine gueule ....Voilà....et puis moi, je suis collectionneur alors ...faut pas trop chercher à comprendre.......
  14. AraokAtao

    Basses Eastwood

    http://img211.imageshack.us/my.php?image=dsc00176p.jpg' target="_blank"> Ça y est j'ai les deux sœurs siamoises ...... Filé plat sur la fretless et rond sur la frettée........Deux sons aux antipodes....... Elles ont besoin d'un coup de lustrant pour enlever les marques de doigts sur les énormes pick guard Et dans l'esprit Ampeg; les potards en forme de dés à jouer.....J'aime bien
  15. Je t'ai dis que je prête quand tu veux....de toute façon tu devrais savoir mieux t'en servir que moi ?
  16. Que te dire.......sinon que je suis incapable de résister à tes propositions
  17. Tu peux me donner Mumul, le proces ( pour les nuls) pour installer ton lapin clignotant en avatar ? fais un truc bien détaillé......je uis plus tout jeune......
  18. sauf si tu as des sous à risquer dans ce type de bricolage hasardeux qui ne te satisfera sans doute pas à terme quand tu compareras le bijou à l'écrin....... je te conseille la solution de SEB54 de loin la meilleure....... Consacre tes forces et ton énergie à ta basse là tu sera accompagné par un pro et tu ne risques pas de te planter.......
  19. AraokAtao

    Topic Hs

    FILOUTERIES Les flics ne feront plus les poches aux pochetrons Caisses noires… ou de rosé / mercredi 16 avril 2008 par Simon Piel Recommander à un ennemi Dans une note de service que s’est procuré « Bakchich », le directeur central de la Sécurité publique demande à toutes ses brigades d’arrêter de prélever illégalement de l’argent sur les personnes arrêtées en état d’ivresse sur la voie publique comme c’est encore le cas dans « certains services ». Les flics vont trinquer… ou plutôt ne trinqueront plus. Sarko III, c’est parti. On nous l’avait promis, l’élan réformateur est en route et rien ne pourra l’arrêter. Première pierre de l’édifice, et dieu sait si le chantier est vaste, l’Ivresse Publique et Manifeste (IPM) ! Eric le Douaron en a même la gueule de bois. Dans une note de service datée du 23 janvier 2008, que Bakchich s’est procurée, le directeur central de la Sécurité publique s’adresse à ses troupes pour les rappeler à l’ordre. Désormais nos amis en casquette sont priés de ne plus prélever de « somme forfaitaire » lors de la « fouille des personnes placées en dégrisement ». Une « somme forfaitaire » qui atterrissait, jusque là, tout droit dans les « caisses dites des ‘IPM’ ». - JPG - 62.1 ko Veuillez pardonner la maison poulaga, tout ceci relève d’un léger problème d’interprétation. En effet, le code de la santé publique prévoit qu’ « une personne trouvée en état d’ivresse dans les rues, chemins, places, cafés, cabaret ou autres lieux publics, est, par mesure de police, conduite à ses frais au poste le plus voisin ou dans une chambre de sûreté, pour y être retenue jusqu’à ce qu’elle ait recouvré la raison ». http://img72.imageshack.us/my.php?image=jpgpoivrotf7423.jpg' target="_blank"> Certains de nos braves flics, qu’on ne saurait soupçonner de mauvaise foi, avaient lu : « Bourré tu es, prélevé tu seras, le pot de fin de semaine tu financeras ! ». Plus sérieusement, Bakchich a tenté de savoir où allait l’argent de ces « caisses IPM », mais en v(a)in. La vie n’est pas cirrhose dans la police Et comme le souligne Le Douaron dans sa note : « L’état du droit interdit aujourd’hui de mettre en œuvre ce recouvrement. » Ces mystérieuses caisses ‘IPM’ « sont en effet prohibées depuis la loi d’orientation et de programmation pour la sécurité du 21 janvier 1995 dont l’article 25 fait obligation de verser au fond de concours abondant le budget de ministère de l’Intérieur les sommes qui peuvent être prélevées à l’occasion de l’activité des services de police. » Treize ans après, il était temps d’apporter cette éclairante précision et ainsi couper la tête du verre solitaire. Et le directeur de la sécurité publique, perspicace, de noter : « la perception et l’utilisation de ces fonds irrégulièrement collectés érigent les fonctionnaires concernés gestionnaires de fait des deniers de l’État. » Effectivement, l’idée fait frémir. Voilà bien le genre de nouvelles que l’on aimerait consommer avec modération.
  20. AraokAtao

