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Je suis d'accord, d'autant plus que j'ai toujours pas compris pourquoi vous parlez tout le temps de gaufres....
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C'est pas punk, les fan club
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Les garçons, ça vous dit d'arrêter de parler chiffon pour qu'on parle un peu musique? Je viens d'apprendre une bien triste nouvelle : le décès de Genesis P Orridge, le/la charismatique leader de Psychic TV.
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Ah, sinon, 2 bouquins super bien, bien rock'n'roll écrits par des potes : Lucie Pressing de Ben Spizz : édité à compte d'auteur, c'est un très bon bouquin qui se lit bien et vite. Il s'agit d'une enquête qui se déroule dans le Paris punk underground et dans les hautes sphère de la politique. C'est vraiment très bien. Vous pouvez l'acheter au Lavomatik, l'excellentissime galerie Street Art & Punk, dans le 13e parisien, directement à Ben, le patron de la galerie. Ben est une perle. Je m'appelle Birdy de Franco Mannara (Calmann Levy) : C'est également une enquête qui se passe dans le Paris obscur. Franco est un super gars, qui vient du rock'n'roll et du Punk (c'est un immense fan de Garage, de Krautrock, il connait tout de l'Ecole de Canterbury,...un puit de science musical) et son premier bouquin est à son image : sans concession, incisif, direct et franc.Un très bon moment de littérature pour un polar bien direct. Il en a écrit un 2nd, Duplicata, mais je n'ai encore eu le temps de le lire.
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C'est écrit par le chanteur de Ludwig von 88 (groupe dont je ne suis pas fan du tout), je te le passerai dans 6 ou 7 mois, quand on pourra sortir de nos bunkers... Et pour Fontaines DC, je vote évidemment oui. C'est très Wire, dans l'esprit, donc j'aime beaucoup
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Pour la bande-son de la fin du monde, il faut que je réfléchisse, mais pour ce qui est des bouquins, vous avez lu Le club des punks contre l'Apocalypse zombie de Karim Berrouka? C'est hyper sympa à lire, c'est trashodébilorigolo comme on aime.
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Chic, on va parler herpès génital, ça va nous changer un peu du sujet ambiant actuel.
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La gaufre velue, c'est un peu comme la tarte au poil, non?
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Tranquille, les gars, je suis là... Je reprends le fil : C'est quoi cette histoire de gaufres?
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micro---> Mi Kanter
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Schtroumpf alors----> C'est pas glop
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Ca va être compliqué.
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Je les ai tous en vinyle première édition ET en CD. J'ai même un 45 hyper collector de Fugazi, totalement introuvable. Quand tu commandes direct chez Dischord, ce que j'ai fait une ou 2 fois, c'est vraiment pas cher, surtout si tu zappes la douane.
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@Kolia Excellent, Teenager. J'ai même mis une coupe de champion, parce que franchement, le titre du morceau est terrible. J'aurais juste rajouté "... in a cave , without a light". Héhé. Pour le coffret Hot Rats, c'est pas donné, mais tu as largement de quoi écouter et lire, donc si tu ramènes au prix d'un album standard, tu es dans un prix standard... Oui, je sais c'est un raisonnement un peu tordu, mais bon, ça marche pour justifier mes élans incontrôlés de discophile toxicomane.
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@Kolia oui, je voulais dire la sphère Dwyer. Pour le prix des skeuds, ben oui hein : Vive la hipsterisation de notre petit univers underground. Le garage, c'est comme les vieux bicylindres à plat, le seitan, le 618 de chez Schott, les coupe-choux et plein d'autres trucs : Si on ne veille pas au grain, ça va devenir des monopoles hipster. Mais bon je ne suis pas rancunier, je veux bien leur laisser 2 ou ou 3 trucs histoire qu'ils se reconnaissent entre-eux, comme les petites crèmes qui vont bien pour bien pour que la barbe, elle sente bon.... édit : réponse à lister K Non, mais c'est une bien belle pièce, ma foi!
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Pour moi, un groupe qui évolue sur le long terme et qui reste vraiment maître de son son sur disque, sans tomber dans aucun travers de la surproduction, c'est Thee Oh Sees.
