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Côté vélocité en hair metal, on a aussi Scarified (Paul Gilbert)
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Sur cette vidéo : http://www.youtube.com/watch?v=aCbl8cgUkEM, j'ai bien l'impression que c'est au médiator ;)
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Je plussoie avec Arbazer : j'ai (entre autres) 2 SX (PB et JB). Certes, ça ne vaut pas du Fender US, on est bien d'accord. Mais ça sonne plutôt pas mal une fois réglée et les cordes changées (évidemment). Dans cette gamme de prix, ça reste un bon investissement ;)
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James a joué/joue encore sur Krank, mais pas Kirk En bonus, le matos de Robert et celui de Lars ;) Note : pour ce type de recherche, 'suffit de taper sur Google "[nom du groupe ou de l'artiste] gear". Exemple (on peut rajouter l'année pour plus de précision)
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Vraiment bien, y a en effet, un petit arrière-goût de Trust, mais ça ne gâche rien. Par contre, comme Dams, les paroles en français sur du rock/hard/metal, suis pas trop fan (c'était déjà le cas à l'époque de Trust, Sortilège ou Satan Joker dans les 80's )
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Si seulement j'avais quelques centaines/milliers d'€ disponibles...
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Quelles Cordes Pour Le Débutant...
chips replied to Q2makak's topic in Effets, cordes et accessoires
Si, c'est parfaitement possible : ralentissement temporaire du serveur, connexion Internet aléatoire, bug du navigateur... Plein de possibilités, rares, il est vrai, mais réelles, pour faire des doublons -
Tiens, ça me rappelle qu'il faut que je poste une des recettes préférées de Mme : salade avocats/crevettes "my way". Recette et photos sous 24-48h, a priori PS : JL, un petit compte-rendu des restos à Venise ne serait pas de refus
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Peavey Predator EXP, ça se trouve dans les 200 € neuve (avec un vibrato de type floyd) et ça s'en sort très bien dans pas mal de situations
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Pour la BB1200, LE_Gui en vend une ici (défrettée, mais ça se refrette). Certes, c'est une passive, mais elle envoie sévère (d'ailleurs, il a pu comparer avec ma BB1200S en septembre dernier ).
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Vous vous prenez la tête pour rien, franchement. SX for ever </troll>
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Je continue toujours à détruire systématiquement les excellents patterns de batterie de Mme et les charmantes lignes de basse de notre fille à grands coups de power chords saturés et de pseudo-mélodies improbables à la 6 cordes (sans pour autant lâcher mes 4 et 5 cordes). Bref, je dois avoir globalement le même niveau à la gratte qu'à la basse. Genre débutant autodidacte, en fait
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Bon, on va faire simple : quand tu reviens, tu me la ramènes et je t'en débarrasse gratos, ça te va ?
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Pendant ce temps-là, les flics avaient menotté les occupants de la chambre et attendaient du renfort en sifflant la dernière bouteille de tequila des filles, tout en examinant d'un oeil expert les armes des susdites. Mamadou, sachant qu'au Brésil, la police est aussi indolente qu'un paresseux atteint de flemingite aigue, se demanda comment passer à l'action. Il attendit prudemment que les flics soient venus à bout de la tequila avant de demander l'autorisation d'aller aux chiottes. - "OK, mais t'y va pas tout seul, mon p'tit gars. Je t'accompagne !" lui lança l'un des OPJ, qui se leva, chancela, faillit se rassoir, puis finalement se dirigea d'un pas éthylique vers Mamadou. Une fois dans la salle de bain décrépite qui faisait également office de coin d'aisance, le grand Black passa ses mains menottées au-dessus de la tête du flic, lui comprimant le cou avec la chaîne des menottes. L'agressé, trop imbibé pour réagir, ne résista que mollement. Mamadou le délesta de la clé des menottes et de son flingue de service, puis menotta sa victime au tuyau du radiateur. Il déboucha dans le salon et vit aussitôt que les deux flics restants avaient fini par tomber dans un sommeil alcoolisé aux relents d'agave. Mamadou libéra promptement Paulo et les filles de leurs entraves et tous quatre se faufilèrent dans le couloir...
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Je doute que Johnny maîtrise la langue française à ce point
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C'est à ce moment-là que Daniel se réveilla brusquement, sans savoir où il était encore à moitié dans son rêvalakon avec un monstre rose et poilu de 3 mètres de haut. Probablement dû à l'abus de fondue au fromage*, pensa-t'il fugacement. Puis il se remémora les récents événements... Sa fuite de la chambre, poursuivi par les keufs qu'il avait cependant facilement distancé de par leur éthylisme plus qu'avancé. Et il avait trouvé refuge dans cette petite cabane près de la plage, sans eau ni électricité, dans laquelle il avait fait étape avant de continuer sa fuite. Il envisageait tout d'abord de faire le ménage et de se débarrasser des gêneurs. Pour ça, un pain de Semtex planqué dans la piaule et un détonateur à distance devraient faire l'affaire. Le gros problème était de trouver l'explosif... [HS]Oui, on revient du côté réaliste quand même ^^[/HS] * Il y a une référence cachée...