    Topic Hs

    Le poivrot. Je ne sais pas comment j’ai fait pour rentrer chez moi, par hasard peut-être, ou l’instinct, ou une sorte de conditionnement. On dit qu’il y a un dieu pour les ivrognes et ça doit être vrai. Je suis devant ma porte (je suppose que c’est la mienne…) et je cherche le trou de la serrure. En fait, je le vois bien le trou, il a une forme curieuse, il tangue étrangement, mais il est là. Le problème c’est que, soit la clé a grossi (c’est possible ?), soit le trou de serrure a rapetissé depuis hier. Malgré tous mes efforts, je n’arrive pas à faire entrer l’une dans l’autre. Quand la serrure accepte de s’immobiliser trois secondes, quand elle reprend sa forme normale, je fais une nouvelle tentative, j’approche la clé, doucement, j’essaie de bien viser, j’avance, je pousse, je tourne, rien ne se passe, la clé est à côté du trou, et voilà que la serrure se remet à s’agiter, et je m’acharne à la suivre des yeux (heu… ce sont peut-être mes yeux qui oscillent et pas la serrure…) pour la forcer à s’arrêter. Au bout d’un temps, assez long je pense (je m’excuse de l’imprécision mais je ne suis pas tout à fait en mesure de bien calculer les durées), je parviens enfin à faire entrer cette maudite clé dans ce maudit trou de cette maudite serrure de cette maudite porte de ce maudit appartement (bon, d’accord, je m’arrête là, sinon je pourrais remonter jusqu’à l’univers), et j’entre en traînant les pieds, un peu (beaucoup ?) titubant. Mon dieu, quelle cuite je tiens ! J’aurais peut-être dû m’arrêter au dixième verre, ou éviter le onzième verre et sauter directement au douzième, je pense que c’est le onzième verre qui m’a achevé. Le douzième, le treizième et… les autres, j’étais capable de les supporter mais c’est le onzième qui m’a assommé, j’en suis sûr. Bref, j’entre dans le salon, je retire mes vêtements, ils tombent je ne sais où, là où ils aiment tomber, sur le sol certainement. Je suis prêt à m’affaler sur n’importe quel meuble horizontal un peu confortable, canapé, lit, fauteuil, et à m’endormir, avec si possible une cuvette pas trop loin, quand… quand… je vois… -------------------- Bon, je suis obligé de lui couper la parole à ce poivrot, je ne peux quand même pas le laisser vous dire tout de suite ce qu’il vient de voir. Il faut d’abord que je vous raconte le début, sinon vous n’allez rien y comprendre. Alors, on va le laisser dormir et cuver, et je vais prendre le relais. Quoique… non, il ne dort pas encore, il est toujours debout, chancelant, hoquetant (quelle horreur ! va-t-il vomir sous nos yeux ?), mais bien réveillé et il regarde… le sol. Que voit-il sur le sol ? Je ne sais pas. Le grand corps du poivrot est devant moi et il me bouche la vue. Alors, en attendant qu’il se déplace et que je puisse vous décrire la scène au complet, je vais en profiter pour vous raconter toute l’histoire. Enfin, non… pas toute l’histoire, vous en connaissez déjà une grande partie (sinon lisez : Ouvrez l’œil). Donc je vais vous raconter à partir de… de… ce matin. Donc… ce matin notre poivrot (qui n’était pas encore un poivrot puisqu’il n’avait pas encore bu) est arrivé au travail, encore un peu déprimé par les évènements de la veille et très fatigué après sa nuit d’insomnie. Tous ses collègues semblaient l’attendre à la porte de leurs bureaux. Sur le moment, il a eu un peu peur que le cauchemar de la journée précédente ne se reproduise. Mais aujourd’hui, tout semblait différent, ses collègues lui souriaient gentiment, il n’y avait aucune trace d’animosité dans leurs regards. Leur attitude était encore un peu bizarre mais finalement elle n’était pas plus surprenante que celle la veille. Dès que ses collègues l’ont vu emprunter le couloir, ils se sont tous jetés sur lui. Mais… que veulent-ils encore ? L’assassiner ? Le torturer physiquement après l’avoir torturé moralement ? Le défenestrer ? Le dépecer ? L’écarteler ? Le flageller ? Le lapider ? Le castrer ? Le brûler sur un bûcher ? Le dévorer ? Hé bien… non… Contrairement aux apparences, ce n’était pas une agression. D’ailleurs les assaillants n’avaient pas l’air féroce, ils avaient retrouvé leurs visages francs et sympathiques de tous les jours. Alors, que se passait-il ? Pourquoi cet aimable assaut ? C’était, comment dirai-je, heu…, enfin bref… vous allez comprendre tout seul, je n’ai pas besoin de tout vous expliquer. Les femmes se sont accrochées à son cou pour le baiser… heu… pardon… l’embrasser tendrement (voluptueusement ? langoureusement ?). Les hommes lui ont serré chaleureusement la main en l’embrassant (dans le sens « enlacer », pas « baiser » ; quoique, quelques-uns, dont je tairai le nom, auraient peut-être préféré le baiser). Après cette scène charmante, magique, féerique, idyllique, mais incompréhensible, des explications ont été données au compte-gouttes (je parle des explications, parce que l’alcool a plutôt été servi à la louche). Et voilà ce que ses collègues ont dit à notre supposé martyr (je traduis et j’interprète leurs propos parce qu’en réalité, avec leurs langues pâteuses et leurs idées brumeuses, ce n’était ni nettement clair ni clairement net) : ils s’étaient ligués, la veille, pour lui faire une bonne plaisanterie, une blague d’un peu mauvais goût mais qui était nécessaire pour préparer l’accueil pharaonique d’aujourd’hui (pharaonique… heu… j’exagère un peu ?), pour préparer une journée de fête titanesque (titanesque… j’exagère encore ?), c’était son anniversaire aujourd’hui, et personne ne l’avait oublié et ils avaient apporté de l’alcool à foison, et ça allait être ce genre de fête qu’on n’oublie pas. Ils voulaient fêter son anniversaire en fanfare et ils ont fêté son anniversaire en fanfare. Et maintenant, vous comprenez pourquoi notre poivrot est un poivrot ? Retournons dans l’appartement, dans le salon. Il y a des murs, des meubles et un homme au milieu, immobile (heu… un peu chancelant quand même). Souvenez-vous, il y a un instant, il regardait quelque chose que nous ne pouvions pas voir car il s’était mis devant. S’est-il déplacé, ce gêneur ? Oui, et je peux désormais voir ce qu’il regardait, et ce qu’il regarde encore, avec tant d’attention (quoique… pas tant d’attention que ça : ses paupières tremblotent et se ferment souvent, son corps se penche, parfois en avant, parfois en arrière, parfois sur les côtés, il ne va pas tarder à s’étaler par terre). Bon, même s’il ne voit plus grand-chose, moi je peux tout voir et je vais vous raconter. Donc… dans la pièce (le salon), dans un coin (poussiéreux, je dirais que le ménage n’a pas été fait depuis… trois semaines ?), donc, dans un coin, poussiéreux, du salon, de l’appartement, du poivrot, face au poivrot, face à moi, face à vous lecteurs, face à vous lectrices, face à Dieu (celui-là, je le cite par précaution, ça peut toujours servir), face à… bon, je n’ai plus d’idée (si j’avais le courage, je citerais toutes les espèces d’acariens peuplant la poussière dans le coin de la pièce de l’appartement). Donc, face à l’univers, qui est pendu à mes lèvres, il y a un coin de pièce, et dans ce coin de pièce, il y a… il y a… UN RAT Il est allongé sur le sol et il regarde le plafond blanc, il est immobile, il refuse de bouger, il ne bougera plus, plus jamais, quoiqu’il arrive. Il a trop peur des autres, de ses ennemis cruels et intraitables… les hommes. Mais oui, vous avez bien compris, chères amies lectrices et chers amis lecteurs, nous avons devant nous : UN RAT DEPRIME
  21. Non ce qui serait absolument génial c'est un compte à rebours automatique jusqu'au 30 Juin date de l'ouverture de FDLC et de la chouille la plus mémorable de la vie de ceux qui viendront à passer par là......... je suis en négo avec le brasseur pour qu'il m'offre des fûts de bière........ http://img149.imageshack.us/my.php?image=poivrotblog.jpg' target="_blank">
  22. Qu'est ce que c'est encore que ces histoire de godes......... :lollarge:
  23. heu tu veux pas m'en bricoler un avec Taulier ou boss ou amiral à la place de supporter? quand t'auras le temps
  24. Sérieusement c'est rien que des conneries tout ça...... joue avec des gants de boxe....C'est ce qui protège le mieux :lollarge: :lollarge:
  25. Désolé, mais RdC c'est mon cousin et j'ai 95% de remise ..............................sur le transport...... en plus j'aime pas les Allemands, les anglais non plus, je supporte pas les belges et les luxembourgeois....... je préfère rien dire sur les Suisses et les Italiens, que je trouve aussi chiants que les Espagnols et les Portugais réunis.....quant aux Hollandais.....on comprends rien de ce qu'ils racontent....ça doit être des conneries..... Alors tu vois On a le droit d'être Européen et acheter chez qui on veut......... No sans dec pour l'informatique, j'ai des rapports privilégiés avec RdC et depuis trop longtemps pour que les laisse tomber pour la première gretchen qui passe.....Je suis comme ça. Je préfère faire marcher la boite à coucou de Jan pour me faire pardonner....... et vive le cochons d'abord ! :lollarge: :lollarge: trop, trop, trop, trop, trop, trop, bon.....il va falloir que je fasse gaffe à ce que je dis maintenant :lollarge:
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