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Enkidou

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    La musique, et plus particulièrement la basse (surprenant, non?), manger et jouer avec le chat (mais pas jouer avec la nourriture et manger le chat), lectures en tout genre et vivre le plus longtemps possible en bonne santé.

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  1. Partager un petit verre d'antigel réchaufferait sans doute les cœurs et les âmes. En revanche, on risque la fonte des cerveaux.
  2. Celle qui traînait sur Zikinf en occaz ?
  3. J'ai une Glockenklang Steamhammer, et c'est très très propre, très fidèle — sans être aseptisé ; class D, mais avec un « class A input stage », comme c'est écrit sur le site de Glock. Je ne me sers ni de la section Drive ni de l'EQ d'ailleurs (qui est commutable et très réactive). L'autre avantage de cet ampli est le petit switch d'impédance qui permet d'adapter la puissance en fonction des besoins et des cabs disponibles. Tu peux éventuellement brancher 4ohms+8ohms (=2,7 ohms) : Impedance switchable power either 700 W / 4 ohm, 380 W / 8 ohm or 700 W / 2,7 ohm, 470 W / 4 ohm, 240 W / 8 ohm Couplé à un cab Bergantino HDN210, je suis personnellement comblé. Et si j'avais besoin de plus de puissance ces jours prochains, j'opterai sûrement pour un Markbass 410 MBR58 Pure (pour les rapports qualité/prix/poids/puissance).
  4. C'était mon film préféré lorsque j'étais lycéen — avec Barry Lyndon de Kubrick.
  5. Quitte à détonner un peu avec les styles des albums généralement proposés en amont, et quoique j'en aime moi-même beaucoup un certain nombre (BSSM, Dark side of the moon, Prince, Surfin with the alien, etc.), je me lance à mon tour : 1 - You must believe in spring, Bill Evans. Parce que c'est tout simplement splendide à tout point de vue (musicalité, qualité de l'enregistrement, sensibilité, symbiose des êtres réunis ce jour-là), que j'ai écouté cet album un nombre incalculable de fois et qu'il me fait et me fera pleurer chaque fois que je l'écouterai (oui, pour de vrai, c'est plus fort que moi). La déchirure permanente d'Evans qui pèse et en même temps vous soulève l'âme à chaque note, la discrète mais essentielle présence d'Elliott Zigmund à la batterie, qui apporte toujours la touche qu'il faut et virevolte avec précision et délicatesse, et Eddie Gomez qui fait chanter sa contrebasse comme jamais (à mon avis le plus grand improvisateur tous bassistes et contrebassistes confondus du jazz au sens large). Du grand art — plutôt mélancolique, certes, mais vital, qui exprime la beauté du tragique de l'existence. 2 - Os Afro-sambas, Baden Powell. Baden Powell, c'est un enfant de trois mille ans qui vous parle ; ça vient des temps immémoriaux et ça conserve pourtant la fraîcheur de la petite enfance. Ça concentre l'essentiel de la signature typiquement brésilienne, ce mélange (encore plus prégnant que dans le jazz) des traditions musicales africaine et occidentale. Je ne suis croyant en aucune manière, mais je n'échappe jamais au mysticisme qui émane de cet album et de la personnalité de Baden. Il croit à votre place que les esprits habitent le monde, et sa musique est tellement envoûtante que ce musicien-chamane vous fait communiquer avec une autre réalité. Ça semblera une envolée lyrique outrancière à certains, mais c'est ainsi que je le perçois, et explique pourquoi je trouve cet album si spécial. 3 - Live au Zénith, Michel Jonasz. Là c'est avant de l'ordre de la nostalgie et de l'affectif. Je suis allé voir plusieurs fois Jonasz en concert avec ma mère quand j'étais gamin (dont cette tournée), connaissais les paroles de pas mal de chansons par cœur, et je regrette par ailleurs que l'on ait pas, plus ou pas eu plus de chanteur de « variété » de ce calibre dans le paysage français. C'est très bien écrit et arrangé, et Jonasz, un authentique mélomane, s'est toujours adjoint les services de top musiciens. Ici Steve Gadd et Abraham Laboriel à la batterie et à la basse. Merci à tous pour vos contributions en tout cas, que j'ai aimées parcourir — on découvre toujours des choses qu'on ne connaissait pas, ou très mal.