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[HS]Porcinet, t'arrive à voir un bras monumental à travail le (petit) trou laissé par la poignée ? On va dire que le trou est bien plus gros, hein, ça sera plus logique [/HS Les flics de la PJ, bien qu'encore embrumés de tequila, réagir au quart de poil et défouraillèrent, truffant la porte de 6.35 sans sommations. Le hurlement qui en résulta semblait plus rageur que de douleur et le reste de la porte explosa soudain sous la poussée de l'être gigantesque, lequel entra à pas pesants dans la pièce...
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Les flics embrassèrent la scène du regard : leur suspect dans le coltar en train de se faire violer par une fille, une autre, des éclairs dans les yeux et un grand couteau à la main, prête à tout, un ivrogne en tutu puant le porto bon marché à 10 mètres, câlinant une peluche infâme en tutu également et un grand Black qui découpait du poisson avec soin sur un tapis élimé. Les inspecteurs de la PJ sortirent leurs armes respectives et intimèrent à tout ce petit monde de se placer face au mur du fond, bras et jambes écartés. Quant à Jean-François, il siphonna rapidement le reste de porto de Paulo, avant d'aller prêter main forte à ses collègues pour désarmer et fouiller les antagonistes. Seul Daniel, qui peinait apparemment à se réveiller, resta à sa place. Temporairement. Il évalua la situation entre ses paupières mi-closes et en déduisit qu'il lui fallait tenter quelque chose maintenant, sans quoi ses carottes étaient carbonisées. Il se remit sur pied sans bruit, profitant de ce que les flics, qui fouillaient méticuleusement les quatre conjurés, lui tournaient le dos, prit la direction de la porte. Le claquement d'icelle révéla aux flics que leur suspect venait une fois de plus de se faire la malle.
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[HS]Big', Henriette est douée d'ubiquité ou tu as remplacé Heidi par l'une des deux ?[/HS]
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Daniel se rua à l'extérieur, tandis que les flics s'effondraient les uns sur les autres façon dominos dans un ultime effort aviné pour tenter de retenir le fuyard. C'est alors que Mamadou, qui sortait de chez le poissonnier local avec 3 kg de morue pour les accras, se retrouva nez-à-nez avec Daniel. Sans s'embarrasser d'explications oiseuses, il lui balança le sac de morue dans les jambes, avec pour conséquences un superbe vol plané de son ancien voisin, lequel percuta le trottoir suffisamment violemment pour lui faire perdre connaissance. *** Heidi et Henriette étaient en train de remonter leurs armes en pièces détacher tout en sniffant du Vicks à cause de la proximité de la station d'épuration, et Paulo mettait la dernière main à une pseudo-Tour Eiffel en bouteilles de porto vides en achevant la dernière boutanche, lorsqu'ils virent arriver Mamadou, encombré d'un tapis roulé et d'un sac de poisson. Après avoir mis le sac au frigo, le gigantesque Noir déroula le tapis, toujours sans dire un mot, laissant apparaître Daniel, encore dans les vapes, arborant une superbe ecchymose à la tempe droite.
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'tain, vous me donnez faim (et je sors à peine de table) avec vos recettes ! Bon, je vais essayer de trouver des huîtres...
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Superbes, les dernières photos /*Nostalgique devant tant de neige...*/
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LE_Gui, va regarder "Le sens de la vie" une 99ème fois pour bien comprendre
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Joli rebondissement, Big ! [/HS] Alors qu'il prenait ses fonctions en plongeant les bras dans l'eau tiède et grasse des bacs, Daniel aperçu du coin de l'oeil un bout de tulle rose. Se retournant, il vit Paulo, le regard égaré et la démarche chancelante, qui cherchait quelque chose sur les étagères de la cuisine. - "Ei, mas o que você faz aqui? " Procurando algo?" l'apostropha un des sous-chefs. Paulo ne comprenant pas un traître mot de brésilien, tenta une explication en français, puis en anglais, dans l'espoir que quelqu'un, ici, pourrait le comprendre. - "Je cherche de la lessive pour mon tutu, y a plein de sang dessus ! Aïe am loukingue for some laïe, aïe ouante tou ouache maïe blôdi dress !" Daniel baissa la tête, partagé entre le désir d'aider son pote et celui de rester discret. D'ailleurs, que faisait Paulo ici ? Comment avait-il retrouvé sa trace ? En attendant, un des cuistots qui baragouinait 3 mots de la langue de Shakespeare envoya Paulo à la lingerie de l'hôtel. *** Les flics de la PJ, flanqués de Jean-François, atterrirent bientôt au bar où Daniel exerçait encore le matin même. Inquiet de voir qu'il n'était pas derrière le bar, ils entamèrent un interrogatoire discret du nouveau barman et, pour s'attirer ses bonnes grâces, entrecoupèrent leur baratin de nombreuses libations à base de tequila...
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Autre suggestion : Yamaha RBX. C'est plutôt polyvalent, bien pêchu et très abordable, avec un manche plutôt fin.