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Mister Sandman

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Posts posted by Mister Sandman

  1. Les frais de douane, c'est plus de 25% du prix total (fdp in) à rajouter.

    Le port: aux alentours de 100 $ pour faire traverser l'Atlantique à une basse (un peu moins pour une basse légère type Mustang, un peu plus pour ma PB en frène).

    Combien depuis le Japon? Le mieux ne serait-il pas de poser directement la question au vendeur?

  2. S'il en est que ça intéresse, j'ai (enfin) trouvé le gigbag qui va me permettre de promener ma petite belle.

    C'est un Rockbag (by Warwick) et je l'ai trouvé chez Guitar Center à Lyon (ou je viens de passer deux jours à faire du tourisme).

  3. Il y a un petit appareil de chez Nobel un peu plus petit qu'une grosse boîte d'allumette. c'est pas cher, fonctionne très bien, et idéal pour les voyages. le voilà :

    http://www.thomann.de/de/nobel_bass_mycro.htm

    J'ai ce machin.

    Les +: très pratique (une patte de fixation permet de l'accrocher à la sangle), pas cher.

    Les -: aspect franchement "cheap" (à mon avis, les chutes sont à proscrire), casque d'origine en dessous de tout, et beaucoup de souffle (ça semble être un point commun à tous les petits pré-amplis portables).

    Mais c'est malgrè tout un achat que je ne regrette pas (surtout le soir au fond du petit appartement familial).

    Existe également sous la marque DEAN.

  4. J'avais eu le bol de tomber sur le prof "de mes rêves".

    Nous avions énormément de goûts musicaux en commun, il avait pigé qu'à mon age une approche "scolaire" de la chose n'était pas la plus adaptée, il était très peu cher (15€ pour un cours d'une heure qui durait souvent 90 minutes), et c'était un multi-instrumentiste passioné et doué.

    Malheureusement, il a du cesser cette activité et travaille actuellement hors de France.

    J'ai donc stagné quelques temps avant de m'inscrire dans une école de musique.

    C'est plus cher (environ 23€ pour une heure de cours collectif), moins personnalisé, mais ça présente d'autres avantages.

    Déjà l'émulation qui nait du contact avec d'autres musiciens (surtout s'ils sont meilleurs que toi).

    Ensuite le coté beaucoup plus "carré" de la partie théorique. C'est pas très drôle, mais force est d'avouer que c'est indispensable et que sans ça on se retrouve vite dans la position du gars qui a plein de belles phrases en tête mais qui ne peut les exprimer car il ne sait ni lire ni écrire.

    Tout ça pour te dire qu'il n'y a pas un prof ni une méthode d'apprentissage, et que ce qui convient à untel ne sera pas forcément adapté à ton cas.

    Je pense que tu dois d'abord bien définir tes attentes et ne surtout pas hésiter à les mettre en avant lors des contacts que tu prendras.

    L'aspect budget est également important.

    Une chose est sûre: quand on est comme moi aussi passionné que peu doué, l'autodidactisme montre vite ses limites ...

  5. Un peu de Maiden story (somewhere back in time) ...

    Jusqu'en 1985, la guitare au sein de la Vierge de Fer c'était une paire de six-cordistes aussi complices que complémentaires. Au notes cristallines et aux arpèges de Dave Murray répondaient l'attaque plus agressive et le son plus "crunchy" de Adrian Smith, dans la grande lignée de ce que de glorieux aînés avaient fait avant eux, THIN LIZZY en tête.

    Puis Smith se prit de passion pour les guitares-synthés et commença à en coller partout (certains diront "à outrance"), au grand dam de Steve Harris. Le résultat de cette mutation fut l'album Somewhere in time qui, s'il scotcha tout le monde à sa sortie en 1986, est probablement le disque de IRON MAIDEN dont la production a aujourd'hui le moins bien vieilli.

    La reprise en main de "son" groupe par Stivarisse fut amorcée sur l'album suivant (l'ovni progressif Seventh son of a seventh son), mais la rupture était consommée avec Smith qui jeta l'éponge à la fin du Seventh Tour début 1989.

