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Découvrir le Jazz


Hellmacho

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Et du coup par rapport à ça alors ? Je n'arrive pas à écouter les 2 extraits plus haut plus de 2 minutes et pourtant j'adore ce que fait Thomas Laffont avec son quartet ! C'est pour ça que je nage un peu, c'est quoi son style à Thomas ? (je ne suis pas du style à vouloir catégoriser pour catégoriser mais je pense que ça peut m'aider à comprendre ce vers quoi je peux me tourner musicalement) 

Merci !

 

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il y a 55 minutes, ritier a dit :

bon , déjà on est trèèès loin de l'idée de départ :

" D'où ma question ici : pouvez-vous m'aiguiller vers quelque chose de soft qui puisse me faire rentrer en douceur dans ce monde de brutes ? "

Ensuite du jazz oui mais pour écouter ou pour jouer ? j'adore uzeb , weather report , hamasyan etc mais -non seulement j'en serais incapable -mais je ne jouerais pas leurs partitions ;

enfin pour moi le jazz c'est ternaire ,et même si ça ne fait pas le groove ,  c'est ça qui fait le swing ! *

(réponse de Ella Fitzgerald :" le jazz c'est ça " et elle a claqué des doigts )

en conclusion , quand on n'arrive pas à définir une sorte de musique , on la met sous l'appellation "jazz" 

et bien je ne suis pas d'accord , le jazz correspond à un style , une musique bien particulière et pourtant variée comme l'a dit aussi Gaille , plus haut ;

* la quasi totalité des vidéos présentées sont du binaire ...

Donc si c'est binaire, ça ne peut pas être du jazz ? Moi qui croyais que le jazz c'était quand il n'y avait pas de rythme défini ni de tonalité... C'est donc encore plus élitiste que ce que je pensais ! :lol: Je plaisante, évidemment...

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le jazz, c'est comme toutes les musiques, la littérature, la peinture...

y'a des époques, des courants, des génis... et en plus c'est de l'art, c'est totalement subjectif.

@Hellmacho si tu veux "comprendre" les styles etc, tu étudie le sujet,

avec le temps tu évolueras peut-être et aimeras des choses qui de déplaisent maintenant et vice versa

y'a pas de honte à avoir des gouts tranchés.

pour reprendre l'exemple de parker, j'ai écouté tous ses albums (officiels), j'ai étudié son style et son histoire, c'est pour ma culture et le respect d'un musicien majeur. mais je n'aime pas, l'un n'empêche pas l'autre.

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Le 19/11/2020 à 14:34, guyal a dit :

pour moi, l'entrée s'est faite par Kyle eastwood, Kneebody, et Snarky Puppy. dans le jazz "classique" J'aime beaucoup Monk, et Charles Mingus.

et puis dans la fusion Jaco évidemment, et Stanley Clarke.

J'ai écouté 2 albums de Kyle Eastwood et ça me plait beaucoup ! Merci

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Il y a 16 heures, Sanfroi a dit :

t'1 les œillères de ouf :help:

non , c'est sanfroi qui a dit ça ;

et oui , pour le jazz  , oui j'ai des œillères ,enfin surtout pour la définition du jazz ,

car il ne suffit pas qu'il y ait une contrebasse , un piano ou un sax pour que ce soit du jazz ...

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il y a 21 minutes, ritier a dit :

non , c'est sanfroi qui a dit ça ;

et oui , pour le jazz  , oui j'ai des œillères ,enfin surtout pour la définition du jazz ,

car il ne suffit pas qu'il y ait une contrebasse , un piano ou un sax pour que ce soit du jazz ...

Y a pas un sketch des Inconnus là-dessus ?

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Il y a 1 heure, ritier a dit :

oui j'ai des œillères ,enfin surtout pour la définition du jazz ,

dans ce cas, je t’encourage à revisiter ta culture jazz

https://fr.wikipedia.org/wiki/Jazz

https://fr.vikidia.org/wiki/Jazz

et s'il y a bien un truc important dans le jazz, c'est de ne pas avoir d'œillères  :bye:

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Salut,

quand je faisais une masterclass de jazz, on avait une blague :

deux musiciens discutent :

- le premier : mais c'est complètement faux ce que tu joues !

- le second : oui mais c'est du jazz !

- le premier : ah ben ça va alors !

Sinon, excellente la vannes de Zappa, surtout quand tu connais le vrai sens du mot funny dans ce contexte !

 

Edited by Ze bass
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bon je viens de relire et là , je me rends bien compte que je t'ai vexé Sanfroi avec ma plaisanterie des CD ,

sinon pourquoi tant d'agressivité ?

donc je m'en excuse .

petite precision :  "ma culture jazz "  à 70 ans , elle est derrière moi ,

d'ailleurs je n'ai meme pas lu tous mes bouquins jazzistiques , ces integristes me saoulent  ,

et je me mets un peu de motorhead ...

