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label2k10

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Posts posted by label2k10

  1. Il est évident que financièrement ça reste préférable d'acheter petit à petit.

    Mais personellement je ne commencerais pas par le pré-amp.

    Je commencerais par la basse. Une fois la basse trouvée, le confort, le son, tu cherches l'amplification.

    Après tout tu peux faire ce que tu veux. :wink:

  2. on ne cite pas le message au dessus, merci

    dit-il en freepostant :bleh:

    Je suis d'avis d'attendre un peu et d'économiser pour acheter une belle basse qui sonnera sur n'importe quel ampli, ou alors un bel ampli qui fera sonner n'importe quelle belle basse si tu lui couple n'importe quelle belle enceinte.

    Suis-je clair ? :blink:

  3. Bonne question ! :lollarge:

    Comment fait-on !

    Honte à moi, je ne connais pas le protocole midi !

    Ce que je fais c'est que je définis mon entrée Midi : en l'occurence Presonus Firebox Midi IN

    puis je définis ma sortie : un instrument virtuel quelquonque.

    Quand j'enregistre, le resultat est aléatoire : soit ça enregistre tout ce que je joue (et il n'est pas super en place le gars qui joue d'ailleurs :goute: ), soit il m'enregistre rien du tout et/ou le plante un gros paté clusterien en debut de piste.

  4. Bonjour à tous.

    j'explique mon problème (sans m'énerver).

    Je veux enregistrer des instruments virtuels commandés par un clavier midi, tout ceci dans Cubase LE.

    Genre un orgue Hammond commandé par un pauv' Yamaha pas terrible mais qui fournit un travail à la hauteur de ses capacités (ne cherchez aucun saint-simonisme dans mes propos).

    Seulement, ben... ça ne marche pas à chaque fois. Et là ça m'énerve.

    Je n'arrive pas systématiquement à enregistrer mes parties midi jouées en externe.

    Par contre si je les écris sur Finale (en l'occurence) et que je les exporte en midi, ça fonctionne.

    Si quelqu'un peut guider mes pas, je lui en serais reconnaissant jusqu'à la fin de... disons la semaine. :wink:

    Merci à vous !

  5. Ne vous prenez pas la tête inutilement !

    J'ai passé pas mal de diplômes au conservatoire (à Saint Etienne BassHero) et jamais aucun ne m'a appris à avoir une écoute active en groupe.

    Mais ça s'apprend et ça se travaille tous les jours.

    Par contre je ne comprends pas pourquoi certains disent que jouer sur partition coupe des autres musiciens. En session d'orchestre je n'ai jamais eu l'impression de me couper des autres simplement parce que je lis.

    Seulement, je joue un truc que je ne connais pas par coeur mais le résultat doit être le même.

  6. Je mets ça là :

    à votre avis quel est l'intérêt/risque de buter les doigts qui attaquent (index-majeur-annulaire), sur les micros. C'est ce que je fais, et ça me donne une sécurité dans l'attaque : la course des doigts est toujours la même.

    Richard Bona a même poussé le vice jusqu'à mettre une rampe entre les micros ce qui lui permet d'avoir la même sensation que sur toute la zone de jeu.

  7. Voilà, ce que je fais en ce moment :

    -travail des doubles à 80, subdivision à la double, puis à la croche, puis plus du tout, tout en gardant mentalement la subdivision à la double.

    Puis je passe à 40, subdivion à la double, puis à la croche, puis plus du tout, en gardant mentalement la subdivision à la triple (oui oui). Ca me permet de bien sentir l'espace entre les notes.

    Ensuite je remonte tout doucement.

    De temps en temps je monte à 100-110-120 pour le plaisir de la virtuosité (tout est relatif hein :lollarge: )

    Pareil pour les divisions ternaires.

    J'ai une question, comment faites-vous pour "chanter" (ou prononcer) les doubles, parcequ'avec Takatata je n'y arrive plus à certains tempo.

  8. Les deux grands noms du contrepoint:

    Palestrina (fin de la renaissance, 16 ème)

    J.S.Bach (baroque tardif) son famaux livre "l'art de la fugue"

    Sinon le magistral Mozart et ses subtils polyphonies.

    Sinon vous avez tous les motets polyphoniques à 2, 3 ou 4 voix du moyen âge (bon courage!) avec Machaut et Vitry, et Binchois, Dufay, Busnois et consort pour le 15 ème siècle (les musicens de Bourgogne, il existe des "compilations").

    D'ailleur on devrait se faire des posts sur les bonnes vieilles méthodes de soutien harmonique comme le bourdon, faux bourdon, et basse continue! :)

    Par un heureux hasard, tu n'aurais pas Marc Desmet en prof d'histoire de la musique ? Parce que ça se voit un peu... :lollarge:

  9. Pour en revenir à la question qui a ouvert un débat fort interressant, il me semble judicieux et opportun de travailler dès le début sans aucun effet.

    En effet :bleh: , la qualité du son se travaille dès le départ.

    Veille donc à l'égalité des notes, leur sustain (le temps de la vibration de la corde quoi), leur brillance etc...

    Ecoute comment la corde réagit quand tu attaques vers le chevalet, au milieu ou vers le manche...

    Travailler la régularité, sous tous les doigts (Main gauche ET main droite), sur tout le manche.

    Comprends comment on peut étouffer les cordes qui ne doivent pas sonner (parfois avec la main gauche, parfois avec la main droite)

    Et travaille lentement, lentement et lentement... ce n'est que lentement que tu comprendras la mécanique. La vitesse viendra en temps voulu.

    En un mot : précision.

    C'est ce qui fera de toi un bon bassiste.

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