Bien d'accord. Et les rythmes et métriques latines sont parfois sensiblement difficiles à saisir quand on est de la vieille europe, malgré leur simplicité apparente, en tout cas, pour moi.
Par exemple, je suis largué - mais d'une force ! quand j'écoute ces musiciens colombiens. Je n'arrive pas à compter, les cycles m'échappent. Mais j'adore.
Je me demande souvent, peut être qu'un bassiste qui joue latin pourra m'éclairer ? si c'est la bonne approche de vouloir bien tout compter pour se repérer ? Ne vaut-il pas mieux s'imprégner d'une formule de base (claves) et broder autour, en faisant gaffe aux signes des copains pour les changements ?