Tous les matins et tous les soirs je passe devant l'atelier de PAR (j'habite la même rue).
Et bien il y a des jours (comme ce jeudi, si je ne m'abuse), où il doit être difficile d'y poser un pied devant l'autre tant s'entassent, telles des vacanciers bloqués au péage de Villefranche, les housses de grattes et de basses qui attendent les mains savantes de l'artistan.
@Bassty: ouais mes ceux-là, ils entendent des voix qui leurs disent d'attendre le signal avant de consommer. Un truc du genre "Ting, c'est prêt!"...