 

 

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Le 22/11/2020 à 15:56, pedroaabsinthe a dit :

Moi qui croyais que le jazz c'était quand il n'y avait pas de rythme défini ni de tonalité...

Si, si, il y a une tonalité. C'est juste qu'elle change tout le temps et qu'elle est difficile à percevoir dans des accords ouverts de 9e, 11e et 13e sans fondamentale ni 5te :ohyeah:

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Le 18/11/2020 à 15:06, Hellmacho a dit :

pouvez-vous m'aiguiller vers quelque chose de soft qui puisse me faire rentrer en douceur dans ce monde de brutes ? J'ai besoin d'une accroche mélodique en fait, pas que ça parte en c...... tout le temps et pour tous les instruments.

 

Il y a quelques années j'avais fait une compilation de morceaux de jazz à la demande d'un copain qui m'avait posé la même question.

J'ai retrouvé le texte d'accompagnement que j'avais rédigé (je ne jette jamais rien !). Le voici :

___________________________________

Ce CD est une invitation au voyage au pays du Jazz.

[EDIT 2020 : la liste des morceaux choisis se trouve à la fin de ce post]

Les morceaux choisis pour ce CD se proposent de mettre en lumière quelques hauts lieux de ce paysage vaste et extraordinairement varié. Naturellement, cette sélection est toute subjective, puisqu'elle reflète mes propres goûts, et aussi les limitations de mes connaissances de ce genre musical.

Pour ceux qui veulent simplement se livrer au plaisir de l'écoute, il est maintenant temps de mettre le CD dans le lecteur… Avant d'appuyer sur la touche PLAY, attention au risque de dépendance !

Pour les plus curieux, voici les quelques idées qui m'ont conduit à cette sélection :

Tout d'abord, qu'est-ce que le Jazz ? A défaut de le définir, on peut en donner trois caractéristiques qui ressortent toutes sur les morceaux de ce CD :

         les racines du Jazz plongent dans le Blues, cette musique dont la saveur toute particulière, cette impression de flottement de la tonalité, résulte de l'adaptation aux instruments occidentaux des gammes de la musique africaine (les premiers joueurs de Blues étaient les descendants directs des esclaves noirs importés en Amérique)

         le Jazz se caractérise par son swing, ce souple balancement rythmique qui vient, lui aussi, des cultures africaines

         enfin, le Jazz est une musique qui repose largement sur l'improvisation. Le musicien part d'un thème, souvent un « standard », et le développe au cours du jeu au gré de sa sensibilité. En ce sens, cette musique, peut être plus encore que d'autres, est le produit de l'émotion de celui qui la crée…

 

Mais assez parlé, écoutons ce que cela donne en musique !

le Blues

Commençons notre voyage par "WEST END BLUES", dont l'introduction représente à elle seule toute la contribution de Louis ARMSTRONG au Jazz, et "SAINT JAMES INFIRMARY", enregistrés par en 1928 (la musique est bonne, nous serons donc indulgents envers la qualité technique des enregistrements de cette sélection dont beaucoup datent de l'époque du disque 78 tours…)

le Swing

"THE MAN I LOVE", un standard souvent repris par les jazzmen, est interprété ici par les Coleman Hawkins' Swinging Four : Coleman HAWKINS au saxophone ténor accompagné par Eddy HAYWOOD Jr au piano, Oscar PETTIFORD à la contrebasse et Shelly MANNE à la batterie.

l'Improvisation

Assistons à cette master class d'improvisation que nous donne Sonny ROLLINS qui construit tout un monde avec son saxophone ténor à partir d'un thème tout simple : "SAINT THOMAS"…

 

 

Munis de nos 3 points de repère, poursuivons notre voyage au pays du Jazz avec Duke ELLINGTON qui joue de son orchestre comme d'une riche palette sonore, mettant en valeur l'expressivité de ses solistes. Dans "JACK THE BEAR", chef d'œuvre de sa période "Cotton Club" : Jimmy BLANTON (contrebasse), D.Ellington (piano), Barney BIGARD (clarinette), Cootie WILLIAMS (trompette), à nouveau B.Bigard, Harry CARNEY (fantastique saxophoniste, dont l'instrument, le saxophone baryton, n'était malheureusement pas considéré comme un instrument soliste à cette époque contrairement à l'alto et au ténor. Bien que Harry Carney n'ait joué que de courts solos, sa sonorité pleine et riche et son swing vigoureux ont largement contribué à donner de l'ampleur à la section de saxophones du Big Band d'Ellington…) et à nouveau J.Blanton ; dans "THINGS AIN'T WHAT THEY USED TO BE" : Johnny HODGES (saxophone alto), Taft JORDAN (trompette) et Laurence BROWN (trombone).

