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Petite Blague


Zebrabass

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Je crois l'avoir déjà vue ou postée ici mais bon... elle me fait toujours autant rire... donc:

 

Pendant une classe où l’on enseignait la morale et les bonnes manières, l’institutrice demanda aux élèves :

– Michel, si tu étais en train de faire la cour à une jeune fille de bonne famille, très bien éduquée pendant un dîner en tête à tête et que tu avais besoin d’aller aux toilettes que dirais-tu ?

– Attends-moi une seconde, je vais juste pisser un coup.

– Ça serait très grossier et très malpoli de ta part. reprend l'instit, Jean comment dirais-tu ?
– Je m’excuse, mais il faut que j’aille aux toilettes, mais je reviens tout de suite.

– C’est déjà mieux, mais c’est désagréable de mentionner les toilettes pendant les repas. Et toi Toto, tu serais capable d’utiliser ton intelligence, au moins pour une fois, pour démontrer tes bonnes manières ?

– Je dirais « Ma chère, je vous demande pardon de m’absenter un moment, je m’en vais de ce pas tendre la main à un ami intime que j’espère pouvoir vous présenter après le dîner ».

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une gentille... pour changer un peu:

 

Monsieur l’assureur,

Je vous écris en réponse à la demande d’informations complémentaires concernant mon accident de travail du 8 novembre dernier. J’ai précisé :
« manque de chance » dans la case réservée aux « causes du sinistre » et vous me demandez des précisions.

Je suis couvreur de formation. Le jour de l’accident, je travaillais seul sur le toit d’un immeuble de 6 étages. Une fois le travail terminé, cet après-midi-là, j’ai constaté qu’il restait environ 280 tuiles, ce qui représente un poids de près de 120 kg . Plutôt que de descendre les tuiles à la main, j’ai décidé de les placer dans un monte-charge manuel qui fonctionnait grâce a une poulie fixée au 6e étage.

J’ai donc chargé les tuiles dans la caisse du monte-charge sur le toit et suis redescendu au bas de l’immeuble pour procéder à la descente du chargement. Je tenais fermement la corde pour assurer la sécurité de cette manœuvre. Comme vous le noterez dans mon fichier médical ci-joint, mon poids est actuellement de 68 kg.

Dés que le monte-charge s’est retrouvé suspendu en l’air, j’ai été irrésistiblement attiré vers le haut et, je le reconnais, n’ai pas eu la présence d’esprit de lâcher la corde.
J’ai donc progressé à grande vitesse vers le haut de l’immeuble et, au niveau du troisième étage, j’ai rencontré le monte-charge qui, lui, progressait à la même vitesse en sens inverse. Cela explique la fracture du crâne que je vous ai mentionnée dans mon courrier précèdent.

Mon ascension s’est toutefois ralentie au niveau du 6e étage et s’est arrêtée lorsque mon index et mon majeur se sont retrouvés coincés dans la poulie. Cela détaille les nombreuses fractures de ma main droite que j’avais mentionnées. Suspendu en l’air et malgré la douleur intense, je n’ai pas lâché prise.

Mais au même moment, le monte-charge percuta le sol à vive allure, ce qui brisa net le fond de la caisse. Toutes les briques éclatèrent et se répandirent sur le sol. Le monte-charge endommagé pesait à présent environ 20 kg, si bien que, comme je tenais toujours fermement la corde, j’ai commencé une rapide descente vers le bas.

Au niveau du troisième étage, comme vous l’imaginez, j’ai rencontré le monte-charge à très grande vitesse, ce qui explique les quatre dents cassées et les deux côtes enfoncées que je vous ai reportées précédemment. Cette percussion du monte-charge a toutefois ralenti quelque peu ma descente si bien que mon atterrissage sur le tas de tuiles brisées ne m’a causé qu’une simple fracture du genou.

Le fait que je ne mentionne nulle part dans ce rapport la cause exacte de l’enfoncement de la cage thoracique que j’ai pourtant déclaré dans ma lettre précédente ne vous aura sans doute pas échappé. J’ai en effet le regret de vous informer que me retrouvant ainsi étendu sur un tas de tuiles brisées avec de multiples fractures, je n’ai pas eu la présence d’esprit de tenir la corde quelques secondes de plus.

J’étais donc dans l’incapacité totale de bouger lorsque le monte-charge de 20 kg a entamé sa rapide redescente…

Très cordialement.

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Le 15/02/2018 à 10:01, Pignolo69 a dit :

 

Énormissime, j'adore ! Purée ça en dit long sur ce qu'il s'y passe dans ces milieux :lol2: !