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@sixela M'en parle pas, ces gauchers, ils feraient n'importe quoi pour se faire remarquer....
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Malheureux!!! poste pas çà sur ce topic, tu vas te faire marave ta race par @Kolia!!!!! bisou Kolia.... Pa tapé Wonderbro, lé gentil....
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Ton attitude est tout à ton honneur, c'est honnête : revendre plus cher quand tu remets en état, ça me semble normal, et le prix spéciaux OB, c'est cool. En revanche, je me suis fait avoir une fois par un forumeur il y a une dizaine d'années (je dirai pas qui c'est, et puis de toutes ça fait vraiment un bail qu'il a disparu). Je vendais une Stingray 5 Lefty comme neuve (je l'avais d'ailleurs acheté neuve) et le gars me dit dit qu'il reviens d'outremer, qu'il doit racheter tout son mobilier, qu'il n'a plus un rond mais qu'il a absolument besoin d'une basse... Bref, il négocie et je concède à lui faire un prix tout à fait en dessous de la cote. Le gars fait une très belle affaire et moi, je me dit que je fais une bonne action et comme c'est bon pour mon karma, tout va bien... Un mois après, je retrouve ma basse sur Leftybass (pour ceux qui ne connaissent pas, c'est un site allemand qui fait référence pour les bassistes gauchers) avec une plus-value de 400€, mais avec un prix qui restait carrément dans ceux du marché... Inutile de dire que c'était mieux qu'on ne se croise plus, lui et moi.
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Alors, c'est plutôt rigolo que tu parles des Beatles, parce que je crois que c'est un des Beatles (je ne sais plus lequel) qui a dit que le critère pour reconnaître une bonne chanson, c'est de la jouer seul sur une guitare folk. mais oui, je suis d'accord : Si ton son appelle les effets et les arrangements, c'est évident de les utiliser en studio. En pop, il y a des tonnes de trucs qui font appel à une production surdimensionnée (l'exemple peut-être le plus représentatif étant le Loveless de My Bloody Valentine) avec un résultat souvent hyper intéressant : Les 2 premiers Tame Impala, Pet sounds, Les Zombies et les albums solo de Colin Blunstone,... Il y en a beaucoup! Mais si tu fais du Garage, du punk ou du R'n'R, c'est évident que le côté brutal et premier jet est fondamental. One take, good take, comme disent les américains. L'énergie, le son Live, pas d'arrangements en rere.
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elle est jolie, ta fuzz!
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@Kolia Je suis tout à fait d'accord : J'ai les 3 premiers album de Hanni el Khatib, j'adore son univers, mais le son du premier est juste ...totalement authentique, avec ce côté rustique et rêche que j'adore. Un autre exemple d'une artiste que tout le monde vénère sur ce sujet : Dry, le premier PJ Harvey. insurpassable. Et pourtant, j'aime beaucoup ce qu'elle a fait après, Mais Dry a cette urgence, ce côté super brut si génial que n'ont pas les autres. @samdav Justement, c'est le danger du studio : Trop de possibilités. Personnellement, je trouve que c'est déjà hyper difficile de retrouver le son que tu as quand tu enregistres sur ton matos, dans un lieu que tu ne connais pas, avec des gens que tu ne connais pas, alors en plus tu commences à expérimenter plein de trucs, tu as carrément plein de chances de te perdre. Je te mets un exemple, c'est un morceau que j'adore, enregistré avec mon ancien groupe. Ca a été fait avec des moyens limités, 8 titres en 2 jours, comprenant le transport du matos, la pose des micros et le soundcheck, sur nos amplis, mais dans un lieu qu'on ne connaissait pas et avec un ingénieur du son qui n'avait écouté qu'une démo vite fait au zoom. https://goddog3.bandcamp.com/track/get-rid-of-you C'est très loin de sonner comme en répétition, c'st à dire garage et brut de décoffrage, c'est un compromis par manque de moyens, mais ça aurait bien pire si on avait commencé à bidouiller avec les effets et tout le bigntz du studio.