    C'est à cette époque que Bruce Dickinson commença a avoir ses premières velléités de carrière solo et qu'il recruta le groupe qui allait l'aider à pondre son premier opus, le très rock n' roll Tattooed millionaire. Sur ce disque, les guitares et la majorité des compositions étaient l'oeuvre d'un certain Janick Gers (ex-Ian Gillan Band, entre autres).

    C'est ainsi que j'ai découvert ce guitariste lors de la mémorable date française du Tattooed Millionaire Tour en 1990. Autant vous dire que dans cet Elysée Montmartre bondé et dans lequel la température devait allégrement dépasser les 40°, son jeu de scène flamboyant (et à l'époque complètement innovant) laissa tout le monde bouche bée !!!

    L'annonce quelques semaines plus tard de sa titularisation au sein de IRON MAIDEN sembla donc naturelle pour quasiment tout le monde.

    Car il serait pour le moins injuste de nier que l'arrivée de Gers au sein du groupe lui apporta une bouffée d'oxygène (et le sauva même peut-être de l'asphyxie).

    Scéniquement, Janick Gers arrivait à point nommé pour faire le pendant à un Dave Murray alcoolique et empâté.

    Sur le plan des compositions, Gers allait également s'avérer être un des élément moteurs du groupe durant des nineties un peu difficiles, signant des titres comme "Be quick or be dead" ou "Man on the edge" pour ne citer que les plus connus.

    C'est par contre sur le plan du jeu que les résultats de cette greffe furent moins concluants . Le style "brouillon" de Gers est en effet bien éloigné des duels finement ciselés auxquels la paire Murray-Smith nous avait habitués jusqu'alors, et si cette manière de jouer fait merveille sur un titre comme "From here to eternity" il faut bien reconnaître que c'est bien moins heureux sur des classiques comme "Two minutes to midnight" ou "The number of the beast".

    Quand en 1999 fut annoncée le retour du tandem Dickinson-Smith au sein de IRON MAIDEN, nous fûmes nombreux à penser que l'avenir de Janick Gers allait s'opacifier d'un coup.

    Or, contre toute attente, il n'en fut rien et c'est bien le coté le plus sympathique de cette réunification. Car s'il est clair que IRON MAIDEN n'a pas besoin de trois six-cordistes, il aurait été injuste de jeter Gers après ce qu'il avait apporté au groupe durant les neufs années les plus sombres de son existence. L'humain avait eu raison de l'aspect commercial qu'aurait représenté la réunification à l'identique du line-up de l'age d'or du groupe, et on ne peut que s'en réjouir.

    Restait à répartir les rôles entre Smith et Gers.

    Jusqu'à la dernière tournée, Gers avait gardé beaucoup des parties de guitares autrefois dévolues à Smith. Or, sur la tournée actuelle, on peut voir que Adrian Smith a "récupéré" la quasi totalité de ses parties d'antan. De plus, hormis sur "The trooper" qui est une tuerie joué à trois guitares et "Revelations"qui a toujours été joué ainsi, avoir six cordes de plus s'avère complètement inutile.

    Janick Gers ne sert donc plus à rien sur scène.

    C'est malheureusement également aussi un peu le cas en studio. Si plus du tiers de l'album Brave new world porte la signature de Gers, sa contribution à Dance of death est bien moindre et elle devient presque symbolique en ce qui concerne A matter of life and death.

    Alors faut-il ce débarrasser de celui que certains appellent "la danseuse"?

    Je ne pense pas , car même s'il n'a jamais été membre du IRON MAIDEN "historique", il n'en est pas moins un personnage-clé de la Maiden Story et son apport au groupe durant ces sombres nineties fut plus qu'essentiel.

    Si on m'avait dit qu'un jour j'écrirai un plaidoyer pro-Janick Gers ...

    Sinon, que dire à propos de ce début de semaine?

    Que dire?