 

C'est 2 mecs sur un banc public, et ils regardent un pit-bull en train de se lécher les couilles. Un des deux mecs dit à l'autre : "Putain, qu'est-ce que je voudrais bien pouvoir en faire autant". L'autre il dit : "Bah vas-y, mais caresse-le avant !" :lollarge:

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Un mec rencontre par hasard une vieille connaissance. Ce dernier à un énorme insecte sur l'épaule.

- Mais qu'est-ce que tu as sur l'épaule? C'est surnaturel!

- Oui c'est une énorme mite que j'ai eu grâce au génie de la lampe. Si tu veux je te la prête, il t'exaucera un vœu.

Le soir même le mec frotte la lampe et le génie apparaît.

- Que désires-tu mon maître? demande le génie.

- Je veux un milliard! répond le mec.

- Ton vœu est exaucé!

Au moment où le génie disparaît, un billard américain flambant neuf apparaît.

Le lendemain le mec retourne voir sa vieille connaissance et lui dit:

- Il est pas au point ton con de génie. J'avais demandé un milliard et il m'a offert un billard!

Et l'autre de répondre:

- Je sais Tu crois franchement que j'avais demandé une énorme mite?

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Deux mamies atteintes de la maladie d'Alzheimer sont assises sur un banc public. L'une d'elle se lève.

- Je vais me chercher une glace à la vanille, tu en veux une?

- Oui, mais à la fraise. Tu devrais le noter pour ne pas oublier.

-T'inquiète, je gère.

La mamie revient avec des hot-dogs. Celle qui est restée assise l'air dépité lui dit:

-Ma pauvre, tu vois que tu aurais dû noter: tu as oublié la moutarde.

Edited by paf32
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Le pilote d'un A440 s'adresse aux passagers en début de vol grâce au micro de la cabine de pilotage:

-Mesdames et Messieurs, bienvenue à bord. Le voyage durera 5 heures et la météo est bonne. merci d'avoir choisi notre compagnie.

Il s'adresse ensuite au co-pilote sans se rendre compte que le micro est toujours ouvert et diffuse leur conversation dans tout l'appareil:

-Et maintenant il me faudrait un bon café et surtout une bonne pipe!

Lorsqu'elle s'en aperçoit, une hôtesse se précipite vers la cabine de pilotage pour avertir le pilote que tout le monde l'entend. Elle n'est pas encore arrivée dans le cockpit qu'un des passagers l'interpelle:

-Tout d'abord bravo pour le service en vol Mademoiselle, ensuite ce sera la même chose pour moi.

-Vous oubliez le café mademoiselle.

Edited by paf32
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Un chef de rédaction fait appeler un reporter dans son bureau:

-Je vous envoie un mois au Brésil pour un grand reportage.

Le journaliste assez peu enclin à quitter son chez lui pendant un mois argumente:

-Chef, c'est vu et revu le Brésil. On n'y trouve que des putes et des joueurs de foot!

-Vous n'allez pas sans savoir que ma femme est Brésilienne...

-En fait, répond le journaliste, je l'ignorais. Dans quelle équipe jouait-elle?

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Allez... une petite blague style Carambar!

 

 

Le CNRS, qu'on nous envie dans le monde entier, vient d’inventer des toilettes virtuelles – les e-toilettes

garanties écologiques et économiques.


Quand on tirera la e-chasse d’eau, on ne sait pas encore si le e-caca passera, mais le E-PIPI POURRA!!!
 

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Notre rubrique Culture - Le saviez-vous?

Beaucoup ne le savent pas, mais la femme de notre brave Emile Zola avait très mauvais caractère et était plutôt du genre assez revêche.
Institutrice de son métier, elle était redoutée de ses élèves. Ils l’avaient même surnommée la « Gorgone ».
Quand elle entrait dans sa classe, on pouvait entendre chuchoter les élèves,  tous les matins « 'tention les gars, v’là la gorgone Zola ! »

 

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n motard fonce sur sa Guzzi à 110 km/h sur une route déserte quand il se trouve nez à nez avec un petit moineau. Il fait tout ce qu’il peut pour éviter le malheureux oiseau, mais, rien à faire, la collision est inévitable !
Il voit, dans le rétroviseur, la malheureuse petite bête faire des pirouettes sur le bitume, puis tomber sur le dos, ailes étendues.

Pris de remords, il s’arrête, ramasse la bestiole inconsciente, achète une petite cage, et l’y installe douillettement, avec un peu de pain et une soucoupe d’eau pour quand elle se réveillera.

Le lendemain, l’oiseau se réveille, voit les barreaux de la cage, le morceau de pain et la soucoupe d’eau, se prend la tête entre les ailes et s’exclame :
« Nom d’une buse ! J’ai tué le motard et me voilà en taule ! »

 

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