  6. J'en ai équipé mes deux Roscoe 5 cordes (en noir et en chrome) : elles fonctionnent très bien, ont allégé la tête et donc amélioré l'équilibre en jeu debout comme je l'escomptais (35" avec du "surpoids" à la tête = un manche un peu trop sujet à la gravité à mon goût) et me paraissent d'une fiabilité comparable à celle des Hipshot ultralite — qui sont un peu plus chères et moins accessibles au tout venant sur le marché UE.
  7. Ah ! Quand même, les brésiliens, rythmiquement, ils ont un truc en plus, sans compter un sens de la mélodie très développé en raison de leur héritage musical spécifique. Même quand c'est complexe et virtuose, ça continue de sonner assez naturel. Je crois que ce morceau est un hommage au bassiste Arthur Maïa. On notera la petite touche médiévale de la mélodie principale, comme un clin d'œil de bon aloi.
  8. Album extraordinaire et live envoûtant. Un album pourtant dédié à Ron Hubbard ; et devenir scientologue ne confèrera à quiconque le génie de Corea — que j'adore, aussi bien en qualité d'instrumentiste (quel sens de la pulsation, quelle oreille et quel phrasé) que de compositeur (une signature inimitable et très personnelle, la marque des très grands).
  9. Avec une superbe Keith Roscoe LG3006 ! J'ai deux SKB (une custom 5 frettée et une standard plus 5 fretless) que je chéris au plus haut point. Ç'a été pour moi un vrai coup de foudre quand j'ai eu la Custom 5 entre les mains en vue d'un échange — qui fut donc conclu. 3 notes tous les réglages à plat, et j'étais conquis.
  10. Comme ton avatar le laissait supposer également. Alors je rectifie : « Jolie technique main gauche ! ». J'ai jamais eu la ténacité de prolonger suffisamment longtemps l'apprentissage de cette technique pour être à même de m'en servir avec fluidité, mais je trouve que ça donne de beaux résultats sonores chez ceux qui l'emploient.
  11. Jolie technique « main droite » @AlexB6 ! (je ne sais si l'image est renversée où si tu es vraiment gaucher, c'est-à-dire un être diabolique) @Skankers : Perso, la descente finale du plan, je la joue comme sur la tablature, hormis la dernière note (le Ré grave) que je vais chercher sur la corde de Mi à la dixième case avec l'auriculaire. Je garde mes doigts sur les cases 6, 7, 8, 9 et ensuite me décale d'une case (7, 8, 9, 10) à l'attaque du Do bécare (dixième case corde de Ré). Ça m'est plus naturel et aisé comme ça. Je te recommande chaudement de travailler la gamme majeure par groupes de trois (do, ré, mi / ré, mi, fa / mi, fa, sol, etc.) et par groupes de quatre (do, ré, mi, fa / ré, mi, fa, sol / mi, fa, sol, la, etc.), en montant et en descendant, ainsi que chaque mode de la gamme dans toutes les tonalités et sur tout le manche, que ce soit en partant de l'index, du majeur ou de l'auriculaire à la main gauche. Bien sûr, comme d'hab, au métronome, d'abord doucement, puis en accélérant progressivement une fois que c'est bien propre au tempo qu'on s'est initialement fixé. Ça t'aidera énormément pour ce genre de plans, vu les automatismes que ça te fera acquérir. Et comme le dit fort justement @dieseonze, n'hésite pas à tester plusieurs chemins chaque fois que tu rencontres une difficulté de ce genre.
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