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J'ouvre ce sujet pour faire partager mon dernier projet en date et profiter pour répondre à certains d'entre vous qui souhaitaient obtenir plus d'infos. Après 2 premiers projets de jazzbass passive, l'idée était de d'utiliser mon expérience de GASeur (une cinquantaine de basse en 2 ans et demi) pour réaliser une basse qui combinerait tout les atouts sur le papier. Voici donc le "cahier des charges" du projet avec à chaque fois mes références pour justifier mon choix) : - Un corps avec une âme en frêne (expérience de mes Roscoe, Fender, Ibanez, Brubaker, Musicman) - Une table en noyer pour le look (Ken Smith) - Une forme Jazzbass moderne, avec des formes échancrées (Sadowsky) - Un manche full wengé pour le growl (Warwick) profil slim (JB MM) - Frettes vintage mandoline en inox pour une durée de vie plus longue (Aquilina) - Touche ébène (Pedulla, Schack, Peavey) - Mécaniques hipshot ultra lite (Roscoe) - Sillet Black Tusk (j'aurai préféré du laiton, mais pour l'instant c'est comme ça) - Micro bartolini (Tobias, Roscoe, Brubaker, Pedulla) - Electronique Hazlab 3 bandes provenant d'une Fodera Victor Wooten, avec des cavités electro et micro blindé à la feuille de cuivre - Chevalet Babicz : parce que plusieurs personnes m’en ont dit le plus grand bien, pour le poids et aussi un peu pour le look L'autre objectif était le poids, avec des Roscoe et des Tobias à 3,7 kg, on prend goût à la légerté. En partant avec du frêne pour le corps et du wengé pour le manche, je suis parti avec un sérieux handicap mais avec un corps réduit à une épaisseur de 37mm (contre 42 pour une JB traditionnel), une défonce d’active à l’arrière et une selection rigoureuse du bloc de frêne et des hipshot ultralite, j’ai tenu le pari. Pour la finition, j’ai choisi de teindre le frêne avec une teinte cosmo black, le noyer est révèlé avec du Tru Oil, le tout fini avec un pelliculage polyuréthane satiné. Voici les photos des différentes étapes : Le choix de la table La découpe Le résultat brut Le travail de finition