Fretless Jazz

Il semblerait que cette Jazz Bass est un bon modèle bien finie mais le corps est en agatite, un matériaux composite. Pour ma part, je m'orienterais sur le modèle Jazz Bass Vintage Modified fretée qui elle a un corps en bois. C'est quand même mieux. Allez vois cela sur le site de Fender France.

Pour ma part, je joue sur une ESP Jazz Bass fretless avec fretlines. Maintenant, faut-il être pour ou contre, cela mes semble être une question qui amène une seule réponse. Il m'arrive souvent de regarder mon manche pour m'assurer de jouer juste surtout pour les solos. Pour un walking je ne regarde plus le manche. Conclusion, rien n'empêche d'avoir une fretless avec fretlines et de la jouer sans s'en préocuper. Fretlines ou fretless pure, même combat !

J'ai acheté plusieurs basses signatures de chez Fender et surtout des Jazz Bass pensant franchement qu'il n'y a pas mieux pour jouer tous les styles. J'ai revendu ma Geddy Lee, ma Marcus Miller et ma Jaco Pastorius (non relic). En fait ces trois basses sonnent franchement bien avec un léger bémol pour la Pasto Fretless très très mal réglée. Une galère pour arriver à faire des réglages corrects. Pour résumer, tous ces modèles signatures ne permettent pas de mieux jouer ni d'avoir le son de son utilisateur d'origine. Actuellement, je joue sur une Fender Jazz Bass 60's et j'ai un son neutre mais typique Jazz Bass que j'adore. J'ai décidé de continuer mon parcours de bassiste avec ce modèle très bien fini et made in Mexico. Regardez et surtout écoutez Linley Marthe, il a une vieille Jazz Bass et s'en sert comme un dieu. Le remède est simple, une Jazz Bass, un bon ampli, du travail à ne plus en finir et du talent et le son est sous vos doigts. Pour résumer, je crois qu'il est nécessaire de trouver la basse de ses besoins et d'en être amoureux ensuite, le talent fera le reste et peut-être un jour aurez-vous votre modèle signature. Pourquoi pas mais ce n'est pas mon truc

Il y a un dossier sur cette question dans le magazine "Bassiste" qui vient de paraître daté de mai / juin 2006 en page 42 Fretless Jazz