Mister Sandman

Ta pub pourrait être plus "subtile" ....

Vous connaissez tous ce sympathique petit synthé tactile.

Celui que je vends est dans un état impeccable (voire neuf), il est livré complet avec boite et papiers.

Le prix: 90€

Je suis sur Paris.

Je serais tenté de te dire: une Jazz Bass, mais tu es 7enderophobe.

Les gammes Yamaha BB ou Cort GB devraient te convenir.

Sinon, avec ton budget, une bonne Sandberg en occase récente est également envisageable.

Sans vouloir faire le "puriste", es-tu sur qu'il s'agit bien d'une PB Deluxe et non pas plutôt d'une Precision Bass Special?

Le terme "Deluxe" désigne généralement les modèles à électronique active chez 7ender.

Hêtre ou pas hêtre, l'étenelle question ...

Content que tu aies fini par trouver un instrument avec lequel tu prends du plaisir. Car c'st avant tout ce critère qui doit prévaloir.

Je trouve que le Fast-Fret marche bien aussi sur nos grosses cordes de basse, mais ça n'a aucune influence sur le "mal aux doigts".

Quand j'en mets, c'est uniquement coté manche, dans le seul but d'améliorer la glisse, et ça ne rend pas les cordes "plus douces" ou "moins rugueuses". Ca glisse bien mieux c'est tout.

http://www.eponyme-guitares.com/

Rapide et sympa.

Moi j'aime bien ce style qu'il avait développé, fait de mega-travelings tournoyants et de plans ultra-efficaces. Dans son créneau, c'était un vrai cador.

Mine de rien, je n'ai pas raté beaucoup de ses films, et très rares sont ceux qui m'ont déçu.

Quand aux motivations de son geste, respect, dans tous les sens du terme.

J'ai un diapason de 71,26 pouces (soit 181 cm).

Je ne suis pas expert, mais ma petite expérience me fait dire que le réglage "optimal" d'une Fender n'existe pas, et qu'en vérité c'est une question de compromis entre tous les facteurs que tu as cités. J'ai été confronté plusieurs fois à la même situation et à chaque fois j'ai du me résoudre à hausser les pontets pour pouvoir garder un manche "plat".

Merci du tuyau.

Et ça présente un réel intérêt sur une basse?

C'est débile car j'étais dans une bonne dynamique de réduction du nombre de basse, mais je viens d'en acquérir une cinquième.

Rien de neuf depuis ce post du mois de janvier, à savoir (dans l'ordre chronologique d'acquisition):

- ma "vieille" Fender PB Mike Dirnt (qui n'a pas vu la lumière depuis quelques mois)

- Musicman S.U.B (montée en flatwound, une tuerie!)

- PB "home designed" (corps Fender, manche Mighty Mite mapple, chevalet Gotoh, Seymour Duncan SPB2)

- Fender Jazz Bass American Special (mapple, chevalet HiMass)

- Sterling by Musicman Ray34 (naturel, mapple, je n'avais aucun besoin de cette basse mais au prix où je l'ai eue ... )

Toutes sont équipées d'un D-tuner Hipshot.

Mon frangin en a sur sa Stratocaster, et ça semble marcher du tonnerre.

Par contre, je ne crois pas que ça existe pour basse, sans doute à cause de la tension des cordes.

J'hésitais justement entre un SPB2 et un SPB3 dans le cas où je choisirais une Classic Vibe...

Je te conseille le SPB2: pêchu mais tout en gardant une vraie polyvalence. Le SPB3 est plus "patator" (stivarisse style).

Déjà plusieurs commandes chez eux et jamais de soucis de livraison(1 semaine maxi).

A moins que ta maison ne soit un chateau, je pense que tu n'as pas forcément besoin d'une armoire normande (chauffante de surcroît).

J'ajoute donc une voix à l'option "cube Roland". Connectique complète, réellement polyvalent, toute une gamme de puissances, tu devrait trouver chaussure à ton pied.

Tu as du faire ça le dimanche à 6h du mat' pour pouvoir filmer tranquilement.

Bravo en tout cas.

A tirant égal, les flatwound sont plus "raides" que les rondes (normal: il y a moins de "vide" dans le diamètre total de la corde).

Rock et dérivés, avec quelques reprises de titres bien pop à la base mais "virilisés" par nos soins.

L'un des atouts de ce groupe (Hawks), c'est que nous n'avons pas tous le même age (30, 32, 36, 42, 46 ans), et que nous avons donc des backgrounds musicaux différents, d'où un certain brassage.

J'ai une MM Sub montée en flatwound, et je n'aime pas le son de ces cordes lorsqu'elles sont neuves. Je les fais donc durer le plus longtemps possible (le jeu actuel doit avoir deux ans).

Pour les coated montée sur ma PB, c'est le "peluchage" et la perte de glisse qui provoquent le changement.

Pour les "normales" c'est bien plus subjectif (passage chez le luthier, traces d'oxydations trop prononcées, envie d'essayer un autre modèle de cordes, ...)

En pratique, le fait d'avoir plusieurs basses, de ne jouer qu'aux doigts, et de ne pas être un travailleur acharné font que mes cordes ont une durée de vie assez longue (plusieurs mois au bas mot).

Si elles partent vite à 50€ en occase, c'est peut-être le signe que ça les vaut, non?

J'en ai une qui dort, tu es dans quel coin?

+1 avec tout ce qui a été écrit concernant le gars du studio.

Mais je pense que tes rapports avec tes gratteux ne sont pas très clairs: êtes-vous un groupe ou es-tu leur "subordonné rythmique"?

Que tout le monde oeuvre à l'amélioration du son d'ensemble du groupe, c'est très bien. Mais que chacun sache faire son autocritique et rester à sa place.

J'ai quitté mon premier groupe à cause de ça: un guitariste vraiment leader sur le plan musical mais absolument nul en "RH" qui passait son temps à pointer les "fautes" des autres sans jamais se remettre en question ni souligner les trucs sympas qu'untel pouvait apporter. Son exigence et sa rigueur m'ont fait progresser, mais quand le loisir vire à la prise de tête, il faut savoir être raisonnable tu ne crois pas?

L'immense majorité d'entre-nous joue avant tout pour se faire plaisir, et cette notion doit rester primordiale et non-négociable.

P.S: mon groupe actuel compte trois guitaristes. J'ai parfois un peu de mal à percer le mix (ça joue fort ces bêtes la!) mais ça se passe nickel. Comme quoi, c'est avant tout une question d'individus.

Plus d'une heure de retard sur l'heure de passage prévue, une set-list remaniée trois minutes avant d'être sur scène (la chanteuse "guest" du dernier titre voulait choper son dernier métro), des pains mais aussi de vrais moments d'osmose collective, et au final un réel plaisir de jouer que nous avons réussi à transmettre aux courageux qui étaient encore là à cette heure tardive.