    Entre IRON MAIDEN et le POPB, c'est quelque chose de spécial. C'est vraiment leur salle.

    En vingt ans, je n'ai raté qu'un seul de leurs passages dans cette arène (en 1999, j'étais à 8000 bornes de là pour le boulot, je me les bouffe encore !!!) et à chaque fois je suis scotché par cette ambiance de folie qui émane du chaudron rempli à ras-bord, et par cette communion entre le groupe et son public.

    Autre chose qui me stupéfait à chaque fois, c'est que si les "anciens" (genre moi) sont toujours là avec de moins en moins de cheveux et un peu plus de bide tournée après tournée, les gamins sont toujours présents en grand nombre et connaissent par coeur des titres écrits bien avant qu'ils ne soient nés (comme le fera remarquer Bruce).

    Mais revenons à nos moutons.

    Le Maiden 2008 est un excellent cru!

    Son nickel d'emblée (pour une fois ils n'ont pas mis deux titres à trouver le bon mix pour la voix), scénographie top niveau, set-list de folie, le pied !!!

    Le groupe était en excellente forme, avec un Stivarisse plus mobile que jamais, un Bruce qu'on n'avait pas vu autant bondir depuis des lustres, une paire Murray/Smith beaucoup moins en retrait que d'habitude, du tout bon!

    Ce regain de forme du groupe s'apprécie encore d'avantage au regard de la set-list. En effet, jouer 100 minutes de répertoire "eighties" est autrement plus exigeant physiquement que de faire un show basé sur les titres de la dernière décennie. Le tempo moyen de cet set-list est très élevé. De plus, Bruce parle finalement assez peu entre les titres. A peine avions-nous fini de clamer les "Ooohoohoo ..." de "Heaven can wait" que déjà nous beuglions des "Run to the hiiiiills" à nous en faire pêter les cordes vocales, pas de temps morts.

    Dans la bande de potes qui était avec moi hier soir se trouvait Bertrand, 45 ans, qui venait assister à son premier concert "métal". Je lui avais dit "Tu vas assister à une grande messe". Il est ressorti sur le cul !!! De son propre aveu, jamais il n'avait connu une telle ambiance au POPB.

    Ce Somewhere Back In Time Tour est un excellent millésime, et les deux show de ce début de semaine sont peut-être les meilleurs que le groupe ait donné à Paris depuis le Brave New World Tour.

    Quel pied j'ai pris !!!!

  6. Qu'en est-il du sustain?

    La masse de la tête joue un grand rôle dans ce paramètre, c'est pour ça que certain rajoutent du lest au bout de leurs basses, et que Fender est passé de la tête type Telecaster à celle que nous connaissons actuellement.

  7. C'est vraiment excellent en termes de son, mais c'est dangereux.

    Dangereux car, comme c'est dit plus haut, ça isole trop du monde extérieur pour une utilisation urbaine sans risques.

    Dangereux aussi pour l'ouie, bien plus que des écouteurs classiques.

    Si la nature nous a dotés d'une oreille externe (c'est à dire d'un pavillon et d'un conduit auditif), ce n'est pas uniquement pour que nous puissions mettre des lunettes à 40 ans ou pour justifier la présence d'un auriculaire à chaque main.

    Cette oreille externe sert à "casser" l'onde sonore et à la canaliser afin qu'elle ne frappe pas le tympan de façon laminaire.

    Les écouteurs intra-auriculaires shuntent cette première protection naturelle de l'appareil auditif.

  8. C'est clair que depuis deux ans, SQUIER sort des produits réellement allèchants.

    Cette nouvelle série ne déroge pas à la règle, mais il y a un petit détail qui ne fait pas "Fender vintage" et que les "puristes" ont du remarquer: le réglage du trussrod.

    Si mes sources sont bonnes, ce n'est qu'en 1966 avec l'arrivée des short-scale Musicmaster et Mustang que les Fender ont commencé à avoir ce réglage coté tête. Tous les modèles antérieurs avaient la vis coté corps.

    Nulos, tu confirmes?

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