Voici "BODY AND SOUL", dans la magnifique interprétation de Coleman HAWKINS, dont on a dit (à juste titre) : « Adolphe SAX a inventé le saxophone et Coleman HAWKINS lui a donné une âme »…

…et ce même "BODY AND SOUL" interprété par Sarah VAUGHAN…

Et nous retrouvons Coleman HAWKINS dans un autre standard : "THERE'S A SMALL HOTEL".

Lester YOUNG, dont la sonorité au saxophone ténor et le phrasé musical s'opposent totalement à ceux de C.Hawkins, joue "JUMP LESTER JUMP" (accompagné au piano par Count BASIE) et "JUST YOU, JUST ME" avec un son détimbré et une totale liberté rythmique et mélodique…

Dans l'esprit « Blues » et dans la tendance « Be Bop » : Charly PARKER au saxophone alto dans "K.C. BLUES" (un blues traditionnel… et avec un swing digne de Count Basie dont le big band a bercé les nuits de Kansas City où a grandi Parker) et dans "CONFIRMATION" (un blues plus « Bop » avec des substitutions d'accords typiquement parkériennes), avec Max ROACH à la batterie.

Toujours dans l'esprit « Blues », et dans la tendance « Hard Bop » : "THE FEELING OF JAZZ" par John COLTRANE (« TRANE »), au ténor, accompagné par Duke ELLINGTON qui, avec juste quelques accords de son piano, donne au soliste la trame harmonique à partir de laquelle il peut donner libre cours à son improvisation…

"GIANT STEPS" est l'archétype du style de John COLTRANE, caractérisé par une sonorité dure et une très grande liberté d'improvisation qui aboutit à la déstructuration presque totale de l'harmonie (ç.à.d. la progression des accords) du morceau, ouvrant déjà la porte au Free Jazz…

 

 

Les jazzmen ne sont pas tous noirs : écoutons Stan GETZ dans "THERE'S A SMALL HOTEL", interprété dans sa jeunesse, mais déjà avec le son si caractéristique qui lui vaudra d'être surnommé « The Sound »…

…et Paul DESMOND, dont le son à l'alto évoque celui de Stan Getz au ténor, dans "BLIGHT OF THE FUMBLE BEE" en duo avec Jerry MULLIGAN au saxophone baryton (avec sa sonorité « West Coast » très différente de celle de Harry CARNEY).

 

Les jazzmen et leurs thèmes ne sont même pas tous américains : avec "ECHOES OF FRANCE", enregistré après la Libération, le QUINTETTE DU HOT CLUB DE FRANCE, avec le guitariste Django REINHART et le violoniste Stéphane GRAPELLI, interprète façon « Jazz » un standard composé il y a plus de 2 siècles (40 ans plus tard, Gainsbourg n'a rien inventé !).

Sylvain BEUF, saxophoniste français de la jeune génération, excelle tant à l'alto qu'au ténor ; écoutons–le en trio sax/contrebasse/batterie dans "TROIS POUR UN" et dans "LAST MOMENTS", bien représentatifs de l'esthétique actuelle…

 

Pour terminer ce voyage au pays du Jazz (trop court, mais choisir, c'est aussi renoncer !), une composition de Django REINHART, "NUAGES", interprétée avec une esthétique très personnelle par James CARTER au saxophone basse, un instrument rarissime dont il explore toutes les possibilités expressives : registre grave regorgeant d'harmoniques, registre aigű, jeu en slap à l'ancienne, jeu en subtone comme avec un ténor…

 

 

Ma sélection toute subjective privilégie les saxophonistes ;-) , voici donc quelques pistes à suivre du côté des pianistes : Earl HINES, Thelonious MONK, Oscar PETERSON, Bud POWELL, Art TATUM, Fats WALLER…

 

 

 

