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Alternative, Indie & Underground Rock, Punk, Pop & Garage


wonderbro

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  • 2 weeks later...
Le 14/8/2018 à 11:59, Harry a dit :

J’y vais le vendredi pour the Brian Jonestow Massacre, Shame et the Limiñanas.

Je crois que j'y serais allé le vendredi aussi...C'était bien ?

J'ai écouté Joy de Ty Segall et White Fence, j'adore donc je ne serais jamais objectif.

J'ai écouté le dernier Vulfpeck aussi, oui je suis en retard.

 

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Un roman de la rentrée pour ce topic, avec une bonne bande originale ? Hmmm ?

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La 4è de couverture :

 

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La bande-son :

 

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Un très bon week-end !

@wonderbro Je viens de retrouver mon livre sur Laurel Canyon, mais je l'ai prêté, je te le raconterai une autre fois. Je suis trop bon avec mes collègues !

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laurel canyon

J’ai finalement pu le récupérer plus vite que prévu ; j’aime ces gens qui gobent les livres et vous les rapportent à domicile contre un café !

Belle promenade dans un coin sauvage et vert de Los Angeles qui concentrait dans les années 60 des musiciens encore fauchés qui pouvaient s’acheter un bungalow pour quelques milliers de dollars. On se promène de rue en rue, de maison en maison notées sur un plan, on croise John Mayall, Crosby, Stills, Nash et Young, the Mamas and the Papas, Joni Mitchell, Carol King, Frank Zappa, les Doors, Danny Sugerman etc etc, c’est rempli d’anecdotes qui en font un sympathique voyage vers une époque révolue. 

Et puis ce n’est pas un livre qui serait réservé à une caste d’initiés, Arnaud Devillard regarde tout ça avec un certain détachement, il est drôle et ne joue pas les spécialistes condescendants et prétentieux. Ce fut une bonne lecture pour un dimanche après-midi ! (150p dont la moitié avec des photos et des plans du quartier)

 

TchoO

Mon chat, comme d’habitude, n’a aucun avis sur la question.

 

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  • 2 weeks later...

Allez, un bon livre !

Wild Side

New York en 1977, Matthew a seize ans, il quitte le Queens avec sa mère pour s’installer dans un nouvel appart à Manhattan, au 6è étage, son voisin du 8è est un certain Lou Reed. Il rencontrera l’art, l’amour, la liberté et forcément la fragilité humaine, la sensibilité aiguë et les moyens de la dompter, de la supporter en la transformant en musique ou en mots, trouver « des échappatoires à l’enfer » pour, avec un peu de chance, en sortir proprement et survivre. C’est un bel hommage à Lou Reed, ce papa de l’esprit punk, à l’art, le vrai, pas celui de l'émétique business man Bank$y.

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  • 2 weeks later...

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