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lafrite

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Posts posted by lafrite

  1. Nous commentions les potards médiums parametriques de nos Cirrus (double potards) et ce que cela apportait.

    Je me suis permis de commenter en écrivant que la bague du bas des potards medium me rappellait exactement le système atypique des préampli Wal et Alembic.

    J'ai posté le lien pour creuser le sujet.

    Voilà, voilà...

  2. Le bouton du haut : niveau des médiums
    Le bouton du bas : un filtre appliqué aux fréquences médiums

    Ce dernier me rappelle les filtres présents sur les Alembics et les Wal.

    Kascollet a raison, ça complique les réglages en revanche on parvient à creuser le son au maximum.

    J'ai opté pour un ampli sans équalisation afin de simplifier les choses.

  3. Extrait d'une interview de Mike Porcaro dans Guitariste Mag, au début des années 2000 :
    "Etant un grand collectionneur, j'ai à peu près tout ce que tu peux imaginer : Music Man, Fender ,Alembic, etc. Mais je suis définitivement amoureux du son que me procure cette basse, sur scène. Pour répondre à ta question, c'est un modèle de série, qui, à ma connaissance, n'a pas subi de transformation. Un super instrument, bien moins cher que beaucoup d'autres."

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  4. Extrait d'une interview de Mike Porcaro dans Guitariste Mag, au début des années 2000 :
    "Etant un grand collectionneur, j'ai à peu près tout ce que tu peux imaginer : Music Man, Fender ,Alembic, etc. Mais je suis définitivement amoureux du son que me procure cette basse, sur scène. Pour répondre à ta question, c'est un modèle de série, qui, à ma connaissance, n'a pas subi de transformation. Un super instrument, bien moins cher que beaucoup d'autres."

  5. Elle était en sequoia (Redwood) un bois disponible en série, corps aulne, touche érable, tête sans placage comme inachevé, absence du potentiomètre concentrique des mediums.

    Concernant l’histoire de prototype pour Porcaro c’est improbable car le patron de Peavey lui aurait simplement  donné une Cirrus à l’essai, modèle qu’il n’a plus quitté jusqu’à la fin de sa carrière.
    Une noyer puis la fameuse Tiger Eye.

    Mike Porcaro n’a jamais participé à l’élaboration d’un instrument. Il prenait ce qu’il pensait être le plus efficace.

  6. il y a une heure, Sven a dit :

    Ca va me réveiller des envies de CIrrus, alors que le diapason 35 je sais que ça le fait pas pour moi ...

    C'est curieux les histoires de diapason.
    J'avais renoncé à l'Alembic de mes rêves justement à cause de son diapason de 34" qui rendait l'accès à la première case très difficile.
    En revanche sur la Cirrus en 35" aucun problème.

  7. Chers amis,

    Voici un instrument fantastique la Peavey Cirrus.
    Peu connue du grand public dont l'opinion se limite à certains préjugés concernant la marque.

    Instrument de prédilection de Mike Porcaro depuis 1999, il opta en 2002 pour la version Tiger Eye, très polyvalente, avec des graves plus profonds.

    Fabriquée en 2002, voici ses caractéristiques techniques :

    • Diapason de 35 pouces
    • Manche conducteur en érable moucheté / amarante vernis satiné 
    • Corps acajou vernis brillant uréthane
    • Table et tête érable ondé finition Tiger Eye
    • Manche renforcé avec deux tiges graphite 
    • 2 micros actifs VFL
    • Préampli actif 18 volts
    • 24 frets
    • Électronique active 3 bandes +/- 10 db 
    • Canal médium à double potentiomètre pour l'équalisation des médiums
    • Mécaniques dorées satinées
    • Potentiomètres, plaques arrière et plaque de protection de la tige de réglage noyer vernis satiné  
    • Repères et « C » (de Cirrus) à la 12ème case en nacre
    • Chevalet ABM multi-ajustable
    • Etui Peavey d’origine sur mesure très robuste

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    La longue corne supérieure confère un équilibre parfait qui participe grandement au confort de jeu sur ce très long diapason.

    Un son limpide, profond, qui rugit sans être trop agressif.  La position rapprochée des micros, à la manière des Ken Smith, y contribue. 

    Un manche satiné très agréable au toucher. 

    Très légère pour une cinq cordes : 4,5 kilos.

    John Taylor, bassiste de Duran Duran l'a aussi adopté " Consistancy, narrow, strong, without getting in the way of other frequencies... It plays for me...".

    L'équalisation des médiums permet de sculpter le son à l'infini.

    D'une polyvalence absolue, cette basse m'a permis de revendre toutes les autres.

    Une petite video pour illustrer le propos : un groove de l'immense et pourtant si humble Mike Porcaro.

     

     

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