1.            Louis ARMSTRONG             WEST END BLUES (1928)

2.            Louis ARMSTRONG             SAINT JAMES INFIRMARY (1928)

3.            Coleman HAWKINS             THE MAN I LOVE (1943)

4.            Sonny ROLLINS                   SAINT THOMAS (1964)

5.            Duke ELLINGTON               JACK THE BEAR (1940)

6.            Duke ELLINGTON               THINGS AIN'T WHAT THEY USED TO BE (1943)

7.            Coleman HAWKINS             BODY AND SOUL (1939)

8.            Sarah VAUGHAN                 BODY AND SOUL

9.            Coleman HAWKINS             THERE'S A SMALL HOTEL (1949)

10.        Lester YOUNG                      JUMP, LESTER, JUMP (1944)

11.        Lester YOUNG                      JUST YOU, JUST ME (1943)

12.        Charly PARKER                    K.C. BLUES (1951)

13.        Charly PARKER                    CONFIRMATION (1953)

14.        John COLTRANE                  THE FEELING OF JAZZ (1962)

15.        John COLTRANE                  GIANT STEPS (1960)

16.        Stan GETZ                              THERE'S A SMALL HOTEL (1950)

17.        Paul DESMOND et Jerry MULLIGAN         BLIGHT OF THE FUMBLE BEE (1962)

18.        Django REINHART               ECHOES OF FRANCE (1946)

19.        Sylvain BEUF                         TROIS POUR UN (2000)

20.        Sylvain BEUF                         LAST MOMENTS (2000)

21.        James CARTER                      NUAGES (2000)

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J’ai posé la même question il y a 20 ans après avoir fait le tour du reste. Loin de proposer de morceaux à écouter, je pense que c’est par la pratique que tu vas aimer non. Ça peut devenir une drogue après ce déclic.

Cela passe par des étapes progressives: 1/sentir la précision rythmique du ternaire avec le batteur (sentir le 2 et 4) et se repérer dans grilles avec le batteur, 2/sentir l’improvisation des solistes pour rajouter le grain de sel au bon moment avec le batteur (complicité), 3/commencer l’improvisation par des 4/4, 4/prendre des chorus sur plusieurs grilles à la basse (impro), 5/faire des jams session avec n’importe quel groupe sur dés morceaux standards avec le réal book dans son sac à dos.

Si tu es dans un groupe de jazz, c’est une super occasion pour découvrir pour pour sentir cette complicité interactive entre les musiciens à conditions que les meilleurs soient tolérants avec le reste. Quel est le répertoire de ton groupe? Mais 11 c’est beaucoup pour cette découverte (à cause des soufleurs ?). Les quartets et quintets sont plus adaptés pour découvrir. Le trio sera pour quand on a un niveau plus avancé. Encore plus pour les duos.

Le vrai plaisir c’est cette liberté totale en improvisation en embarquant les autres tout en respectant les règles (harmonie oblige, beaucoup de travail sur soi). C’est le contraire du classique ou on récite parfaitement la partition.

Quand tu sentiras cette drogue lorsque les autres réagissent à tes appels et vice versa (ne pas confondre avec le batteur qui frappe fort et qui fait augmenter le volume du groupe, ou qui accélère), alors tu aimerais le jazz,

James Jamerson a l’origine est un contrebassiste de jazz. Revenir de temps en temps au pop rock après un passage dans le jazz est aussi un plaisir agréable.

Le top, mais pas une finalité, c’est passer à la contrebasse car tenir la contrebasse contre son corps, c’est comme danser avec une belle femme.

 

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ouais, bel effort,

après, y'a ça, en plus complet

https://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_du_jazz

 

ah, post simultané...

je réagissait au post précédent dHellmacho:

Ok merci pour tout ça @EXer je vais me donner le temps d'explorer cette liste !

Edited by Sanfroi
posts simultanés
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Il y a 10 heures, xspj a dit :

Quand tu sentiras cette drogue lorsque les autres réagissent à tes appels et vice versa (ne pas confondre avec le batteur qui frappe fort et qui fait augmenter le volume du groupe, ou qui accélère), alors tu aimerais le jazz,

[...] Revenir de temps en temps au pop rock après un passage dans le jazz est aussi un plaisir agréable.

Salut,

je suis d'accord avec ça. Cependant, le jazz n'a pas l'exclusivité de l'improvisation, et encore moins lors des solos. Dans le rock, des groupes comme Led Zeppelin, Pink Floyd (en début de leur carrière) ou plus récemment Pearl Jam improvisait sur scène. La vieille devise d'Elvin Jones (batteur iconique de Coltrane) "un bon solo est un solo qui fait bien jouer le batteur !" s'applique en dehors du jazz.

Ce que je veux dire par là c'est ce que j'ai appris en faisant et en écoutant du jazz, en dehors de naviguer dans un morceau avec un grille d'accords, c'est de faire bouger son jeu en fonction de ce qui se passe autour de soi pendant le morceau. Cela demande, en effet, une capacité d'écoute générale et une complicité avec la batterie, et cela enrichi considérablement l'expérience du jeu en groupe. Par exemple, après la mort de leur batteur, Jimmy Page expliquait qu'une des raisons de leur arrêt du groupe (je parle de Led Zep' encore) était qu'ils n'arrivaient pas à trouver la même complicité dans l'improvisation avec un autre musicien.

a+

PS : des artistes comme Jeff Beck ou Joni Mitchell ont fait le pont entre rock et jazz ... sans parler de Miles Davis qui demandait à Mike Stern de jouer "your Hendrix stuff" dans les années 80 !

Edited by Ze bass
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